L'homme et la nature ne font pas souvent bon ménager. En voulant s'imposer, l'homme déséquilibre l'ordre des choses.
Que dois-je faire maintenant? Tu as une idée? Te pardonner? Jamais, j'en ferais une maladie chronique, et puis, tu continuerais à sévir!
Te traduire en justice? Trop risqué, les pourritures de ton espèce s'en sortent toujours. Te trucider? ça manque d'élégance.
Je préfère laisser la nature décider. Je te présente mes amis les krylfes.
- Tu insultes ma religion, celle qui va sauver le monde de sa misère, de la turpitude et de la décadence ?
- Nos vues divergent. J'ai aussi un religion, figure-toi. Entre elle et moi, c'est une histoire d'amour. Elle fait partie de mon intimité. Et mon intimité, je ne la brandis pas comme un étendard ou une arme de conquête.
- Mais il faut se bouger ; la population doit se soulever !
- Inutile, elle se laisse influence par le flot d'informations officielles, lesquelles sont contrôlées par des « adeptes éclairés hyperactifs ». Un bourrage de crâne permanent.
On se réfugie au plus profond de son être, dans le berceau de son âme.
Ne pensez pas... croyez !
Je ne vous demande pas de penser, mais de croire, croire en la parole de Baohm !