Les chroniques de St Mary, tome 5 : Hier ou jamais

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Suite aux évènements du tome 4, nous retrouvons les équipes de St Mary prêtes à reprendre du service. Leur plus gros problème: le manque d'argent. Et un fantôme, n'oublions pas le fantôme. Pour remédier à tout ça, quoi de mieux que des voyages temporels et une journée portes ouvertes?

Le roman débute quelques temps après la fin du tome 4, alors que le personnel de St Mary essaie de laisser derrière lui les douloureuses mésaventures qui ont failli causer leur fin. Mais comme toujours avec cette équipe de bras cassés, de nouvelles tuiles ne vont pas tarder à leur tomber sur la tête.

Ce tome est bâti sur le modèle des précédents et c'est un peu ce que je lui reproche: on sait à peu près comment les choses vont tourner et se résoudre, la seule chose qu'on ignore, c'est qui va y passer cette fois. Les voyages dans le temps abordent des époques intéressantes et on apprend quelques petites choses à leur sujet, mais globalement, ils servent surtout à mettre les personnages en danger. Vu que lesdits personnages n'apprennent pas de leurs erreurs ET considèrent les zones de guerre comme des destinations de vacances.

C'est toujours aussi distrayant, facile à lire et il y a beaucoup d'action. On passe un bon moment, il y a de l'humour et des idées assez originales (surtout s'agissant de mener les historiens à la catastrophe), même si rien n'atteindra le niveau des dodos du tome 2 question n'importe nawak ^^

Dans l'ensemble, c'était une bonne lecture, mais je regrette que l'autrice se contente de toujours appliquer la même recette au lieu d'être plus ambitieuse avec son concept. Je serai là pour le tome 6 à paraître en octobre, mais je n'ai plus les mêmes attentes qu'au début.
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C'est le tome de la série que j'ai le plus apprécié jusqu'à présent. Il y a une tentative décente de lier les épisodes entre eux, peu de nouveaux personnages, pas trop de morts... et même quelques blagues potables. J'apprécie aussi de retourner aux prémices du premier tome : on revient globalement sur de la SF sans fantasy.
On a pas mal de missions dans ce tome, sans compter les évènements contemporains qui se déroulent à St Mary. Cela fait beaucoup et donc ça va extrêmement vite. Trop vite ?
Pour ce qui est des points négatifs... le côté émotionnel est toujours très inconstant et on a toujours l'impression de lire un recueil de nouvelles plutôt qu'un livre. On retrouve également le problème de la tension dramatique qui est plus forte au milieu du roman, ce qui fait paraître la fin très terne. La fin d'ailleurs fait plutôt penser à une fin de série plutôt qu'une fin de tome intermédiaire. On a bien Clive Ronan qui traine encore pour créer des ennuis mais on a un beau "et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants" très final

Cinquième mois, cinquième tome et toujours le même plaisir de retrouver les personnages de Jodi Taylor, dans leur visites au travers des siècles.

Un tome un plus plus calme que le précédent, mais non sans accrochages avec les deux héros maléfiques ...

Un tome qui nous a quand même entraînés dans le sillage de Max et de ses acolytes pour une journée au Crystal Palace, en pleine Angleterre victorienne, dans une très mauvaise idée de voyage aux premières heures du Grand Incendie de Londres et cerise sur le gâteau, au coeur de la bataille des Thermopyles ! 

Un roman bourré d'humour, aux personnages extrêmement attachants à l'écriture vive qui est totalement adaptée aux aventures loufoques (mais très bien documentées) des personnages. 

Une série dont je vais bien évidemment poursuivre ma lecture, ... au moins jusqu'au tome 9, le dernier paru en français, vu d'aujourd'hui ! 

A suivre donc ! 
Lien : http://les-lectures-de-bill-..

Ce tome est pour l'instant celui que j'ai le plus apprécié des chroniques de St Mary.
On y retrouve cette fois tous les personnages, même les personnages secondaires sont un peu plus développés.
L'histoire avec la journée portes ouvertes de l'institut se passe surtout au présent mais il y a quand même quelque saut dans le temps. le fil rouge avec Clive Ronan et Isabella Barclay est bien présent dans ce tome, j'ai enfin eu l'impression d'avancer dans l'intrigue.

J'avoue que ce nouvel opus m'a un peu déçue. L'intrigue est un peu toujours la même. Je crois que le vrai intérêt de cette saga c'est l'ambiance, le joyeux bazar de St Mary et les personnages attachants et loufoques. Sinon, la trame littéraire est toujours la même. Je ne sais pas encore si je lirai la suite, on verra dans quelques mois.

