AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,87

sur 178 notes
5
8 avis
4
17 avis
3
2 avis
2
0 avis
1
1 avis

Critiques filtrées sur 4 étoiles  

Pour son troisième épisode dans la série à succès de la psychologue Freyja et l'inspecteur de police Huldar, Yrsa Sigurdardóttir s'attaque à un sujet délicat mais hélas universel : le harcèlement et l'exclusion parmi les jeunes.

On peut difficilement démontrer que le harcèlement scolaire soit un problème dramatique de notre temps, mais j'ai tout de même l'impression que ce phénomène tragique pour les écoliers et surtout les écolières durant les dernières décennies soit devenu manifestement pire.

N'ayant personnellement pas d'enfants dans cette catégorie d'âge, ma connaissance du phénomène se limite à ce qui apparaisse dans la presse à l'occasion de l'un ou l'autre scandale.

Je suis sûr que les parents d'élèves parmi vous et avant tout les Babelionautes qui occupent des postes de responsabilité dans l'enseignement sont nettement mieux qualifiés pour émettre avis et suggestions en la matière.

Avec cette réserve, j'ai l'impression que notre auteure islandaise ne s'est dans son ouvrage pas laissé aller à de l'exagération sensationnelle bon marché. Les enfants qu'elle nous y présente, tant les harceleurs et tourmenteurs que les pauvres victimes, me semblent d'un point de vue psychologique convaincants.

Quant à la réaction des parents concernés par ce malheur, je préfère ne pas me prononcer pour ne pas compromettre le déroulement de l'histoire évoquée et apparemment solidement recherchée et documentée.

Yrsa Sigurdardóttir, qui a elle-même 2 enfants, connaît et aime nos jeunes ami-e-s pour lesquels elle a d'ailleurs publié, entre 1998 et 2003, cinq livres.

Seul bémol, les histoires d'amour de l'inspecteur Huldar Traustason, que je trouve relativement compliqué.

La grande dame des thrillers islandais ne m'a jamais déçu et à chaque lecture d'un de ces policiers j'ai des difficultés à m'imaginer que frú (madame) Sigurdardóttir soit ingénieur civil de formation.
Commenter  J’apprécie          472
On longe les murs, on a mal au ventre, la tête nous tourne, on ne veut pas se lever le matin.
Est-on malade? Pas vraiment. On stomatise ce stress quotidien, celui d'aller à l'école et d'etre seul.
Les autres de la classe sont-ils malades ? Oui sûrement. Sinon comment expliquer ceux qui nous harcèlent, ceux qui nous méprisent, nous piétinent, nous écrasent , nous discréditent...Ceux pour qui nous sommes moche, insignifiant, ceux qui aimeraient nous voir mort ...Mais pourquoi? Pour rien ! Pour rire.
Voilà, "Absolution" traite de harcèlement à l'école. Souvent minimisées, quelquefois carrément ignorées, les plaintes restent lettre morte et la victime demeure seule face à une meute de loups. Des loups qui ne mesurent pas du tout que ce qu'ils font "pour rire" a bien souvent des conséquences graves, indélébiles. Et chez la victime, une attitude qui cache un réel mal-être. Avec les réseaux sociaux, ce n'est plus qu'à l'école qu'on harcèle, ça nous suit partout, tout le temps. Pas de répit...Absolution, c'est le meurtre de deux adolescents capté sur Snapchat et envoyé à tous leurs contacts...
C'est le récit d'une forme d'impuissance de l'école, des intervenants, des adultes en autorité, des familles, c'est une méconnaissance souvent un déni. Et les policiers? Incompréhension ! Peut-on réellement en arriver au point que l'on veuille exercer une telle vengeance ? Vraiment? Pour du harcèlement?
Ce que j'aime des polars venant du nord, c'est que sans honte, ils nous parlent souvent les doutes, de l'incapacité, de l'insuffisance de la police. Sans embarras.
Une autre enquête d'Huldar, le policier et de Freya, la psy pour enfant, en Islande et qui nous remue les tripes.
Commenter  J’apprécie          464
Un polar dur, qui commence avec le meurtre d'une adolescente dans un cinéma.

