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4,18

sur 253 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Voici une nouveauté des éditions Pika et qui est vraiment un très bonne découverte. Ne vous fiez pas à la couverture, que j'ai trouvé à titre personnel un peu enfantine, car l'histoire qui nous ai raconté dans ce manga est loin d'être drôle.

Nous suivons Elin, dont la mère est une soigneuse de Tôda, des créatures qui ressemblent un peu à des gros crocodiles et serpents. (Le résumé dit que ce sont des dragons-serpents, mais je trouve qu'ils tirent plus des serpents que des dragons ^^) Mais voilà, Solon, la mère de Elin va commettre une « erreur » en soignant les Tôda, ce qui va la conduire à son exécution pure et simple !

Oui, ça ne rigole pas du tout dans le Royaume de Roza, car les Tôda sont des créatures sacrés dont seuls quelques initiés peuvent s'occuper. Solon va être jugée un peu hâtivement à mon gout, et l'on va très vite se rendre compte, que finalement, le village attendait le premier prétexte pour s'en débarrasser. Car il y a une autre intrigue sous-jacente, sous fond de racisme puisqu'il se trouve que Solon n'est pas originaire de Royaume de Roza, mais qu'elle vient du peuple des brumes, que l'on appelle Ahlyo.

Derrière ce titre fantastique se cache donc une vraie critique de la société, car l'on se rend rapidement compte que le Royaume de Roza est dans l'erreur. Il considère les étrangers comme dangereux, et se sert des Tôda, ce qui ne devrait pas être fait car comme le disent les anciens Ahlyo : « Ces bêtes ne seront jamais apprivoisées. Et en aucun cas, cela ne doit arriver. »

Et au milieu de tout cela, il y a la pauvre Elin qui ne sait rien de ses origines mystérieuses et qui ne comprends pas pourquoi sa mère est traitée de la sorte. La pauvre fillette de 10 ans va donc devoir très rapidement se débrouiller toute seule, et l'on devine qu'un long périple l'attend.

Graphiquement, le titre est vraiment sublime, notamment sur les décors et sur les créatures. Il y a un style doux et crayonné qui rends vraiment bien avec un trait fin qui n'en fait jamais trop. Pour l'instant, ce premier tome était très intéressant, mais il va falloir confirmer cela avec le tome 2, car ce qui est inscrit dans le résumé, représente 70% de ce premier tome. On a donc un longue introduction, qui pose bien les bases.

Le deuxième tome est prévu pour le mois de mars, et le manga est terminé au Japon en 11 tomes. Je pense qu'il y a donc moyen d'avoir une bonne série, bien développée, pas trop longue et avec un univers cohérent. Affaire à suivre !
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Ce manga me faisait très envie depuis sa sortie mais ce n'est que récemment que j'ai pu enfin me le procurer. J'en avais tellement entendu parler, notamment grâce à de très bons avis et le mien sera tout aussi positif! J'ai beaucoup aimé ce premier tome!

La petite Elin vit avec sa mère dans un village qui élève, garde et entraîne des Tôda, des espèces de dragons des eaux (qui peuvent se mouvoir sur terre également), utilisés pour faire les guerres du royaume. Sa mère est une soigneuse de Tôda, ce qui est une grande responsabilité... mais elle et sa fille ne sont pas bien vues dans le village de par l'ascendance de la mère d'Elin, faisant partie d'un peuple, les Ao-lo (nommé d'une autre façon péjorative), au plus proche de la nature et gardant jalousement ses secrets. La mère d'Elin n'aime pas ce qu'elle fait, ce que font les hommes à ces créatures. Et tout va basculer lorsque les Tôda les plus forts vont mourir mystérieusement. La mère d'Elin est accusée aussitôt et pour protéger son enfant, accomplira le tort ultime pour un Ao-lo ainsi qu'un grand sacrifice! Car si l'on apprend qu'on peut contrôler totalement les Tôda et en faire ce que bon nous semble, ce serait une catastrophe! le peuple des Ao-lo préfère donc disparaître pour que jamais leurs secrets ne soient révélés et ainsi garder l'équilibre de la Nature; quant à Elin, qui a un véritable don qui pourrait lui porter préjudice, c'est une toute nouvelle vie qui va commencer pour elle!

