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sur 4027 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Pascaline arrête d'acheter de la littérature classique !!!

Et pourtant je le sais que ce style n'est pas pour moi…mais bon je sais pas…il y avait quelque chose dans le résumé m'a fait dire pourquoi pas …peut être que …et puis non…c'est pas pour moi…

C'est très bien écrit, effectivement il y a un petit coté « thriller » où on se demande jusque où va aller la folie de cette femme…puis arrive la fin…ok…soit j'ai mal compris, soit je n'ai pas la même approche que l'autrice sur sa conclusion.

La quatrième de couverture parle de théâtre amoureux , pour moi on est dans le registre de la maladie mentale et de la perversion ( je ne précise pas pour quel personnage du livre )…dans la quatrième de couverture une phrase m'a horrifié : on rit ??? Après avoir lu la fin, non je ne rie pas…Peut être que je fais trop le lien avec mon travail…mais pour moi c'est tout sauf drôle et tout sauf un théâtre amoureux …ou vraiment je n'en ai pas la même définition .

BREF…la littérature classique c'est pas pour moi…
Lien : https://lireetcourir.com/202..
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J'avoue que je n'étais pas hyper emballé à la base par cette lecture. le titre, la couverture, les quelques citations d'auteurs pour survendre le livre m'ont laissé sceptique.
Et puis je me suis surpris à trouver l'écriture plutôt fluide, et à trouver qu'il y avait de la matière dans ce roman, avec cette femme si amoureuse... Et en même temps si torturée, un peu dépressive et finalement peut-être plus "obsédée" qu'amoureuse.
Mais voilà : le roman est trop long à mes yeux. J'ai continuellement attendu qu'il se passe quelque chose qui justifie qu'on nous raconte cette semaine en particulier. Mais, à mes yeux, rien ne vient. Finalement, avoir lu le lundi, c'était déjà avoir lu toute la semaine pour moi. Alors bon, la fluidité du texte étant toujours là, ça n'a pas été une purge, mais c'était loin d'être remarquable. Dommage, il y avait de la matière !
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"Mon mari" est un roman que j'ai subi plutôt que lu. Toutefois, ma pugnacité m'a conduite jusqu'au bout avec une petite rengaine insistante en tête : "Nooon, ce n'est pas possible !", "Allez, un chapitre de plus, il va bien finir par se passer quelque chose...", "je n'y crois pas !". Un festival ! Au lieu de me trouver "projetée dans ce théâtre amoureux", je me serais volontiers projetée contre un mur !
Quand je vois ce récit qualifié de "délice irrésistible" (A.Nothomb) ou "d'irrésistible drôlerie", je me dis, que ce soit au deuxième, troisième ou quatrième degré, en décalé, à l'envers ou à l'endroit, je cherche encore l'humour ! Je ne suis donc pas sur la même planète satirique que d'autres, bien que je sois plutôt bon public. La hauteur de l'ironie m'a perdue. Impossible de la suivre dans les brumes de l'altitude, dépourvue du matériel de varappe adéquat.

Tout d'abord, la narratrice, dont on ne saura jamais le prénom, pas plus que celui de son époux, m'a prodigieusement agacée par son sentiment de propriété : MON mari (d'où le titre justifié du livre) qui revient jusqu'à cinq fois sur une page de 23 lignes (si, si j'ai compté !), MA maison, MES amis, MA femme de ménage, et j'en passe comme MON corps, MES jambes, MES cheveux, etc. Cette narration possessive m'a usée !

Ensuite le sujet : l'amour fou. Cette expression est à comprendre ici au sens littéral du terme. L'épouse est totalement cinglée. Suit la contre-partie obligée, sa jalousie maladive. Elle décortique avec force de détails sa journée et son inspection en règle de SON mari dès qu'il passe la porte de LEUR maison. Ce qu'elle ne sait pas, ne supportant pas cette ignorance, elle l'imagine de façon débridée, sans limites. Aucune des idées les plus folles ne nous est épargnée. Pourtant, elle n'a pas un comportement parfait, sans aspérité, à découvrir si vous voulez tenter cette lecture, à vos risques et périls. J'ai cru un instant que l'histoire allait éveiller mon intérêt... Déception ! MON mariage, MON maquillage et MA corbeille à fruits dans MA cuisine m'ont ressauté à la gorge en reprenant la monotonie du quotidien.

