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Véritable déception… Je ne savais pas que je me plongeais dans un recueil de nouvelles, rien ne l'indique d'ailleurs sur le livre. de la couverture à sa quatrième je m'attendais à un petit livre centré autour de l'histoire de cette mère et de sa fille, soumises aux évènements paranormaux liés à une petite fille… Quelle fut ma surprise en découvrant de multiples nouvelles, et quelques pages à peine dédiées à cette histoire en particulier ! Elle mériterait sincèrement un livre entier, comme une autre nouvelle de ce recueil. Tout est fouillis, rapide, un peu brouillon dans ces nouvelles qui s'enchaînent en n'ayant qu'un seul point commun : l'eau, et ses dangers. Malheureusement je ne conserve quasiment rien de positif dans ma lecture, la majorité des nouvelles étant banales. Je ne comprends d'ailleurs pas pourquoi le prologue, la dernière nouvelle et l'épilogue sont liés alors que les autres nouvelles n'ont rien à voir avec ces trois passages. de ce fait les autres nouvelles semblent n'exister que pour apporter des pages à l'ouvrage, faire grandir un peu maladroitement ce thème de l'eau sombre, malveillante. En bref je continuerais de chérir l'adaptation japonaise de la première nouvelle, Dark Water, qui mérite ses prix et figure dans les meilleurs films d'horreur que j'ai eu la chance de voir, mais j'oublierais rapidement ce recueil.
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Un livre assez typique d'horreur japonais, tournant autour des fantômes en particulier. A lire pour ceux qui aiment les atmosphères étranges, l'horreur diffuse, la peur sournoise. Mais assez vite oublié ensuite.
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Retour mitigé sur ce recueil de nouvelles d'un auteur que j'ai découvert après avoir vu le film adapté du premier récit. Cette nouvelle, brillamment adaptée, m'a marquée et je ne pouvais passer à côté de la "version" initiale.
Le seul bémol, c'est que je n'ai vraiment accroché qu'à celle-ci... et encore, j'ai nettement préféré le film, qui a su transmettre l'ambiance angoissante et pesante que j'aurais aimé trouver dans le livre. Donc, première déception.
Quant à la suite, les autres récits sont très courts, l'auteur survole et suggère vaguement, on n'a pas le temps de s'imprégner de l'histoire et encore moins de s'immerger.
Je lis très peu d'auteurs asiatiques, je ne saurais donc m'ériger en spécialiste. C'est peut-être une question de culture, tout en pudeur et en retenue, qui m'a laissé cette impression de superficialité, de manque de tripes. Et puis je n'aime pas trop les histoires aux fins ouvertes, en général. Ça me donne une sensation d'inachevé désagréable, à plus forte raison quand je trouve le récit un peu bâclé.
J'aimerais redonner sa chance à l'auteur parce que j'ai pu me fourvoyer dans mon choix de lecture et la plume n'est pas désagréable, mais je ne m'attends pas à un miracle.
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Ayant adoré "the ring" du même auteur j'étais curieuse de me plonger dans cette lecture, surtout que je gardais un bon souvenir du film dark water. Mais quelle ne fût pas ma déception quand je me suis rendue compte que ce n'étais pas un roman mais un recueil de nouvelles ayant pour thème l'eau. La première étant du coup celle utilisée pour broder le scénario du film..

