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3,89

sur 2575 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Vaut-il mieux être averti de sa mort imminente ou pas ?
Et si on est averti, vaut-il mieux s'éclater, faire n'importe quoi ou passer du temps auprès de ses proches et leur dire qu'on les aime ?

Ces questions, Adam Silvera tente d'y répondre dans son roman pour jeunes adultes. Nous sommes dans le futur, et chaque être vivant qui va mourir dans les 24 heures reçoit un coup de téléphone pour le lui annoncer. Evidemment, c'est toujours le coup de massue, et Mateo et Rufus, qui ne se connaissent pas mais habitent tous deux New-York, ne dérogent pas à la règle de chamboulement total. Grâce à une application, le « Dernier ami », ils font connaissance et passent la journée ensemble. Peu à peu (enfin, façon de dire ! ), chacun s'immiscera dans l'univers de l'autre et tentera de lui faire passer une bonne dernière journée, en lui faisant surmonter ses peurs, en réglant les derniers problèmes, et surtout en lui permettant de dire l'amour et l'amitié. de toute façon, ils meurent à la fin…

Je comprends très bien que ce roman puisse plaire aux jeunes adultes, et même moi j'y ai été sensible dans la mesure où on oublie souvent que la mort peut survenir n'importe quand. Alors, à quoi cela sert-il de se disputer, de ne pas oser avouer son amour, de ne pas le répéter, de ne pas profiter de chaque moment, de ne pas regarder la valeur de toutes les petites choses, de ne pas chercher à se dépasser, à découvrir, à ressentir… ?

Ce que j'ai moins aimé, c'est le style que j'ai trouvé souvent plat et cliché, avec assez bien de coquilles. Et puis je me suis passablement ennuyée, à vrai dire. J'ai suivi les deux amis toute cette journée, et à certains moments, je survolais les pages, je ne pourrais même pas dire pourquoi.

N'empêche que ce roman a quand même la qualité de nous faire sentir plus conscients du sens de la vie et de sa valeur, parce que tous, nous mourons à la fin.
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Cette nuit-là, Mateo et Rufus reçoivent un appel téléphonique leur annonçant qu'ils vont mourir dans moins de vingt-quatre heures. En plein New-York, ces deux jeunes, que tout oppose, vont faire connaissance via une application et décider de ne plus se quitter pour passer ensemble leur dernière journée. Comment vont-ils occuper les dernières heures qui leur restent à vivre ?

Pas de suspense, nous connaissons en commençant ce livre plus ou moins comment tout va se terminer. C'est bien fait, tant au niveau du ‘scénario' qui pourrait donner lieu à une adaptation ciné, qu'au parler et au comportement des personnages. Adam Silvera nous offre néanmoins une histoire dans l'air du temps (lorsque par exemple il aborde l'amitié ou le coming out) qui s'adresse plus particulièrement aux ados


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Chroniques de deux morts annoncées.

Le moins que l'on puisse dire, c'est que le titre de ce livre ne ménage pas grand suspens quant à son dénouement.

Ils s'appellent Matéo et Rufus et ils viennent de recevoir le message horriblement administratif de la Destinée qui les informe qu'ils…vont mourir aujourd'hui !

Just one other brick in the wall ! (1)

C'est leur destin, rien ni personne ne peut le changer, c'est aujourd'hui, point final ou plutôt poing final tant rude est le coup porté par ce compte à rebours déjà lancé.

Zéro pointé vers l'infini (2), prêts pour le grand sommeil (3).

Comment intégrer cette information annonçant la désintégration définitive ?!

Tel est le pitch de ce roman qui met en page des personnages jeunes qui n'auront pas le temps de prendre de la brioche (Pub).

Ils ont 17 et 18 ans et sont de profils bien différents. Si Matéo est un sage fils unique qui vit toujours chez son père momentanément hospitalisé et dans le coma (quand même), Rufus est un récent orphelin recueilli par une famille d'accueil avec deux autres ados et qui vient de régler son compte au nouveau prétendant de son ex petite-amie (excusez du peu !).

Tout semble les opposer pourtant l'application ‘dernier ami' destinée à ceux qui vont trépasser rapidement va les réunir pour leur ultime journée terrestre.

N'oublie pas que tu vas mourir (4)

Tempête sous deux crânes pour ce roman à deux têtes où les deux jeunes hommes sans avenir vont nouer une dernière amitié sans espoir aucun de longévité.

Un journal ultime à deux signatures, un temps réel qui décompte les minutes qui restent à disposition et dont il faut profiter au mieux avant le blackout définitif.

