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On a droit à un visuel tout à fait surprenant pour ce comics qui semble hors norme. C'est un dessin de très haute qualité à l'image même de la couverture composant l'intégrale. Chaque case présente un visuel époustouflant. Rien à redire de ce côté là.

C'est au niveau du scénario que cela pêche un peu. En effet, le récit m'a semblé trop dans la surenchère d'effets et même parfois totalement décousu. Cela se perd en clarté.

Au final, même si la lecture est agréable, on ne retiendra pas grand chose mise à part une débauche de super-héros qui combattent pour leurs idéaux tout en étant torturés par des questions existentialistes. Un non fan trouvera cela bien pathétique.

Pourtant, ces questions méritent d'être posées sur le fait qu'il ne faut pas se reposer sur un être providentiel mais certainement prendre notre destinée en main. Il est vrai que ce message ne semble pas défendable par certaines personnes adeptes de l'État providence.

Finalement, après mûres réflexions, je trouve que l'idée d'associer tous les super-héros et les faire se combattre n'est pas une si bonne chose. Cela décrédibilise le mythe de chacun. Par ailleurs, Superman ne fait pas partie de ceux que je préfère... loin de là.

C'est un récit qui s'adresse principalement aux fans de comics qui y trouveront leur bonheur dans cet univers DC. Je préfère nettement dans le même genre l'univers Watchmen.
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Avant tout je tiens à remercier (encore) Pavlik qui m'a guidé vers cette référence comics. Encore une fois, il avait raison : c'est excellent.

Cette histoire ne s'insère pas dans une chronologie particulière et par conséquent ne nécessite pas de gros background. Il vaut mieux connaître les personnages mais, si ce n'est pas le cas, un nombre remarquable de pages est consacré à leur description exhaustive à la fin du volume.
Elle exploite des questions très intéressantes que l'on peut aisément reporter dans notre univers « véritable » : que se passe-t-il quand l'humanité, si habituée d'être sous la protection d'êtres quasi-divins, devient capricieuse et exigeante et rejette ses héros pour leur manque de performance face à l'objectif « nous laisser vivre tranquille et heureux » ? Que se passe-t-il quand ces héros sont remplacés par des guignols méta-humains typés génération Y peu enclins à suivre des règles stupides du genre « éviter les dégâts collatéraux » ?

Eh bien il peut arriver que les anciens héros décident que l'humanité n'est qu'une enfant et qu'eux-mêmes doivent faire son bonheur même contre son gré et sa liberté.
Lentement, mais sûrement, les héros virent vers un système totalitaire axé sécurité avec goulag intégré. Ce cheminement insidieux suivi par Superman, et surtout Wonder Woman, est magnifiquement rendu dans ces pages. Magnifiquement rendue aussi l'irresponsabilité notoire de ces méta-humains qui ont oublié la principale leçon de Spider-Man : un grand pouvoir implique de grandes responsabilités (ce n'est pas le même univers, c'est vrai) mais refusant de céder un pouce de leur liberté face à ces « croulants » d'anciens héros.
L'idée est poussée au bout, et donc beaucoup y laisse leur peau. Ajoutez des éléments scénaristiques comme d'anciens super-vilains en embuscade prêts à profiter du chaos et un groupe de héros résistants refusant la ligne dure, vous obtenez une histoire marquante.

La morale vers laquelle Mark Waid et Alex Ross veulent nous emmener, c'est que nous ne devons pas nous reposer sur ceux qui prétendent prendre nos destinées en main. Nous devons en permanence être attentifs et volontaires si nous ne voulons pas que d'autres nous privent de notre liberté de prendre en main notre destin.
Le message est à mon sens opposé à celui de Watchmen (comparaison réalisée à raison par le babéliote Vance dont la critique m'a aussi incité à lire ce comics). Watchmen aboutit au fait que l'homme pousse l'auto-irresponsabilité jusqu'à l'autodestruction, et qu'elle a besoin d'un « guide suprême » pour la soulager du fardeau du libre-arbitre. le seul héros qui refuse de renoncer à la liberté d'agir (Rorschach) est éliminé.

Le seul élément qui m'a un peu gêné est le dessin sous forme d'aquarelle. Excellent pour renforcer le réalisme du récit, il rend les scènes de batailles chorales plutôt confuses.

Mais ce n'est qu'un détail. Je conseille de lire cette BD même si l'on n'aime pas les comics.
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Kingdom Come est un grand classique des comics, et c'est un titre qu'il mérite.

D'abord à cause des illustrations d'Alex Ross, avec son trait si unique, qui donne à la BD au complet un ton et une esthétique si particulière. (Ross fait dans le réalisme. Pour ses dessins, il engage carrément des gens pour faire la pose, prend une photo, et dessine la photo. Pour cette raison, beaucoup n'apprécient pas ses scènes d'action.)