Bien des polars mettent en scène des psychopathes, des individus malades, mais dans celui-ci, c'est une société malade, un cancer social qui est dénoncé. le terrible harcèlement qui a cours à l'école et sur les réseaux sociaux, avec des parents qui défendent leurs enfants agresseurs et en minimisent leurs actions « pour rire ». Avec des directions d'école parfois inconscientes, mais surtout impuissantes à maîtriser la situation.

Le roman raconte le drame, l'enfer des enfants harcelés, qui aujourd'hui n'ont jamais de répit. Victimes de leurs camarades de classe, ils peuvent aussi être écrasés et humiliés toute la soirée et les week-ends sur Internet. Certains vont jusqu'au suicide pour échapper à la douleur.

Bien sûr, les choses sont rarement aussi graves que dans le polar. En partie parce que les agresseurs ne veulent pas vraiment que leur victime disparaisse, ils en ont besoin pour garder leur pouvoir, mais peut-être aussi en partie parce que peu de jeunes sont rarement aussi méchants…
Un polar qui traite d'un sujet grave, plus intéressant pour cet aspect que pour le suspens de l'intrigue.

(Heureusement, les lois évoluent, le harcèlement criminel, les menaces de mort peuvent faire l'objet de poursuites. Et c'est d'autant plus facile de recueillir des preuves de culpabilité lorsque les agresseurs laissent des traces écrites sur Internet…)
Commenter  J’apprécie          303
"Absolution" est le 4e livre de Yrsa Sigurdardottir que je lis ( le 3e de la série Huldar
et Freyja ) , et une fois de plus , j'ai été accroché par l'histoire du début à la fin .
Le coeur de l'intrigue est le harcèlement scolaire : des enfants harcelés vivant
un cauchemar sans fin et leurs parents démunis , souvent abandonnés par l'administration scolaire .
Que faire pour sortir de ce cauchemar ?
Certains en arrivent à vouloir se faire justice eux-mêmes .
Avec l'omniprésence des réseaux sociaux dans la vie des ados , ce roman a des résonances bien actuelles ...malheureusement !
Captivant , poignant , terrifiant , "Absolution" est un roman qui ne laisse pas indifférent !





Commenter  J’apprécie          120
Quid des harceleurs ?

« Absolution », 3° volet d'une série, est le premier roman que je découvre de cette auteure de polars islandaise.
Roman intéressant à plus d'un titre.

Tout d'abord, les personnages qui nous permettent de pénétrer dans l'univers très particulier d'une équipe du commissariat fait de jalousies, inimitiés, rivalités, mesquineries, coucheries faciles, minables règlements de compte… Une vision peu reluisante de la société islandaise. Mais les personnages sont crédibles et donnent envie de savoir pourquoi ils en sont là. La cheffe Erla a tout de même une plainte pour harcèlement sexuel !

Puis l'intrigue qui balance entre thriller et policier : deux meurtres successifs d'adolescents dont nul n'arrive à cerner les mobiles, une enquête qui part dans tous les sens, des pistes qui s'émiettent, se reconstituent, rebondissent… Des avancées à l'aveugle… Une résolution complexe à cause d'une temporalité non maîtrisée… On frémit (surtout au début), on cogite, on erre… On pense savoir qui mais on ne comprend pas comment… Enfin, jusqu'à la fin… Mais peut-être pas !

