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4,07

sur 3917 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Petit Thilliez deviendra grand! Petit Sharko (son personnage principal) deviendra grand requin!
Eh oui, c'est le tout premier roman du jeune Franck, à peine trente ans, qui biberonne déjà à l'horreur des tueurs en séries et au raffinnement des supplices Sado-Maso!

D'emblée, on prend ce Train d'enfer pour Ange Rouge et d'entrée, on se demande si on aurait pas mieux fait de le rater!!
Le commissaire Franck Sharko nous amène sur les lieux d'un crime avec au menu : Décapitation, énucléation, mutilations en tous genre avec pour plat principal, une jeune femme (du moins, on le devine d'après les restes) accrochée de manière artistique selon les préceptes raffinés du bondage, et gentiment maintenue en l'air. Cerise sur le gâteau, le tout a été filmé.
Franck Thilliez fait ses armes déjà avec du lourd!!
Bien sûr, il sera question de tueurs en série, d'une enquête longue avec une série de cadavres joliment présentés à chaque fois et d'un enquêteur au supplice lui aussi car sa femme aimée a disparu depuis 6 mois! Y a-t-il un lien avec les crimes odieux auxquels le commissaire Shark va être confronté?
Vous le saurez en vous pécipitant sur ce récit qui amusera les fans (dont je fais partie) de l'auteur.

Il faut dire que Franck Thilliez a, dès son premier livre, l'art et la manière pour bien présenter son récit : Il a déjà son style bien à lui, très descriptif et même si l'on pourrait reprocher au jeune débutant quelques lourdeurs, on est vite accroché à ce sacré thriller, genre dans lequel il va exceller pour notre plus grand plaisir!

Le Train d'enfer pour Ange Rouge s'apprête à rentrer dans vos bibliothèques, vous pouvez embarquer si vous aimez vous faire peur!
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Le commissaire Franck Sharko est dépêché vite fait sur les lieux d'un crime, non loin de Paris. La victime, du moins ce qu'il en reste, a été découverte par un voisin qui s'étonnait de voir la porte d'entrée ouverte. La scène de crime dépasse tous les entendements, la femme a été mutilée, torturée, décapitée, ses yeux extraits de leurs orbites et son corps minutieusement accroché à plusieurs cordes qui la maintiennent suspendue en l'air.Le légiste découvre dans son estomac des résidus de poudre de granit. Aussitôt, Sharko part en Bretagne, vers les carrières. Là-bas, aussi, on lui apprend qu'une jeune femme employée dans l'entreprise est décédée il y a peu de temps. Accident ou meurtre ? Apparemment, ce n'était pas le souci des flics du coin de découvrir les circonstances véritables de sa mort. Il apprend de source sûre que cette dernière était très branchée sadomasochisme. de retour à la capitale, d'autres meurtres se succèdent, la police est sur le qui-vive et c'est avec l'aide de ses collègues et d'une profileuse que Sharko va devoir affronter un monde mal connu et peu fréquentable qu'est celui du sadomasochisme et du bondage. Déjà très tourmenté par la disparition de sa femme il y a 6 mois, ce cher commissaire n'est pas au bout de ses surprises et ne se doute pas un seul instant de ce qui l'attend au bout de ce long tunnel de l'âme humaine...

Waouh ! Frank Thilliez ne fait ni dans la dentelle ni dans la demi-mesure ! L'auteur nous plonge dans les méandres de l'âme humaine, dans tout ce qu'elle a de plus profond, de plus mauvais et qui peut sembler inimaginable. De la Bretagne à Paris, l'on suit l'enquête de Sharko passionnément, fougueusement, haletant tout comme lui au fil des pages. C'est dans un climat des plus austères et macabres, dans les milieux du sadomasochisme, de la violence, de la torture et du voyeurisme que nous évoluons. Sans nous ménager une seule seconde, avec des descriptions très détaillées aussi bien des cadavres ou des autopsies que du paysage environnant, Thilliez nous plonge dans un monde glauque, oppressant et terrifiant. D'une écriture adroite, prenante et descriptive, ce polar palpitant de bout en bout tient toutes ses promesses.