Ensuite le scénario : On y retrouve un vieux Superman à la retraite que Wonderwoman invite à reprendre du service. Parce que depuis le temps, le monde a changé, et qu'il était mieux avant

Tout ça est un meta-commentaire sur l'histoire des comics eux-mêmes. Superman est l'incarnation du héros du Golden Age, cette époque où les comics représentaient des justiciers avec un cadre moral infaillible qui contrecarrent les plans de ceux qui veulent nuire à l'humanité. Dans ces histoires, le bien triomphe sur le mal dans jamais lui-même succomber.

Mais Kingdom Come a été écrit en 1996, en plein Dark Age of Comic books. Cette époque où les héros peuvent échouer, se compromettent sans cesse moralement. Où les vilains sont complexes quand ils n'ont pas carrément raison.

C'est donc le constat que fait Superman : Les héros sont maintenant indiscernables des vilains. Ils tuent, sacrifient et ne défendent que leurs propres intérêts, et prennent la justice entre leurs mains. Et les vilains doivent suivre la même trajectoire pour répondre à cette radicalisation des héros.

Superman et Wonderwoman décident donc que cela suffit. Ils vont prendre le contrôle de la planète et emprisonner les héros comme les vilains pour que les choses reviennent comme avant — ou mieux encore.
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Pourquoi "Kingdom Come" est-il un monument de la bande dessinée ?

Parce que c'est Alex Ross qui assure les dessins et qu'il est surement le plus grand illustrateur de toute l'industrie des comics. Un peintre au talent incomparable mais non pas un dessinateur et donc ne pas s'attendre à beaucoup de dynamisme (les scènes d'action, ce n'est évidemment pas son fort). Par conséquent, on aime ou pas, mais on ne peut dénier à la partie graphique de l'oeuvre une originalité et une personnalité peu commune (et, en tout cas, bien loin des canons de l'industrie mainstream des comics)

Parce que Mark Waid, le scénariste, propose rien de moins que d'imaginer un futur possible à l'ensemble de l'univers DC. En avoir une certaine connaissance permettra surement d'apprécier davantage l'histoire mais ce n'est pas obligatoire. Dans ce futur, les héros classiques de DC (Superman, Wonder Woman, Batman etc...) ont pris leur retraite et d'autres héros, beaucoup moins portés sur l'éthique, les ont remplacés. Suite à la dévastation accidentel du Kansas, lors d'une intervention de ces héros, Superman et Wonder Woman ne peuvent faire autrement que revenir sur le devant de la scène...

Parce que c'est une oeuvre qui, aux côtés de "Watchmen", par exemple, par les réflexions qu'elle suscite, montre à quel point les auteurs de comics peuvent produire des oeuvres d'une très grande qualité, pour peu qu'on leur laisse une certaine liberté par rapport au cahier des charges de l'éditeur (et le temps de les faire).

Parce que, tout simplement, c'est un récit qui, par son exigence (aussi bien sur la forme que le fond) contribue à élever les comics là où devrait être leur juste place.
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[...]Ce récit est une somme qui, dès sa parution, par son ambition et la qualité de ses artistes, est venue directement se placer aux côtés des chefs-d'oeuvre d'Alan Moore (1) au panthéon des comics. Ambitieux, bien qu'inégal dans son développement, moins complexe que les Watchmen tout en surfant sur les mêmes principes, aussi respectueux des personnages que le monumental Crisis on Infinite Earths (2) qui avait en son temps redéfini l'univers DC, Kingdom Come est la chronique d'un échec annoncé et baigne ainsi, à l'instar des référents suscités, dans un pessimisme de bon aloi, se plaçant en porte-à-faux avec les idéaux personnifiés par ces héros créés il y a plus de 50 ans. Aujourd'hui, un personnage aux caractéristiques de Superman n'a de valeur que lorsqu'une faille est décelée : il est sinon trop lisse, trop prévisible pour conférer de l'intérêt aux histoires dont il est le protagoniste. Lors, à partir du moment où vous acceptez de le voir descendu de son piédestal, brisé dans sa fierté et son assurance non pas par l'entremise d'un engin de mort, d'un piège à kryptonite ou encore de la magie, mais bien par l'incapacité d'assumer les choix qu'il a dû faire, le scénario devient d'un seul coup plus riche en possibilités. [...]
Lien : http://arpenteur-de-pages.ov..
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Kingdom Come est un classique de DC Comics, voir des comics tout court.
Ainsi, se lancer dans un tel récit des années après sa création est toujours délicat, ce dernier pouvant avoir vieillit et ne pas forcément être facilement accessible de par sa narration ou de par son dessin.
En allant sur Kingdom Come, c'est exactement les questions que je me posait. le récit est-il aussi bon que tout le monde le dit ? A t'il mal vieillit ? Est-il facilement accessible ?
Je me lance ainsi dans ma lecture, et le récit étant de 1996, je pensais avoir un peu plus de mal que ça à m'adapter. Dès les premières pages, cela se lit facilement et ne pose pas de problème, que se soit le scénario de Mark Waid ou le dessin d'Alex Ross, que je trouve très beau mais que je préfère souvent en cover artiste et que je trouve souvent assez lourd sur un récit complet. Ici, cela passe plutôt bien.
Enfin au début... En effet, si j'ai trouvé le début très bon, au bout d'un moment j'ai finalement commencé à ressentir cette "lourdeur" dans le dessin de Ross, et le scénario de Waid qui m'accrochait au début à commencé à un peu moins me plaire.
Je n'ai pour autant pas passé un mauvais moment, loin de là, mais j'avoue qu'en lisant un tel classique j'espérais un peu plus.
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Urban Comics réédite Kingdome Come, bande-dessinée mettant en scène une Ligue des Justiciers vieillissante. Un album incontournable.

