Ce recueil aurait pu s'intituler « J'aime la vie comme peu l'aiment », tel que l'écrit Stanislaw Tomkiewicz dans l'ouverture. Le choix et les séquences des 'Histoires à rêver debout' se sont imposés durant les deux dernières années de sa vie. Elles jouent entre réalité et fiction, alternant gravité des souvenirs de guerre et légèreté de la mise en scène des formes de pouvoir. Entre les deux, le rêve et l'amour où Stanislaw Tomkiewicz puise la force de son écriture.