Uglies

Depuis le temps que je voyais ce roman sur les étagères je me suis finalement lancé dans sa lecture. C'est léger, mais ça se lit très bien et c'est même une très bonne histoire. On y suit une jeune fille dans un monde ou tout le monde devient beau a sa majorité mais la beauté physique a son prix et ce prix est fixé par le gouvernement qui souhaite avoir une population docile. D'un autre côté il y a des gens qui ont fui tout ça, pour rester eux même et vivre comme ils le souhaitent.
Dès la fin j'ai eu envie de lire rapidement la suite, je la commence cette semaine, je reviendrai avec ça dans une autre critique!

Voilà une saga qui me tentait depuis bien longtemps; enfin, je me suis lancée et ne le regrette pas. Bien que souvent immatures et peu réfléchis, les personnages sont très attachants. Après les quelques longueurs du début, le rythme est prenant, grâce à une écriture simple et efficace, qui va droit au but le plus souvent. L'intrigue enfin, est intéressante et les différents éléments patiemment amassés avant d'être dévoilés, ce qui en fait une histoire bien ficelée. La critique de la société du paraître sous-jacente est bien intéressante, et fait réfléchir: en somme, Uglies est une dystopie efficace et très agréable à lire. A découvrir!
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Me revoila au rayon jeunesse de la bibliothèque et je ne suis pas deçue !

Un très bon livre d'anticipation. Dans la veine des utopies, ce roman propose un modèle de société idéale très cohérent avec biensûr son revers de médaille : Les gens sont tous beaux, les ados vivent entre-eux libres de faire des bêtises, les jeunes adultes sont libres de faire la fête, les adultes sont respectés. Les humains préservent l'intégrité de la nature en restant dans des villes qui recyclent tous leurs déchets pour laisser la nature libre de se redévelopper après les ravages causés par les anciennes générations. Mais...

Le rythme est rapide, les péripéties nombreuses. Je me suis glissée sans problème dans la peau de l'héroïne -même si j'ai plus du double de son âge ;)- du coup, j'ai pris plaisir à enfourcher une planche qui vole à me faufiler dans des endroits interdits et réussir tout un tas de prouesses inconcevables.

Comme c'est une série j'ai hâte de retourner à la bibliothèque puisque la fin nous laisse sur notre faim...