Avec Kingdom Come, Mark Waid et Alex Ross ont imaginé un monde dans lequel les super-héros cultes que représentent Superman, Wonder Woman ou encore Green Lanthern sont devenus des référents de taille auxquels les humains prennent parfois un certain plaisir à s'identifier. Mais ces héros sont d'une autre époque. Évoquer leur nom, c'est éveiller une certaine nostalgie, une époque où, clairement dessinée, la frontière entre bien et mal ne souffrait d'aucune ambigüité. Aujourd'hui, les super-héros sont légions et n'ont plus grand-chose en commun avec leurs illustres aînés, hormis leurs capacités extraordinaires. Ils passent le plus clair de leur temps à se faire la guerre entre eux, par simple loisir, histoire de briller et de savoir qui est le plus fort. Si bien qu'ils ne semblent plus faire grand cas des notions de devoir et de justice. Pour ces héros sans cause, le monde ne semble plus être une chose à chérir et à défendre, mais se résume davantage à un vaste terrain de jeu. Face à cette tyrannie du caprice, les humains demeurent sans alternative. Dubitatif, Norman MCCay, un pasteur septuagénaire, contemple un monde à l'agonie et sans repère. C'est dans un élan de supplication qu'il est visité par un être étrange qui, tout en dissimulant son identité, va lui montrer le déroulement des événements qui nous intéressent ici.

Face à la montée des périls, un retour de la première génération de super-héros semble incontournable. C'est dans cette optique que Wonder Woman partira à la recherche d'un Clark Kent en exil, se consacrant uniquement à l'entretien de la ferme de ses parents. Cheveux longs et barbe grise, il n'a plus la fière prestance du héros qu'il incarnait. Et pourtant, cédant à la requête de Wonder Woman, il effectuera son retour parmi le monde et tentera de recréer la Ligue des Justiciers afin de faire face aux inconsidérations de la nouvelle génération.

Avec ce comics, le lecteur aborde un pan de la vie des plus charismatique super-héros jusque là inédit. Waid et Ross montrent l'évolution des plus éminentes figures de l'univers DC. On trouve un Superman blasé dans un premier temps, qui peine à croire en la justice, un idéal qu'il s'est pourtant évertué à conserver durant toute sa vie de ‘justicier' (il y reviendra d'ailleurs). Lex Luthor, quand à lui est égal à lui-même, puissant, fourbe et calculateur. Batman, pour sa part, se voit modernisé sous les traits d'un Bruce Wayne vieillissant dont les muscles saillants ont été troqués par des accessoires mécaniques. Il tient sa ville de Gotham City d'une main de fer et sa ferveur sécuritaire a même des relents de 1984. Personnage assez trouble, il constitue l'une des figures les plus intéressantes de cet épisode.

