De la Terre à la Lune

Après la guerre de sécession, des membres de fabricant d'armes formant le Gun-Club, optent de mettre leur savoir faire pour fabriquer un canon, dans le but d'atteindre la lune.
Tandis que le projet débute, un Français Michel Ardan, rentre en contact avec le président du Gun Club, pour lui proposer de remplacer l'obus du canon par une ogive où il s'y trouverait dedans.


Je ne sais pas si pour apprécier la lecture faut être un fan de Verne, mais ce fût une véritable tannée, en ce qui me concerne.
On se noie dans des chiffres aux unités non métriques.
On a des stéréotypes sur les Américains aventurier, novateur, supérieur, pendant que dans la vieille Europe il y a que des cons, dépassés en gros.
On a des pages d'écritures pour ne rien dire... Sur un livre de 200 pages c'est fort, là aussi il a été un novateur en la matière le Verne.
Bref je pourrai continuer encore, mais préfère arrêter le massacre ici.

J'abandonne.... Et c'est rare ! Je n'arrive vraiment pas à me plonger dans ce roman. Trop de maths, trop de physique, peu d'aventure ou d'aspects captivants. Pourtant je pense que je peux aimer Jules Verne. Il faut que je tente l'expérience avec "Voyage au centre de la Terre". Apparemment, les lecteurs semblent l'avoir plus apprécié. Ce livre m'a au moins permis de vivre ce qui à mes yeux représente un petit exploit : oser refermer un livre qui ne me plaît pas. Je crois que c'est la deuxième fois que ça m'arrive ! hihihi

Autant j'avais adoré Vingt Mille lieues sous les mers qui m'avait transporté. Autant celui ci, j'abandonne. Je me pers dans les méandres de ces descriptions, des chiffres auxquels je ne comprends rien. Je n'arrive pas à capter l'histoire au milieu de ces détails multiples qui sont longs et ennuyeux.
Je sais que la plume de l'auteur n'est pas une partie de plaisir à lire et c'est bien dommage car il est le précurseur de beaucoup de réalisme et c'est un visionnaire de la SF.