J'ai réservé ce livre à la bibliothèque sur un coup de tête, après l'avoir vu en vedette sur le site d'une librairie connue. C'est plutôt un livre pour adolescents, mais j'ai bien apprécié ma lecture. À quel point certaines personnes ont déjà désiré qu'une opération pour rendre tout le monde beau et sur le même point d'égalité existe? Je crois que c'est une belle métaphore de comment on se sent à l'adolescence, alors que notre corps change, et pas toujours en même temps. Voir Tally que la beauté n'est peut-être pas nécessairement ce qu'elle croyait est vraiment marquant. Je comprends pourquoi ce livre a reçu plus de vingt récompenses, les adolescents qui le lisent doivent vraiment se reconnaître dans le questionnement intérieur de Tally. Une lecture légère, mais qui fait réfléchir. Je suis maintenant sur la liste d'attente pour la suite, Pretties.
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Voilà quelques semaines déjà que ce roman prêté et chaudement conseillé par une collègue me faisait de l'oeil. Un titre accrocheur : uglies - traduisez moches, laids -, une dystopie, il n'en fallait pas plus pour que je me cale confortablement dans mon canapé, le plaid et le chat sur les genoux, la tisane fumante sur la table basse. C'était partie pour une petite heure de détente. A la fin de la journée, le canapé avait parfaitement imprimé la marque de mes fesses, la tasse de tisane vide trônait tristement sur la table basse, le chat lui-même n'avait daigné ouvrir une paupière que pour mieux se recaler, et j'ai refermé le livre que je venais de terminer. Addictif, véritable page-turner, difficile de quitter Tally Youngblood et ses comparses (mais les trois tomes suivants devraient combler ma frustration).
Pourquoi “seulement” trois étoiles et demi me direz-vous ? Parce qu'il convient d'être honnête tout de même. L'auteur tient un sujet en or : dans un futur où les “Rouillés” (c'est-à-dire l'Homme d'aujourd'hui) ont ravagé leur monde, la société s'est reconstruite, plus moderne et plus égalitaire : plus de discrimination puisque tout le monde est moche jusqu'à l'âge de 16 ans, puis se fait opérer pour devenir beau et ainsi entrer dans la caste des “pretties”, qui vivent à part et sont jeunes, beaux, insouciants, fêtards. Vu comme ça, c'est super tentant cette société. Si tu as le nez de traviole ou que tu louches un peu, t'as pas à t'en faire, ça va s'arranger… En plus, on évolue dans un monde où on ne s'encombre pas d'un papa et d'une maman (on part vivre en Internat), où les bêtises sont super bien tolérées (notre héroïne Tally est passée maître dans l'art de faire le mur la nuit et transgresser les règles). Elle s'apprête d'ailleurs à déjouer la sécurité pour se rendre côté “pretties” et rendre visite à Péris, son meilleur ami, qui vient de subir l'Opération. Elle le retrouve changé, au propre comme au figuré. Plus beau, mais aussi plus distant.
Les germes du doute s'installent insidieusement chez Tally, entretenus par sa nouvelle amie Shay, beaucoup plus radicale, qui ne souhaite pas subir l'Opération et compte s'enfuir dans un endroit reculé où l'on vit certes moche mais bel et bien libre ...
Mensonges, trahisons, aventures, amour, tous les ingrédients sont réunis pour nous maintenir en haleine. C'est n'est pas forcément très fin ni très bien écrit, certains personnages ou certaines situations sont stéréotypés (bien que Tally soit un personnage particulièrement intéressant car justement pas manichéen), mais on tourne les pages comme on s'enfilerait un paquet de dragibus : c'est trop sucré mais on n'arrive pas à s'arrêter. Et le pire c'est que lorsque le paquet est vide, on a envie d'en ouvrir un autre.
Un thème fort, un traitement lambda mais qui a quand même un goût de reviens-y.

Uglies est vraiment une bonne histoire qui est plaisante à lire. En effet, nous nous retrouvons dans un monde où à l'âge de seize ans, les jeunes filles subissent de la chirurgie pour devenir des Pretties. Des personnes comme tout le monde, à la symétrie parfaite et à la beauté égale les unes des autres. Tout cela dans le but, soit disant, d'éviter les guerres où les inégalités. On est plus différentier par notre physique, mais par ce qu'on est. Or, Tally qui va bientôt avoir seize ans et elle devrait donc bientôt devenir une Pretties. Mais la veille de ses seize ans elle découvre qu'il existe des rebelles, des personnes ne voulant pas devenir Pretties et sachant de lourd secret sur la vérité du système.

J'aime beaucoup ce que l'auteur essaie de dénoncer en écrivant cette histoire. Il essaie de montrer à qu'elle point cette course à la beauté parfaite est ridicule, que recourir à la chirurgie pour être le modèle de beauté parfaite est absurde.

Tally sera perdu. Elle ne sera pas si elle veut devenir Pretties comme elle en a toujours rêvé. Elle se pose de plus en plus de questions sur le système et sur la vérité exacte de pourquoi les Pretties sont formés.

Pendant l'histoire on est souvent partagé par divers sentiments par lequel va passer le personnage principal. Pourtant, on ne cesse de pouvoir lire, car il ne se passe pas un chapitre sans qu'il n'y ai de l'action où des révélations. C'est une histoire vraiment captivante.

En conclusion, ce premier tome de la saga Uglies est vraiment une histoire que j'ai beaucoup aimé lire. Je suis restée en suspens avec la fin et j'ai hâte de découvrir ce qui se passera par la suite.
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J'ai lu ce roman en 2010. Mes souvenirs sont un peu flous. Mais le gros de l'intrigue est une dystopie. Au lieu de vivre dans un monde ravagé, l'héroïne vit sous "haute surveillance technologique" et attend impatiemment l'opération que tous les jeunes doivent subir dès leur 16 ans. En bas de cet âge, ils sont désigné aux yeux de la société comme des "uglies", des êtres laids. Alors qu'ils sont simplement normaux.
Au delà des murs de leur ville cependant, une communauté refuse de subir l'opération...