Je ne m'attendais pas du tout à ce que ce soit si mélancolique, si dur et triste dès le début! ça commence fort, le ton est donné! Je ne cache pas que j'ai été assez choquée par certaines choses que j'ai trouvé bien cruelles. Les événements survenus dans ce tome 1 vont profondément marquer la petite Elin tout au long de l'histoire sans aucun doute, la forger en quelque sorte. Elin est une petite héroïne qui va revenir de loin!

Je me suis déjà beaucoup attachée à Elin de par son histoire, son passé difficile et j'ai hâte de voir son évolution future. Quant à l'univers, il est déjà fascinant en l'espace d'un tome! On sent bien la mythologie japonaise, comme une espèce de conte avec même un côté écologique, ce qui est appréciable. On parle de dragons, de créatures, de nature et de lois de la nature à respecter!

Les dessins sont tellement jolis, plein de charme, sans fioritures. le dessinateur va à l'essentiel et j'ai apprécié les contrastes noir/blanc/gris qui étaient beaucoup plus prononcés que dans un manga "classique".

Je ne savais pas que ce manga était l'adaptation de romans et si j'en ai l'occasion, j'aimerais les lire pour en apprendre encore plus sur l'univers et les personnages!

En bref, je suis déjà sous le charme de ce manga! C'est une belle découverte et il me tarde vraiment de retrouver Elin et de voir ce qu'elle va devenir!
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Voici une série qui promet de jongler entre la douceur de l'enfance et la cruauté du monde. Dans ce tome d'introduction, nous découvrons la jeune Elin et sa mère Soyon, soigneuse en charge des Tôda, de rares créatures utilisées comme moyen de défense du royaume d'Arhan. Nous comprenons de suite que la petite et sa mère ne sont pas bien intégrées au sein de leur village malgré l'importance du rôle de Soyon. Elles ne ressemblent pas non plus aux autres femmes avec leur chevelure brune et leurs yeux verts ; bien qu'Elin semble plus acceptée que sa mère, on imagine aisément l'atmosphère de crainte mêlée de suspicion que l'ignorance et l'intolérance peuvent initier. Lors de leur dernière nuit ensemble, Soyon donna quelques clés à sa fille autour de leurs origines et de la relation qui les lie aux bêtes. En plus d'être méprisée au village, Soyon trahit son peuple en portant l'enfant d'un étranger et fut reniée.
Sur ces bases difficiles, le statut d'outsider de Soyon empire de façon dramatique lorsque les Tôda sont retrouvés morts, en apparence suite au manque de vigilance de leur soigneuse. Cet incident met le feu aux poudres et tout le mépris contenu depuis des années envers Soyon ressurgit : jugée pour sa fatale erreur, elle est condamnée à être dévorée (vivante) par des Tôda sauvages. Notre jeune héroïne, poussée par l'élan du désespoir, tente de sauver sa mère mais n'y parvient pas. Alors qu'elles se retrouvent encerclées par les Tôda affamés, Soyon décide de protéger sa fille et émet un sifflement étrange qui fige les bêtes et permet à Elin de s'échapper. C'est le coeur brisé que la fillette file à dos de Tôda, abandonnant sa mère à une mort cruelle et de lourds secrets derrière elles.
La fin de l'intrigue se concentre sur Elin et son sauveur, le doux apiculteur Johun du royaume Yojeh. L'adulte apparaît comme le nouveau "maître" dans la quête initiatique qui s'ouvre aux pieds de la jeune fille. Je vais passer vite sur ce point car à part la nature, nous n'apprenons pas grand chose. En revanche, nous avons un aperçu du peuple d'origine de Soyon dans les dernières pages, qui nous apprend que la jeune femme a commis un sacrilège en utilisant un pouvoir ancestral sur les Tôda face à des étrangers, alors que les nomades ont juré de ne jamais s'en servir. Cet acte conduit les anciens à lancer une recherche pour retrouver Elin ; s'agit-il d'une chasse à l'homme ? Nous le découvrirons bientôt !
Le style graphique est épuré mais efficace et on ressent bien l'amour des mangakas pour le matériau d'origine. En effet, ce titre est une adaptation en manga (11 tomes) d'un roman. Je n'apprécie pas trop la bouille chibi d'Elin, mais elle fait ressortir ses émotions et accentue son côté innocent qui me fait penser à L'enfant et le maudit. Cet aspect renforce aussi l'amour de la nature, des animaux et le respect de l'ancien monde (coucou Mononoké et compagnie). J'ai mis 4 étoiles car j'ai jugé cette nouveauté mieux ficelée que Dresseuse de monstres (sorti chez Komikku en 2017), série autour du même thème, à laquelle j'avais mis 3,5.
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Il s'agit d'un village où l'on élève des sortes de dragons de combat. Il est vrai que cela ressemble beaucoup à de gros crocodiles assez imprévisibles et plutôt menaçants.

