Elia, la passeuse d'âmes, tome 1

Lorsque j'ai su que Marie Vareille sortait un nouveau livre et en plus de la fantasy, je n'ai pas su résister, car j'avais adoré sa plume avec son premier roman ! Et puis, il faut dire, découvrir un auteur qu'on aime beaucoup dans un genre différent, ça attise la curiosité ! Je me doutais bien que j'aimerais, mais pas que je le dévorerai en une soirée, ça non ! Et pourtant, c'est bien ce qu'il s'est passé. Vous l'aurez compris, j'ai adoré cette histoire, et il me tarde de lire la suite.

Elia est une passeuse d'âmes. Chaque jour, elle fait passer des personnages de l'autre côté : personnes âgées, malades, opposants au régime. Car oui, deux castes sont bel et bien visibles dans cet univers. D'un côté, les Kornésiens, qui sont l'élite suprême de cette dictature. Ce sont eux qui font les lois, eux qui décident des choix des autres et eux qui ont tous les privilèges. de l'autre côté, nous avons les Nosoba. Opprimés, vivant dans des conditions catastrophiques, ils n'ont pas droit au vote et doivent survivre aux règles imposées. Mais le jour où Elia prend la décision de sauver l'un d'eux, sa vie va irrémédiablement changer. Elle se voit contrainte de fuir, pour éviter d'être arrêtée. Elle se retrouve alors chez les Nosoba, au plus profond d'immenses mines où elle devra survivre pour s'en sortir.

Avouez que ce speech est alléchant, non ? Eh bien moi j'ai totalement adoré. Tout d'abord, je me suis beaucoup attachée à Elia, qui est persuadée de faire le bien en envoyant ces êtres proches de la mort de l'autre côté. Mais lorsqu'un choix s'offre à elle, elle se rend compte que tout ce qu'on lui a inculqué n'est peut-être pas forcément la bonne manière de fonctionner. Au contact de ces Nosoba, elle découvrira une nouvelle facette, une nouvelle façon de vivre, qui changera clairement ses positions. Au plus bas et éloignée de sa famille, elle va devoir survivre coûte que coûte et fera des découvertes qui changeront grandement sa fille de jeune fille. Elle est forte, obstinée et ne se laisse pas abattre ni faire.

Durant sa nouvelle vie, elle fera la rencontre de trois jeunes qui l'épauleront au meilleur de leurs possibilités, tout en lui faisant comprendre que se mettre autant en danger n'ira pas en sa faveur, et que c'est la mort qui l'attend au virage suivant. Cependant, et parce qu'elle aime sa famille et surtout sa soeur plus que tout, elle ne les écoutera que très peu, pour sauver cette dernière. Je n'ai pas envie de vous décrire ceux qu'elle va rencontrer, parce que c'est un peu la découverte du roman. On voit leur personnalité, on apprend à les connaître et on les voit évoluer de plus en plus. de mystérieux et quelque peu récalcitrants, ils se prennent vite d'amitié pour cette jeune fille particulière, qui semble cacher qui elle est vraiment. La seule chose que je peux vous dire, c'est qu'ils se complètent très bien. Ils ont chacun leur personnalité, et c'est ce qui fait la force de leur groupe.

Concernant l'univers, je dois avouer que je suis assez scotchée. On voit que l'auteure l'a énormément travaillé, qu'elle le connaît sur le bout des doigts. Si parfois, un premier tome sert de base pour une série, ici, l'action est quasi constante et nous ne sommes pas en reste avec le suspense qui nous tient en haleine jusqu'au bout. On veut tellement qu'Elia trouve une solution, qu'elle sorte de tout ce bazar, qu'on ne peut s'empêcher de tourner les pages pour savoir le fin mot de l'histoire. Mais si vous vous attendez à suivre une jeune fille à qui tout réussit, détrompez-vous : je crois être certaine en disant qu'elle en voit de toutes les couleurs et qu'elle n'est pas la dernière à souffrir !

