Après "quartier lointain", "
le journal de mon père", les années douces", ... j'ai pris l'habitude d'être "attiré" par les mangas de Tanigushi.
Je me suis peut-être un peu précipité, croyant suivre la naissance de la première carte d'Edo (ancien Tokyo) aux côtés d'un personnage principal cartographe et géomètre.
Et bien non, il s'agit d'un ouvrage décryptant les paysages japonais, ses traditions (difficile à appréhender par un occidenta via la littératurel à mon sens) et autres charmes imperceptible par papier (les senteurs, le chant des oiseaux ou le vol des lucioles).
Jiro Taniguchi est, pour moi, beaucoup efficace lorsqu'il parsème l'histoire haletante d'un personnage par ces descriptions de "décors".
L'inverse est beaucoup moins réussi.