D'emblée, j'ai aimé cette ambiance un peu particulière et un peu sombre. On s'attache assez rapidement à Elin et à sa mère en charge de la garde de cinq Tôda qui meurent brutalement durant une nuit. Elle sera emprisonnée pour ce crime alors qu'elle n'est pas responsable de ce qui est arrivé.

C'est en effet une société patriarcale très guerrière et plutôt repliée sur elle-même et qui a tout misé sur ces dragons protecteurs. La jeune Elin va devoir alors prendre son destin en main avec un don assez mystérieux.

La suite ne m'a pas déçu, loin de là. Je dois dire que j'ai été agréablement surpris au fil des tomes. On suivra Elin dans ses aventures parsemées de beaucoup d'épreuves dans un monde assez rude. de la très bonne fantasy qui dépasse toutes les attentes.
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Sur les conseils de mon amie des Voyages de Ly (dont vous pouvez aller lire la chronique), je découvre cette semaine ce nouveau titre fantastique mâtiné de mythes asiatiques desservi par des dessins parfois enchanteurs.

Elin, La charmeuse de bêtes, est l'adaptation en manga (il y aura 11 tomes au total) d'une saga de romans parue il y a quelques années chez feu Milan dont j'avais aperçue la couverture mais point plus. On s'y retrouve plongé dans une histoire qui flirte avec la fantasy orientale où un clan élève des bêtes sacrées mais guerrières, les Tôda, qui ont tout du dragon, le tout dans des paysages entre Japon et Chine moyenâgeux.

Comme dans tout shonen, l'histoire se centre sur un jeune héros, ici une héroïne, ce qui déjà me plaît. Elin est la fille de la femme qui soigne les Tôda les plus précieux de son village. On découvre à travers ses yeux ces magnifiques créatures qui ont été réduites en esclavage, mais également la vie dans son village où sa mère et elle souffrent d'une certaine ostracisation du fait de leurs origines. C'est un décor qui m'a de suite enchantée. J'ai beaucoup aimé cette ambiance d'un autre temps, le fait que ce soit en pleine campagne, autour de créatures fortes et mystérieuses qui pourraient bien faire des dégâts un jour, avec des clans protégeant des secrets. J'ai vraiment eu l'impression de plonger dans un récit ancien autour d'une mythologie que je ne connaissais pas et j'ai aimé le dépaysement.

Il faut dire que les dessins y ont grandement participé. Je m'en doutais déjà en voyant la couverture et notamment la 4e avec son superbe Tôda aquatique. Les passages avec ces derniers tout en tons gris sont superbes. Ils emportent vraiment le lecteur dans un autre monde. Je regrette du coup que le restant des dessins soit plus banal. J'ai du mal avec le côté trop rondouillard des visages que je trouve plus quelconque. Dommage.

Pour en revenir à ce premier tome, c'est une vaste introduction à l'univers. La première partie, les 3/4 du tomes, présente l'univers de la série. La seconde, par contre, est beaucoup plus fade. Elle présente ce que devient Elin après un certain incident et c'est assez banal. Il y a un côté "bons sentiments" qui m'agace parce que je le trouve un peu superficiel. Je ne vois pas pourquoi quelqu'un qui la connait à peine voudrait déjà tout faire pour lui redonner le sourire... J'ai donc largement préféré la première partie, plus sombre, plus mature où l'univers est riche et prometteur avec les Tôda et les différents peuples avec chacun leurs mystères.