Si Marie Vareille ne nous en dévoile pas beaucoup pendant les ¾ du roman, nous laissons le plaisir de découvrir son univers, vers la fin, elle ouvre un peu les vannes pour nous offrir une nouvelle intrigue, qui rend encore plus curieux qu'on ne le pense et donne clairement d'avoir la suite sous la main !

En résumé, un premier tome qui m'a beaucoup surprise, qui est rempli de retournements de situation, avec un sujet vraiment bien maîtrisé et un univers bien complet. Les personnages sont aussi très attachants, et la fin de ce premier opus donne clairement envie d'avoir la suite sous la main. Marie Vareille a su me surprendre dans un univers de fantasy, alors que je l'ai découverte pour la première fois en romance. Ce qui n'est pas peu dire ! Donc dès sa sortie, n'hésitez plus et entrer dans ce monde rempli de faux-semblants, de castes opprimées, tandis que d'autres prennent le plein pouvoir !

SORTIE LE 4 MAI 2016 !

* Je remercie Marie et PKJ pour leur confiance ! *

Justine P.
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C'est un gros gros coup de coeur pour ce roman! Je l'ai lu sur les conseils d'une collègue et j'ai été étonnée au départ : je ne savais pas que Marie Vareille avait écrit une saga jeunesse.

Je me suis donc empressée de découvrir le premier tome et dès le début, je ne pouvais plus lâcher le livre!

L'écriture est fluide, agréable et addictive. Les personnages qu'ils soient principaux ou secondaires sont attachants comme je les aime. J'ai adoré suivre le personnage d'Elia mais également de tous ses amis et comprendre son histoire se décliner petit à petit.

Le monde est bien construit et contrairement à beaucoup d'autres romans, on entre dedans tout de suite, on comprend parfaitement bien sa construction grâce à des descriptions simples et efficaces. On ne s'ennuie pas dans des descriptions alambiquées qui ne nous donnent pas vraiment d'explications : on va droit au but.

Bref, vous l'aurez compris, j'ai adoré et j'ai vraiment hâte de découvrir la suite!

Hey bien...on peut dire que Marie Vareille touche à pleins de genre différent et en plus elle le fait avec brio.

Ça fait plusieurs romans que je lis de cette autrice et peu importe le style, je suis embarquée et conquise à chaque fois.

Cette fois ci, elle nous emmène dans le fantastique young adult. Dans on monde où il existe plusieurs classes bien définies (ça m a un peu fait penser à certains moments de notre histoire)

On ne s ennuie pas une seule seconde dans cette lecture. La plume de l'autrice est tellement fluide, immersive, facile (attention pas dans un sens péjoratif)

Je me suis beaucoup attachée aux personnages qui sont tellement bien dépeints.

En bref, un roman entre hunger games et divergente tout en ayant son univers propre que je vous recommande. D'ailleurs je ne vais pas tarder à lire le tome 2

J'ai voulu lire ce roman parce que j'ai beaucoup aimé l'autrice dans la littérature adulte. Je ne savais pas du tout à quoi m'attendre, mais j'ai adoré.

C'est somme toute un roman dystopique assez classique. Elia vit dans un monde où trois castes existent. Les Nosobas sont les pauvres qui font toutes les corvées ingrates, les Kornésiens sont les riches, les Askaris sont les marchands. Elia est une Kornésiene et elle a la particularité d'être Passeuse d'âmes, c'est à dire qu'elle met fin à la vie des personnes qui sont considérés inutiles ou dangereuses pour la société. Normalement, les passeurs d'âmes sont des assassins sans émotion, mais elle est différente, et cette différence va lui jouer des tours. Donc après avoir sauvé la vie d'un Nosoba, elle va se retrouver elle-même en fuite et vivre avec les Nosobas.

J'ai passé un super moment de lecture, c'était pas innovant, mais c'était bien écrit, les personnages étaient attachants. J'ai adoré Elia et sa relation avec sa petite soeur Edeline, mais aussi avec les gens qu'elle va rencontrer chez les Nosobas. Tim qui va devenir son meilleur ami, Solstan qui aime bien la taquiner, et Arhia. Les relations sont chouettes et travaillées.