S'attendrir sur les pellicules de son chéri, n'est vraiment pas ma tasse de thé. le désintérêt pour ses enfants au profit exclusif de son conjoint, non plus. Je pense que l'amour revêt différentes formes et le coeur enfle de tous les bonheurs qui le remplissent, il ne se racornit pas sur une seule et unique cible. J'accorde volontiers l'honnêteté désarmante de l'héroïne, reconnaissant tous ses travers, mais son amour obsessionnel pour son mari l'entraîne dans un trouble compulsif permanent et irrépressible, totalement insupportable.
Certains n'ont pas vu venir la fin. Honnêtement, j'avoue, moi non plus. Malheureusement, je n'étais déjà plus dans l'effervescence de la découverte d'un auteur, épuisée par la litanie des petits détails passés au crible de l'analyse d'un amour schizophrénique. En refermant ce bouquin, je n'ai pu m'empêcher de penser : "Finalement, ces deux-là étaient faits pour s'entendre, ils sont aussi givrés l'un que l'autre !".

Pour moi, il y a beaucoup mieux comme lecture-détente, car "Mon mari" a plutôt été crispante et décevante. Heureusement qu'elle ne couvre que sept jours de la semaine, du lundi au dimanche. Certes, une nouvelle aurait été plus judicieuse qu'un roman de 356 pages pour ressasser un sujet saoulant par ses répétitions et sa platitude de rythme. Néanmoins, je ne sous-estime pas la qualité d'écrivaine de Maud Ventura. Je suis persuadée qu'elle est capable d'écrire un récit bien meilleur que ce premier roman, même avec l'humour déjanté qu'elle semble vouloir distiller et dont je suis si friande.
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Emballée dès les premières pages, je me suis vite lassée de ce personnage, cette soi-disant amoureuse... c'est toujours la même chose au fil des pages, cette schizophrène m'a ennuyée. Si, comme on la présente, c'est une femme amoureuse de son mari alors c'est un piètre visage de l'amour qu'on nous dépeint il aurait mieux valu nous promettre le portrait d'une "cinglée" amoureuse !
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Une première déception dans la sélection du prix Cezam 2022.
Cette histoire de femme névrosée, à la limite de la folie aura été une lecture pénible, avec la seule envie de terminer le livre, pour passer à autre chose !
L'épilogue donne quelques clés de compréhension mais manque de réalisme.


