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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Roman autobiographique de Julie Wolfenstein. Cela commence au moment du confinement, l'auteure et sa famille partent vivre le confinement dans la maison familiale de Saint-Pair sur mer. C'est l'occasion pour l'auteure de se remémorer ses souvenirs et notamment la mort de son petit frère, qu'on lui a cachée. On se sent un peu voyeur en lisant ce récit qui ne concerne qu'elle et sa famille. Pas très intéressant.
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Le titre est joli. Cette route est le prétexte à des allées et venues dans la mémoire de l'auteur, et à une enquête sur un petit frère disparu dont elle n'a pas de souvenirs. Ou plutôt sur la façon dont elle a pu ressentir, à deux ans, l'effacement dans sa vie à elle, de ce bébé de deux mois.
L'aboutissement de l'enquête tenant dans l'avant-dernier chapitre, « Maryvonne », et dans le dernier paragraphe du « Post-scriptum », le reste du livre cherche sa justification et, pour moi, ne la trouve pas. Il y a une démarche sans doute, dans l'évocation désordonnée des souvenirs de l'auteur, mais sa logique m'échappe, et son utilité ne m'apparaît pas.
Je n'en retiendrai que l'anecdote suivante : Julie Wolkenstein était à deux ans, à Tignes, alors que j'y séjournais adolescente, lors des avalanches mortelles de 1969. Mais il n'y a bien que moi que cela peut intéresser.
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Parcourir l'autoroute A 13 qui rejoint Paris à Caen est pour l'auteure l'occasion de faire renaître bien des souvenirs de jeunesse. Celui qui est le plus fort et qui parcourt l'essentiel de ces pages est relatif au décès de son petit frère encore bébé, un traumatisme qui a marqué toute la famille, et ce d'autant plus qu'il reste pour une part encore inexpliqué. Bien des années plus tard l'auteure fera sa propre enquête en prenant contact avec la jeune fille qui était alors dans la famille en charge des enfants.
Au total, ce livre sans réelle unité, est assez disparate, et la longue introduction sur le "flashforward", est des plus lassantes. Cela n'arrange rien. Côté style, le discours est parsemé de parenthèses dont au aurait pu se passer pour une bonne fluidité du récit.
P.S. : Je n'ai rien contre la parenthèse. Certains en usent à foison, et avec bonheur, Philippe Jaenada par exemple, mais chez lui c'est tout un art.
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Livre lu dans le cadre du comité de lecture de Rue des Livres à Rennes.

Roman autobiographique où l'autrice se penche sur son passé et reviens sur la mort de son petit frère a l'âge de deux mois quand elle avait 20 mois.

Je n'ai pas vraiment aimé le livre malgré une qualité certaine de l'écriture.

''La route des Estuaires'' ne m'a emmené nulle part...
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J'ai retrouvé dans l'écriture de J. Wolkenstein un peu du style de P. Jaenada et de ses délicieuses digressions. Je n'ai rien, donc, contre ce retardement du récit, ce détour par la prolepse de Walking Dead ou par un trajet en voiture "covidien", mais j'attendais davantage de l'arrivée de cette route des Estuaires. Et notamment, bien sûr, de l'entrevue de l'autrice avec sa nourrice bretonne, témoin indirect du décès de son petit frère. Or, il n'en sort rien. L'autrice vagabonde d'un sujet à un autre, sans qu'un projet commun relie les différents épisodes narrés. Assez décevant.
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