On retrouve du suspens, de l'action, de l'amitié. Y a pas de passage trop nyanyan où ça finirait par plus tourner autour d'une histoire d'amour que sur ce qu'il se passe dans ce monde. J'ai aussi apprécié les petits bonus entre les chapitres.

À dire vrai, j'ai vraiment dévoré ce tome 1 et j'espère pouvoir rapidement lire la suite, car je suis impatiente de savoir ce qu'il va se passer.
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Je ne suis pas habituée à lire des romans jeunesse, ni des romans de ce genre (SF, dystopie etc). Je connaissais l'auteure pour avoir lu ses précédents romans "chick-lit" qui m'ont toujours beaucoup plu.
J'ai vraiment aimé cette lecture ! On retrouve la fraîcheur de l'écriture de Marie Vareille, la fluidité de l'enchaînement des péripéties et la construction irréprochable de ses histoires et de ses personnages.
Un très bon roman jeunesse à mettre entre les mains de tous les ados !

Ayant lu de nombreuses chroniques très positives sur Elia, la passeuse d'âmes j'avais hâte de me plonger dans cette série littéraire !

L'univers créé par Marie Vareille est indéniablement un des gros points forts de cette saga. On est immédiatement fasciné par l'imagination déployée par la romancière afin de mettre en place une dystopie aussi addictive et passionnante.
J'ai tout de suite aimé la faculté de l'auteure à mêler les descriptions essentielles au développement du monde d'Elia et les moments d'action qui faisaient avancer l'histoire.

Nous n'avons aucun temps mort de lecture et ainsi ce premier tome est un véritable page turner, loin du premier tome seulement introductif : l'intrigue est bien mise en place en même temps que la personnalité des protagonistes. En effet, j'ai aimé le personnage d'Elia dès les premières pages, c'est une héroïne parfaite pour ce genre littéraire : forte, déterminée, possédant une faculté à se dépasser dans les épreuves.

Je suis vraiment heureuse d'avoir découvert la plume de Marie Vareille dans le genre de la dystopie et ainsi d'être entrée dans un univers Young Adult fascinant. À présent je n'ai qu'une seule hâte: lire le tome 2 pour faire plus ample connaissance avec Elia et suivre ses incroyables péripéties.

En définitive, je vous recommande chaudement ce premier tome qui annonce une série littéraire incontournable !
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Vu toutes les super critiques sur Elia, je m'attendais à découvrir quelque chose d'extraordinaire, qui égalerait peut-être mon coup de coeur pour Ellana (puisque la couverture m'y fait beaucoup penser), et malheureusement l'enthousiasme s'est vite transformé en déception… et je t'explique pourquoi.


Le gros point noir du roman, à mes yeux, c'est que tout est superficiel : l'univers n'est pas assez approfondi, ce qui est plutôt déstabilisant parce que je n'arrivais pas à m'imaginer le monde d'Elia ni ses camarades. Certaines choses sont expliquées (les castes par exemple), mais là encore le lecteur manque d'informations et c'est compliqué d'essayer de s'y retrouver dans un univers que l'on ne comprend pas. Aussi, le résumé est assez trompeur puisqu'il laisse penser à de la fantasy, avec des Passeurs d'âmes assoiffés de sang… alors que la réalité est tout autre puisque le résumé parle de ce qu'il se passe au tout début du roman, vite fait bien fait, et que tout change complètement ensuite. J'aurais aimé découvrir la vie de ces Passeurs, et malheureusement on les voit finalement très peu dans le roman. Autant te dire que la déception est au rendez-vous, surtout que tout est finalement vu et revu dans d'autres dystopies, que ce soit les groupes/castes, les prophéties, la jeune fille qui va changer le monde…


Le manque de profondeur se fait aussi ressentir dans les personnages, qui ne m'ont fait ni chaud ni froid. Ils sont sans reliefs, j'ai encore l'impression de ne pas les connaître et pour être franche je me fichais bien de ce qu'il pouvait leur arriver. Les relations qu'ils construisent entre eux ne m'ont pas non plus touchée plus que ça : en fait, ils m'ont laissée complètement indifférente, ces persos. Et il n'y a rien de pire que d'être indifférente.