Train d'enfer pour Ange rouge... bienvenue à bord !
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1er roman et 1ère réussite de Franck Thilliez.
Comme toute première oeuvre, celle-ci n'est pas exempte de défauts de jeunesse inhérents à l'exercice. Notamment dans le style car la construction de l'intrigue est parfaite mais nous y reviendrons.

Le style, donc, est dense, les phrases sont lourdes et ampoulées, l'envie de trop bien faire probablement. L'impétuosité de parfaire des phrases qui auraient gagné en grâce si elles avaient été rédigées avec plus de légèreté.
Le deuxième défaut est de vouloir étaler ses connaissances anatomiques et judiciaires pour se donner une crédibilité et une assise réaliste à son bouquin. Un côté scolaire qui aurait pu s'avérer ennuyeux.

Mais heureusement, il n'en est rien. Une fois plantés le décor et les enjeux, Franck Thilliez nous embarque pour l'enfer. Notre Charon c'est lui et le prix du bouquin est la pièce placée dans la bouche des morts pour visiter tous ses cercles. Et quel voyage aux méandres du mal !
Les descriptions poussent loin dans le gore, dans le détail bien glauque. Accrochez vos coeurs et clouez vos âmes, de peur qu'elles ne se détachent.

Ici, le tueur est diaboliquement malin et entend bien montrer qu'il est imprévisible, sadique, minutieux et omnipotent.

Du côté des forces de l'ordre, Franck Thilliez nous introduit auprès du commissaire Sharko qui deviendra l'un des personnages récurrents des bouquins qui suivront. Et qui s'appelle Franck aussi. Troublant. Car il prend cher le Sharko, Thilliez ne le ménage pas.
Sharko est suffisamment humain et crédible pour que tout à chacun puisse s'identifier et se plonger dans ses souffrances, ses doutes et ses failles.
La construction est machiavélique. Pièce par pièce, Thilliez tisse un canevas aux fils acérés dont les mailles étranglent le lecteur de leur noirceur. Qui arrivera à la fin du bouquin exsangue, à bout de souffle mais terriblement content. C'est bête un lecteur. 3,5/5
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Waouh !
encore une critique (il y en a déjà 248?) mais Waouh quand même!
Le commissaire Sharko est appelé sur une scène de crime particulièrement sophistiquée : une femme mutilée, torturée, attachée grâce à un système de cordes compliqué, (comme ces lustres gigantesques avec des ampoules multiples, dignes de Versailles, et décapitée. le tueur lui a extrait les yeux des orbites et posé à l'envers comme si elle contemplait le chef-d'oeuvre de son tortionnaire.

Chose étrange : le légiste a découvert des traces de poudre de granit, qui oriente notre commissaire vers la Bretagne où une autre jeune fille a disparu.

Franck Sharko part à la chasse sur les traces d'un tueur en série, accompagnée d'une jeune profileuse qui l'aide à décrypter le mode de pensée, de fonctionnement du tueur en question.

Franck Thilliez nous entraîne ainsi dans le milieu sadomasochiste, les pratiques, le côté sombre surtout, alors que Sharko baigne lui-même dans les ténèbres car sa femme a disparu depuis six mois et qu'il n'a toujours trouvé aucun indice, même s'il persiste à la croire vivante pour ne pas s'écrouler.

Ce roman tient en haleine de début à la fin, ne nous épargne rien dans la violence qu'ont subie les victimes, on sent presque dans son propre corps, certaines tortures !

C'est une amie qui me l'a donné et comme je voulais en savoir plus sur les débuts de Sharko que j'aime bien, j'ai souffert mais le rythme haletant de l'auteur m'a emportée comme d'habitude.