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Le seul titre de ce roman m'a donné à penser, avant même de l'ouvrir, qu'il allait être amplement question d'un homme dont l'histoire, sous la plume de son épouse, menaçait d'être obsessionnelle. Certes il est question de lui, même s'il n'a même pas de prénom (qui selon elle est assez courant dans le monde ango-saxon) ni de nom, mais il est surtout question d'elle. de lui, cadre supérieur, dévoué à son métier et à sa famille nous ne saurons presque rien sinon qu'il aime follement sa femme et le lui prouve au quotidien par de petites attentions. L'auteure ne nous donne de lui que des informations parcellaires : c'est un être idéalisé, mais elle dénonce d'une manière infantile ses petits manquements insignifiants mais qui deviennent obsessionnels au point de devenir à ses yeux des fautes graves. Elle s'érige en victime, s'octroie le droit de sanctionner, avec le choix de la peine qui peut aller de la rupture au divorce et même à la velléité de meurtre, ce qui est une drôle de manière de prouver son amour à un homme. Parce qu'elle le proclame elle-même, elle est très amoureuse de son mari. D'elle en revanche, professeur d'anglais et traductrice, nous aurons une image assez fidèle, plus attentive à son métier et à ses élèves qu'à ses propres enfants, superficielle et exigeante. Elle le fait d'ailleurs avec une certaine sincérité, comme un sorte de confession qu'on fait pour en obtenir peut-être une forme de contrition ou mieux pour une rédemption, allez savoir !
Sa vie à elle est parfaite et elle a tout ce qu'une femme peut désirer après quinze ans de vie commune et souhaite que cela dure ainsi longtemps. Ensemble ils font l'amour régulièrement, avec lui elle a eu deux enfants qu'elle ne souhaitait pas, plus par convenance que par amour et je la sens dépourvue d'instinct maternel. Pour son mari, elle accorde de l'importance au plus petit détail allant jusqu'à sa volonté de ressemblance avec certaines vedettes féminines sans doute dans le but d'entretenir le phénomène de la séduction. Certains pourraient y voir une forme de futilité pour une femme de la quarantaine. Pourquoi pas ? J'avoue avoir été agacé par cette femme, par son côté envieux et même curieux, un peu imbue de sa personne, par son égoïsme, sa jalousie, sa suffisance, par sa posture de « nouveau riche » qui se pose en modèle, fait des efforts pour tenir son rang et met en oeuvre à l'occasion tous les codes traditionnels de la bourgeoisie à laquelle elle a accédé grâce à l'argent et la situation sociale de son mari, qui lui, reste naturel. Elle est persuadée que tout lui est dû et que tout lui est permis. Souvent ce vernis de respectabilité craque et elle se pose en victime, se transforme en censeur attentif au fautes bien vénielles de cet homme à son égard, se laisse aller à de petites mesquineries intimes mais révélatrices, se révèle être une pinailleuse maladive s'attachant exagérément à de petits détails anodins qu'elle interprète comme des preuves d'infidélités de cet homme, simplement parce qu'ils ne correspondent pas à sa manière de voir les choses et les note sur un petit carnet secret. Cet homme l'aime vraiment d'un amour simple et authentique, le même que celui qu'il porte à leurs enfants. Elle craint qu'il cesse un jour de l'aimer parce que l'amour est comme toutes les choses humaines, il s'use et elle projette sur lui les craintes qu'elle a à son propre propos. Elle attend de lui beaucoup d'amour, estime qu'il ne lui en donne pas assez alors qu'elle, et bien qu'elle s'en défende, ne l'aime pas autant qu'elle le devrait. Les démangeaisons dont elle souffre sont sans doute le signe qu'elle manque de quelque chose et c'est sans doute pour cela qu'elle le trompe avec une foule d'amants, prend plaisir autant à enfreindre un interdit matrimonial qu'à quérir de la jouissance. Certes elle ne s'attache pas à eux et c'est plutôt des amours de contrebande qu'elle recherche, mais ce n'est assurément pas la meilleure manière de prouver son attachement à son mari, la fidélité étant un des ciments du couple. Pour elle la recherche d'un amant est une quête constante, même si cela ne débouche que sur des passades, mais non seulement elle ne ressent aucune culpabilité mais au contraire trouve tout un tas de raisons pour se donner bonne conscience. Autrement dit elle proclame qu'elle adore son mari, en fait un être éthéré et idéal mais n'hésite pas à l'espionner, le soupçonnant de ses propres turpitudes, est en perpétuelle demande de l'amour de cet homme qu'elle n'hésite cependant pas à cocufier, surtout devant la grande naïveté de ce dernier qui lui fait une confiance aveugle. Elle se moque même un peu de lui en laissant en évidence un exemplaire de « l'amant » de Marguerite Duras mais rien n'y fait, il adore sa femme.