Malgré ça, il y a du positif puisque l'écriture de Marie Vareille est efficace bien qu'un peu simple, et l'idée sur laquelle est basée le roman est plutôt originale (même si je n'en ai finalement pas vu grand-chose). Mais ça n'aura pas suffi pour rattraper l'ennui éprouvé pendant ma lecture.


Bref, une déception de mon côté, et un roman qui aurait mérité plus de pages !
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J'étais curieuse de découvrir ce livre dont on parlait tant. Intriguée par le résumé, je me suis laissée tenter et je dois avouer que j'ai un avis plutôt mitigé.

L'univers se construit sur un système basé sur la communauté, ainsi, tout sentiment individuel doit être réprimé. J'ai pris de la distance avec l'histoire en découvrant l'univers car celui-ci s'est heurté directement avec ma mentalité de jeune femme de notre temps. Il me paraissait surprenant, voire étrange, que des individus puissent se plier à une telle règle, d'autant plus que c'est poussé à un certain niveau. La manière qu'avait Elia de présenter les choses me semblait... étrange. Je n'avais pas l'impression qu'il s'agissait d'Elia, mais de l'auteur. J'ignore comment expliquer mon ressenti, mais j'avais réellement conscience de la plume de l'auteur et non de la voix d'Elia dans ces passages. En dehors de cela, j'ai apprécié le fait de découvrir ce qu'impliquait le titre de « passeuse d'âmes ». Je reconnais que l'idée était loin d'être mauvaise et a le mérite d'être originale.

Par la suite, je ne peux plus parler d'originalité. Je m'explique : je n'ai pas compté le nombre de fois où je me suis retenue de lever les yeux au ciel tant l'histoire regorgeait de clichés inombrables. Je suis consciente qu'on ne peut pas écrire un roman originale de bout en bout et qu'on ne peut pas bannir les clichés, mais j'estime qu'il y a un certain équilibre à maintenir. Ici, j'ai assisté à une avalanche de clichés et de situations vues et revues. Je peux en citer quelques-uns : le général qui en 40 ans de carrière n'a jamais remarqué personne hormis deux personnages qui sont importants à l'histoire (cela se justifie pour Elia étant donné sa couleur de cheveux, mais il n'y a pas que ça) (je pense également qu'en 40 ans de carrière, il a dû voir d'autres spécimens atypiques ou qui méritaient de l'attention), le cliché du personnage principal qui fait toujours le même cauchemar et qui trouve sa signification à la fin, un proche parent qui meurt ce qui entraîne des réflexions de la part de ses camarades à l'école (dont certains en particulier), …

Ensuite, on passe à une autre partie de l'histoire. Malgré tout, les clichés continuent de pleuvoir et quelques incohérences, notamment sur le personnage de Tim : s'il a une vie aussi nulle (je n'exagère rien, l'univers est très manichéen : les pauvres sont les gentils, les riches sont les méchants), comment connaît-il l'existence du chocolat, qui est une denrée rare ? Outre cet élément, Elia s'attache très rapidement à d'autres personnes. Avec son caractère de base, je m'attendais à un autre comportement. de manière générale, elle a agit de manière surprenante à mes yeux. Son ancienne vie s'efface rapidement. Elle fait des choix qu'elle ne devrait, en toute logique, pas faire. Cela correspond encore une fois au cliché du personnage principal qui se trouve dans une société problématique et qui est le seul à s'en rendre compte (alors qu'il n'y a souvent aucun élément qui l'explique). Autre élément récurrent : le fait que le personnage principal se sent mieux avec un autre personnage qu'il ne connait qu'à peine, malgré une vie pénible, qu'avec des gens qu'il connait depuis toujours. Cela pourrait s'expliquer et ne pas figurer dans cette chronique, toutefois, si on ajoute cet élément à tous les autres clichés, cela ne devient plus acceptable ; il ne fait que s'ajouter au reste.
Pour en citer d'autres, je vais en venir aux autres personnes : on a le type obscène qui s'en prend à la fille – mais la fille lui tient tête, évidemment ! Ce qui fait que le type en question va garder de la rancune contre elle. Plus encore, on a l'amie géniale, belle à tomber qui a des milliers de vêtements, lui propose de choisir, lui trouve une robe magnifique et lui dit « Elle te va beaucoup mieux qu'à moi » (je ne compte plus le nombre de fois où j'ai vu une scène pareille).
Puis évidemment, on a un autre cliché qui est l'un des plus présents dans les littératures de l'imaginaire : la découverte de ses véritables origines. Ce n'est même pas surprenant, tant d'indices sont disséminés tout au long du récit. N'importe qui peut s'en douter dès le début du roman. Plus gros encore, devinez quoi ? Nous avons une PROPHETIE !

