The Promised Neverland, tome 14

Et voilà encore une énième dinguerie digne de la saga. Es-ce que je me doutais de l'identité de Minerva ? Absolument pas ! Mais je suis tellement heureuse de ces retrouvailles que j'attendais avec tellement d'impatience depuis le tout début. Hâte de lire la suite

Alors que l'un des leurs est blessé, Emma et les autres n'ont pas le choix, pour le sauver, ils vont devoir se rendre dans une ferme d'élevage afin d'y voler des médicaments. En espérant que cela ne soit qu'une formalité avant de pouvoir rejoindre le camp de William Minerva.

Un tome sympathique à suivre, on nous présente de nouveaux personnages intéressants, et le plan de William Minerva relance la série dans une nouvelle direction.

L'heure des révélations a sonné dans ce quatorzième tome de The Promised Neverland. Alors qu'ils sont en route pour rencontrer William Minerva, Emma et Ray s'introduisent avec des alliés dans une ferme d'exploitation intensive pour dérober des médicaments. La mission est périlleuse, mais rien ne saura les arrêter avant d'avoir rejoint l'homme mystérieux qui les guide depuis le début…

Après un looong déni, je crois que je suis entrée dans la phase d'acceptation. Oui, ce tome est toujours moins bon que les premiers. Oui, le manga dans son entièreté ne se révèle pas à la hauteur de mes attentes. Mais oui, malgré tout, je recommence à prendre du plaisir avec cette lecture.

Ce qui ne signifie pas qu'elle est exempte de défauts, bien au contraire. On continue à accumuler les grosses facilités scénaristiques, notamment avec un sauvetage qui intervient pile au bon moment pour éviter le drame, mais aussi avec un traitement de personnages de plus en plus désastreux.

Outre le fait qu'il faille attendre l'hommage posthume de ce tome pour mettre un nom sur le visage des cinq Random décédés précédemment, les survivants sont trop nombreux pour être exploités correctement. Les mangakas ont beau tenter d'en mettre parfois certains en avant (en l'occurrence Anna), ça semble sortir de nulle part et tomber aussitôt à plat.

Seule Gilda n'est pas totalement effacée, contrairement à Don qui n'a pas eu cette chance, et même Rat tend de plus en plus à se faire éclipser par Oliver en tant que chef de file. Je disais de lui dans ma précédente chronique qu'il ne paraissait plus aussi vif d'esprit, ni aussi prompt à anticiper et à réagir, et ce tome ne fait que me le confirmer.

Avant de développer ce point, cependant, il faut que j'évoque William Minerva, alias, sans grand suspens, Norman. J'ai à plusieurs reprises décrit sa réapparition comme étant précoce, et les scènes qui en découlaient passablement superflues, et je confirme. Ces passages ne servaient à RIEN.

Il aurait mieux valu garder le suspense jusqu'ici et retracer dans un long flashback l'ascension de Norman de sa livraison à la tête de la rébellion (d'autant que le procédé est légion dans ce manga), mais non. À la place, on a droit à un résumé (et encore, je suis généreuse sur le terme) des évènements qu'il a vécus. Résumé qui ne semble pas particulièrement crédible, ce qui est sans doute la raison pour laquelle ce pan-là du scénario a été survolé.

Norman est donc de retour, avec des informations capitales sur les démons, qu'il a bien l'intention d'exterminer pour permettre aux enfants de vivre en paix dans ce qu'il nomme le « neverland ». Tout le monde approuve son plan, sauf Emma qui est trop gentille pour souhaiter l'extermination massive de leurs ennemis, un détail qui n'échappe pas à Ray.

Ce qui me ramène à sa lenteur de réaction. Il sait qu'Emma désapprouve secrètement le plan de Norman, et il sait aussi qu'il y a une… disons incohérence dans ce que ce dernier pense savoir des démons, pourtant il se tait. le temps qu'il daigne aborder le sujet, il est déjà trop tard. On est bien loin du Ray des premiers tomes qui avait une longueur d'avance sur tout le monde, à l'exception d'Isabella et Norman avec qui il pouvait tout de même rivaliser. Depuis l'arc de Goldy Pond, son utilité décroît, le réduisant tout au plus au modeste rôle de garde du corps.