Elin est donc une belle surprise. S'il n'y avait pas eu ces derniers chapitres un peu en-dessous, j'aurais sûrement même pu parler de coup de coeur.
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Comme je l'ai dit dans mon billet sur Créatures Fantastiques, le manga animalier est en force actuellement puisqu'en plus de celui-ci et Beastars, on a droit à une autre nouvelle série (qui sera en 11 tomes) sur le sujet avec Elin la chameuse de bêtes. Il s'agit d'une adaptation de roman écrit à l'origine par Nahoko Uehashi, et le manga est de Itoe Takemoto. de quoi parle donc ce manga qu'on doit aux éditions Pika ?

Elin mène une vie tranquille aux côtés de sa mère dans un village qui a pour mission d'élever des Tôda, des dragons-serpents de combat utilisés pour la protection du royaume. Mais Soyon, brillante soigneuse de ces dangereuses créatures, empêche sa fille de les approcher malgré sa fascination pour elles…

Jusqu'au jour où un drame va bouleverser leur vie et le destin tissera un lien inéluctable entre Elin et les bêtes sacrées !

Ce résumé est peut-être un peu cryptique, mais en gros, il faut se dire que dans l'univers qui est dépeint ici, il existe des créatures imaginaires dont font partie les Tôda, qui sont utilisés pour la guerre. Elin et sa mère viennent d'une tribu nommée les Ahlyo dont on va déjà apprendre certaines choses dans ce premier tome (mais je ne spoilerai pas). Comme l'indique le résumé, les Tôda du village vont tous mourir et c'est forcément leur soigneuse qui va être considérée comme responsable. Ainsi, la mère de Elin va être condamnée à mort, ce qui signera le départ de sa fille et le début de son aventure qui va, on peut le supposer, l'amener à reconsidérer sa vision du monde et découvrir qui elle est. On troque donc la douceur de Créatures Fantastiques contre une dureté et une violence évidente.

Mais au-delà de ce postulat de base, ce qui m'a intéressé en particulier, en tant qu'amoureux des animaux, c'est justement le traitement de cette thématique. de ce point de vue, j'ai beaucoup aimé le travail sur le personnage de Soyon, la mère de Elin. On la voit dans le premier chapitre utiliser un sifflet pour calmer un Tôda. Elle explique que rien d'autre ne peut les calmer, que ce sont des bêtes sauvages et qu'elle ne doivent jamais être apprivoisées. Plus tard, elle explique à sa fille que les Tôda qu'ils asservissent s'affaiblissent de jour en jour et que cela la rend malheureuse, car ils devraient pouvoir décider de leur destin. Il semblerait d'ailleurs que ce soit la vie en captivité qui les condamne finalement. Ce point m'a vraiment plu car si l'on joue le jeu de la transposition dans notre réalité, c'est assez éloquent sur le point de vue de l'auteur concernant le fait que l'on asservisse des animaux (alors qu'à l'origine, tous les animaux sont sauvages). Et l'affaiblissement dû à la captivité me fait penser aux animaux d'élevage et à leur santé plus fragile (sans parler des animaux créés par le biais de croisement de race qui finissent par avoir des problèmes de santé fréquents).

Un autre élément intéressant concernant la thématique animalière vient du dernier chapitre. Après avoir fui suite à la condamnation de sa mère, Elin est retrouvée par un apiculteur et va l'accompagner dans ses ruches. C'est l'occasion d'un exposé documenté sur le sujet, afin d'être authentique dans la façon de dépeindre le travail de l'apiculteur, et un détail m'a fait tiquer. Il explique qu'il coupe en partie les ailes des reines abeilles pour qu'elles ne puissent pas partir trop loin. Il rajoute que ça lui fait mal au coeur mais qu'il est obligé puisque c'est son gagne pain. Je ne pense pas que l'auteur cherche à faire un jugement de valeur sur ce point, mais je ne peux malgré tout m'empêcher de voir dans ce constat le rappel que l'homme a en effet cette capacité à aimer les animaux tout en leur faisant du mal pour son propre profit. Ainsi, ce point m'a aussi beaucoup intéressé et parlé.