A travers cette bande-dessinée, on suit également les désaccords entre les vieux comparses. Superman se confronte à un Batman dont les conceptions ont évoluées différemment des siennes et il se chamaille à plus d'un titre avec la sublime Wonder Woman. Cet ouvrage offre un hommage au Capitaine Marvel (figure majeure des débuts de DC, quelque peu oublié depuis) toujours aussi puissant. le dessin est fabuleux et les choix graphiques inspirés. Cerise sur le gâteau, Urban Comics soigne une fois de plus le travail en offrant de nombreux bonus dont des textes de Waid et Ross et une galerie d'illustration, entre autres. On appelle ça un classique servi par une édition d'exception.
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Cette histoire nous plonge dans un futur hypothétique de l'univers DC. Les héros que nous connaissons tous ont disparus (ou pris leur retraite) et une nouvelle génération de méta-humains semble faire régner la loi du plus fort. Superman va devoir reprendre du service pour les guider.
Nous suivons l'histoire à travers le regard d'un prêtre qui assiste aux événements aux côtés d'un mystérieux accompagnateur. Ce qui m'a marqué tout de suite c'est le côté Biblique et les nombreuses références religieuses de ce comics.
Kingdom Come est une oeuvre d'art avant tout. Qu'on apprécie ou pas son style, Alex Ross offre des dessins absolument mythiques.
À noter que l'édition Black label offre plus de 90 pages de bonus qui permettent d'en apprendre davantage sur la création de cette oeuvre.
Je conseille cette lecture pour un public ayant déjà des bases solides sur l'univers DC Comics.
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Un futur incertain. Un futur prévu mais dans un laps de temps imprévisible. Les héros classiques de ce monde ont pris leur retraite, ou sont entrés dans la clandestinité. Un événement a changé la donne. Un petit quelque chose qui a blessé le premier d'entre eux. Superman a été désavoué par ceux qu'il tenait tant à protéger. Pas assez de résultat. Ils lui ont préféré Magog. Lui qui n'a pas hésité à tuer le Joker après une tuerie de plus. Un âge est passé.
Le temps s'écoule. Wonder Woman est désavouée par ses soeurs amazones et cherche à comprendre ce qu'est devenu le monde d'aujourd'hui. Qui sont ces nouveaux héros qui suivent la méthode de Magog? Parallèle inacceptable: les vilains suivent le même chemin. Ils tuent, ou ils sont tués. L'Amazone veut rétablir un certain ordre. Et elle va voir celui qui peut changer les choses. Encore faut-il qu'il veuille? Et ce n'est pas gagné! Superman ne veut plus rien avoir affaire avec tout cela. Mais l'invasion totale du Kansas par un nuage de radiations mortelles est le signe de la chute prochaine.
Tout se déroule jusqu'à l'arrivée d'Armageddon. Les demis-dieux se battent sous les yeux du Spectre qui attend le bon moment pour agir. Et au milieu de tout cela, il y a les humains avec leurs faiblesses, et leur doute. Qui les sauvera?

Kingdom Come est le chef d'oeuvre d'Alex Ross et Mark Waid.
Sortis en 1996, nous sommes en pleine déferlante des héros made in Image où la violence est censée être synonyme de réalité et de talent. Nos deux auteurs décident de donner leur point de vue. Alex Ross, le dessinateur, nous donne le réalisme. Il peint avec modèle l'ensemble de ses personnages. Il en sort un style photographique où l'idée de mouvement est présente à chaque case. On vit l'histoire, et on observe chaque case qui est un tableau à elle seule. C'est simple, je suis amoureux du style de Ross. A chaque relecture, on voit des détails que l'on a pas vu avant. On découvre les dessins à chaque fois.
A côté de cela, Mark Waid nous dresse un paysage sombre du futur de DC Comics. La violence et la radicalité ont pris le dessus sur la bonne foi et la sagesse des anciens. A travers ce constat, on lit un véritable polar où chaque personnage prend sa place en attendant son tour de bouger les pions. La tension monte jusqu'au final explosif.
Pour toutes ces raisons, Kingdom Come est un classique des comics, et de la bande-dessinée en générale. Il se suffit à lui-même. Puis vous découvrirez le style d'Alex Ross. Vous pourrez alors continuer avec Oncle Sam. Pour ma part, je vous en reparle très vite.
Lien : http://artdelire.blogspot.co..
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(...) Je n'avais aucune idée de quoi parlait ce comics avant de l'ouvrir et j'ai été surprise d'y découvrir des super-héros devenus pour la plupart des vieillards. le pitch de l'histoire est plutôt alléchant et propose de nombreux questionnements assez intéressants. Malgré tout, j'ai eu beaucoup de mal à me sentir partie prenante du récit. En grande partie du fait que les 3/4 des personnages apparaissant au fil de l'intrigue m'étaient totalement inconnus. Même si je connaissais les protagonistes principaux, je me suis souvent sentie perdue.

D'autre part, l'histoire prend pour point de départ un texte religieux (l'Apocalypse selon Saint Jean), ce qui m'a dérangée, même si concrètement ça se justifie en partie par le thème du comics (mais pourquoi doit-on toujours se farcir des textes bibliques? aucune autre mythologie ne propose de récit d'apocalypse?). La morale chrétienne sous-jacente m'a fait tiquer, plus que d'habitude (ne nous leurrons pas, elle est rarement absente s'agissant de récits reposant sur la lutte entre le bien et le mal).

Du côté des dessins, je crois qu'ils sont ce qu'on appelle « photo-réalistes », du moins pour une grande partie d'entre eux. C'est loin d'être ce que je préfère, mais certaines planches sont plutôt chouettes.

Malgré les idées intéressantes proposées dans ce comics, j'ai trouvé le temps assez long et je n'ai pas tellement adhéré à cette lecture, mais les avis sont généralement plutôt bons, alors je ne peux que vous conseiller de vous faire votre propre idée.
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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