Le Coupeur de roseaux

Ce petit roman ressemble à un conte cruel, un conte en creux. En effet, si on ne rencontre pas le merveilleux, on côtoie un homme qui se met à raconter la vie de son père à un parfait inconnu, ainsi qu'une histoire d'amour perverse et destructrice.

Une grande partie du roman s'attache à décrire le paysage dans lequel évolue le narrateur. C'est très poétique, c'est agréable, on s'y croirait... mais c'est beaucoup trop lent.
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Une lecture laborieuse, des descriptions de paysages accompagnées de citations d'ancien textes, de poèmes qui me laissent insensibles. L'auteur passe un temps infini à évoquer les noms de lieux qui ne nous évoquent rien en tant que non Japonais sans apporter de détails qui pourraient nous aider à les imaginer. Bien que ce livre soit très court je n'ai pas eu le courage de franchir 50pages...