Dans le feu de l'action

Après l'éprouvant tome 4 (Une trace dans le temps), retour à la routine pour St Mary. Routine ? Précisez SVP ! Et bien des petites missions bien tranquilles comme se rendre à l'exposition universelle de Londres en 1851 pour y admirer le Crystal Palace (et y retrouver un certain Clive Ronan), ou encore visiter le St Mary de 1643 histoire de remettre quelques fantômes à leurs places ! Il faut aussi que St Mary, qui dépend financièrement de l'université de Thirst, puisse redorer son blason afin d'obtenir des fonds supplémentaires. Pour y parvenir, quoi de mieux que la découverte inopinée d'un trésor sur place ? Evidemment, cela suppose de récupérer le dit trésor dans le passé, en l'occurrence lors du grand incendie de Londres en 1663, l'enterrer proprement près de St Mary et quatre siècles plus tard, laisser les pontes de l'université le découvrir ! Evidemment cela suppose de sortir vivant de cet incendie gigantesque qui a ravagé une bonne partie de la capitale anglaise et notamment la cathédrale St Paul… Pour s'attirer les bonnes grâces de l'université, St Mary organise aussi une journée portes ouvertes qui, comme vous pouvez l'imaginer va se terminer en catastrophe. Mais loin de se décourager, les historiens menés par une Max toujours aussi opiniâtre iront aussi à Florence en 1497 pour tenter de sauver quelques tableaux de Botticelli destinés au Bûcher des Vanités…
Dans ce tome on retrouve tout ce qui fait de ces romans mi science fiction, mi fantastiques, une saga terriblement addictive !
On a bien sûr grand plaisir à suivre le docteur Maxwell dans ses multiples aventures à travers les époques et aussi dans sa vie privée, les historiens qui l'accompagnent, et tous les membres de l'institut qui concourent au succès (ou à l'échec) des missions. Un air romanesque saupoudré d'une bonne dose d'humour (british, of course !) souffle sur cette série mais ce n'est ni au détriment de l'action, ni à celui de l'Histoire car oui, on en apprend pas mal en lisant ces livres (tiens, moi j'avais complètement oublié cette fameuse batailles des Thermopyles !).
A suivre donc, avec intérêt et passion !

Revoilà miss Catastrophe aussi appelé Max par ses collègues. Vous vous doutez bien que ce tome réserve son lot d'imprévus, d'accidents et autres.
C'est toujours autant rafraîchissant même si il y a des moments graves et très émouvants.
le final est explosif et bourré d'humour. Peut être le meilleur tome avec le 1er.

