AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,89

sur 189 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Récit d'une amitié de jeunesse, celle de l'auteur et d'un fils de bonne famille aristocratique et catholique, dans la sage banlieue privilégiée de Versailles, amitié née en classe de terminale à la fin des années 70. Jusqu'à ce drame épouvantable – une quarantaine d'années plus tard – qui a horrifié la France entière (avril 2011) et demeure un acte d'une incompréhension totale à ce jour. Un mystère qui conserve ses secrets, depuis l'évaporation dans la nature du principal et obscur protagoniste, de ce qu'il est un peu léger de nommer « fait divers » …

Un compte-rendu autobiographique rédigé comme un roman et qui m'a replongée dans ma propre adolescence (nettement plus modeste !) n'ayant que 6 ans de plus que ses « héros ». Bruno de Stabenrath se remémore les moments d'insouciance, de bonheur ou de déprime, son propre espoir de carrière professionnelle cinématographique (il fut le jeune Antoine dans le film « l'hôtel de la plage » et Bruno dans « l'argent de poche » …) carrière brutalement brisée par un accident de voiture qu'il l'a rendu paraplégique … Leurs doutes religieux aussi (surtout ceux de Xavier, sous l'influence toxique de sa mère …) Bref, l'auteur nous raconte les états d'âme d'un copain qu'il tente de nous rendre un peu plus « humain » – ce qui n'est pas du luxe – vu l'image légitimement effroyable que ses agissements abominables ont laissé dans l'esprit de l'opinion publique … Loin d'un livre à sensation, il s'agit plutôt d'une recherche de vérité – ou d'un semblant d'explication – à la dérive particulièrement tragique de cet ami « impossible » …

Bruno de Stabenrath n'a pas de certitudes présomptueuses, juste un regret de n'avoir pas su deviner (avant et depuis un très récent éloignement des deux amis) que ce dernier allait aussi mal … Il demeure toutefois persuadé qu'il est toujours en vie ! Une lecture agréable et intéressante, qui permet de ressentir – si cela est encore chose faisable – une certaine mansuétude (malgré les actes monstrueux) pour un homme qui, semble-t-il, avait perdu tout sens commun … Toutefois, ce texte ne permet pas vraiment de découvrir des éléments nouveaux, dont la presse ne nous aurait pas déjà longuement et largement abreuvés !
Commenter  J’apprécie          80
Non je ne suis pas convaincue et n'en déplaise à ceux qui ont rencontré ce livre, ce n'est pas mon cas.

Je ne peux pas parler d'un page turner, ni de révélations qui expliquerait que cet homme, Xavier de Ligonnes, ait décimé sa famille.

Alors oui l'auteur l'a connu et cet artiste nous raconte son histoire d amitié et son histoire, pour moi en surfant sur l intérêt que le mystère Ligonnes suscite.

Ce n'est pas inintéressant mais je m'attendais à comprendre ce qui a pu pousser, si c'est bien lui l'auteur des faits, un homme à l'abominable massacre de sa famille.

Je passe donc à côté.
Commenter  J’apprécie          70
Xavier de Ligonnès est arrivé au lycée de Bruno alors que celui-ci venait de tourner son premier rôle important dans « L'hôtel de la plage » ; il devient très vite son meilleur ami. Ils fréquentent ensemble d'autres jeunes de l'aristocratie versaillaise, tombent amoureux, s'opposent à leurs parents...Le narrateur raconte ainsi la vie dorée de Xavier de Ligonnès, qui s'assombrit avec les ennuis financiers, les mauvais choix, la déception de ne pas être le messie que sa mère, membre éminent d'une secte, lui avait annoncé devenir. Enfin, puisque dans son éducation catholique le suicide est condamné et l'assassin pardonné, Xavier de Ligonnès devient XDDL... La description des meurtres telle que l'écrivain les imagine est particulièrement glaçante. Souhaite-t-il ainsi faire réagir l'ami qu'il pense encore vivant ?
Une biographie intéressante qui raconte la société versaillaise, dont l'auteur s'est détaché non sans une certaine nostalgie, et fait un portrait clair et compréhensible du meurtrier présumé.
Commenter  J’apprécie          50
Je ne sais pas quoi penser de cette lecture.