Qu'est-ce qui fait que j'ai quand même apprécié ce tome malgré toutes ces critiques ? Les retrouvailles. J'ai beau détester Emma, j'ai beau détester le traitement de plus en plus médiocre de Ray, et j'ai beau ne pas spécialement aimer ce qu'est devenu Norman, je mentirais en prétendant que je n'ai pas été touchée de les revoir enfin réunis tous les trois. L'émotion et la nostalgie étaient au rendez-vous, et ce moment restera probablement comme l'un de mes préférés (si ce n'est mon préféré) de ce manga.

Une lecture pas désagréable dans l'ensemble, donc, même s'il n'en demeure pas moins que The Promised Neverland est passé d'un début exceptionnel à un shonen somme toute correct, mais désormais loin du coup de coeur.
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J'ai le droit de dire que cela risque de partir en cacahuète ? Emma trouve enfin celui qui se fait appeler William Minerva et passe de la joie aux questionnement. L'illusion d'être sauvé va t-elle perdurer.
Je trouve que l'histoire commence à se compliquer à ce niveau de l'histoire. mais ce n'est pas pour me déplaire. Cela permet de connaître plus de facettes concernant les différents personnage mais surtout cela donne une nouvelle dynamique. Je suis curieuse de voir comment cela va se développer et surtout comment ils vont s'en sortir.
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Ce que j'aime dans ce manga c'est qu'on a peu de temps morts ! Jin et Hayato envoyés par William Minerva, retrouvent le groupe d'Emma et Ray. Avant de retrouver le boss, il faut faire un détour pour soigner les blessés à l'état critique... Une surprise pour nos arrivants (et pour le lecteur qui s'en doutait un peu avec quelques indices glanés ici et là). Nouveau rebondissement et enfin une solution pérenne pour nos enfants ? Mais Emma n'est pas tout à fait d'accord... Difficile d'en parler sans dévoiler une partie de l'intrigue mais on va crescendo, c'est révélation sur révélation.

Retrouvailles inattendues est le 14e tome de la série de mangas The promised Neverland. Emma et ses amis trouvent de nouveaux alliés avec de nouvelles perspectives. Les rôles s'inversent et de victimes et chassés, les enfants deviennent peu à peu chasseurs. Kaiu Shirai et Posuka Demizu signent un superbe manga qui se renouvelle à chaque tome.

Comme la couverture du tome le laissait présager, Emma et sa famille vont enfin avoir le privilège de rencontrer Minerva et c'est LA révélation tant attendue. C'est aussi une scène très touchante et émouvante mais dont on n'a peu de temps pour assimiler et en apprécier la teneur. C'est ça que je pourrai reprocher à la suite de la lecture du tome 13 : j'ai ressenti le même souffle émotionnel. Course contre la montre, pic émotionnel et chute vertigineuse pour repartir vers une nouvelle course. Cela n'entache pas la qualité du scénario avec son suspense et ses combats. J'ai hâte d'avoir la suite en main !

J'avais senti venir la grosse révélation de ce tome et n'ai donc pas été totalement surprise même s'il s'agit d'un sacré twist dans l'histoire. La situation semble s'éclaircir pour nos héros mais pose beaucoup de questions (presque philosophique) sur la nature de l'être humain et sur les choix qu'il est capable de faire pour survivre.
Il reste encore 6 tomes avant la fin de la série et j'ai hâte de voir ce qu'ils réservent.
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Les enfants ne baissent pas les bras et poursuivent leur chemin vers leur prochaine destination. Mais la blessure de Chris s'infecte et il a besoin de soins d'urgence. Pourront-ils le soigner à temps ?

C'est le retour de William Minerva et c'est pour nos héros une bonne surprise. Un tome qui permet des retrouvailles mais qui ne résout pas tout. Il y a des mystères qui restent à éclaircir et nos héros ne sont pas tirés d'affaire. Ça relance l'histoire et donne une nouvelle dimension. J'ai hâte de lire la suite.

Encore une fois ce tome est riche en rebondissements avec beaucoup d'émotions différentes. le stress, l'angoisse, la peur, le doute mais aussi la joie et la sérénité sans oublier la surprise.
La combativité, la rage de vaincre est également très présent.
Du coup impossible de s'ennuyer à la lecture.
C'est très rythmé peu de temps mort.
Beaucoup d'informations, de questionnement pas toujours cohérents mais sans doute qu'au fur et à mesures les interrogations s'éclairciront comme cela a déjà eu lieu précédemment.
Le graphisme est égal à lui même avec une belle précision même si par moment le texte est illisible notamment dans les bonus et que certaines émotions sont dessinées trop sommairement à mon goût.