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Citations sur Morwenna (126)

Nous pensions vivre dans un paysage de fantasy alors qu'en fait nous vivions dans un décor de science-fiction.
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"Le prêt entre bibliothèques est une des merveilles du monde et une gloire de la civilisation. Les bibliothèques sont vraiment géniales. Mieux même que les librairies. Parce que les librairies font des bénéfices en vous vendant des livres, alors que les bibliothèques attendent tranquillement de vous prêter des livres par pure bonté d'âme".
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SAMEDI 13 OCTOBRE 1979
… et si huit livres semblent (et pèsent !) beaucoup, ce n’est pas comme s’ils allaient me durer toute la semaine. Je lis normalement au petit matin, si je me réveille avant la cloche, pendant les trois heures de sport collectifs, pendant les cours qui m’ennuient, en permanence après avoir appris mes leçons, durant la demi-heure de quartier libre après la permanence et une demi-heure avant l’extinction des feux. J’arrive donc à lire à peu près deux livres par jour.
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Au petit déjeuner, nous avons droit à du pain avec
de la margarine à volonté, des œufs brouillés aqueux et trop cuits, et des tomates en boîte, que je ne mange pas
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J'ai presque regretté d'avoir une si grosse pile de livres qui m'attendaient à la bibliothèque, même si c'était bien sûr tous des choses que j'avais commandées.
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Noël est un moment où les gens devraient être chez eux. S’ils ont un chez eux, ce que je n’ai pas. Mais je voudrais être avec Grampar et tante Teg, qui sont ceux qui me semblent le plus proche. Quand je serai grande, je n’irai jamais nulle part pour Noël. Les gens pourront venir me voir s’ils en ont envie, mais je n’irais jamais nulle part.
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J’ai emballé tous mes cadeaux et les ai mis sous l’arbre. Mon papier est joli, rouge sombre avec des filets d’argent. Nous avons allumé les lanternes quand tout le monde a eu déposé ses cadeaux – et une autre ampoule a claqué, j’ai donc dû la remplacer. Nous les avons rallumées et admirées. J’ai aussi déposé les cadeaux de Deirdre et de Miss Carroll sous le sapin.
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Heureusement, je comprends vite. Je ne suis pas idiote. Je ne suis jamais allée dans une école où je ne suis pas connue, moi ou ma famille, et je n’ai jamais intégré une école sans ma sœur, mais je venais de passer trois mois au Refuge pour enfants et ça ne pouvait pas être pire. A leur accent, j’ai identifié ls autres barbares, une Irlandaise (Deirdre, surnommée Meirdre) et une Juive (Sharon, surnommée Charogne). Je me suis arrangée pour devenir leur amie.
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L’école est affreuse, comme je m’y attendais. Tout d’abord, comme je l’avais lu, une des choses les plus importantes en pension, ce sont les sports collectifs. Je ne suis pas en état d’y participer. Ensuite, toutes les autres filles viennent du même milieu. Elles sont presque toute anglaises, de la région, issues du même paysage que l’école. Elles varient un peu en taille et en forme, mais elles ont presque toutes la même voix. Ma propre voix, qui était snob pour les Vallées et signalait immédiatement à tout le monde ma classe d’origine, me catalogue ici comme une barbare étrangère. Comme si être une barbare estropiée n’était pas suffisant, il y avait aussi le fait que j’intègre en milieu d’année une classe où tout le monde se connaît depuis deux ans, avec des alliances et des inimitiés bien établies, dont j’ignore tout.
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Si vous aimez suffisamment les livres, les livres vous aimeront en retour.
Ce n'étaient pas des illusions. C'étaient des arbres. Les arbres sont ce que le papier était, et veut redevenir. Je la voyais entre les troncs. Elle s'emportait et me hurlait quelque chose. Les pages devenaient des arbres à mesure qu'elle les déchirait. Le livre, qu'elle tenait à la main, s'est transformé en une énorme masse de lierre et de ronces, envahissant tout. La désolation qu'avait été le Phurnacite était une forêt, avec les ruines de l'usine en son coeur. Il y avait des fées parmi les arbres. Bien entendu. Un hibou a piqué sur la mare obscure.
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