La première partie du roman est consacrée aux prémices de leur amitié : on y découvre leur jeunesse dorée à Versailles, leurs familles et leurs traditions et l'on assiste à leurs réflexions de deux jeunes adultes et leurs tâtonnements. C'est riche en détails, trop peut-être, sur un quotidien huppé ( achats de chevalières avec les lingots de la famille, de voitures américaines, vacances à Bréhat ou Pornic…) où tout est superficiel même les histoires d'amour. J'ai poursuivi pour comprendre la genèse de Xavier Dupont de Ligonnès mais finalement, je pense que cela aurait pu être synthétisé.

La seconde partie est dédiée à sa vie de famille, construite avec Agnès. Nous rentrons dans un voyeurisme qui m'a beaucoup dérangé car toute leur vie intime y est dévoilée ( leurs trahisons, leur vie sexuelle, leurs conflits…). Je ne comprends pas l'intérêt de cet « ami » de TOUT dévoiler. Qu'il raconte que le couple allait mal, OK mais tout dire? La pauvre Agnès n'est plus là pour se défendre et Xavier…volatilisé…

L'affaire reste en filigrane sur les dernières pages : on sent que cet ami est perdu. Que même si la présomption d'innocence est toujours valable, il ne comprend pas les choix de Xavier. Il lui dédie ce livre, étant persuadé que de toute façon, il est vivant. Je note toutefois une certaine tendresse lorsqu'il évoque les enfants : ceux-ci sont les plus à plaindre dans cette histoire. Ils n'avaient rien demandé.
Lien : https://cestecrit.com/2022/0..
Commenter  J’apprécie          30
Courriel adressé à B. de Stabenrath, qui n'a pas jugé utile de me faire une réponse digne de ce nom, mais passons...


