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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Je viens encore vous parler d'un incroyable #premierroman . Envoûtant, extrêmement bien écrit qui m'a tenue en haleine jusqu'à la dernière page. Or il parle de sport, plus précisément de saut en hauteur, je déteste le sport de compétition, et pourtant... ce roman m'a passionnée !

L'appel c'est l'histoire de Richard, un adolescent dans les années 60 d'une famille américaine moyenne, qui trouve une nouvelle voie pour progresser dans son sport, le saut en hauteur. Et qui arrive à imposer sa technique en dépit des railleries et des coachs incrédules au prix d'une discipline personnelle incroyable faite d'une attention sans faille aux signaux de son corps, de persévérance constante, de confiance en soi doublée de calme, de joie dans la pratique de son sport. Car ce gamin rempli d'humilité, exempt d'esprit de compétition, trace sa route à l'écoute de ses ressentis dans l'unique but d'accomplir quelque chose qui le rend profondément heureux et qui le dépasse: le geste parfait.

C'est un roman d'apprentissage d'une grande finesse, l'histoire d'un dépassement de soi, d'un appel irrésistible et de l'accomplissement d'un rêve. le personnage est terriblement attachant et lumineux, en arrière-plan se dessine le portrait de l'Amérique des années 60. C'est avant tout un roman d'une puissance narrative bluffante. Encore une belle découverte grâce aux 68 Premieres Fois ...

À l'origine de ce roman, une photo. Celle de Dick Fosbury aux JO de Mexico en 1968, plus précisément de son visage tout entier concentré sur ce qu'il s'apprête à accomplir. Cet athlète a révolutionné le saut en hauteur avec le passage de la barre sur le dos, et donné son nom à cette technique inédite révolutionnaire, le Fosbury-flop.
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Belle réussite que cette biographie romancée de Dick Fosbury ! J'ai apprécié l'écriture fluide et agréable de cette auteure française, décrivant la culture américaine : son système de valeur autour de la performance, de la compétition sportive, avec ses coachs, ses sélections universitaires et olympiques (passage très fort du récit au camp d'entrainement des athlètes américains à Echo Summit).
Avec ce roman initiatique d'un adolescent américain, né dans l'après guerre, on vit de l'intérieur les courses d'entrainement sur Jack's Path, près de la Willamette.
J'ai été passionnée par cette histoire.
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J'ai adoré ce roman qui m'a fait penser à "Les intéressants" de Meg Wolitzer car c'est une grande fresque humaine. Ce jeune homme, futur champion Olympique, a un objectif : sauter ! Et quel que soit les obstacles qui se présentent à lui ; il va tout faire pour ne pas dévier de cet objectif. C'est une belle leçon de vie et d'envie. J'ai aimé côtoyer Richard durant ces pages qui pourraient paraître longues car tout tourne autour de cette fameuse passion sportive. Mais vient s'y mêler les filles, les copains, les parents, la guerre du Vietnam, les blessures qui font que l'on suit avec bonheur cet étrange jeune homme. Un jeune homme un peu décalé mais finalement entouré de gens gentils car lui-même est « un gentil ». Ses réflexions pour parfaire son geste son passionnantes. Il cherche en lui La Joie ; cet état où il est heureux et qui lui permet de se dépasser. Et on comprend ce qui fait un grand champion ; car quand il fait son premier saut en Fosbury, on peut se dire que les autres n'ont qu'à faire comme lui pour améliorer leurs performances. Mais ce n'est pas si simple, accomplir un tel saut demande d'évoluer autant dans sa tête que dans son corps. Il ne suffit pas de copier, il faut comprendre le geste, se l'approprier. Et Richard nous fait une belle démonstration de son aptitude à transcender ses sauts, à plonger en lui pour se couper du reste du monde et faire LE GESTE qui le propulsera au-dessus de cette fameuse barre.
Un vrai régal que ce roman !
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Richard est un jeune homme atypique et lunaire, qui pratique l'athlétisme sans succès, dans la ville moyenne de Portland, dans les années 60.
Sa discipline, c'est le saut en hauteur. Il aime sauter, il aime s'entraîner et surtout courir, mais il plafonne à 1,60 m malgré sa grande taille. Impossible de décoller, la méthode du saut en ciseaux n'est pas faite pour lui.
Alors qu'il s'entraîne sur un terrain municipal accidenté, il a l'idée de sauter sur le dos, sa course étant déviée par un arbre. Et là, il ressent une aisance... ça change tout !
A force de méditation et de concentration, il va visualiser mentalement son saut et réussir à le perfectionner. Il suscite la curiosité, voire la colère de ses entraîneurs et du monde sportif mais ça marche et il continue de sauter ainsi.
Difficile de faire homologuer ses records personnels, sa méthode n'étant pas conventionnelle, et son entraîneur doit se battre pour le faire accepter. c'est un véritable combat et il leur arrive de se décourager.
J'ai beaucoup aimé ce roman. Sans jamais être nommé, on sait que Richard est Dick Fosbury. On connaît donc son ascension sportive et sa réputation sachant que sa manière de sauter porte désormais son nom. Mais le livre se lit avec beaucoup de plaisir.
Richard est un jeune homme à attachant avec ses petites superstitions, ses petits grigris. Persévérant, extrêmement mature et déterminé, il se transcende en sautant, et c'est beau !
Ce roman est une véritable hymne au sport, au geste, à la discipline et à l'adversité. Fanny Wallendorf est très inspirée et nous décrit tout ça avec beaucoup de finesse.
Bien sûr, on suit aussi le quotidien heureux de Richard : sa vie avec ses amis au lycée, puis sur le campus, ses premières amours avec Becky, la fille de son coach, sa relation complice avec ses parents, son entraînement forcené...
Mais la guerre du Vietnam et ses enrôlements massifs planent comme une menace sur la destinée du sportif et de ses amis.
Richard va toujours plus loin, s'élève de plus en plus, le tout avec beaucoup d'humilité et de bienveillance, sans jamais écraser les autres. Une belle leçon de sport et de fair-play !
Seul tout petit point négatif, le roman est peut-être un petit peu trop long et parfois répétitif, mais je n'ai pas lâché ma lecture une seule fois.
Sélection prix du roman Cezam Inter-CE 2020