Chante comme si tu devais mourir demain (5)

De la littérature pour ado (ce n'est pas péjoratif de ma part), une espèce de déambulation initiatique pour deux jeunes au seuil de la mort. Etonnant paradoxe que de célébrer la vie, sa vie, au moment de la quitter.

On suit ces deux jeunes condamnés durant leurs dernières heures de vie, une dernière tranche partagée dans une communion inattendue qui les aidera à voir apparaître le mot fin sur l'écran vierge de leur courte existence pourtant dense en expériences émouvantes.

Et pourquoi cet ultime tour de manège ne serait pas celui de la Révélation, des premières fois ?!

Comme un périple d'apprentissage tardif pour deux prétendants qui, bientôt, vont frapper à la porte du paradis (6) en regrettant : Dommage que tu sois mort (7)

Peut-être quand même à réserver à un jeune public adolescent souvent enclin à s'interroger sur la mort.
 
(1)    Pink Floyd (presque)
(2)    Charlotte Gainsbourg
(3)    Etienne Daho
(4)    Xavier Beauvois (film)
(5)    Michel Fugain
(6)    Bob Dylan
(7)    Brigitte Fontaine.
 
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J'ai vu passer beaucoup de bonnes critiques sur ce livre, alors je l'ai emprunté des que j'ai pu à la bibliothèque.
Et j'ai été déçue, je mentirais si je disais que je n'avais pas pleuré à la fin mais moins que je ne le croyais. Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages.
Je pensais que cela allait me faire réfléchir au fait de sortir de sa zone de confort, à vivre sa vie comme on l'entend sans avoir peur des autres mais en fait tout le roman c'est cette histoire de death cast qui m'à perturbée. Je me suis demandée comment ils pouvaient être sûrs que si ils n'avaient pas appelé ils seraient morts car par exemple les parents de Rufus n'auraient pas pris leur voiture pour aller à leur cabane si ils n'avaient pas été appelé et Rufus et Mateo ne se serait pas rencontrés donc au plus je lisais au plus je me disais que c'est absurde de penser qu'un jour on pourra prévoir tout ce que l'on fait au point de savoir qui va mourir. En bref l'histoire n'a pas fonctionné pour moi mais c'est un bon roman jeune adulte alors je vous laisse vous faire votre opinion.
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Disclaimer : Critique Cast n'existe pas et n'appartient à personne, j'utilise ce nom dans l'unique but de m'amuser un peu…
Critique-Cast a téléphoné à Adam Silvera pour lui annoncer que son histoire n'a pas fait l'unanimité… Pourtant les idées étaient super intéressantes, mais sans doute n'a-t-il pas su les maitriser… La petite touche de science-fiction aurait pu être un atout si elle ne manquait pas de développement… C'est bien sympa de vivre dans un monde ou un imposant changement comme celui là est, mais il aurait été plus sympa qu'on nous explique le pourquoi du comment, les règles et ces différences d'évolution.
Critique-Cast a téléphoné à Adam Silvera pour lui annoncer que son histoire aurait pu être encore plus sympatoche si elle n'était pas aussi mollesse sur les ¾ du roman. Fait dommageable car l'ennui n'à point tardé à faire son apparition pour ne plus quitter le lecteur finalement dépité… Il n'existe rien de plus terrible que de se dire d'un livre « Bon c'est quand que ça va bouger wesh… »
Critique-Cast a téléphoné à Adam Silvera pour lui faire part d'une petite critique bien fondée. Il est vrai que si A.S s'était contenté de faire vivre un max d'évènements les uns à la suite des autres à ses personnages principaux ainsi que leurs petits camarades en une seule journée, il aurait tué toute forme de crédibilité ; mais, de la à ce qu'il ne se passe quasiment RIEN, la petite idée S-F n'aura pas été un investissement à long terme. La toute fin du livre relève un chouia le niveau mais ne suffit pas malheureusement pas à sauver toute l'histoire.
Critique-Cast à encore téléphoné à Adam Silvera pour lui parler de ses personnages. Intéressants mais pour une promesse d'originalité, le cliché à tôt fait de pointer le bout de son nez. Deux personnages que tout oppose qui se rencontre comme par hasard en s'inscrivant et se connectant en même temps sur le même site (ils auraient du nous afficher l'heure, c'aurait été au moins un peu marrant) et qui en plus, par la suite tombent amoureux en 30 secondes chrono… doit-on rappeler à l'auteur que tout se passe en moins de 24 heures…
Critique-Cast ne cesse de déranger Adam Silvera, mais il avait encore une dernière chose à lui dire. Malgré une fin qui commence à intéresser le lecteur exigent, une fin annoncée dés le titre du roman, cette dernière manquait cruellement d'explosivité… Avec un titre aussi révélateur, la moindre des choses aurait été de nous surprendre un minimum. Un fil rouge dans l'histoire aura tout de même capté mon attention, l'histoire du four qui ne fonctionne pas et la mort de Matéo. Etant donné que je pense que ce n'était pas anodin, j'avoue avoir apprécié cette idée… beaucoup de questions m'ont taraudé l'esprit…
Critique-Cast a téléphoné aux lecteurs qui ont adoré ce roman pour leur dire que c'est super cool qu'ils aient pu accrocher à ce point là. Puis, à ceux qui n'ont pas spécialement aimé pour leur dire qu'il se sent moins seul et déprimé. Et enfin, Critique-Cast a téléphoné a ceux qui n'ont pas encore découvert le livre pour leur dire qu'il est super important de ne pas se fier à tout ce qu'ils lisent, mais bien de se faire leur propre opinion… lire d'autres critiques, d'autres avis, c'est cool, mais que le leur reste le plus important) leur yeux…

