La possibilité de reconnaître quelqu’un est liée à toute une série d’éléments connus. Changez ces éléments et la reconnaissance devient beaucoup plus difficile.
La recherche de la liberté implique la destruction de l’autorité établie – c’est-à-dire le parent – et le besoin d’indépendance fait que chaque génération endure les mêmes tourments.
On ne peut pas espérer remporter une campagne fondée sur un mensonge.
C’est la culpabilité qui doit être prouvée, pas l’innocence.
On ne peut comparer que ce qui est comparable.
Je crois à l’enfer. Non pas l’enfer de flammes et de supplices de l’inquisition, mais un enfer de glace, de désespoir éternel et d’absence d’amour. Il est difficile d’imaginer que le salut puisse y avoir une place sans que Dieu existe. Seule l’intervention divine peut sauver une âme à jamais condamnée à la solitude du gouffre sans fond.
Seul le présent m’intéresse. C’est la manière dont nous vivons le présent qui conditionne notre passé et notre avenir.
À des situations différentes correspondent des règles différentes. Par exemple, il n’est pas toujours honteux de voler. Si j’étais une mère avec des enfants affamés, je trouverais bien plus honteux de les laisser mourir de faim.
Le tigre symbolise la puissance, l’énergie et la cruauté. Le poème décrit cette splendide mais indomptable créature comme ayant été fabriquée avec du feu, puis s’interroge sur la raison pour laquelle son créateur a eu la hardiesse de créer un monstre aussi dangereux.
J’ai sué sang et eau sur ce papier, ce n’est pas pour le transformer en un ramassis d’insinuations vachardes. J’essaie de proposer des solutions, pas de faire de la politique politicienne.