Il y a dans ce roman un indubitable côté judéo-chrétien avec le sigle « faute-sanction-pardon » et dans ce contexte elle se reconnaît tous les droits, l'adultère étant la chose la plus naturelle pour elle. Évidemment le hasard s'en mêle et vient en aide à ce malheureux mari trompé en lui révélant l'étendue des trahisons de son épouse face à ces manquements à lui, révélant une disproportion qui met surtout en évidence les fantasmes de son épouse, son côté nymphomane, son attirance pour la transgression. Dès lors elle envisage le pire, l'éclatement de cette famille à laquelle elle ne tient que très modérément, la disparition de tout ce qui faisait sa vie de petite bourgeoise et auquel elle était attachée.
. de toutes les raisons qui poussent les êtres humains à unir leurs vies, l'amour m'a toujours paru être la plus improbable. Quand la société a organisé la cohabitation entre deux êtres de sexe différent, elle l'a fait dans une optique de peuplement et le droit, les convenances sociales ou personnelles, la religion, les intérêts les plus divers se sont chargés de la faire perdurer alors même que l'indifférence, et parfois pire, ne gouvernait plus que leurs relations communes, l'hypocrisie, le mensonge, la trahison, l'adultère faisant partie de la panoplie largement utilisée par l'espèce humaine. On peut toujours pardonner ou prétendre oublier mais en réalité le passé s'impose et on a toute la vie pour digérer son mauvais choix. Je veux bien que « le coup de foudre » existe mais en faire durer toute une vie les effets, notamment sur l'attachement et la fidélité me paraît très exagéré. On a un peu trop tendance à confondre plaisir sexuel passager et véritable passion personnelle pour un être et je n'en veux pour preuve que le nombre croissant des divorces. Il n'est cependant pas nécessaire d'attendre quinze années comme ici pour que le mariage ait l'acre parfum de la solitude. L'épilogue qui donne enfin la parole à son mari ne m'a pas du tout convaincu et j'augure mal des prochaines années, ces adultères ne pouvant pas ne pas laisser de traces. L'autocritique du mari à quelque chose d'artificiellement culpabilisant, de faussement machiavélique, de fictivement angélique pour l'avenir. J'attache toujours du prix à l'exergue qui, même si elle n'est pas de la plume de l'auteur, et souvent révélatrice. Ici c'est le cas et « la porte fermée » dont il est question évoque à la fois le passé immédiat et le devenir de ce couple
Le livre refermé, j'éprouve un impression bizarre, pas seulement à cause de la 4° de couverture qui annonçe « un roman original plein d'une irrésistible drôlerie » que je n'ai pas ressentie, pas non plus à cause de ce découpage en sept jours de la semaine associés à une couleur (la couleur est une obsession récurrente pour elle), mais il en ressort une sorte de malaise, peut-être à cause du titre où l'auteure se propose d'évoquer son mari… mais nous parle surtout d'elle. Quant à l'originalité du roman, je ne l'ai pas vue non plus, une femme qui trompe son mari en lui jouant la comédie afin de rester avec lui pour conserver son rang social et son niveau de vie, c'est finalement assez banal. Tout au plus l'auteure nous rappelle que le mariage est une loterie, qu'à ce jeu bien peu sont chanceux et que sur tout cela flotte un parfum d'égoïsme, solitude et de gâchis.
J'ai pourtant poursuivi ma lecture jusqu'au bout parce c'est bien écrit et que cela se lit bien, par respect pour le travail de l'auteure aussi, puisque l'écriture est toujours un accouchement difficile et que le livre est souvent un univers douloureux, mais aussi parce que j'ai horreur d'abandonner un livre en cours de route et que celui-ci est en lice pour un prix littéraire où je me suis engagé comme lecteur.
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Ce livre m'a été présenté comme original, drôle ... Je l'ai acheté et lu jusqu'au bout !!! le sujet est il est vrai attrayant ,une femme de 40 ans à tout pour être heureuse : un métier qui lui plaît ,un mari beau , aisé, elle a aussi deux enfants sages et une maison . Mais elle a un problème ,elle aime son mari de façon obsessionnelle , elle le veut parfait , elle désire être parfaite . Elle note tout ce que son mari fait ,ou ne fait pas et elle le punit discrètement pour tous ses manquements . L'auteure dit et redit les mêmes choses et la lecture devient laborieuse , on sourit parfois , le style doit sûrement traduire le côté obsessionnelle du caractère du personnage principal mais ça devient de plus en plus lourd . La fin est sans grande surprise .
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Me voilà bien embêtée...