Critique-Cast a téléphoné à la maison d'Edition Robert laffont au service de la Collection R pour leur annoncer que le livre « Et ils meurent tous les deux à la fin » a été lu et en entier en plus (lol). Que la note qui lui a été attribuée représente un 10/20. Il précise que les idées du roman étaient plutôt intéressantes, le titre et le résumé très alléchants mais qu'il y avait un sérieux manque de développement quand à l'époque ou l'on est projeté, un rythme un peu mou qui fait tôt de lasser le lecteur en quête de sensation (après un titre pareil) un manque d'originalité sur des points importants et d'explications.
C'est dommage…
24 heures plus tard, le livre se retrouve aux oubliettes. Nous sommes désolés de la tournure que prennent les évènements et espérons ne pas perdre l'auteur lors d'une prochaine rencontre livresque…
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Et ils meurent tous les deux à la fin est un roman que j'avais repéré depuis un moment notamment parce que son résumé m'intriguait. Bien sûr il est assez commun de s'être un jour demandé à quoi nous consacrerions notre dernière journée sur Terre si tant est qu'il était possible, comme c'est le cas pour Matéo et Rufus, de connaître le jour de notre mort. C'est donc en partant de cette question que tout le monde s'est un jour posée qu'Adam Silvera décide de raconter le Jour final de ses deux jeunes héros.

Au départ, Matéo et Rufus ne se connaissent pas et même s'ils partagent quelques points communs ( leur âge, une situation familiale marquée par le décès ou la maladie, une date de mort) rien ne les destine à passer ensemble ce dernier jour. C'est par l'intermédiaire d'une application ( Dernier Ami ) qu'ils vont se rencontrer et décider de vivre ensemble l'attente de leur mort. Glauque ? a t-on envie de dire et pourtant, Et ils meurent tous les deux à la fin, n'est pas du tout ça. C'est même tout l'inverse : un hymne à la vie. Adam Silvera l'expose dés le début dans une préface, ce roman, il l'a écrit pour inviter le lecteur à être lui-même, à vivre en dépassant le regard des autres ou ses appréhensions personnelles, sans (s'auto/se) censurer, pour ne pas avoir de regret. Comme si chaque jour était le dernier pourrait-on dire.

Le message est bien là mais cette lecture d'Et ils meurent tous les deux à la fin n'a pas pour autant été le coup de coeur que j'imaginais. Je m'attendais à une histoire beaucoup plus rythmée, beaucoup plus intense, beaucoup plus touchante. Matéo et Rufus sont attachants mais ils ne sont pas assez émouvants à mon sens. J'ai ressenti une certaine distance avec eux car leurs sentiments ne sont pas assez développés par rapport à l'épreuve qu'ils traversent.

Le tempo de la narration est aussi lent. le lecteur les suit dans les différentes rencontres qu'ils font ( une sorte de tournée d'adieu à leurs proches, pour l'un comme pour l'autre), quelques activités qu'ils expérimentent et bien sûr cette amitié qui se noue entre eux au fur et à mesure, fulgurante mais qui ne sonne pas forcément de suite comme une évidence car les sentiments sont contenus comme je le disais. Pour donner un peu de rythme, Adam Silvera a choisi d'alterner le point de vue de Matéo et Rufus, il glisse aussi celui d'autres protagonistes mais cela semble parfois un peu décousu ou inutile.