Cependant, il ne faut pas oublier que l'on est dans un tome introductif et que les thématiques tout comme l'univers ne sont que présentés ici. Mais tout est clairement introduit et les bases posées sont séduisantes et donnent envie de voir quels développements suivront.

Pour finir, un petit mot concernant l'aspect graphique du tome. Alors que je suis séduit par l'écriture, je dois avouer que visuellement, je suis un peu resté sur ma faim. Je n'irai pas jusqu'à dire que c'est laid, mais c'est assez quelconque. Je trouve que les visages des personnages, bien que corrects, auraient pu être plus beaux, et les décors sont trop souvent dépouillés. Cependant, les Tôda sont très réussis ce qui donne envie de voir quelles autres bêtes le manga va nous proposer.

En résumé, ce premier tome de Elin la charmeuse de bêtes nous plonge tout de suite dans son univers brutal et dur. L'héroïne est présentée efficacement et on imagine déjà qu'une forte évolution va arriver chez elle au fil des tomes. La thématique animalière propose déjà des pistes intéressantes qui ne demandent qu'à être étoffées. Et l'intrigue en elle-même pose déjà plusieurs questions auxquelles on souhaite avoir les réponses. Une introduction tout à fait réussie en somme pour ce qui est de l'écriture. Malheureusement, d'un point de vue graphique, je suis moins conquis, mais cela n'empêche pas à la lecture d'être de qualité. Je serai donc au rendez-vous pour le tome suivant en espérant que le développement de tous les éléments posés ici soit à la hauteur.
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C'est mon tout premier manga! Les élèves me l'avaient conseillé.
Un bon moment passé en compagnie d'Elin et de sa maman. L'histoire s'ouvre sur une tragédie, la maman d'Elin est livrée aux tôdas, ce sont des bêtes magiques, féériques et dangereuses dont il faut prendre grand soin, et semble -t-il que la maman d'Elin n'a pas mené sa mission comme le veulent les autorités du village. Elin n'accepte pas le sacrifice de sa maman, alors elle la rejoint juste avant qu'elle ne se fasse dévorer par les bêtes...mais, rien ne va se passer comme prévu! La maman d'Elin va faire quelque chose de dangereux, mettre les traditions et les règles de son propre camp en péril pour sauver sa fille. Où va se retrouver Elin? Que va-t'elle découvrir sur l'histoire de sa famille?
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Elin vit avec sa mère, qui élève des Tôda, des dragons serpent. Mais un jour, l'un des Tôda meurt est la vie d'Elin bascule...
Et j'ai apprécié cette histoire parce que on a très envie de connaître la suite c'est une très belle histoire.
Je recommande ce bon livre.
Gatchan

C'est l'histoire de Elin elle vit avec sa mère, celle-ci est soignante de
todas (des dragons qui protège leur cité) mais un jour l'or se que sa mère est de garde pour surveiller des todas
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Elin la charmeuse de bêtes est un manga de fantasy. le personnage principal est Elin, C'est une petite fille très curieuse. Sa mère est une éleveuse de dragons appelés “tôda”. Un matin, elle découvre tous les dragons morts, alors elle essaye de les soigner. Plus tard on l'accuse à tort de les avoir tués ; à partir de ce moment là, commence toute une aventure pleine de péripéties.

J'ai adoré ce manga. Les dessins sont très bien réalisés, les paysages sont magnifiques. L'univers que le mangaka a créé est très bien fait même s'il n'est pas très original contrairement au scénario qui est original et intéressant et plein de rebondissements.

Ray
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C'est l'histoire d'une jeune fille japonaise. Elle habite dans un village de soigneurs (soigneurs de monstres, des crocodiles évolués). Cette fille depuis toute petite, est traitée différemment. Un jour, une petite vient lui parler en lui disant que c'est une alhyoh.
extrait : "Pleure autant que tu en as besoin. Plus tes larmes couleront et plus la tristesse s'écoulera de ton coeur. Et un jour, tu finiras par oublier ce qui te fait tant de peine."
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