Et enfin, la thématique du harcèlement scolaire, problème de notre temps, traitée avec une certaine puissance. On n'ignore plus rien de la souffrance des harcelés, leur incompréhension, la maltraitance psychologique et physique, le dégoût de soi, la honte, l'envie de disparaître.
On mesure l'impuissance des parents, des institutions, de l'autorité mais aussi de l'éducation en général.
Cependant, on regrette que les harceleurs n'aient pas donné lieu à plus de développement. Quelles hypothèses pour expliquer leur méchanceté, leur acharnement dans la cruauté, leur volonté de nuire, leur besoin de rallier le plus grand nombre contre une victime isolée, leur perversion sans cesse renouvelée ? Quelles hypothèses pour la lâcheté des suiveurs? Comment et pourquoi ce manque d'empathie? « C'était pour rire » est une explication insuffisante, surtout avec l'action amplificatrice des réseaux sociaux.

Si ce n'est cette carence sur les profils possibles des harceleurs, le roman de Y. SIGURDARDOTTIR se laisse lire et nous pousse à lire ceux qui ont précédé.
Commenter  J’apprécie          80
Dans ce roman nous retrouvons Huldar le policier et Freyja la psychologue. Cette fois ce sont des adolescents qui sont concernés par l'intrigue : une adolescente est battue à mort dans le cinéma où elle travaille. Sur son compte Snapchat, des vidéos d'elle sont envoyées à ses amis : on la voit supplier d'être pardonnée. Son corps est marqué du chiffre 2 qui laisse entendre qu'elle n'est pas la seule victime. le thème est celui du harcèlement, à l'école, sur les réseaux sociaux où il est sans répit, et aussi celui de l'impuissance des adultes face à ce fléau… L'intrigue est bien rythmé, Yrsa Sigurdadottir sait créer une ambiance bien délétère et efficace. Elle a une imagination remarquable pour les meurtres tordus. Heureusement, dans la vraie vie, les harceleurs poussent rarement aussi loin. Et les victimes se vengent très rarement. du coup ce livre est beaucoup plus intéressant pour les réflexions sociétales qu'il suscite que pour son côté policier.
Commenter  J’apprécie          70
Un meurtrier se sert de Snapchat pour assassiner des adolescents en direct.. Plusieurs vidéos de violence et de supplications sont envoyées à tous leurs contacts. L'inspecteur Huldar et la psychologue Freya mènent l'enquête, et creusent dans le passé de ced adolescents, pas si innocents que ça. Ce roman est un tome d'une saga mais ce n'est pas dérangeant de ne pas avoir lu les autres (on rate simplement quelques allusions sur les relations entre les différents personnages.)

On plonge dans ce polar où tout tourne autour du harcèlement scolaire et l'horreur des réseaux sociaux dans ce contact. On se retrouve vite oppressé par les actes d'humiliation que subissent les victimes et l'insouciance des bourreaux qui veulent "s'amuser." Certaines situations me semblent quand même trop extrêmes pour être crédibles..

Un bon thriller, noir et froid, avec un dénouement un peu rapide mais qui tient ses promesses.
Commenter  J’apprécie          60
J'ai découvert Yrsa Sigurdardóttir un peu par hasard, il y deux ans, avec son roman ADN que j'avais beaucoup aimé (avis ici) . En flânant dans la librairie, je suis tombée sur Absolution qui est le tome 3 des enquêtes de Huldar et de Freyja et il m'a fait de l'oeil, alors je me suis laissée tenter.

Une adolescente est battue à mort dans le cinéma où elle travaille, des vidéos sont envoyées à ses contacts, lorsque son corps est retrouvé, on comprend qu'elle ne sera pas la seule victime. Une course contre la montre s'engage pour trouver le tueur, pour découvrir ses motivations et pour tenter de sauver les autres. Cette enquête replonge Freyja dans les tourments de sa propre adolescence et ravive de vieilles plaies.