Au final, Et ils meurent tous les deux à la fin ne m'a pas touchée et captivée à hauteur de mes attentes. J'ai trouvé l'ensemble assez plat et sans m'être ennuyée au point de décrocher complètement, j'ai trouvé que l'histoire manquait de profondeur, d'intensité par rapport à ce que l'on pouvait en espérer. Dommage aussi que le thème de l'application « Death-Cast » ne soit pas davantage exploité, cela aurait peut-être donnée une autre dimension au récit. En effet, c'est plus un prétexte pour dire que Matéo et Rufus connaissent leur date de mort mais à mon grand regret l'auteur n'a pas ensuite fait le choix de davantage tirer ce fil du récit.
Lien : https://www.lirado.fr/meuren..
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> https://booksandrap.wordpress.com/2018/05/24/et-ils-meurent-tous-les-deux-a-la-fin-adam-silvera/


« Et ils meurent tous les deux à la fin » est le genre de titre qui me donnait tout de suite envie de découvrir de quoi il en retournait. Sans réellement savoir dans quoi j'allais atterrir, je l'ai entamé. Et je l'ai dévoré. Bien que le titre m'aiguillait sur le thème de l'histoire, rien ne me préparait à ce que j'y ai finalement trouvé. Il y a dans ce livre, un petit côté dystopique qui m'a beaucoup plus et m'a pas mal surprise.
On va suivre deux jeunes hommes, tout deux très différents durant une journée. Leur dernière journée.
Pour être tout à fait honnête, j'ai vraiment passé un bon moment même si ce n'est clairement pas aussi excellent que je ne le pensais. Après l'avoir vu passé un peu partout, après m'être aperçue qu'il avait déclenché de très gros coups de coeurs, je me sentais un petit peu comme une ovni. Car bien qu'il m'ai plu, il ne m'a pas transcendé. Je pense que c'est le genre de livre qui vous prends aux tripes tout de suite ou qui au contraire vous laisse insensible jusqu'au dernier quart. Je lui ai trouvé des défauts comme des qualités. Mais c'est tout de même avec grand plaisir que je pourrais facilement vous le recommandé car l'écriture d'Adam Silvera est très agréable et très simple.


Mateo et Rufus ne pouvaient pas être plus différents.
L'un est peureux, l'autre est une vraie tête brûlé. L'un vit, l'autre se préserve sans cesse. C'était très intéressant de suivre ces deux personnages que tout oppose, se retrouver dans la même situation et braver cette dernière journée afin de la passer telle qu'ils l'ont décidé. On s'attache facilement à nos personnages, à ce qu'ils sont, à leur personnalité bien trempé, leur fragilité et leur douceur.
Et pourtant, même si la lecture était agréable il m'a manqué ce petit quelque chose pour ça m'emporte complètement. Ça manquait à mon sens de rythme. Il ne se passait pas énormément de choses ou en tout cas il n'y avait pas de réel rebondissement. Malgré le côté dystopique qui est mit en place autour de la mort ça reste assez classique et surtout assez lent. La plume a beau être sympathique et par moments même difficile, cela n'en manquait pas moins d'un peu de piment qui aurait quelque peu accéléré le récit.
Néanmoins, le message reste très impactant. C'est un tragique compte à rebours.
Le mot d'ordre est : VIS ! L'auteure nous crie qu'il faut vivre sa vie car on ne sait pas quand elle se terminera, il faut profiter, vivre des expériences, ne pas avoir peur. Il faut oser, se révéler, être soi même. Ne rien regretter. Il faut vivre le moment présent et ne pas penser au lendemain. C'était un beau message à la fois bourré d'espoir et à la fois très triste car en tant que lecteur, nous savons dès le début, au même titre que nos héros, que leur histoire à eux ne va pas se terminé de la manière qu'ils le souhaiteraient. Tout est déjà tracé.


