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sur 119 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Dans les années 40 au sud de l'Italie, dans cette région déshéritée des Pouilles, Tereza raconte. La vie miséreuse, l'autorité du père, , son départ pour la guerre, la beauté de sa soeur Angelina et de sa mère, et la honte de celle-ci vendant son corps au «seigneur » de la région pour pouvoir donner à manger à ses filles.

Les enfants grandissent, la rébellion gronde parmi les paysans exploités, la répression est violente. L'arrivée de Giacomo, le fils de la sorcière agite la fourmilière. Et dans le coeur de Tereza, nait une passion dévorante. Mais Giacomo n'a d'yeux que pour Angelina alors que celle ci s'amourache du fils du notable.

C'est une période de l'histoire de l'Italie qui n'est pas si ancienne, mais la féodalité est encore la règle. Et la vie étriquée est contrôlée de main de maitre par le baron, qui tient sa cruauté de son père, mais l'aura-t-il transmis à sa descendance?

Alors on souffre avec la famille Sozzu, qui semble bien être sous l'emprise d'un maléfice, revers inévitable d'une médaille dont l'endroit s'orne d'une beauté mortifère.

La narratrice nous entraine avec beaucoup de grâce dans ce récit qui s'apparente aux légendes que pourraient conter les grands-mères d'autrefois. le cheminement vers le drame révélé dès le départ obéit à d'autres lois que le simple hasard. C'est écrit.

La magie est autant dans l'histoire que dans l'écriture. C'est avec beaucoup de talent que la vie dans cette Italie d'une autre siècle nous est contée. Une très belle découverte.
#Lalibertéaupieddesoliviers #NetGalleyFrance

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Dans les années 40, on suit l'histoire de deux petites filles, deux soeurs qui grandissent dans les Pouilles, dans une famille pauvre, alors que leur père est parti à la guerre. La misère règne, il faut bien trouver à manger pour survivre. Un jour, les Sbires de Mussolini viennent réquisitionner les casseroles, les bijoux, pour les fondre pour l'armée. le baron Fortuné, qui règne sur la région, les empêche de s'en prendre à Caterina, la mère des fillettes. Mais cela a un prix, elle doit devenir sa maîtresse et dans ce village où règnent la calomnie, les langues de vipère, l'espionnite , la réputation de la belle Caterina va être mise à mal : « c'est la pute du baron ».

Tout semble rentrer dans l'ordre, au retour de son époux Nardo, mais il est revenu traumatisé par la guerre.

Rosa Ventrella nous dépeint l'Italie de cette période, où les pauvres triment alors que les propriétaires ne s'occupent pas de leurs terres, mais refusent que les paysans veuillent tenter d'en cultiver quelques mètres-carrés pour ne pas crever de faim, et n'hésitent pas à maltraiter, tuer ceux qui oseraient… Elle fait une assez belle critique de la société de l'époque, où les femmes obéissent, tiennent la maison avec des moyens rudimentaires, tout le monde dort dans la même pièce, il faut tout laver à la main, les vêtements sont faits pour être utiles, couvrir le corps, on est aux antipodes de la société de consommation !

Les deux soeurs sont pratiquement l'opposé l'une de l'autre: l'aînée Teresa est blonde aux yeux bleus timide, parfois jusqu'au bégaiement, alors que la plus jeune, Angelina est brune, très belle comme sa mère, ce qui ne peut aller de paire qu'avec malédiction, drame…

J'ai pris du plaisir à lire ce roman, mais je suis restée sur ma faim, j'ai trouvé que l'auteure ne creusait pas assez alors qu'elle avait un sujet en or. J'ai beaucoup pensé à « L'amie prodigieuse » d'Elena Ferrante, car il y a beaucoup similitude : deux soeurs au lieu de deux amies, mais la méchante et la gentille, l'amour entre elles est aussi teinté de jalousie, parfois de haine… et, de la même manière, il y a un peu trop de romance à mon goût

Bref, ça finit par ronronner ! Mais l'avantage, il faut le reconnaître, c'est que cette lecture est sympathique, agréable pour les vacances et cette famille est attachante…

J'ai beaucoup aimé « Une famille comme il faut », le premier roman de Rosa Ventrella donc j'attendais plus de celui-ci.