Bonjour Bruno,

Je sais d'expérience que peu de lecteurs écrivent aux auteurs, sauf dans le cas d'auteurs très médiatiques. Aussi ai-je la faiblesse de penser que vous lirez ce qui suit, et que peut-être même vous y répondrez.
Il est bien sûr question ici de votre dernier livre publié : l'Ami impossible.
Je vous connais depuis longtemps, mais sans vous avoir lu jusqu'alors, et c'est donc « l'Affaire » qui m'a mené jusqu'à vous.
J'ai lu pas mal de choses depuis 2011, et dernièrement bien sûr Society (je me demande au passage pourquoi vous n'y avez pas été interviewé ; l'opération aurait été à bénéfice mutuel). J'étais donc plus qu'intéressé par l'idée d'un témoignage de première main, non sur l'acte lui-même mais sur son auteur et ses mystères. Et je n'ai pas été déçu. Seul le premier chapitre m'a paru un peu lourdaud littérairement, mais passons. Dès qu'ensuite vous rentrez dans le vif de votre rencontre avec Xavier (évitons cette quasi marque publicitaire aujourd'hui : XDDL) dans le cadre particulier de votre milieu aristo-versaillais, le récit devient passionnant, et le restera jusqu'à sa conclusion.
Quelques points de détail : je me demande pourquoi tous les noms, horsmis ceux des principaux protagonistes sont maquillés ; jusqu'au lycée Saint-Exupéry devenu le lycée Saint Thomas d'Aquin… Votre livre ambitionne de livrer un témoignage au plus près de la vérité, quel intérêt alors que ces subterfuges ? Prudence juridique ? Vous inventez par contre (c'est du moins ce que je crois…) un personnage, Barthélémy, votre « agent d'information local », ce que je comprends ici tout à fait. Après tant de pages sur votre relation parsonnelle avec Xavier, poursuivre votre récit sur le mode « J'ai vu sur BFM » ou « J'ai découvert dans Le Figaro que… » aurait légèrement refroidi le lecteur…
Mais venons-en au principal, cad à mes yeux au mobile des meurtres.
Dans votre livre et dans vos interviews, vous avancez l'idée de « meurtres altruistes ». Sur la foi de votre témoignage personnel, sur celle aussi des écrits laissés sur la toile par Xavier, se dessine pourtant un tableau bien différent.
Xavier a une personnalité fracturée. Fracture culturelle d'abord. Il est issu d'un milieu très conservateur, a le sens de valeurs telles que l'honneur, le devoir, la fidélité… A ce titre, il appartient à l'« ancien monde ». S'y ajoute une éducation religieuse à la frontière du mysticisme. Dans le même temps, il est attiré par le Nouveau Monde, les USA, par sa musique, son cinéma, son esprit d'entreprise… Son drame est de ne pouvoir – jusqu'aux meurtres – choisir entre l'un et l'autre monde. L'abandon par le père, les espoirs mis dans son fils par « Violette », lui interdisent de trancher. Et cela se prolonge avec le mariage, les enfants… Peut-être, comme vous le dites, n'a-t-il pas le courage de partir, de vivre son rêve d'adolescent. A cet égard, Bruno, vous êtes un modèle pour lui. Même si au départ il se croit supérieur à vous comme à tous ceux qui l'entourent, il doit admettre que vous, vous avez eu le courage de vivre votre vie. C'est encore plus vrai après votre accident. Il est impressionné par votre volonté de vous en sortir quand lui patauge toujours davantage dans ses contradictions. Je pense même qu'il est jaloux de vous, surtout après votre livre Cavalcade, et que c'est une des raisons pour lesquelles il marque ses distances avec vous.
Durant toutes ces années, les deux Xavier coexistent en lui. D'un côté, le fils, père et mari irréprochables, et de l'autre le fou d'ailleurs, le mytho/mégalomane inassouvi. Son temps est fracturé comme son cerveau. Voyages aux Etats-Unis et retour au bercail. Puis, pendant de nombreuses années, semaine sur les routes (on the road again…) et week end au bercail. Ce bercail est lui aussi fracturé. Vie de famille dans les étages, et dans la cave l'endroit où Xavier poursuit ses rêves de grand « reset »… Prisonnier de sa vie, il n'a de cesse de vouloir unifier ces deux parts de lui si dissemblables. Il croit longtemps la chose possible. S'il est bien l'Elu, comme le dit sa mère, il aura tout pouvoir bientôt pour dépasser ses contradictions et sortir de son conflit intérieur par le haut. Mais cette promesse tombe à l'eau en 1995 – échec de la résurrection du nouveau pape… Reste la réussite dans les affaires. le succès sera son sésame. Ne parle-t-on pas du pouvoir libératoire de l'argent ? Mais là aussi c'est un échec. Xavier est bientôt pris à la gorge. Il ne gagne plus rien, il a des dettes, les huissiers menacent… Ses difficultés matérielles ultimes représentent bien plus, à ses yeux, qu'une simple banqueroute financière. Elles signent la fin de sa grande ambition: réunir les deux Xavier. Il va lui falloir désormais choisir.
