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3,53

sur 523 notes
Presque mille pages de sang ! C'est lassant ! Heureusement, il y a de bonnes description de Paris du XVI siècle, les Halles, la Cour des Miracles avec ces personnages haut en couleurs comme Grymonde, sa mère Alice, Estelle. Les brefs moments de descriptions de leur vision du monde nous donnent un peu de répit au milieu du massacre commis par les fanatiques catholiques autant que par notre “héros”, le Chevalier de l'Ordre de Malte Mattias Tannhauser.
PS : je n'ai pas réussi à trouver tous les douze enfants…
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J'avais beaucoup aimé « La religion », roman historique assez dur, mais je dois reconnaître que ce roman va beaucoup plus loin dans la violence. Cela en est presque nauséeux. L'atmosphère est pesante, les descriptions horribles de réalisme, l'ambiance crépusculaire… C'est très bien écrit, très bien documenté, mais on a qu'une seule envie, fuir ce Paris des guerres de religions et échapper à ce livre brillant, mais en définitive plus long que nécessaire.
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Après quelques livres malheureux, je garde toujours en réserve une ou deux pépites pour me réconforter!!! Quelle déception !!! La religion était pour moi un chef d'oeuvre . de l'histoire, un personnage haut en couleur, un récit haletant !!! Bref des centaines de pages dévorées . Ici dans la suite Willocks nous tiens en haleine . Les 250 premières pages sont fabuleuses, la Saint Barthélemy, un suspens, un héros. Celui-ci devient très vite Zorro, invincible, dénué de toute psychologie raffinée. Un monstre qui tue , qui saigne, qui décapite à tours de chapitre !!! DE plus il s'agit d'une brique de plus de 900 pages !!! Donc contant d'avoir atteint la fin , mais déçu par cette littérature macabre
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Raconter une aventure se déroulant sur un peu plus d'une journée dans un bouquin de 1000 pages, il fallait le faire.. Certes ce n'est pas une journée comme les autres dans Paris, puisque c'est le jour de la St Barthélémy en 1572. Ce livre est trop long pour ce qu'il contient. Je m'attendais à plus de détails historiques sur cette période effrayante des guerres de religion. L'auteur s'est concentré sur le jour même et forcément, en 1000 pages... il y a des répétitions. L'aspect cruel est certes bien décrit ( c'est un euphémisme....) , mais tout le long du livre, c'est inutile. de plus, la description des états d'âmes des protagonistes sur des dizaines de pages a fini par m'ennuyer. Dommage car j'avais bien aimé 'Là religion', les premieres aventures de Mattias Tanhauser.
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Trop c est trop .. allergique à l hémoglobine s abstenir ! Âmes sensibles passez votre chemin
Ce long roman catégorie pavé nous transporte à Paris le jour et la nuit de la Saint Barthélémy à la recherche de Carla la femme du héros Mattias Tannhauser. On y rencontre une ville sale dépravée et une galerie de personnages qui s ils sont des nantis de la société de l époque sont forcément des pourris a contrario du petit peuple qui même assassin ou voleur sont plein d humanité. Très manichéen donc …
La recherche de Carla est le prétexte pour l auteur de nous « sur abreuver » de descriptions de barbaries a l état pur , de meurtres sanglants , de tortures les plus ignobles les unes que les autres. Les descriptions lourdes récurrentes d utilisation d armes en tous genres et de leur conséquence sur le corps s enchaînent ad nauseum à chaque page ou presque ..
si l auteur a voulu rendre compte de ce que furent les massacres de la St Barthélémy et l enfer que ce fut , il y arrive parfaitement mais au prix d une complaisance avec la violence qui m a profondément dérangé.
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L'ultraviolence gratuite et redondante domine cette oeuvre qui m'a globalement décu. 7 ans après le siège de Malte nous retrouvons Tannhauser le jour de la Saint-Barthélémy. Willocks a voulu nous mettre le nez dans le sang et la putréfaction pendant 1000 pages et c'est réussi. Mais ça s'arrête là. le style d'écriture et le rythme restent certes corrects mais l'intrigue est fine ,les personnages caricaturaux voire invraisemblables, et l'émotion a disparu. le côté épique et magistral de l'inoubliable "La Religion" s'est envolé.En espérant que le dernier volet de cette trilogie soit bien plus subtil et envoûtant et surtout qu'il retrouve le souffle épique du premier...
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"Moi homme, moi fort"
Vous voyez le cliché de l'homme préhistorique ?
C'est la sensation que j'ai eu pendant les 3/4 du roman...
Belle déception pour cette suite de la Religion que j'avais trouvé vraiment prenant.
L'histoire était alors un vrai sujet et les nombreuses batailles servaient le fait historique. Tandis que dans cette suite, la St Barthélemy semble être un prétexte pour que Tannehauser soit en mode roue libre. Surhomme, sinon c'est pas drôle. Et pas très malin aussi... "Bidule me voue une haine farouche, il veut ma mort, mais je ne lui ai pas demandé pourquoi." Sérieusement ?! Qui ne demanderait pas ? Ça pourrait aider à en finir avec toute l'histoire, tu sais ?... Mais non, il nous faut encore 300p avant la fin. Arg !
Globalement, il faut attendre la page 400 pour qu'on nous parle vraiment de l'intrigue (assez légère).
Il y a des personnages intéressants (Alice, Estelle, Pascale) mais c'est vraiment trop long et pas vraiment historique.
Peut-être qu'en 500p j'aurais passé un meilleur moment !

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En joute ? avec Ken Follet, Ils nous (r)envoient dans le XV,XVI ème avec une force de conviction... a leur hauteur de...
A lire pour le plaisir (grand), pour réviser, ou tout (bonne) raison qui vous vaut. + guerrier chez Willocks, Follet n'en oublie pas la réalité de l'époque. Dur à encaisser... la réalité.
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" La pluie avait cessé.
À l'est, le ciel était sombre comme la gueule d'un canon.
À l'ouest, un jour de damnation déclinait, rouge comme la honte.
Une nuit de damnation allait se lever avec la pleine lune.
Les chiens allaient réclamer le sang de Carla."

J'avais lu le premier roman de cet auteur "L'odeur de la haine" et j'avais déjà été séduite par son style dense et intense.

Le chevalier de Saint-Jean, Mattias Tannhauser, comte, marchand, libre penseur, dangereux, vaillant, volontaire, aventureux est prêt à tout pour retrouver sa femme enceinte Carla.

L'action se passe à Paris, à une époque fascinante et sanglante, pendant le massacre des Huguenots en 1572.

L'ambiance est sombre et très sanguinaire.

J'ai adoré ce roman cruel et magnifique avec ce cavalier pâle et sa dame du Sud.

Tonnerre.
Ange de lune.
Chaos.
Monde de sang.
Lumière.
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Difficile de croire que ce livre suivant des aventures de Mattias Tannhauser puisse être aussi puissant que le premier tome, La Religion. Encore plus difficile de penser que le second serait non seulement à la hauteur, mais d'une force de frappe évocatrice encore plus impressionnante. C'est le cas. Je suis refait. Heureux et plus que comblé.
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