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Voici encore une belle découverte grâce à la sélection du prix cezam.
C'est presque toujours pour moi l'occasion de me lancer dans des lectures auxquelles je n'aurais pas pensé... d'ailleurs souvent je n'aurais même pas eu connaissance de l'existence du livre.
Et j'ai été happée, aspirée par celui ci. Il m'était très difficile de le poser en fin de journée, pour enfin dormir... parce que "malheureusement" j'ai besoin de dormir !
J'ai adoré découvrir, les ressorts, les motivations qui ont menées un jeune homme à défier le conformisme du monde de l'athlétisme.
C'est très facile à lire, et en même temps assez détaillé pour comprendre le cheminement de la pensée de cet athlète lorsqu'il fait face à la barre à franchir.
Un petit bonheur....
Et quand j'ai eu fini ma lecture, à une heure de matin, je me suis précipitée sur internet pour chercher des images des JO de 68... et là, les images que j'ai trouvées correspondait exactement à ce que j'avais lu !
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En 1957, Richard a 10 ans quand il commence le saut en hauteur. Il n'est pas très doué, mais il continue parce que cela lui permet de côtoyer ses amis. « Sa course d'appel n'est pas terrible, et son impulsion ne lui permet de monter assez haut. » (p. 18) Que ce soit en ciseaux ou en enroulé ventral, Richard échoue à dépasser 1m62 pendant des années. Et un jour, par hasard, il s'élance en un saut dorsal qui l'élève bien au-dessus de la barre et du tapis. Dès lors, Richard est déterminé à perfectionner la technique qu'il a inventée. « Champion mec, où t'as appris cette technique ? [...] / Nulle part. je voulais juste passer la barre. » (p. 78) du lycée à l'université, de la menace de la mobilisation pour le Vietnam aux sélections des Jeux olympiques de Mexico en 1968, Richard est un hurluberlu qui assume sa différence et s'attache à ne jamais faire comme les autres. Parce que c'est la meilleure technique qu'il a trouvée pour réussir. « Je crois qu'on apprend par les détours les plus saugrenus. » (p. 262)