99,99 % des gens, placés dans cette situation difficile, font le choix d'en parler à leurs proches pour trouver des solutions. Certains autres – lâches ou courageux, c'est selon - abandonnent femme et enfants. Enfin quelques rares choisissent de se suicider.
Xavier, lui, décide de tuer toute sa famille.
La question est pourquoi ?
L'hypothèse du crime altruiste ne tient pas longtemps. Dans certains cas extrêmes, on tue un proche pour lui épargner des souffrances physiques ou morales jugées insupportables. Rien de tel ici. du côté des familles Ligonnes et Hodanger, on avait de quoi subvenir aux besoins des enfants – déjà grands au demeurant. Ceci est d'autant plus vrai dans un milieu qui cultive les valeurs familiales et l'esprit de clan. Agir sous l'empire de l'impulsion ou de la bêtise, cela existe, mais Xavier est intelligent et ne prend aucune décision sans l'avoir mûrement réfléchie. (En matière de bêtise, je repense à l'histoire de cette ado américaine qui projetait de faire tuer son petit ami - qu'elle voulait quitter - par un tueur à gages, sous le prétexte qu'il ne supporterait pas la rupture…).
Non, comme je l'ai dit plus haut, Xavier a renoncé à la fusion des deux entités qui le constituent. En nietzschéen qui s'ignore ou pas, il veut tuer le Xavier de l'ancien monde et tout ce qu'y s'y rattache. Non au sens figuré, mais pour de vrai. Car Xavier est en réalité un psychopathe.
Naît-on psychopathe ? le devient-on ? J'imagine que, comme dans le cas des psychoses, il faut pour activer en soi cette inclination un environnement favorable et/ou un événement déclencheur.
Une question : Bruno, avez-vous eu l'impression parfois, au détour d'une phrase, d'un geste, que Xavier n'était peut-être pas celui que vous pensiez ? J'ai l'impression que l'être sensible, sincère, empathique que vous êtes à l'évidence lui prêtez une personnalité et des sentiments qui n'existent que dans votre imagination. L'amitié et l'amour n'ont en réalité, je pense, pas d'existence sensible chez Xavier. Je crois d'ailleurs que c'est une chance pour vous de vous être éloigné de lui dans les dernières années. le choc des meurtres et la révélation de cet autre visage (en réalité le vrai) de Xavier s'en sont trouvés sans doute atténués chez vous ; grâce aussi j'imagine au travail de mise à distance/en récit que constitue votre livre. Emmanuel Teneur et Michel Rétif n'ont pas eu cette chance. Xavier les a tués eux aussi.
Je n'ai pas connu Xavier, mais je note un certain nombre de caractéristiques dans ses écrits et ses comportements rapportés ici ou là. Aucune autodérision, aucun recul ironique sur lui, sur les autres, sur le monde. Ses propos sont exempts de chaleur humaine, de sentiments vrais. Il raisonne, il argumente – souvent laborieusement -, il juge, mais il paraît ne rien ressentir. Il ne pleure ni sur les autres, ni du reste sur lui-même - condition première pourtant de l'altruisme… - Dans une lettre à Catherine, son ancienne amourette de l'ile de Bréhat, Xavier s'étonne avec candeur de n'être jamais déprimé malgré les difficultés qu'il traverse. Tout est dit.
Il est beau garçon, il a la parole facile, il porte un titre… autant d'atouts objectifs pour séduire. Mais ce handicapé des sens ne peut aller au-delà. Il peine à s'accorder à ses interlocuteurs. Il les impressionne, il les manipule, il les domine éventuellement mais il est impuissant à nouer avec eux une relation intime. D'où ses déboires en affaires, où les décisions se jouent justement sur une fine compréhension des attentes de l'autre. D'où également ses peu de succès féminins. Il n'est « efficace » dans ce domaine que dans son cadre conventionnel, celui dont paradoxalement il voudrait se libérer. Les filles émancipées lui sont étrangères, illisibles… Agnès, celle que vous décrivez comme une « cocotte adultère de province », est à cet égard parfaite pour lui. Il ne peut pas espérer mieux.
