Lu très peu de temps après avoir lu
l'encyclopédie du savoir relatif et absolu, j'ai retrouvé plusieurs histoires en commun, ce qui en soit ne fait pas de mal, car l'accumulation de toutes ces petites connaissances, fait qu'au final, on n'en retient que très peu, donc une relecture ravive la mémoire.
Bernard Werber, nous partage, pour notre plus grand plaisir, différentes connaissances qu'il a cumulé au fil des années, que ce soit sur
les fourmis (son grand domaine) ou sur différentes expériences scientifiques testées à travers le monde ou encore sur les coutumes de certains peuples existants ou ayant vécus mais décimés.
J'ai encore passé un agréable moment de lecture avec ce livre, qui ne se lit pas d'une traite, mais plutôt par petites dizaines de pages lues de temps en temps, entre deux livres par exemple.