Original et impressionnant de maîtrise !
C'est du moins l'avis de 2 de mes proches (cf. site d'Edilivre). Je sais qu'il ne faudrait pas se noter soi-même mais si je ne mettais rien, vous auriez crû qu'il s'agirait d'un zéro pointé. Et puis, il faut bien que ce soit moi qui en parle car autrement, vous ne sauriez même pas que ce livre existe (et oui, je n'ai pas assez d'argent pour me payer un service com et mon éditeur n'en fait pas). Alors voilà, je mettrai 3.5 mais avec Babelio, c'est pas possible. Ce livre, c'est donc moi qui l'aie écrit et qui est mon premier publié. Pour faire simple, je ne vous dévoilerai pas l'histoire, seulement son point fort à mon avis : l'ambiance. Celle-ci est sombre et étrange sans relever pour autant du thriller car il ne s'agit pas ici de meurtre ou de viol. Non, là, l'enjeu est d'un autre ordre et relève d'une morale plus psychologique. Entre rêve et réalité, dans la confusion de l'esprit, des personnages se trouvent au prise avec une réalité qui les dépasse. Lieu improbable, perte du temps qui passe, sensations bizarres, mais que se passe-t-il donc ? C'est une plongée au coeur de l'étrange, dans l'angoisse et l'incertitude, que j'ai choisi de vous livrer et qui créer cette atmosphère si particulière. J'y ajoute aussi une touche d'humour à travers des scènes quasi-délirantes. Pourtant le sujet de fond est assez classique car il s'inscrit dans la spiritualité chrétienne, mais c'est plutôt le traitement qui en est fait, l'intervention d'éléments insolites, qui apporte de la nouveauté. D'autant, qu'à mes yeux, je ne connais pas d'autres pièces de théâtre qui aient traité ce thème même si elle se rapproche de L'Enfer de J.P Sartres.
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Surprenant, créatif et suspens maintenu ! Une pièce qui déroute. Très agréable à lire et le souci des détails qui n'est pas pesant du tout permet au lecteur de visualiser chaque scène.
Les trois actes sont très bien séquencés et lus d'une traite.
Je ne regrette pas ma lecture écrite par une "babeliotte" que je félicite. Merci Keria31 pour ce bon moment.
Je me permets de relever deux fautes :
- Page 7 : Anne "Vous n'allez quand même pas paniqué" (paniquer)
- Page 13 : Anne "Et bien moi je vous dis que l'on a beau avancé (avanccer), il fait toujours aussi noir".
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