Une belle caricature de notre société actuelle si préoccupée par l'apparence. Jusqu'où les critères de beauté peuvent-ils aller.
Ce premier tome m'a charmé, et le personnage principal, niaise au début, en ressort grandie.
Toutefois, la progression se gâte au 2e et au 3e. J'ai décroché au 3e, agacée, frustrée du chemin que faisait emprunter l'auteur à ses personnages, comme s'il réfutait et déconstruisait tout ce qu'il avait créé! Déception.
À lire mais je vous conseille de vous arrêter au premier. Pourquoi gâcher ce qui est bien?

J'ai adoré les 3 premiers.

On suit Tally dans son monde qui sera le notre, en fait, dans 3 siècles. Il y a bien sûr de l'amour, de l'action mais aussi beaucoup de réflexion sur notre monde actuel, notre façon de consommer "à l'excès".

Pour le 4eme, je pense que l'auteur aurait pu s'arrêter au 3eme. En effet, le personnage principal change et je ne m'y suis pas attachée. Il y a même un 5eme tome qui est un peu un mode d'emploi du monde de Tally mais il n'est pas utile, je trouve. En lisant les livres nous en savons bien assez.

Donc, une saga qui aurait pu s'arrêter à une trilogie.

A recommander ++++
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Uglies me faisait envie depuis un bon moment. Parle moi de dystopie, de romance, de monde dévasté, et ça y est, tu me tiens! Pourtant, ce roman, qui réunit sur le papier tous mes critères pour passer un bon moment, me laisse assez mitigée.

Si l'idée de départ est excellente et le monde imaginé par Scott Westerfeld tout simplement incroyable (mais pas tant que ça, nous y reviendrons), le récit souffre de longueurs, surtout dans sa première moitié, qui m'ont fait me demander si j'allais poursuivre ma lecture.

En effet, l'histoire démarre lentement en nous présentant le quotidien de Tally, une Uglie, qui fait des bêtises pour rompre son ennui, en attendant d'être transformée par une opération de chirurgie esthétique en Pretty. Pourtant, la vie des Pretties, faite d'insouciance, de superficialité et de fêtes à n'en plus finir, ne fait vraiment pas envie au lecteur. Et du coup, le début est assez long. Il m'a fallu attendre le départ de Tally pour la nature, livrée à elle-même avec un kit de survie, pour réveiller mon intérêt. Je ne te spoilerai pas ce qu'elle trouve au bout du chemin, mais sache que là encore, j'ai du faire face à de nouvelles longueurs avant un retournement de situation qui m'a accrochée aux dernières pages, jusqu'à la surprise des toutes dernières lignes.

Malgré les longueurs, il faut bien reconnaitre que le style est bon, les personnages intéressants, Tally en tête de liste, et le sujet très original. Dans ce monde où la beauté est érigée en but ultime, tout le monde ne rêve que de ressembler à un idéal physique, quitte à tous être identiques. On pourrait saluer l'imagination de l'auteur et la classer dans la catégorie "science-fiction". Et puis on se dit que finalement, nous n'en sommes pas si loin. Il suffit d'ouvrir un magazine de mode pour s'en convaincre.

Ce roman aborde ce sujet en douceur, en distillant une moralité juste et touchante: la beauté est-elle seulement une symétrie des traits ou vient-elle de tous ces petits détails qui nous diffèrent les uns des autres? Dans notre société, la question est pertinente.

C'est pourquoi si Uglies n'est pas un coup de coeur, je le recommande quand même fortement, surtout aux jeunes filles en pleine crise identitaire. Les filles, vous êtes belles, ne vous laissez pas convaincre du contraire!
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Très bon roman. J'ai adorer la façon dont l'auteur à imaginer l'histoire. Je recommande cette série à tous ceux qui sont mordus de lecture!