Christophe Walter
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64 pages
Éditions Nagel (01/01/1976)
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Icône, ce mot d'origine grecque (eikôn) signifie ressemblance.
C'est, en effet, une image qui représente soit un personnage, soit un événement important dans la vie d'un personnage.
Chez les chrétiens orientaux, le mot a une acception plus restreinte : l'icône désigne le portrait du Christ, d'un saint, ou d'une scène de leur vie, qui est l'objet d'un culte.
(page 4)
C'est, en effet, une image qui représente soit un personnage, soit un événement important dans la vie d'un personnage.
Chez les chrétiens orientaux, le mot a une acception plus restreinte : l'icône désigne le portrait du Christ, d'un saint, ou d'une scène de leur vie, qui est l'objet d'un culte.
(page 4)
La vénération de portraits chrétiens pourrait remonter à l’époque même des Apôtres.
Une vie apocryphe de saint Jean l’Évangéliste nous apprend que son portrait était exposé dans la maison d’un disciple sur une table couverte d’une nappe ; il était couronné de fleurs et des cierges brûlaient devant lui. Les usages antiques continuaient donc sans rupture.
(page 5)
Une vie apocryphe de saint Jean l’Évangéliste nous apprend que son portrait était exposé dans la maison d’un disciple sur une table couverte d’une nappe ; il était couronné de fleurs et des cierges brûlaient devant lui. Les usages antiques continuaient donc sans rupture.
(page 5)
Dans le langage spirituel de l’orthodoxie russe, l’unité collective s’appelle « sobornost’ ». La représentation de la « sobornost’ » ne peut être que symbolique, car l’unité existe seulement en embryon. Le monde humain est toujours sujet au chaos et à la lutte, en attendant le retour du Prince de la Paix à la fin des temps.
(page 12)
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