Je plaide coupable, je n'ai pas lu le tome 2, Succion, et j'ai sans doute manqué quelques éléments de la vie personnelle des personnages, mais honnêtement, Absolution peut tout à fait être lu de manière décrochée. Bien que deux années aient séparé mes lectures, je n'ai senti aucune gêne, je me suis très facilement replacée dans le contexte et cela a contribué au plaisir de lire. J'ai retrouvé un Huldar toujours aussi gauche et maladroit dans sa relation aux femmes, il enchaîne les bourdes et n'imagine jamais ce qu'il renvoie réellement quand il est face à Freyja, à côté de ça, sa relation avec sa cheffe, Erla, est on ne peut plus conflictuelle (et j'ai bien envie de lire Succion juste pour avoir le fin mot de leur embrouille!). du point de vue professionnel, il est toujours aussi tenace, et perspicace (mais pas devin non plus). Il se trouve d'ailleurs bien embêté car Erla lui met des bâtons dans les roues – et freine elle-même son enquête – avec ses petits règlements de compte mesquins. Si l'atmosphère délétère qui règne au sein du commissariat n'est pas forcément crédible dans les moindres détails, elle apporte du sel au récit et cela n'entrave pas la lecture. J'ai également beaucoup aimé la relation de Huldar avec son équipier Gudlaufur. Si ce-dernier reste discret et en retrait, nul doute qu'il pourrait prendre son envol dans les tomes prochains. Bref, nous avons ici un fort ancrage dans le réel : des personnages crédibles, entre inimitiés, guéguerres ouvertes et petites rivalités du quotidien, une investigation source de tensions et des schéma d'entraide entre collègues.

L'enquête en elle-même est vraiment bien ficelée : des adolescents enlevés, qui demandent pardon, sans que l'on sache pourquoi, des photos et des vidéos qui deviennent virales sur snapchat et qui compliquent la tâche aux policiers, des victimes qui ne se connaissaient pas, qui ne se ressemblent pas… à moins qu'il ne faille gratter sous le vernis et exhumer leurs petits secrets inavouables. Voilà de quoi intriguer et nous donner envie d'en savoir plus. Nous savons que les adolescents sont terribles entre eux, et finalement, la victime n'est peut-être pas un petit agneau tout doux, et a pu aussi s'avérer être un loup cruel. Maintenant il reste à déterminer qui a décidé de partir en chasse… et c'est ô combien difficile. Chaque piste échoue dans un cul de sac, chaque indice jette un peu plus le doute, et les équipes tournent en rond et enragent, rongées par un sentiment d'impuissance dévorant. Cela les pousse à quelques libertés avec la procédure, pour le meilleur et pour le pire. Nous sommes donc ballottés de droite et de gauche, sans pouvoir faire de pronostics, nous nous agaçons de l'acharnement des policiers sur certains suspects mais nous sommes finalement aussi démunis qu'eux. La fin est donc particulièrement savoureuse : nous avons la pleine et entière explication des choses et elle n'en est que plus percutante et efficace. le meurtrier a su concocter un plan d'un machiavélisme terrible, cela fait froid dans le dos.

Une fois de plus, j'ai beaucoup aimé retrouver la plume d'Yrsa Sigurdardóttir : le récit est rythmé sans précipitation, les moments plus lents se relient malgré tout au fil principal et permettent de faire cristalliser l'humanité des personnages, le thème du harcèlement est bien exploité et confère une atmosphère poisseuse particulièrement efficace dans un polar. le tout est rondement mené et aiguise sans cesse notre curiosité : pour moi, cela a été une combinaison parfaite.

Ainsi, j'ai beaucoup aimé ma lecture. Je vais continuer à suivre cette autrice, sans le moindre doute car j'aime l'univers qu'elle crée et les enquêtes qu'elle nous livre, soignées, denses et intéressantes. Absolution est un excellent polar : il remplit absolument nos attentes.
Lien : https://lesreveriesdisis.com..
Commenter  J’apprécie          61
Avis : 3.4/5

Personnages : 4/5
Décors : 4/5
Trame : 2/5
Emotion : 4/5
Globale : 3/5

Quatrième roman de l'excellente Yrsa Sigurdardottir et troisième opus de sa saga avec Hulda et Freyja à la baguette. Après ADN et Succion, en route pour Absolution !