Si j'avais commencé à lire les polars de Franck Thilliez, je n'aurais peut-être pas continué. Heureusement j'ai commencé avec « Puzzle » que j'ai adoré, et la trilogie « le syndrome E, Gattaca et Atomka » ce printemps qui m'a passionnée, alors je vais continuer à suivre le commissaire Sharko, (et d'autres policiers qui enquêtent dans les polars de l'auteur).

En refermant le livre, les scènes dures s'évanouissent de la mémoire, je n'ai gardé que l'enquête, et le rythme haletant… (peut-être le côté magique de l'anesthésie générale !)

La prochaine fois, ce sera « L'anneau de Moebius »…
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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Bouh quelle horreur ! Il faut être cinglée pour lire ce livre jusqu'au bout !
Je voulais remonter aux origines de Sharko, je n'ai pas été déçue du voyage.
Sa femme Suzanne a disparu depuis six mois. le commissaire survit difficilement. Un crime affreux, atroce, épouvantable (j'ai sauté des passages) est commis sur la jeune veuve d'un notaire...Le commissaire s'embarque sur cette affaire, un peu comme un mort vivant. Les crimes s'enchaînent, et plongent Sharko dans les eaux troubles d'un internet en pleine expansion (2002), les milieux SM, la pornographie en ligne. C'est épouvantable. On se prend à espérer que l'auteur exagère, puis on se souvient du prologue où il dit que, dans ses recherches préalables, la réalité dépasse la fiction...Horrible et terrifiant. Rien ne nous est épargné, pas même la vivisection (j'ai encore sauté plein de passages en agrippant mon chat, ma pauvre bête sans défense) Si Thilliez veut dénoncer la cruauté, il a parfaitement réussi.
Pourquoi lire cela ? Parce que, justement, c'est une dénonciation du mal, de la torture sous toutes ses formes, sur des êtres piégés, affaiblis, et que le texte, avec ses bouffées d'adrénaline, sensibilise, c'est sûr, voire rend complètement parano... Ensuite, c'est le premier Thilliez édité, et ça se voit. Intérêt littéraire : l'écriture est très différente, un peu empoulée, il ne trouve pas son style. Dans les autres romans, cela deviendra très vite une écriture plus blanche, mais toujours imparfaite. Il a du mal avec le style mais, bizarrement, c'est comme un très bel homme avec une coquetterie dans l'oeil. Ce n'est pas grave. C'est plutôt charmant. La narration est à la première personne, c'est Sharko qui parle, ce qui fait bizarre quand on a lu les autres romans, à la troisième personne. On a l'impression de mieux le connaître. Quant à l'intrigue coup d'essai, coup de maître. C'est déjà parfaitement maîtrisé. Fourni, touffu, mais jamais confus. Les pages se tournent toutes seules malgré l'effroi.
Cet auteur m'intéresse de plus en plus. Il y a un fil conducteur à ses romans, qui m'apparaît d'autant plus clairement que je les lis dans le désordre. Ses deux personnages principaux, Sharko et Lucie Hennebelle (ici absente) poursuivent une quête médiévale contre le mal. Elle leur bouffe la vie, et réclame des victimes. Mais ils ne s'arrêtent pas, ils ne peuvent pas, comme guidés par quelque chose de plus fort.
Il y a d'ailleurs dans ce roman une dimension qui ne réapparaitra plus par la suite, irrationnelle et mystique. Thilliez a par la suite complètement lâché ce créneau. Ou complètement camouflé dans les fléaux qui s'abattent sur ses purs chevaliers.
Bon, donc, à lire, mais parfois les yeux fermés.
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Franck Sharko est commissaire de Police. Il y a quelques mois, sa femme a disparu et l'enquête n'a rien donné. Aujourd'hui, il doit se remettre au travail et enquêter sur l'affaire du meurtre d'une jeune femme qui a été torturée chez elle. Cette enquête va l'emmener dans les méandres les plus sordides de la société et va mettre en conflit l'Homme et le Policier qui sont en lui.