Un grand merci à NetGalley et aux éditions Les Escales qui m'ont permis de découvrir ce roman et de retrouver son auteure.
#Lalibertéaupieddesoliviers #NetGalleyFrance
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Elles sont belles ces femmes sur la couverture, le sourire aux lèvres, et pourtant le roman de Rosa Ventrella nous dévoile une vie qui est loin d'être toujours rose pour elles.
Elle nous raconte l'histoire de deux soeurs, très différentes. L'une est brune, pulpeuse, expansive, l'italienne telle qu'on l'imagine, un rêve d'ailleurs, d'autrement plein la tête. L'autre est blonde, menue, sérieuse, appliquée, elle bégaie quand l'émotion la prend. Et pourtant elles s'aiment autant qu'elles peuvent se haïr parfois.
Elles sont nées dans les années 30, dans la région des Pouilles en Italie, où les hommes s'échinent à gagner de quoi ne pas mourir de faim sur des terres qui ne leur appartiennent pas. Elles vont vivre la guerre, avec la peur, la faim et les expédients pour se nourrir malgré tout.
Devenue jeune femme, Angelina, la brune, va croire vivre son rêve et finir par en mourir. Theresa, la blonde, se souvient et essaie de comprendre.
C'est un roman dur, âpre à l'égal de la vie qu'il décrit. Peu de moments de bonheur, ou même de joie. C'est un petit village ou à la pauvreté viennent s'ajouter la médisance, la méchanceté aussi parfois. Il est dur dans ses conditions de vouloir vivre différemment, et l'herbe ne se révélera pas plus verte dans cette autre vie. le roman est cependant baigné d'amour, parfois mal exprimé, parfois non partagé, mais là souvent, pudique. Un très beau récit pour lequel je remercie les éditions Les Escales #Lalibertéaupieddesoliviers #NetGalleyFrance
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Copertino, Italie. C'est dans ce petit village que vit Teresa, auprès de ses parents et de sa soeur Angelina. le lecteur suivra le parcours de cette famille, en particulier celui de Teresa, sur plusieurs années. de l'enfance à l'âge adulte, les deux soeurs feront face à une multitude d'épreuves.

C'est un bon roman que j'ai découvert et pourtant, je ne peux m'empêcher de ressortir légèrement déçue de cette saga familiale qui semblait prometteuse au départ, mais qui ne m'a finalement pas convaincue de par la manière d'aborder l'histoire de la part de l'auteure.

Pourtant, au début, j'ai été conquise d'emblée par la description très réaliste de la vie dans ce petit village. L'auteure a su dépeindre avec beaucoup de subtilité le quotidien âpre de ces habitants. J'ai été très touchée et cela m'a bouleversée à maintes reprises.

Ce qui m'a finalement déçue, c'est l'absence de continuité dans le fil rouge instauré par l'auteure au départ. En effet, j'ai pensé que cette saga serait davantage centrée sur le quotidien des deux soeurs, Teresa et Angelina, mais tout au fil des pages, j'ai eu l'impression que cela partait dans d'autres directions. Malgré cette légère déconvenue, cela reste tout de même une très belle lecture.

Les personnages sont bien dépeints, et la dualité entre les deux soeurs est présente tout au long du roman. Leur relation est complexe, la jalousie souvent présente. Elles sont au centre du récit, mais la galerie de personnages secondaires prend également une part importante à l'histoire.

La plume de l'auteure est tout en douceur. Beaucoup de descriptions jalonnent cette saga, et l'immersion dans ce village est réussie. le récit est narré à la première personne, sous le point de vue de Teresa, et ce choix de narration est particulièrement judicieux.

Une belle saga familiale que j'aurais aimée davantage centrée sur les deux soeurs, mais qui n'en reste pas moins émouvante et narrée avec brio. À découvrir.
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Titre origina italien : La Malalegna". C'est le mal-parler, la médisance qui se diffuse de bouche en bouche, se répand de maison en maison.
Ce sont tous les commérages qui serpentent d'un seuil à l'autre et poursuivent les magnifiques protagonistes de ce roman.
"La honte,comme la médisance, était partout".
C'est un récit au féminin, de la grand-mère aux deux petites-filles, qui se déroule dans la région des Puglia, à Copertino dans les Terres d'Arneo.
Sud profond,âpre et parfumé, "le vent sentait le genêt, l'origan et la mauve sauvage ",mais terriblement pauvre pour les ouvriers agricoles qui s'escriment sur les terres des riches propriétaires .
La famille est riche de son amour. Mais c'est la guerre.
Le père enrôlé, la misère est assurée. La jeune mère, très belle, trop belle, sa beauté est une malédiction, devra tout faire pour nourrir ses fillettes.
Ce roman, enrichi par par les contes du grand-père, est aussi une tranche d'Histoire, des années 40 à 50.
C'est également la dénonciation de l'injustice des énormes inégalités sociales.
Un roman historiquement intéressant et une émouvante histoire familiale sous le poids des regards.
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Rosa Ventrella nous conte l'histoire tragique d'une famille italienne. Teresa et Angelina sont soeurs. Elles vivent avec leurs parents dans un petit village des Pouilles, dans le sud de l'Italie. Nous sommes en 1940. La guerre est aux portes de ce territoire désert, âpre et rude. le père des filles doit partir à la guerre, laissant derrière lui « ses femmes », sans défense et presque sans ressources. Caterina, la mère, dont la beauté envoûte tous les hommes, se donne au Baron Personè, afin d'assurer à ses filles un moyen de subsistance.