Voilà une sortie que j'attendais avec impatience ! Je n'ai jamais été déçue de cette série, même si j'ai par moment râlé à certaines facilités scénaristiques. J'adore cette tête à claques de Max, son franc parler comme ses maladresses, et sa capacité à se relever des nombreuses embûches qui croisent son chemin. le chemin de toute l'équipe d'historiens de St Mary d'ailleurs, car ils ont la fâcheuse habitude de chercher les ennuis à la lampe torche^^
L'institut se relève doucement de ses mésaventures avec la Police du Temps, mais aussi de la bataille qui a eu lieu en ses murs. Des travaux sont en cours pour rendre au bâtiment sa superbe, ce qui coûte de l'argent, beaucoup d'argent, et qui une fois de plus créé des tensions avec l'Université de Thirsk dont St Mary dépend. Il faut monter au plus vite une mission de sauvetage qui pourra redresser les finances…
Ce cinquième tome s'ouvre, comme les précédents, sur le fameux Dramatis Bidulae (version du Dramatis Personae du théâtre à usage exclusif de St Mary), qui permet au lecteur de retrouver les différents protagonistes et leurs rôles au sein de l'Institut (ou pas). Ces quelques pages sont essentielles, car même si on finit par connaître les différents personnages, elles permettent de replonger directement dans la série laissée quelques mois plus tôt, et de profiter au mieux de la nouvelle intrigue dès les premières pages, sans avoir à se creuser la tête pour resituer chacun.
Je pense que ce tome est jusqu'à maintenant mon préféré. Bien que les passages de voyage dans le temps soient toujours trop courts à mon goût (je ne m'en lasse pas), la remise à flot de l'institut, et particulièrement la journée portes ouvertes ont été particulièrement réjouissantes. Oups, je n'aurais pas dû parler de voyage dans le temps : « La dernière personne à s'y être risquée s'est pris une raclée avant d'être gentiment incitée à dévaler plusieurs volées de marches. » Max a beau prendre doucement de l'âge, elle ne s'assagit pas pour autant, même si elle prend son rôle de directrice des opérations très au sérieux. Je dis prends doucement de l'âge, mais j'ai toujours du mal à comprendre le ratio temps présent / temps passé dans le passé via les capsules… Cela ne me pose plus de problèmes, le plaisir de suivre les aventures de Max ayant pris le dessus sur la recherche absolue de la logique ! Car c'est ce que j'aime le plus dans cette série, le folie du quotidien, et il est presque logique de se trouver en décalage avec la réalité à certains moments.
Je le dis et le redis dans chaque chronique je pense, mais j'adhère complètement à l'humour de Max et ses comparses. Et aussi à l'humour de Jodi Taylor, très britannique, et à l'absurdité des situations dans lesquelles les historiens arrivent à se mettre. « Croyez-le ou non, il y avait des règles. Tout le monde a besoin de règles. Après tout, comment peut-on enfreindre ce qui n'existe pas ? Les règles donnent un objectif à l'anarchie. » Voilà qui résume bien la ligne de conduite des historiens, au grand désespoir des équipes qui les entourent à St Mary.
J'apprécie aussi la traduction de Cindy Colin Kapen, qui retranscrit très bien l'humour de l'autrice, et le caractère pour le moins fantasque de Max. le roman se lit tout seul, et on n'a pas l'impression de lire une traduction, ce qui n'est pas évident quand la version originale est bourrée d'un humour très marqué culturellement.
Hier ou jamais est sans doute le meilleur tome de la série jusqu'à maintenant, on s'attache de plus en plus aux personnages, et il est difficile d'en voir disparaître certains, car les missions de St Mary ne sont pas sans danger. J'ai trouvé l'histoire plus équilibrée entre les missions dans le passé et la vie à l'institut. La direction prise par l'intrigue à la fin du tome ouvre sur de nombreuses perspectives quant à l'évolution personnelle des différents protagonistes, Max et Léon en tête. Sans compter qu'il reste tant de périodes de l'Histoire à découvrir… le sixième tome arrivera d'ici la fin de l'année, et il reste encore de belles aventures à découvrir, étant donné que Jodi Taylor continue sa série, qui en est au onzième tome il me semble. J'espère simplement que l'intrigue rebondira suffisament d'un tome à l'autre pour ne pas me lasser. Pour le moment, pas de risque !!!
J'ai reçu la version papier de ce livre dans le cadre d'un partenariat avec les éditions Hervé Chopin. Merci Agnès pour la confiance.
Lien : https://leslecturesdesophieb..

Quand j'ouvre un nouveau tome des Chroniques de Sainte-Mary, je ne sais jamais à quoi m'attendre. Après tout, qu'est-ce qui pourrait mal tourner ? Avec les historiens, absolument tout et surtout n'importe quoi.
Que ce soit pendant l'exposition universelle de 1851, lors d'une visite à la famille détentrice du manoir à l'époque de Cromwell, lors du grand incendie de Londres, à Florence lors du bûcher des vanités ou lors de la célèbre bataille des Thermopyles, on visite l'histoire dans tous les sens, d'une façon certes loufoque mais documentée, on suit Max, Léon et les autres en palpitant au rythme de leurs aventures effrénées.
Lorsque Ronan surgit au détour d'une page, je me ronge les ongles. Et lorsque c'est Izy la Harpie, je frémis d'horreur tant son sadisme est impressionnant.
Ce qui est terrible quand on est rendu au tome 5, c'est qu'on sait que la mort d'un protagoniste n'est pas une fin inéluctable, puisqu'il peut ressurgir dans le futur, venant directement de son passé, à moins qu'il appartienne au présent... (Je ne suis pas sûre d'être claire sur ce coup là...).
J'ai beaucoup de mal à lâcher cette saga.

Cette saga devient de mieux en mieux ! J'ai adoré le tournant amorcé avec le 4e tome, ainsi que les changements dans ce tome là. Les époques historiques visitées sont passionnantes, tout comme les intrigues de fond. L'histoire se complexifie, sans perdre son atmosphère loufoque et son humour cynique. Hâte de savoir ce que la suite me réserve !