Un thriller plutôt glauque car il met en avant un grand nombre de perversions de notre société actuelle. Mais cependant on se retrouve à tourner les pages, les unes après les autres, sans s'en rendre compte on avance avec Franck Sharko et on n'a pas envie de s'arrêter. Les personnages sont plutôt bien travaillés, ce qui donne un rendu assez réaliste, notamment pour le personnage principal dont on ressent les troubles, les douleurs et les conflits intérieurs comme s'ils avaient pu être les nôtres.

J'ai donc beaucoup aimé ce roman. Sans être un coup de coeur, il m'a permis de rentrer dans l'univers de Thilliez dont j'avais beaucoup entendu parlé mais dont je n'avais encore jamais fait l'expérience. Avec une lecture fluide, prenante, immergeante, je pense que l'on passe un bon moment et qu'à la fin de notre lecture, on n'a envie de lire d'autres roman de cet auteur.
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Thilliez a chargé son personnage qui deviendra récurrent après cette première apparition; Sharko arrive en retard sur les lieux du crime, prend des coups et des balles dans le corps et vit une affaire personnelle dont je ne vous dirai rien.

Ils nous emmènent en voyage et ça commence fort avec la mise en scène de l'assassinat de la première victime. L'auteur nous avait pourtant prévenu : «Avant que vous ne plongiez entre ses pages, que les crissements de ses feuilles vous apportent le frisson, je voudrais vous mettre en garde contre ceci : bien souvent, la réalité dépasse la fiction». Les descriptions des meurtres dans les bas fonds de l'horreur sont particulièrement retorses et comme si cela n'était pas suffisant, Sharko nous entraîne dans des «boîtes» de pratiques du sado masochisme que l'on croyait réservées aux adeptes du Darkweb. Chaque chapitre se termine par une pensée à Suzanne sa femme enlevée six mois plus tôt.

Daté de 2003, il a gardé son actualité noire; celle de la publication de stuff movies même si à cette époque seuls 272 étudiants sur 470 disposaient d'internet!

L'écriture est soignée (voir citation de la description de la côte de granit rose).

Chaque scène de ce thriller haletant est une ignominie un peu too much pour moi.
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Dans ce premier tome de la série à succès de Thilliez, le commissaire Sharko traverse un enfer émotionnel privé, depuis la disparition à caractère criminel de sa femme, il y a 6 mois.
Mais cette enfer va s'étendre au-delà de la vie intime quand il va être confronté à un tortionnaire et tueur de femmes particulièrement abject et retors.

Une intrigue fiévreuse, lancinante et complexe, amenant le lecteur, en compagnie des protagonistes aux personnalités bien définies, à vivre des horreurs innommables (lecteurs sensibles... etc.).
Dans un style plus travaillé (j'ai eu l'impression), que dans ses polars suivants, l'auteur alterne habilement les introspections éprouvantes de Sharko avec les développements rebondissants -et sanglants- de l'enquête.

Un thriller aussi passionné que passionnant pour "découvrir" la grande noirceur à laquelle l'âme humaine peut être rompue.
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Après avoir refermé Train d'enfer pour ange rouge la première chose que vous ferez sera de vous jeter sur quelque chose de beau, de gentil, de pur, de mignon, de tendre, des nounours à la guimauve, une tablette de crunch, un lait chaud… bref sur quelque chose qui vous empêchera de faire d'horribles cauchemars, parce que croyez-moi vous allez en avoir besoin !

Je m'explique : Franck Thilliez a su parfaitement orchestrer le macabre, le glauque, l'indicible, le tabou, l'insondable cruauté de l'être pour nous offrir un premier thriller qui m'a littéralement donné froid dans le dos. Ce livre est ma première rencontre avec l'auteur et c'est loin de m'avoir laissée indemne.

