Le grand flop pour moi ! Arrivée à la page 255, j'ai lâchement abandonné le morceau, impossible de tenir jusqu'à la fin, càd p.790 !
Je m'attendais à un roman alerte, j'ai lu un roman larmoyant et vindicatif.
Je m'attendais à un roman psychologique mâtiné d'actions, j'ai lu un roman rempli de vulgarité et de psychologie forcée.
Pourtant, j'avais bien compris le système de narration : Irina, une dessinatrice russe, vit avec Lawrence à Londres depuis plusieurs années. C'est un couple « qui marche », quoique certaines de leurs façons de fonctionner posent de petits problèmes, sans conséquences.
Irina, alors que Lawrence est parti quelques jours pour son travail, se retrouve au restaurant avec un ami de leur couple, divorcé. Et là, ça dérape…ou pas : ils ont très envie de s'embrasser. Ceci est le chapitre 1.
Le chapitre 2 montre les conséquences du baiser, le chapitre (2) montre les conséquences du non-baiser.
Et ainsi de suite.
Cela aurait pu être marrant, mais pour moi c'était très pathétique, très américain, avec des conversations se voulant profondes mais que j'ai trouvées superficielles, cherchant la petite bête, et en plus, vulgaires.
Bref, au suivant ! J'ai sur mon étagère «
Il faut qu'on parle de Kevin »… J'espère que j'en parlerai d'une autre façon qu'à propos d'Irina !