Je referme ce livre, que j'ai lu rapidement, presque sans plaisir mais sans m'ennuyer pour autant.

Sept jours dans la vie de cette épouse, enfermée dans son rôle d'amoureuse, pendant lesquels on apprend ses névroses et ses secrets...et c'est tout. Rien de plus, rien de moins.

J'ai aimé des romans avec des trames bien moins élaborées que celle-ci. Cela aurait donc pu suffire à mon bonheur. Sauf que tout dans "Mon Mari" m'a paru inauthentique. Je n'ai pas cru en ce personnage, en sa réalité.

Je me suis vraiment sentie spectatrice, plutôt que lectrice, incapable de m'immerger dans l'histoire.
Même si j'ai vu les efforts de l'autrice pour créer une montée en tension tout au long du livre, et la tentative de surprise avec l'épilogue : tout est resté très plat pour moi.

Je ne regrette pas cette lecture, mais peut-être en attendais-je trop étant donné les retours que j'en avais eus. Il y'a de bonnes idées, et une écriture agréable, mais force est de constater que la rencontre entre ce livre et moi ne s'est pas faite.
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- MON MARI-

Ayant vue sa promo dans les stations métro et la couverture qui me plaisait bien ! Je l'ai achetée ! Mais j'étais vraiment déçu, vraiment déçu même si j'ai beaucoup aimé le style d'écriture. On suit une femme qui est follement amoureuse de son mari, elle essaye d'être parfaite pour lui mais elle voudrait le passion et du drame et en même temps elle voudrait qu'il ne la quitte pas. Compliqué cette Madame !

Je ne sais pas si le but de l'autrice était qu'on aime pas ce type de femme ou qu'on l'a de la peine pour elle car moi je ne l'ai pas aimée, tout les choses horribles qu'elle dit mon énerver comme il était mieux d'être une femme divorcée déprimant sur son ex-mari qu'être une femme marié avec un homme aimant mais sans passions. Ou encore que si ses enfants mourraient ce n'est pas grave mais que si son mari mourait, ce serait horrible. Ou encore détestée l'anniversaire de sa fille ou de ses enfants.

Aussi ses comportement psychopathe qu'elle a envers lui, ou encore qu'elle analyse ce qu'il fait, ce qu'il dit, nous pouvons assister à la femme ou sa soeur jumelle de You ! Parce que là ! Après je n'ai pas vraiment compris les critique qu'on fait du livre, je ne sais pas si les critiques considère ce livre comme drôle car il n'est pas drôle, ou comme du féminisme, il n'y a pas de féminisme là dedans ou comme une histoire d'amour car il n'y a pas d'amour a part tout les choses toxiques dans leurs relations.

Je sais que beaucoup parle de l'épilogue, ce que je peux dire c'est que l'épilogue et surprenant mais à la fois montre un points essentiel que leur relation est vraiment toxique.

Je vous conseille de le découvrir par vous même car je pense que c'est un livre qui peut faire aimée comme détester

Carlaines
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Je me réjouissais de lire ce roman, tout le monde en parle et les critiques à son égard sont dithyrambiques. Et pourtant... quelle déception ! Vite lu, vite oublié.
Je l'ai trouvé beaucoup trop répétitif, pas de réel fil rouge, pas d'intrigue, pas de suspense. Juste une suite de tranches de vie quotidienne d'une femme névrosée, et pas vraiment d'explications ou d'approfondissements. Je l'ai trouvé invraisemblable, ennuyeux, plein de redondances et de tribulations absurdes et j'ai réussi à le finir en me forçant. le seul point positif est la plume de Maud, qui écrit très bien, mais cela ne suffit pas à en faire un bon livre pour moi. le sujet est pourtant intéressé, mais pas assez bien exploité à mon goût. Dans le même style mais en plus haletant, il y a Je l'aime de Loulou Robert.
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