Sharko est un flic bourru dont la femme Suzanne a disparu depuis 6 mois. Traînant son mal-être et son angoisse, il est placé sur une affaire particulièrement macabre : une femme a été retrouvé torturée chez elle, avec pour clou du spectacle une mise en scène parfaitement orchestrée. La victime a été mise sens dessus dessous dans une position particulièrement contorsionnée qui rappelle les pratiques du sadomasochisme et du bondage. A partir de là, d'autres meurtres tout aussi ignobles se succèdent. Ajoutez à cela le tueur qui nargue Sharko et le reste de la Crim, une sorte d'ombre sans visage qui se prend pour un dieu tout puissant et vengeur, et vous aurez la trame de Train d'enfer pour ange rouge. Aidé d'une profileuse, Sharko va pénétrer dans le monde fermé et ambiguë du sadomasochisme et du bondage, découvrir tout un univers parallèle et souterrain régi par l'assouvissement d'instincts primaires où l'imagination avoisine avec l'absence de tabous, un monde sans limite où les valeurs morales n'ont plus vraiment cours.

Le thriller est gore, il met mal à l'aise, il dérange. Franck Thilliez nous décrit avec énormément de détails les scènes de meurtre ainsi que l'atmosphère qui règne, et je dis chapeau ! J'ai encore en mémoire la description de l'autopsie pratiquée sur la victime et croyez-moi mes tripes se sont retournées plusieurs fois ! Franck Thilliez arriverait presque à nous salir, à nous éclabousser avec cette atmosphère poisseuse et malsaine. Rien n'est épargné au lecteur. le personnage de Sharko est lui aussi bien esquissé. Bien qu'il reste un flic bourru aux méthodes légèrement musclées, je n'ai bizarrement pas eu l'impression (classique dans ce style de littérature) d'un personnage cliché. Je me suis sentie immédiatement proche de cet homme torturé par l'absence de son épouse et l'énigme de sa disparition qui le ronge.

Je comprends mieux le succès connu par Franck Thilliez, et pourquoi tout le monde dévore chacune de ses parutions. C'est indéniablement un très bon auteur de thriller et j'ai déjà entamé la suite de ses aventures à l'heure où j'écris cet article. Je pense qu'après une petite pause légère s'imposera néanmoins.
Lien : http://livreetcompagnie.over..
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Thilliez première.

Franck Sharko commissaire à la Crim est inquiet. Voilà six mois que sa femme a disparu. Toutefois, une affaire particulièrement inquiétante va accaparer toute son attention.

J'apprécie de lire de temps en temps un Thilliez. C'est l'un des rares auteurs dont j'aime lire les thrillers. Il se renouvelle globalement bien et je suis rarement déçue. de manière générale je trouve que les thrillers réutilisent pour la plupart les mêmes ficelles, et que de ce fait ils sont prévisibles.

Nous suivons Sharko, héros récurrent de Thilliez, dans ce premier épisode et premier roman. Notre héros n'est pas encore trop cabossé par la vie. Je l'ai trouvé attachant et humain. J'avais déjà lu le Syndrome E donc je savais dans les grandes lignes ce qui allait se passer. Toutefois cela ne m'a pas empêchée d'apprécier ce roman et d'être surprise par certains rebondissements.

Premier roman oblige, j'ai senti quelques maladresses dans l'écriture. de plus, j'ai remarqué une très forte influence des séries policières américaines. La narration à la première personne par Sharko m'a également surprise. le tout n'est cependant que peu gênant. Il y a clairement une volonté de bien faire, de faire passer un bon moment au lecteur.

L'auteur a également fait de nombreuses recherches sur le milieu de BDSM et cela se ressent à la lecture. Toutefois, je déconseille ce roman aux âmes sensibles car Thilliez ne cache rien et va même très loin dans la description de sévices divers et variés.

En bref, un sympathique premier roman pour un très bon romancier.
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