"Les peintres ont bien de la chance. Il suffit au passant d'un instant pour prendre conscience des différents éléments d'une toile." Claude Simon choisit donc pour "cadre", aussi limité que celui d'un tableau, quelques heures d'une nuit après la guerre, au cours de laquelle les époques et les événements se confondent dans la mémoire du cavalier Georges : "Le désastre de mai 1940, la mort de son capitaine à la tête d'un escadron de dragons, son temps de captivité, le...
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