« Et ils meurent tous les deux à la fin » est un livre qui traite de la mort et de l'espoir mais c'est aussi une magnifique histoire d'amour et un puissant récit sur l'amitié.
Je les ai trouvés très touchant. Ils sont très complices et s'aident à être la personne qu'ils auraient aime être. Bien que la majeure partie du bouquin ne m'ai pas forcément très touché, je ne peux pas en dire autant de la fin de cette histoire. J'aurais aimé dire que le dernier quart du livre ne m'a pas brisé le coeur mais ce serait mentir. Même si on sait comment tout cela va se terminer, le voir écrit noir sur blanc m'a complètement bouleversée. Je n'étais pas prête pour ça, comme je n'étais pas prête pour la dernière ligne qui m'a complètement laissée bouche bée. J'ai beaucoup aimé cette manière de conclure le roman. C'est brutal, c'est dévastateur, mais c'est à mon sens une fin parfaite pour une histoire au titre aussi percutant. C'était très touchant et très dur à la fois de les quitter aussi abruptement.
Si vous croisez cette histoire en librairie, n'hésitez honnêtement pas. Même si cela n'a pas été un coup de coeur pour moi, et qu'il m'a manqué du rythme et de l'action pour que je sois totalement conquise, je peux tout de même dire que j'ai été séduite par l'idée du livre, par le message fort qu'il véhicule, par la douce romance, la tolérance qui est décrite et par la fluidité de la plume de l'auteure que j'ai pris plaisir à découvrir. Je vous le recommande bien évidemment !


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Comme tout le monde je pense, j'ai beaucoup vu ce livre passer et j'ai fini par me lancer dans sa lecture ! J'ai bien aimé l'idée et le concept, c'était touchant de suivre ces deux personnages qui n'avaient qu'une journée pour apprendre à se connaître et qui ont tenté de vivre un maximum de choses avant leur mort.

Par contre, j'ai trouvé les personnages un peu caricaturaux ou clichés par moment, ils manquaient un peu de nuances à mon sens. Ça ne m'a pas empêchée de les aimer, seulement je n'ai pas pu m'attacher pleinement à eux.

Même si on connaît la fin (puisqu'elle est donnée dans le titre😂), j'étais triste et sous le choc quand est arrivé le moment fatidique. Je pense qu'à force de suivre leur journée, une partie de moi à espérer que le titre soit mensonger même si je savais très bien que ce ne serait pas le cas…

↪En bref, j'ai passé un bon moment malgré tout et je suis contente de l'avoir lu !!
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Je suis mitigée par cette lecture adolescente.
Déjà , j'ai peur de la mort , la mienne et celle de mes proches. Et là nos héros reçoivent un appel leur précisant que c'est leur dernière journée à vivre. Mais quel horreur ! Forcément je n'ai pas pu me mettre à leur place ....
En plus de nombreuses longueurs sont présentent et ralentissent le récit.
Cependant j'ai bien aimé l'alternance de point de vue, le développement de la relation entre Rufus et Matéo au cours de la journée. Et puis la fin est touchante et relève le niveau du livre.
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Je suis passée à côté ou ce n'était pas pour moi 🤷‍♀️

🦦🦦🦦


Je ne sais pas si je n'étais pas dans le mood, si ce n'est pas un livre qui me correspond ou si c'est le livre (ce que je ne pense pas, quand même). Mais je n'ai clairement pas été transcendée !😞

🦦🦦🦦


Je vais m'expliquer quand même, parce qu'arrêter la chronique là, c'est un peu limite quand même !

Je trouve l'idée de base top ! Une application qui te prévient des dernières 24h, je trouve le concept sympa pour un livre, oui, pour la vraie vie, merci, mais non. Donc franchement, sur ce point, rien à redire !👌

J'ai, par contre, trouvé que la relation entre Rufus et Mateo n'était pas équilibrée. Je trouvais que l'un faisait beaucoup pour l'autre sans que cela soit forcément réciproque ou équitable. Je ne dis pas dans quel sens, ne faudrait quand même pas que je vous spoil là ! J'avais cette envie que la balance se rééquilibre mais non ..🤦‍

Ensuite, j'ai trouvé l'intrigue de Rufus un peu tiré par les cheveux sur la fin. Ca aurait pu me paraitre logique si dans le développement elle prenait un côté plus lourd. Pour ceux qui ont lu, je vous invite à lire la phrase suivante, pour ceux qui comptent le lire, passez à la loutre d'après, j'ai prévenu ! le côté gang et vengeance ok, par contre un gang de 3 avec un teuteu qui sait pas se défendre mais qui décide d'un coup de se venger à coup d'arme ... J'ai un problème de cohérence


🦦🦦🦦


Je vais couper court au suspence et vous dire directement que je n'ai absolument pas pleuré. J'ai même trouvé la fin un peu bateau pour un de nos deux protagonistes.

Je pense que cela se ressent bien mais on est pas sur la lecture du siècle, ni de l'année, ni du mois, ni même de la semaine. Mais cela reste mon avis, faites vous le votre, c'est toujours mieux !
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