Cette première réaction passée je dois reconnaître que c'est un bon recueil et que j'ai vraiment pris plaisir à lire ces petites histoires ayant chacune leur charme et leur dose de frissonade ! Bon je regrette quand même un roman complet de dark water mais ça va je pardonne !
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En entrant chez Pocket, Kōji Suzuki a perdu le macron sur son prénom. Mais bon, un macron en moins, celui-ci ou un autre, ça ne va manquer à personne.
Dark Water (le livre) est un recueil qui s'ouvre sur Dark Water (le texte) et se poursuit avec six autres nouvelles. Si on s'attend, en ouvrant ce bouquin, à lire le roman Dark Water qui a été adapté au cinéma sous le même titre, faut pas s'étonner de ne pas y trouver son compte et d'être déçu, vu que ce roman n'existe pas. La version ciné de Nakata (2002) a été pas mal rallongée sur la base d'un récit d'une quarantaine de pages.
Ces nouvelles ont toutes pour point commun non pas les sombres toilettes – ça, c'est Toire no Hanako-san – mais l'eau. Angoisse feutrée, terreur tranquille, sans monstres qui bondissent de sous le lit ou du placard, l'idée maîtresse de Suzuki n'est pas de montrer l'horreur ni de se lancer dans une débauche de surnaturel mais d'explorer l'humain à travers les personnages (caractère, émotions, réactions) et les situations auxquelles ils sont confrontés (enfermement, conflits familiaux, violences domestiques, solitude, déclin urbain). Ça change des hordes de démons furibards se livrant aux fantaisies outrancières les plus gore à base de démembrement, giclées sanglantes et vide narratif abyssal. Ici, on donne dans l'horreur psychologique, le récit à ambiance, avec ce rythme asiatique lancinant.
Lien : https://unkapart.fr/terreur-..
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Sans mentir, j'ai lu la nouvelle parce que j'avais vu le film. Et honnêtement, je trouve le film beaucoup plus effrayant et censé que la nouvelle. Je ne dis pas qu'il y a un problème d'écriture, Koji Suzuki est un grand auteur dont j'apprécie énormément les romans. Mais, du point de vue du contenu, je trouve la nouvelle vide. Sur une quarantaine de pages, il ne se passe pas ou peu de choses. On ne retrouve pas cette angoisse présente dans le film ou même dans The Ring par exemple. J'avais espéré mieux.
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C'est par pur hasard que j'ai fait l'acquisition de ce recueil de nouvelles. Je m'attendais a frissoner tout du long, a être vraiment effrayée, puisqu'après tout le film eponyme est très prisé par les fans de l'épouvante. Koji Suzuki est d'ailleurs également l'auteur de The Ring, et l'adaptation cinématographique est un must pour tous les adolescents qui souhaitent découvrir le genre. Mais en fait ce recueil de nouvelles qui tient son nom de la première nouvelle, est un thriller surprenant et haletant, que j'ai beaucoup aimé. Cela me donne envie de découvrir les autres productions de l'auteur.
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Bien sûr, dans la littérature japonaise, il y a les incontournables : Yukio Mishima, Yasunari Kawamata et Haruki Murakami. Mais, à leurs côtés, il existe également tant d'écrivains dont le nom nous reste inconnu. Prenons Köji Suzuki. Dans sa patrie, il est considéré comme un grand auteur de romans et de nouvelles, entre fantastique et science-fiction. Pour ma part, j'avoue l'avoir découvert grâce à notre libraire. de plus, le Japon est un pays déroutant pour un Européen. La couleur du deuil est le blanc. On acquiesce de haut en bas avec la tête pour dire « non ».Les relations humaines sont dominées par un jeu de domination. L'eau est le séjour des fantômes. Sans parler de cette étrange symbiose entre les traditions ancestrales et la modernité dont la technologie n'est que la partie émergée.
Dans les nouvelles de ce recueil, il y a toujours un élément relevant du surnaturel, des esprits des morts, des fantômes, des êtres sauvages. « Dark Water », la première nouvelle, n'est pas réellement effrayante comme un occidental pourrait le concevoir. Ce sont de petits éléments, de petits événements signifiants, qui, mis bout à bout, conduise le lecteur, bien avant l'héroïne, de comprendre pourquoi l'eau est un élément néfaste. En 2002, Hideo Nakata en a tiré un film oppressant que je n'ai pas vu. Et, dans la foulée, en 2004, il y eut un remake américain par Walter Salles. Ce film est très souvent considéré par les amateurs du genre, comme étant très en-dessous de l'original. Je n'ai pas vu ce film non plus. Si bien que je peux dire que ma lecture n'a pas été influencée par les images d'un réalisateur ou l'autre. La tension narrative (et ceci est valable pour la plupart de ces nouvelles) est obtenue par des détails récurrents (le sac Kitty), des machines indépendantes (l'ascenseur), un élément obsessionnel (l'eau), un événement inexplicable, la violence, la mort.
Comme toujours, la qualité de ces histoires est inégale, si bien que je ne peux les conseiller qu'aux personnes ne connaissant que très peu d'aspects de ce pays fascinant !
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Contrairement à ce que l'adaptation en film laissait entendre, ce roman n'est pas uniquement consacré à l'histoire intitulée Dark Water!

J'ai voulu lire ce roman après avoir vu le film portant le même nom, et il s'avère finalement que le film est une adaptation "version longue et améliorée" d'une des nouvelles de ce recueil éponyme.
Tout l'attirance japonaise pour les fantômes et autres mystères paranormaux est concentrée dans ce recueil de nouvelles très réussies et assez effrayantes pour certaines, mais toujours intrigantes, avec l'eau pour élément centrale, qui semble souvent dormir mais recèle souvent des créatures effrayantes...

Malheureusement ce livre est épuisé, mais vous pouvez toujours le trouver d'occasion comme ça a été mon cas!
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Contrairement à ce que l'adaptation en film laissait entendre, ce roman n'est pas uniquement consacré à l'histoire intitulée Dark Water!
J'ai voulu lire ce roman après avoir vu le film portant le même nom, et il s'avère finalement que le film est une adaptation "version longue et améliorée" d'une des nouvelles de ce recueil éponyme.
Tout l'attirance japonaise pour les fantômes et autres mystères paranormaux est concentrée dans ce recueil de nouvelles très réussies et assez effrayantes pour certaines, mais toujours intrigantes.
Malheureusement ce livre est épuisé, mais vous pouvez toujours le trouver d'occasion comme ça a été mon cas!
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