J'ai rarement lu un roman qui contenait autant de clichés... Il aurait très facilement pu devenir imbuvable. Cependant, à ma grande surprise, je me suis laissée prendre au jeu et j'ai poursuivi ma lecture (malgré mes yeux au ciel quelques fois). Cela ne m'empêche pas de reconnaître les défauts du récit et il y en a : j'ignore si je lirais la suite. Je dirais que pour les jeunes lecteurs ou les amateurs des littératures de l'imaginaire, cela peut être un bon début. Pour les plus expérimentés, je ne le recommanderais pas forcément.
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Un peu lassée par les nombreuses dystopies que j ai pu lire , j etais moyennement motivée pour attaquer cette trilogie . Mais étant en vacances et ayant déjà bien lu , j ai décidé de me lancer et ce fût une belle décision ! J ai aimé de suite l histoire , les systèmes des castes et la référence à la guerre de cent ans . le personnage de Elia est attachant .
Pour résumé sans trop en dire , le monde est divisé en 3 castes : les riches qui dirigent , les commerciaux de niveau moyen et la caste faible et pauvre , qui n etudie pas et ne fait que travailler ... Seules les personnes utiles à la société peuvent vivre sinon elles doivent être éliminées par les passeurs d âme...

J'ai découvert la plume de Marie Vareille, dans ses romans contemporains que j'ai tous beaucoup aimé, elle arrive toujours à me faire vivre une multitude d'émotion à travers ses mots.

Elia vit dans un monde post-apocalyptique où les populations sont classées par caste. Elia fait partie de la caste supérieure et n'a jamais manqué de rien. Mais elle reste différente, ses cheveux roux qu'elle doit constamment cacher et c'est une passeuse d'âme : une personne assez dénuée d'émotions afin de faire passer les vieux, malades ou opposants de l'autre côté. Les tuer. Mais un jour, elle tombe sur un garçon d'une des castes les plus pauvres : un Nosobas. Et elle va le laisser vivre. de là, Elia est obligé de s'enfuir et de se réfugier au plus profond des castes des Nosobas, dans les mines. Une autre réalité s'ouvre à elle.

J'ai adoré ma lecture que j'ai lue d'une traite ! Cela a un petit côté Hunger Games, mais en moins sombre, moins violent (pour l'instant), ou encore Legend. J'ai aimé me plonger dans cet univers post-apocalyptique qui est vraiment bien construit et immersif. le rythme ne nous donne aucun répit, et les événements s'enchaînent, même dans les moments plus « calme », l'intrigue avance et nous nous posons une multitude de questions.

Les personnages sont intéressants tous autant qu'ils sont et bien travaillés. Mon bémol serait tout de même ici, Elia n'est pas constante et y a des moments où son comportement m'a profondément agacé alors qu'à côté, je la trouvais formidable. du coup, j'ai quand même un petit sentiment mitigé envers elle. Les personnages secondaires, à contrario sont bien droits dans leurs bottes et apporte de la stabilité à Elia. Par contre, la petite romance n'avait pas forcément sa place à mon sens et n'apporte pas grand-chose.

Malgré ces points négatifs, j'ai tout de même dévoré ce premier tome, et j'ai vraiment hâte de lire la suite et de découvrir les prochains rebondissements qui vont arriver à Elia et à ses amis.
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