Fanny Wallendorf s'est librement inspirée de la vie de Richard Fosbury, inventeur du saut auquel il a donné son nom, mais en respectant scrupuleusement ses exploits sportifs. le personnage qu'elle présente est un athlète têtu qui a révolutionné sa discipline sportive jusqu'à la consécration aux Jeux olympiques. Au collège et au lycée, le saut en hauteur était ma hantise, pire encore que l'endurance et les tours ineptes et répétitifs autour du stade. Cependant, j'ai énormément apprécié la façon dont l'autrice déploie le mental de Richard. le jeune homme multiplie les rituels secrets pour atteindre le plus haut niveau de concentration et découvrir les limites de son corps afin de mieux les dépasser. « Il se concentre. Il sollicite la mémoire de son corps. Visualise sa course du début à la fin. La réalise sans bouger d'un pouce. Se sent atteindre un palier, puis deux, puis trois. Éprouver l'impulsion. Sens venir le mouvement. » (p. 68) D'entraînements forcenés en répétitions obstinées des mêmes gestes, le sportif efface de nouvelles hauteurs. Mais c'est plus qu'un athlète que Fanny Wallendorf nous offre sur le papier, c'est une vie qui se déroule entre amours, amitiés, bonheurs, peines, progrès et espoirs. L'appel est un des plus beaux livres que j'ai lus en 2019.
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Comme indiqué en préambule, ce premier roman de Fanny Wellendorf est inspiré de la carrière sportive de Richard Douglas Fosbury, dit Dick Fosbury (né en 1947).
Dick Fosbury fut médaillé d'or aux JO de 1968 en sautant au-dessus d'une barre placée à 2,24 mètres du sol, alors nouveau record olympique (soit 4 cm sous le record mondial de l'époque détenu depuis 1963 par le soviétique Valery Brumel). Fosbury donna son nom à la technique de saut du « rouleau dorsal », aussi appelée « Fosbury-flop », qu'il fut le premier à utiliser dans une compétition internationale.
Les champions de l'époque sautaient en « rouleau ventral », technique qui avait succédé à celle du « rouleau costal », laquelle avait remplacé celle du « ciseau ». Le dernier record mondial inscrit en saut ventral date de 1978 à 2,34 m, tandis que depuis 1993 le record du monde est détenu par le Cubain Javier Sotomayor (1984-2001 taille de 1,95 m) avec un saut à 2,45 m en « fosbury-flop ».
Le « fosbury-flop » se caractérise par une course d'élan en courbe, une prise d'appel sur le pied extérieur, une rotation pour tourner le dos à la barre afin de la faire franchir d'abord par le haut du corps puis par les jambes. La réception avec cette technique s'effectuant sur les épaules, elle fut rendue possible par l'usage de matelas à cet effet, en remplacement des bacs à sable.

Fanny Wellendorf nous raconte l'adolescence du jeune Richard : ses éveils amoureux, et ses débuts dans une discipline sportive qu'il a choisie en raison de sa taille (1,93 m) - débuts laborieux pendant plusieurs années avec les techniques du ciseau ou du rouleau ventral. L'auteure fait même un parallèle audacieux et réussi entre les découvertes sportives et amoureuses (cf. citations).
L'importance des facteurs psychologiques dans la performance sportive est soulignée, pour la persévérance à l'entraînement et pour l'accomplissement des gestes les plus fluides lors des sauts.
Le plaisir ressenti par Richard lorsqu'il s'entraîne ou met son corps à l'épreuve est souligné, de même que son optimisme et sa modestie. Ce personnage est attachant, sympathique, et fidèle en amitié, comme le montre son attitude avec Andrew, lequel manifeste pourtant de plus en plus ouvertement sa jalousie...

J'ai beaucoup apprécié cette lecture mais déplore que l'auteure ait omis de montrer les inévitables moments que vit régulièrement un sportif qui s'entraîne intensément, moments durant lesquels il n'a pas envie de bouger, se sent vidé physiquement et psychologiquement, mais qu'il surmonte... Il les surmonte parce qu'il s'y oblige, sachant qu'il ne refera pas cet entraînement-là s'il le rate ce jour-là, qu'il en éprouverait une culpabilité désastreuse pour l'image qu'il se donne de lui-même. Or la capacité des sportifs à surmonter ces moments difficiles participe à leurs grandeurs. Ici, seules des contrariétés extérieures viennent perturber le jeune Richard (questions sur la légalité de son saut, nécessité de conjuguer sport et études …), toujours désireux de courir ou sauter.

• sélection Cézam 2020 •
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Richard est un gamin de 16 ans qui vit à Portland. Déjà dans les années 60, la pratique d'un sport est indispensable pour lycéens et étudiants. Comme Richard est de grande taille, le saut en hauteur est tout indiqué. Pourtant, malgré tous ses efforts, il ne dépasse jamais les 1,62 m. Ses entraineurs lui conseillent au fil des ans de pratiquer plusieurs techniques, ciseau, rouleau ventral. Rien n'y fait, malgré toute sa bonne volonté, il stagne. Jusqu'au jour où les efforts pour améliorer sa concentration portent leurs fruits. Il arrive à bien décortiquer chaque phase, la course, l'appel, le saut, et passe la barre sur le dos ! Aussi incroyable que cela puisse paraitre à l'époque, cette méthode iconoclaste lui permet d'effacer rapidement 1,82, puis d'approcher des sommets.
Pourtant, si sa technique n'est ni homologuée, ni interdite, le chemin est long pour qu'elle soit acceptée. En fac, Richard peaufine son saut. Avec concentration et persévérance, il approfondit chaque phase pour les adapter à ses capacités. Il s'imprègne des signes envoyés par son corps et par l'ambiance du stade pour accomplir ses records. Sa persévérance le mène jusqu'aux jeux Olympiques de Mexico City, où il bat tous les records en 1968 avec son Fosbury flop.
Voilà donc un roman étonnant, qui parle de sport, mais surtout d'accomplissement, de persévérance, de l'éveil de l'adolescence à l'amour, à l'amitié, aux autres, mais aussi de famille et de relation parents-enfants, d'écoute et de soutien. Qui interroge sur le dépassement de soi, la motivation, l'envie d'accomplir de belles choses pour soi d'abord, puis du bonheur de réussir ce vers quoi on tend depuis si longtemps.
lire ma chronique complète sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2019/08/07/lappel-fanny-wallendrof/
Lien : https://domiclire.wordpress...
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Portland, 1957. Richard, 14 ans, pratique le saut en hauteur, mais ne parvient pas à dépasser 1,62 mètres, au grand dam de son entraîneur. Pourtant, il ne cesse de courir, de parfaire sa courbe avant le saut, dans un stade désaffecté promis à la démolition. Un jour, il cède à une envie instinctive et passe la barre en la prenant de dos. Ca marche. Sa technique, que tout le monde tient pour peu orthodoxe, ne convainc pas immédiatement son entraîneur. Cependant, Richard va l'améliorer, malgré les critiques et les quolibets, et l'utiliser lors des championnats, malgré le risque d'être disqualifié. Peu-à-peu, il prend de la hauteur, "efface" 1,92 mètres, puis 1,97 mètres, et finit par franchir les deux mètres…