La Liberté au pied des oliviers est une histoire tragique. Dès le départ, Teresa la narratrice, nous annonce que sa soeur Angelina est morte de manière terrible. Elle va alors tenter de raconter comment cette mort est survenue. On suit d'abord les filles dans leur enfance avec d'un côté Angelina, solaire, belle, attirante qui rêve d'une vie autre que celle que ses parents lui offrent. Mais cette beauté est une malédiction. de l'autre côté, il y a Teresa, la taiseuse, la fille sans formes, qui rêve seule dans son coin. On les suit ensuite pendant leur adolescence. Alors que la guerre a laissé les hommes exsangues, Angelina devient de plus en plus belle, attirant bien des convoitises et le malheur de surcroît.

L'auteure nous raconte cette terre rude, qui ne donne presque rien sur laquelle les hommes se cassent le dos. C'est une terre qui ne leur appartient même pas puisque c'est le Baron qui les détient toutes. Rosa Ventrella nous raconte le désespoir de ces hommes, exploités jusqu'à la mort. C'est le balbutiement de la lutte des classes, de l'accès à la terre tout simplement.

L'auteure décrit vraiment bien la misère de ce village où les femmes sont les premières à souffrir. Caterina est décrite comme maudite, elle dont la beauté envoûtante attire tous les hommes, une beauté qu'elle transmet à Angelina comme une malédiction. L'auteure restitue à merveille l'atmosphère de ces villages enclavés, obéissant à la religion et aux superstitions.

Le seul bémol qui fait que ce roman n'est pas un coup de coeur vient de la narration. J'ai parfois eu le sentiment que l'auteure restait à la surface, qu'elle allait peut-être trop vite. le roman fait moins de 300 pages et je pense qu'en développant davantage, le lecteur aurait gagné en intensité.

« La Liberté au pied des oliviers » est un roman âpre à l'image de cette terre italienne que les hommes et les femmes des Pouilles s'entêtent à domestiquer. L'histoire de cette famille est digne d'une tragédie grecque apportant son lot de malheurs et de pleurs.
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Ce roman est le premier que je lis de Rosa Ventrella et je suis immédiatement tombée sous le charme de son écriture. La lecture est fluide et très poétique. L'autrice manie avec beaucoup d'élégance l'art des belles lettres. Sa plume imagère nous transporte immédiatement au coeur des paysages arides des Pouilles, sous des ciels d'encre parsemés d'étoiles. Les pages se tournent et on y entend le grigri des criquets, on y sent le parfum des olives qui mûrissent au soleil.

« La liberté au pied des oliviers » nous conte, à la façon d'un récit murmuré avant de se coucher, l'histoire des membres d'une famille, les Sozzu, des années 1940 à nos jours : la seconde guerre mondiale, la douloureuse survie d'une mère et de ses deux jeunes filles en l'absence de son mari, le trauma qui accompagne le retour des vétérans, et la vie d'après qui réserve également son lot de soucis.

C'est Teresa, l'aînée des soeurs Sozzu, qui nous raconte l'histoire dans l'Histoire. Elle revient sur les souvenirs de son enfance et tente de mettre des mots sur les cicatrices. le récit a une dimension cathartique. On y découvre la relation complexe existant entre Teresa et sa cadette, Angelina, durant leur enfance puis leur adolescence. Deux soeurs opposées sur bien des points, mais pourtant soudées par le sang et l'amour tumultueux qu'elles se portent.

Angelina, tout comme sa mère, est d'une beauté saisissante et c'est cet attrait, cette « malédiction » comme l'appelle Mamie Assunta, qui va être la source de douloureuses complications. La jalousie (de Teresa d'abord, des femmes du village ensuite), la malveillance, le désir des hommes vont s'employer à déchirer cette famille initialement unie.

Dès le début de la lecture, on sait en effet qu'un drame a eu lieu, qu'il ne s'agira pas d'une histoire légère avec un « happy end ». Malgré des bulles de bonheur, cette atmosphère lourde de non-dits, de regrets et de douleurs plane sur les mots envoûtants de Rosa Ventrella.