Sa famille, humainement, ne comptait pas pour lui. Elle ne représentait qu'un enjeu narcissique, un signe extérieur de statut. du moment où il décide de supprimer le premier Xavier, celui de la « Cité des hommes », elle n'est plus que le méchant miroir de ses malheurs terrestres ; un boulet.
La façon dont il évoque la mort des siens à plusieurs reprises dans ses écrits est juste stupéfiante de détachement et d'inhumanité. Dans le courriel adressé à Catherine, si Xavier voulait juste lui soutirer (encore) de l'argent, le chantage au suicide suffisait. Ajouter le meurtre de sa famille n'était d'aucune utilité et risquait de lui attirer de gros ennuis. (On se demande d'ailleurs pourquoi Catherine ne s'est pas précipitée à la police pour faire état de cette menace gravissime…). Cela pour dire que quand Xavier parle de tuer femme et enfants, il est juste sincère. Il semble ne pas réaliser qu'il parle d'êtres humains…
Sa famille lui appartient. S'il veut survivre, il doit la sacrifier. Cela rappelle l'histoire de cet homme, prisonnier de rochers dans le Canyon Blue John et qui s'en libère en se coupant le bras avec un canif… Tuer sa famille sera douloureux, mais il doit le faire.
Il le fait donc. Avec une détermination sans faille. Pas de doute que le passage à l'acte aura été favorisé par le conditionnement qu'il subit depuis l'enfance. L'idée d'apocalypse entretenue par sa mère continue de l'habiter, même après 1995. L'apocalypse universelle sera juste remplacée par une apocalyse domestique… dont lui seul sortira vivant !
Sa dernière image connue devant le distributeur montre un visage de warrior, de vainqueur. A ce moment, Xavier n'est plus le raté social, un couillon de cocu. Il est un survivant de l'Apocalypse.
Il est l'Elu.
Commenter  J’apprécie          31
Jusqu'à la moitié du livre, le titre de ma critique aurait été « ou comment profiter habilement de la médiatisation d'une affaire pour se faire éditer à raconter son adolescence sans intérêt majeur… »
Dans cette première partie, Bruno de Stabenrath nous raconte, avec force détails, son adolescence dorée aux côtés de son ami Xavier.
C'est long. Je me suis dit que ce devait être une pénitence divine de mon voyeurisme que Violette de Ligonnes n'aurait pas désavouée.
Mais je dois reconnaître que la deuxième partie m'a tenue en haleine. Je ne connaissais rien de l'affaire, hormis que l'ami impossible était soupçonné d'avoir assassiné femme et enfants et avait disparu de la surface de la terre.
Ma curiosité malsaine a été satisfaite.
D'où les 2 étoiles et demi, soyons de bon compte
Commenter  J’apprécie          20
J'ai appris beaucoup de choses sur l'affaire et son effroyable meurtrier en lisant ce livre rédigé par le meilleur ami d'enfance de Xavier Dupont de Ligonnes. Je ne connaissais notamment pas cette histoire d'église Philadelphia dans laquelle sa mère l'a embrigadé dès sa plus tendre enfance…
Je note aussi que l'entourage proche d'Agnès, sa femme se méfiait de ce dernier depuis les débuts de leur histoire, qu'il jouait beaucoup avec elle, pour ne pas dire qu'il la manipulait carrément… Encore une fois : il faut faire confiance à son intuition ! Et protéger coûte que coûte les femmes que l'on aime, quitte à ce que nos réflexions leur déplaise, c'est une question de vie ou de mort ! et non, cela n'arrive pas qu'aux autres.
Seul bémol à ce récit : l'auteur parle beaucoup de lui, surtout au début du livre… pas tres utile à l'histoire et un peu gênant, ca me donnait l'impression qu'il profitait de la sombre popularité de son meilleur ami d'enfance pour faire lumière sur ses rêves, ses états-d'âmes…
Commenter  J’apprécie          20


Lecteurs (454) Voir plus



Quiz Voir plus

Les écrivains et le suicide

En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.

Virginia Woolf
Marguerite Duras
Sylvia Plath
Victoria Ocampo

8 questions
1721 lecteurs ont répondu
Thèmes : suicide , biographie , littératureCréer un quiz sur ce livre

{* *}