Ce livre m'a fait découvrir "la guerre des gangs" dans les favelas au Vénézuela, et tout "ce qui peut grouiller" de violence,trafic en tout genre, prostitution et bien sur misère......la beauté physique est omniprésente et l'esthétique devient "un culte" entretenue par une pègre qui "s'engraisse" sur de pauvres filles à qui on fait miroiter "le paradis"...mais qui, au fil des jours devient leur enfer: tout "un buisness" de sexe.
L'auteur dresse un récit riche de renseignements, de détails historiques précis et le tout dans une écriture fluide qui sait transmettre ce climat lourd de "tant d'horreurs" .....à fuir.
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Jean Turcat présente son livre "Beigbeder m'a tuer" : comment en a t-il eu l'idée ? Comment écrit-il ? Et surtout, pourquoi ce titre ?