On retrouve certains personnages dont, bien entendu, Huldar et Freyja, ces amoureux qui s'aiment, ou qui ne s'aiment pas, ou alors juste un peu. A noter que la psychologue est moins présente dans ce roman alors qu'une partie de son passé vient la tourmenter. Huldar reste fidèle à ses principes : bourru, bagarreur, avide de travail et surtout très bon enquêteur. Sa relation avec Erla, sa supérieure, est complexe à souhait pour une raison que je ne peux citer ici sans spoiler le précédent roman. Entre les deux, rien ne va plus et tant pis si le travail souffre de leur mésentente. Erla occupe vraiment les premiers rôles, avec ses qualités et ses défauts qu'on lui connait déjà. Les personnages secondaires ne manquent vraiment pas, dont certains demeurent fort intéressants. Les tandems de bourreau/souffre-douleur entre Stella et Adalheidur, de même que celui d'Egill et David occupe toute l'enquête alors qu'eux-mêmes n'apparaissent que rarement. le collègue de Huldar, Gudlaugur, se fait malmener au fil du bouquin alors qu'il est jeune, poli, aimable et professionnel. Son lien avec Ásta, une infirmière liée à l'enquête, reste troublant jusqu'à la fin. Cette dernière joue également un grand rôle dans l'histoire. Non sans reste, un père de famille, Mördur, qui vit encore mal la tentative de suicide de sa fille, Laufhildur, plusieurs années auparavant. Un cocktail de personnages bien étudiés, bien définis, rendant le tout explosif au possible !

En guise de décors, on retrouve la capitale islandaise avec sa météo aléatoire, les lieux sont bien dépeints. On a vu mieux, mais bien pire également. C'est le genre de carte postale qu'on aime ou non.

Ce qui m'a le plus déçu dans Absolution, c'est la trame d'une faiblesse abyssale. La lenteur des enquêtes est affligeante, surtout pour cette plume de qualité que représente Yrsa Sigurdardottir. Tout tourne autour du harcèlement en milieu scolaire, ses méfaits, la destruction systématique des victimes sans que quiconque ne puisse y changer quoi que ce soit. Alors forcément et malgré les statistiques, il y a rarement une vengeance infligée aux bourreaux. Mais ça, l'auteure en a fait fi. de même pour la piste des tueurs multiples qui ferait rire tout amateur de criminologie. Non, réellement, ce roman policier pur et dur ne restera pas gravé dans les annales.

Ayant plus d'un tour dans son sac, Yrsa Sigurdardottir arrive malgré tout à nous remplir d'émotions et de sentiments divers : la rage, la colère, la rancoeur, la joie, le rire, la peur, l'introspection, etc. Son message passe tout de même pour celles et ceux qui sauront avoir la sagesse de s'y attarder.

Bien que son style d'écriture reste de qualité, j'ai trouvé parfois les tournures de phrases alambiquées, nécessitant une relecture de certains passages afin de ne rien manquer. Dans ses autres oeuvres, je ne me rappelle pas avoir été si perdu par moment. 
Absolution est un roman qui ne restera pas gravé dans ma mémoire, mais qui peut passer. J'espère vraiment que l'auteure rendra une prochaine copie de meilleure facture.
Lien : https://bmds.ch/2020/07/04/a..
Commenter  J’apprécie          52
C'est le premier tome que je lis de cette série et ce n'est pas gênant pour la compréhension des personnages et de l'histoire. Cette histoire montre le mécanisme impitoyable du harcèlement scolaire et sur les réseaux sociaux. le style de l'auteure est prenant et le suspens fort ... Un bon polar.
Commenter  J’apprécie          50




Lecteurs (501) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2878 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *}