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Avec la crise environnementale qui s'aggrave de plus en plus, de nombreux ouvrages sont publiés pour dénoncer ou tout du moins, pointer du doigt les raisons de ce désastre. Philippe Squarzoni dans Saison Brune 2.0 s'attarde sur le coût écologique du développement de l'ère numérique, pour certains, la réponse à nos problèmes. En fil rouge de ce docu-BD, l'auteur nous alimente d'extraits de média qui soit relaient des catastrophes naturelles ou s'attardent sur des sujets qui paraissent bien dérisoires face à notre avenir.
Si la bande dessinée est de grande qualité, bien documentée, comme souvent, elle ne propose pas vraiment de solution pour sortir de cette situation. Nous sommes dans le constat, le cri d'alarme. Chacun sera libre de faire son interprétation et de changer sa manière de consommer. Car, numérique ou pas, nous le voyons à travers cet ouvrage qu'une nouvelle fois, c'est la surconsommation qui engendre le plus de problèmes.
Saison Brune 2.0 intéressera les convaincus du désastre en cours et j'espère éveillera quelques consciences.
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Dix ans après Saison brune, Philippe Squarzoni poursuit son enquête sur les enjeux écologiques et les dérèglements climatiques, en explorant l'impact de l'industrie numérique. Alors que le confinement a enfermé chez elle près de la moitié de la population mondiale, l'obligeant à s'organiser par écrans interposés et provoquant une accélération « vers une société “dématérialisée“ », il propose de vérifier si celle-ci va effectivement contribuer à réduire notre empreinte carbone.
(...)
Si Philippe Squarzoni préconise la sobriété et ne minimise aucunement les « pressions des lobbys de monde économique » qui ont fait assez systématiquement reculer Macron, par exemple, sur un certain nombre de décisions, il compte, très naïvement, sur les pouvoirs publics pour encadrer les usages du numérique et fournit une liste de mesures qui laisse plutôt songeur : démanteler le modèle de rémunération publicitaire opaque, séparer les régies publicitaires des services rendus, soumettre les algorithmes à un audit, etc. Cette bouffée d'optimisme est cependant très brève, à peine quelques pages et le constat reste sans appel : « Le numérique ne permettra pas spontanément de résoudre les enjeux écologiques. Il n'est pas par nature au service de la transition énergétique. Il est d'abord au service des géants de la Silicon Valley. »
Un excellent ouvrage de vulgarisation quoiqu'il en soit.

Article complet sur le blog :
Lien : https://bibliothequefahrenhe..
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Si vous voulez vous détendre en lisant une bonne bd, passez votre chemin. Si vous voulez vous informer sur le tout numérique et ses conséquences sur l'environnement, avec un petit détour sur le thème des libertés individuelles, alors cet album est pour vous !

J'avais été très impressionnée par Saison Brune qui constituait une synthèse complète, intelligente et percutante du problème du réchauffement climatique. L'album était très étayé et laissait la parole à de nombreux spécialistes. On le refermait avec le coeur serré et le sentiment que nous devions changer radicalement notre société consumériste pour avoir une chance d'échapper à la catastrophe climatique.

Saison brune 2.0 se concentre sur un sujet moins étendu : la pollution du numérique et son empreinte carbone. Celle-ci est soigneusement cachée par les géants du web qui s'ingénient à nous faire croire que tout est dématérialisé et que les flux et les stockages cloud ne laissent aucune trace ni ne causent aucun préjudice à l'environnement. Rien n'est plus faux bien sûr, et l'empreinte carbone du numérique augmente chaque année dans des proportions qui font peur…

J'ai appris plein de choses sur le nombre de data centers dans le monde, sur les câbles sous-marins permettant d'avoir internet, sur la fabrication des ordinateurs ou des téléphones etc…

C'est à la fois instructif et totalement déprimant. Car l'auteur n'y va pas par quatre chemins et l'humour et l'optimisme sont définitivement absents de cet album. Aucune couleur, le récit commence sur fond de confinement, autant dire qu'on ne rigole pas… C'est instructif car il est toujours bon de savoir et chacun peut faire un effort pour diminuer son empreinte carbone individuelle en remplaçant moins souvent ses appareils, en utilisant moins le streaming par exemple. Déprimant car à titre individuel, on ne peut faire grand-chose et il faudrait des actions politiques fortes qui ne sont pas réalisées et le seront-elles un jour….

Je finirai par un court extrait qui vous donne le ton de la bd :
« Quand j'achète un téléphone portable en France, j'ai exploité des mineurs au Congo, détruit des forêts primaires en Papouasie, pollué des nappes phréatiques chinoises et 12 à 18 mois plus tard, j'irai déverser des déchets électroniques au Ghana ou ailleurs ».

Un grand merci à masse critique et Babelio, je m'en vais boire l'apéro pour oublier !

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Une des lectures les plus puissantes et les plus utiles que l'on puisse faire. J'ai trouvé ce documentaire graphique proprement incroyable. le livre dénonce à la sulfateuse avec une intelligence vraiment extraordinaire et (on on le comprend après avoir fermé le livre) salvatrice le poids du numérique dans nos vies.
le livre démarre par le Covid et montre à quel point il a accéléré notre utilisation et notre dépendance aux écrans. Puis le livre s'attaque à tous les aspects écologiques, politiques, économiques...
Certaines pages sont d'une puissance et d'une ironie incroyable, telles ce passage ou dans de petites cases sont expliquées toutes un tas de conséquences liées au réchauffement climatique tandis que le gros du dessin nous montre regardant des chats rigolos sur internet, commandant du MacDo avec Uber, dans des polémiques débiles (Raoult et Pascal Praud sont très bien dessinés..), regardant inlassablement des séries Netflix etc...
On peut parler de mise en scène cinématographique pour cet ouvrage très puissant qui, contrairement à ce que j'ai l'air de dire, n'assène pas de manière prétentieuse des vérités, mais nous aide à réfléchir pour avoir toutes les clés de compréhensions (y compris parfois avec de beaux planisphères repensés par l'auteur).
le problème est que, nous le sentons tous, l'auteur a 100% raison. Nous sommes collés à nos portables, parfois pour le meilleur (l'appli Babelio ?) mais souvent pour le médiocre, à défaut du pire.
Aujourd'hui dans une salle de classe de lycée, quand vient l'heure de la pause, c'est le moment le plus tranquille de la journée, presque plus personne ne se parle, chacun étant collé à son portable.
le message de cet ouvrage est puissant, il est désagréable, nous ne voudrons sans doute pas l'entendre (malgré le talent incroyable de l'auteur), mais nous en paierons les conséquences sociales et écologiques, le livre est très clair là-dessus.
Bref j'ai pris une grosse claque à la fois du fait du message, désagréable mais puissant et par la manière remarquable dont il nous est délivré.
Je sens que tous les ados de mon entourage vont y avoir droit....
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Saison brune 2.0 vous permettra de découvrir les conséquences de cette folie du "tout numérique".
Choix de société ? Choix politique ? Choix économique? Choix ou opportunités ? Quels sont les risques, les dangers de cette dérive pour nos libertés, l'équilibre de nos sociétés, les droits humains, le respect de l'environnement ? Une deuxième enquête très documentée et factuelles. Vous n'utiliserez plus vos écrans de la même manière...Du moins souhaitons-le.

Astrid Shriqui Garain
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C'est avec le premier opus de Saison brune, une édifiante enquête au long cours sur le changement climatique, publié chez Delcourt en 2012 que Philippe Squarzoni s'est fait connaître du grand public en obtenant plusieurs prix.
Je découvre Saison Brune 2.0 (Nos empreintes digitales), sorte de prolongement de cette réflexion documentaire, plus particulièrement axée sur le tout numérique, à l'heure où les écosystèmes s'effondrent. L'auteur s'interroge sur la place des nouvelles technologies dans le monde que nous transmettons aux nouvelles générations.

Naturellement, il faut apprécier à sa juste valeur le jeu de mots du sous-titre : est digital ce qui se rapporte aux doigts, sans doute ici ceux qui utilisent un clavier, y laissent une empreinte ; mais « digital » est aussi un synonyme de « numérique ».
Mars 2020, un père et sa fille en plein confinement : il télétravaille, elle regarde des DVD, les rues de Paris sont désertes, les magasins fermés. Ils sortent seulement pour se ravitailler.
Tout est ralenti, figé et cette impression est accentuée par la brièveté ou l'absence de texte, les dialogues conventionnels pour passer le temps, les silences accentués par les graphismes. Philippe Squarzoni plante longuement son décor sur une trentaine de pages avant de parler de la communication par écrans interposés et de l'omniprésence d'Internet pour le commerce, l'enseignement, les consultations médicales, le travail, les démarches et mêmes les liens familiaux ou amicaux, les distractions… Puis, la BD prend une tournure plus documentaire avec des chiffres, des graphiques et des arguments précis et pose des questionnements pertinents sur fond de ralentissement général des activités, validant le fait que cette période aurait pu être porteuse de réflexions sur le long terme.

L'ambiance générale est monochrome avec de très beaux dessins en noir et blanc, détaillés, des physionomies travaillées mais peu expressives au premier abord. L'ensemble semble à la fois réel et dématérialisé, véritable métaphore du sujet de la BD.
J'ai vraiment apprécié toute la partie autour de la déambulation dans Paris, le choc des légendes et des dessins, juxtaposant parfois des situations contrastées ; en effet, comment parler, par exemple, du tout-numérique devant des SDF, des jeunes de quartiers défavorisés… le sans-contact accentue les fractures sociales car il y a un revers à la dématérialisation pour toutes celles et ceux qui n'ont pas les moyens ou la capacité d'accéder au tout-numérique ou qui résident en zones blanches…
J'ai bien aimé aussi le côté surréaliste de la nature qui reprend ses droits avec des animaux, certains exotiques, qui s'égaient dans les rues et les rayons du supermarché.
Plus en avant dans le récit, le jeu des contrastes se poursuit, mêlant scènes idylliques et éléments anxiogènes. Pendant que nous regardons des séries sur Netflix ou des vidéos sur Tik-Tok, la planète agonise.
Les politiques ne sont pas épargnés, leur inertie et les mauvaises raisons qui les motivent sont épinglées.
Vers le milieu de la BD, des pages interrogent nos nouveaux modes de vie, le père déambule seul au milieu d'objets significatifs, une sorte d'avant/après le numérique, puis il retrouve la main de sa fille. Ces planches illustrent bien l'enjeu de la difficile transmission générationnelle.

La réflexion est intéressante sur le pouvoir grandissant des grandes plateformes numériques, le devenir d'une société ultra-connectée. Si le confinement, lors de la pandémie de Covid, a accéléré les choses et ancré encore plus solidement le tout-numérique dans nos vie, cette BD remet les problématiques en perspectives et examine nos nouveaux usages numériques pour mieux déterminer leur impact sur notre environnement. En effet, si notre empreinte carbone a fortement diminué pendant le confinement à cause de ou grâce à l'arrêt des transports, de la baisse spectaculaire de certaines émissions de gaz à effet de serre, cela reste temporaire sans prise de décisions futures tenant compte de ces améliorations.
En outre, personne ne semble s'être réellement penché sur l'impact des nouvelles technologies numérique sur l'environnement. Philippe Squarzoni nous parle aussi de transition écologique. La balle est dans le camp des gouvernants et de celles et ceux qui les élisent. Une série de vignettes rompt soudain avec la douceur et la lenteur du reste de la BD ; c'est plus brutal, plus agressif. Il y a urgence à prendre conscience ! L'auteur nous montre aussi les travers des réseaux sociaux chronophages et lobotomisants, l'impact des fakes news. le scénario prend des allures de fouillis où toutes sortes d'informations se mélangent sans aucune hiérarchisation ni recul, miroir de la désinformation.

Personnellement, j'ai retenu certaines choses évidentes auxquelles pourtant je ne prête pas attention, comme l'inexistence physique des géants du numérique, à l'image du cloud…
Seuls les ordinateurs, les tablettes, les smartphones, les objets connectés, les satellites, les antennes, les réseaux souterrains et sous-marins de câbles, les centres de traitements sont matériels et leur consommation de matières premières, d'espace et d'énergie et leur impact écologique sont très importants, d'autant plus qu'ils sont peu recyclables et classés parmi les déchets dangereux. Les dessins de Philippe Squarzoni m'ont permis de visualiser l'architecture et l'organisation des datacenters…
De là à regarder soudain bizarrement mon IPhone je ne sais plus combien et mon Apple chéri, à reconsidérer leurs circuits de fabrication, leur obsolescence programmée, à remarquer combien les VOD sont énergivores, à compter toutes les petites lumières des appareils en veille quand nous éteignons les lampes de la maison, à penser à la fausse gratuité du Web, aux collectes de données, aux stimuli invisibles, à la perte du libre-arbitre…

Une BD un peu longue, 272 pages, très dense, à lire lentement pour s'imprégner du sujet. Les nombreuses références bibliographiques citées peuvent aider à approfondir la réflexion. La manière dont le dessin et le texte se complètent ou se confrontent rend la lecture assez vivante, surtout pour les passages les plus rébarbatifs.
Une BD marquante.
Un ouvrage qui replace le citoyen lambda au centre de ses paradoxes
On ne sort pas indemne de cette lecture !



#saisonbrune20Nosempreintesdigitales #NetGalleyFrance

Lien : https://www.facebook.com/pir..
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En 2012, Philippe Squarzoni sortait « Saison brune », qui posait la question du changement climatique, fruit de 6 ans de recherches. 10 ans plus tard (et après 5 tomes de l'excellente série « Homicide »), il est de retour pour évoquer le même sujet à la lumière de la révolution numérique.

L'auteur se met en scène au quotidien, pendant et après le confinement, et crée un dialogue avec le lecteur mais aussi et surtout avec sa fille, présente elle aussi dans l'album. de quel monde va-t-elle hériter ? Quel rôle le numérique va-t-il y jouer ? Et son rôle à elle, quel sera-t-il ?