L'appel, c'est l'histoire de celui qui a donné son nom à la technique qui a révolutionné ce sport. A mon adolescence, nous apprenions le saut en hauteur "en Fosbury", que j'entendais comme "fosse Bury", sans rien savoir de son origine, et ignorant la polémique que son inventeur avait engendrée. le roman rend hommage à son créateur, capable de prouesses grâce à une faculté de concentration qu'il a mise au point, qui le met dans un état proche de la transe, et le rend capable de tels exploits. C'est aussi le portrait d'une jeunesse américaine des années 60, qui se révolte à l'idée d'aller crever dans la jungle du Vietnam. Fanny Wallendorf s'est, dit-elle dans sa courte préface, inspirée d'une photo du champion et de quelques faits réels relatés par la presse ; elle s'est pour le reste fiée à son imagination pour donner vie à un personnage à la fois réel et fictif, et relater l'ascension du sportif jusqu'aux JO et son rôle déterminant dans la pratique du saut en hauteur. C'est réussi.

Lien : http://usine-a-paroles.fr/le..
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L'Appel est une biographie romancée de Dick Fosbury, un athlète américain qui révolutionna la discipline du saut en hauteur en popularisant le saut sur le dos. Il y gagna une médaille olympique et la notoriété internationale puisque le type de saut qu'il pratiquait porte désormais son nom (quand on saute sur le dos, on saute « en Fosbury »...).
Ce joli roman d'apprentissage prend de très jolis détours pour suivre, de vestiaires en stades, ce jeune homme timide et attachant, au corps chétif et à la haute taille, avec son style inédit, son amour de la Nature, son sérieux, ses doutes...
L'auteure montre bien que tou.te.s concourent à faire de lui ce qu'il est, que ce soit en l'accompagnant (sa famille, son amoureuse...) ou en s'opposant à lui (ses entraîneurs...).
Dans ce milieu du sport où la recherche du record prime et où il s'agit de faire mieux que ses rivaux (voire de les tuer métaphoriquement), personne ne comprend cet athlète , personne ne comprend qu'il ne met pas son ambition au service des seules performances mais qu'il s'accomplit par ce qu'il sent vivre au plus profond de lui. Personne ne peut imaginer que ce qui l'anime est une philosophie de vie, proche de la pleine conscience.
Or c'est bien sa capacité de concentration et sa volonté d'aligner ses valeurs avec son environnement qui lui permettent de s'élever plus haut que les autres, dans un geste sportif quasiment extraterrestre et totalement inédit. C'est là que réside son pouvoir...
J'ai lu ce livre comme une incitation à réfléchir, à prouver que la nouveauté et l'innovation ne sont pas systématiquement synonymes de dangers et d'échecs : il faudrait le faire lire aux tenant.e.s de l'orthodoxie éducative et sportive, parents et enseignants, et à tous celles-ceux qui n'envisagent qu'une manière d'aborder les apprentissages.
C'est également une peinture subtile, documentée sans jamais être démonstrative, de l'Amérique des années 60, sûre de sa puissance, rattrapée et déstabilisée par les convulsions de la guerre du Viet-Nam.
Et il faut bien sûr revoir sur You tube le saut de Fosbury aux JO de Mexico en 1968, celui qui le propulsa dans l'histoire du sport.

Lu dans le cadre des 68 premières fois, ce livre voyagera auprès des nombreux.ses lecteurs/lectrices engagé.e.s dans l'aventure.
Lien : https://www.fenetres-sur-la-..
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