On assiste, impuissants, à la pauvreté des habitants de cette région de l'Italie qui n'ont plus rien et à qui les hommes de main du baron Personè continuent pourtant de tout prendre. Cette histoire d'injustice sociale, voire de féodalité, est malheureusement trop connue et nous rappelle inévitablement l'emprise, encore bien présente, de la Mafia italienne et de certains puissants corrompus sur toute une frange de la population.

On est également bercés par les superstitions de la région, les histoires de sorcières, les tirages de cartes, tout ce qui permet de donner une autre dimension à la misère quotidienne.

Enfin, on aspire avec les personnages à cette liberté tant désirée, loin des cancans du village de Copertino et des préoccupations journalières, tournée vers un ailleurs inconnu. Cette quête s'avérera toutefois être une chimère dangereuse.

En bref : « La liberté au pied des oliviers » est une tragédie des temps modernes porté par la grâce de l'écriture de Rosa Ventrella. Pêle-mêle de souvenirs inspiré des propres histoires familiales de l'autrice, il s'agit, en tous cas, d'un bel hommage qu'elle leur rend.
Lien : https://thecosmicsam.com
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Je découvre la plume de cette auteure talentueuse avec grand plaisir.

Une saga familiale (j'adore) que j'ai dévorée.

Nous sommes plongés au coeur d'un village italien, Copertino, dans les années 1940/50.

Nous nous retrouvons dans la tourmente de l'Italie fasciste, avec "Duce" au pouvoir, qui n'est autre que Benito Mussolini.

Ici, nous allons suivre la famille Sozzu à travers le regard de la fille aînée , Teresa. Une fille timide et introvertie, tout l'inverse de sa soeur Angelina.

Nous découvrons la pauvreté de cette famille en temps de guerre, les sacrifices pour pouvoir s'en sortir, les privations quotidiennes, les commérages des habitants du village face à beauté sans égal d'Angelina et de sa mère, l'espoir d'un lendemain meilleur, l'amour fraternel entre ces 2 soeurs, le drame ...

J'ai vécu au rythme des pages qui se tournent sans jamais m'ennuyer, j'ai été immergé dans les pouilles de l'Italie.

Une auteure que j'aurai plaisir à retrouver sans aucun doute.

Lien : https://www.instagram.com/le..
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Avant de visiter les Pouilles, le guide du Routard préconise la lecture de ce roman. J'y ai trouvé de l'intérêt, ça me conforte dans l'image que j'avais de l'Italie pauvre d'avant la 2ème guerre mondiale puis la révolution des classes laborieuses pour obtenir plus que juste de quoi survivre. C'est une piqure de rappel sur ces faits historiques dramatiques. Sur le plan romanesque au début j'ai trouvé l'histoire des deux soeurs un peu mièvre mais petit à petit l'aspect complet de la famille plus complexe a pris le dessus. L'auteure sait distiller des interrogations qui maintiennent une forme de suspense, en permanence elle en dit un peu qu'il s'agisse d'un prénom, d'un décès, d'un passé. C'est bien écrit, des moments de poésie, de descriptions usant de tous les sens, je vais mettre tout ça dans ma valise pour mieux ressentir cette région italienne.
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Une saga italienne qui se déroule dans les Pouilles entre le début des années 40 et la fin des années 50 pour l'essentiel. On partage l'enfance puis l'adolescence de deux soeurs que tout oppose, mais qui resteront très liées malgré les épreuves de la vie. L'aînée, Tere (qui est aussi en narratrice) bute sur les mots et paraît très timide. Sa soeur, Angelina, auquel le roman rend hommage, est une superbe femme (comme leur mère Caterina) et rêve de échapper à la pauvreté et aux médisances de leur petit village des Pouilles. Lorsque débute le roman, le père est parti à la guerre et les fascistes réquisitionnent tout ce qui reste dans l'es taudis. La mère et ses deux filles, souvent rejointes par mamie Assunta (la grand-mère paternelle) peinent à survivre, et quand le baron Personè se présente chez elles, Caterina n'a d'autre choix que de le suivre pour rapporter à manger, suscitant les jalousies et les commérages des femmes du village. La vie change lorsque que le père revient de la guerre, mais la pauvreté demeure. Les paysans, encore exploités par le baron comme au Moyen Âge, se mettent à rêver de révolte, un élan communiste commence à souffler, attisé par l'arrivée de Giacomo, un étranger dont la narratrice tombe amoureuse mais qui n'a d'yeux que pour la belle Angelina. La vie se poursuit, entre rêves impossibles, poids des traditions et élans de liberté. Un roman très prenant, une tragédie (car on échappe pas son destin) et de beaux portraits de femmes, souvent sacrifiées hélas.
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