Le récit est avant tout documentaire. le travail préalable important permet à l'auteur d'avancer des faits et des chiffres implacables. Il nous met aussi en face de nos propres contradictions et forcément, ça fait réfléchir…

Le dessin accompagne le texte… il se veut discret et ne doit pas parasiter le message. Un message qui incite à faire un pas de côté. Chacun pourrait le faire mais en sommes-nous prêts ? Serions nous prêts à aller vers une sobriété numérique ? Est-ce seulement possible dans le contexte actuel du « toujours plus » ?

Philippe Squarzoni lance un nouveau pavé dans la mare. Un pavé très bien documenté, riche et qui amène à des réflexions incontournables. Comment ne pas se sentir concerné ?
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Quel constat affligeant de voir tous ces chiffres et statistiques mettant en exergue l'incidence du numérique sur l'environnement!
Philippe Squarzoni éveille les consciences et nous montre qu'il est urgent de réagir en tant que consommateur par rapport à tous les dessous de cette économie numérique, l'exploitation de nos données personnelles et la pollution planétaire et sanitaire au nom de tous ces gadgets technologiques à l'obsolescence programmée et dont l'empreinte carbone est ahurissante. Et ce d'autant plus à cette époque d'urgence climatique et d'épuisement des ressources.
Une BD percutante qui devrait faire partie du programme scolaire dès l'entrée au secondaire et nous inciter à renoncer à certaines habitudes compulsives et (sur)consommations pour tendre vers la sobriété numérique.
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Une bande dessinée qui nous rappelle que le numérique provoque également de la pollution et que notre empreinte carbone devient exponentielle... Bien évidemment les géants du web voire même les politiques nous font croire que tout est dématérialisé, que les flux et les stockages cloud ne laissent aucune trace ni ne causent aucun préjudice à l'environnement. Ayant quelques connaissances sur le sujet, ce petit rappel du nombre de data centers dans le monde, sur les câbles sous-marins permettant d'avoir internet, sur la fabrication des ordinateurs ou des téléphones (matières utilisées non renouvelables, pollution, exploitation d'être humains...) est une piqûre de rappel un peu déprimante. Mais cette vulgarisation est nécessaire afin que tout le monde comprenne les enjeux de notre société actuelle et puisse faire un petit geste. Les dessins très noirs, les planches de pleine page sans texte participent à cette prise de conscience. Une bande dessinée instructive donc et que les politiques devraient lire... en attendant, c'est peut-être à nous de faire un petit effort... #saisonbrune20Nosempreintesdigitales #NetGalleyFrance
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Saison brune 2.0

La BD commence sur des chiffres et des réflexions autour du confinement de mars 2020, questions et remarques qui m'ont beaucoup marqué et m'ont tout de suite plongé dans la bédé avec empressement et fascination. En effet ce qu'il avance, je l'avais vu pendant le premier confinement, j'avais constaté les inégalités sociales sur lesquels il pose des chiffres ce qui m'a bouleversé: j'avais conscience de l'inégalité, mais je n'avais pas imaginé à quel point elle concernait de nombreuses personnes, ni à quel point c'était handicapant pour elles.

S'en suit plusieurs illustrations qui semblent au départ random, mais qui finalement ont toutes un message caché derrière. C'est un peu le double effet Kisscool: c'est à la fois très intéressant mais ça coupe un peu la vitesse de lecture car une fois qu'on a compris qu'il y a un sens derrière chacune des images qu'il choisit pour illustrer ses propos, alors que au départ on avait l'impression qu'il n'y en avait pas, ça donne envie d'aller sur Internet et d'explorer, de creuser, de fouiller pour approfondir… Il m'a donc fallu quatre fois plus de temps pour lire cette BD que ce qu'il m'en aurait fallu si je n'avais pas chercher aller me renseigner à côté.

J'y ai découvert beaucoup de faits et données choquantes (ex celle page 70) ou effrayantes (exemple celle page 216), cependant il y a certaines associations d'image/idée dont je n'ai pas trouvé le sens caché (comme l'illustration en bas à gauche de la page 70).

Cette BD m'a moins plu que la première, qui a changé drastiquement beaucoup de choses dans ma façon de vivre et de consommer surtout, cependant elle m'a encore mis un certain nombre de claques et ça va me faire réfléchir à nouveau sur comment améliorer mon mode de vie « numérique ».

Comme disait l'autre, le changement c'est pour aujourd'hui ! Et vous avez-vous déjà sauté le pas ? Si vous vous interrogez sur votre impact carbone je ne peux que vous conseiller saison Brune un et deux qui sont passionnantes ainsi que le monde sans fin qui fait également réfléchir. Ces trois BD véhiculent des idées, donnent des chiffres, illustrent leurs propos d'exemples concrets et simple sans être ni culpabilisantes ni violentes pour les gens qui ne sont pas autant engagés dans l'écologie que leurs auteurs…
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