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EAN : 9782818057360
144 pages
P.O.L. (02/03/2023)
3.02/5   30 notes
Résumé :
C’est le nom d’un bout de l’autoroute qui relie Paris à Saint-Pair-sur-Mer, dans la Manche, et tous mes souvenirs. Je l’ai enfin suivie plus loin, jusqu’en Bretagne, pour y retrouver un témoin de la mort accidentelle de mon petit frère, à l’âge de deux mois : une Bretonne qui avait vingt ans lorsqu’elle a découvert Paris en 1968, s’y est fabriqué des souvenirs et cherche encore, elle aussi, la vérité sur cette mort.
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Julie Wolkenstein entraine son lecteur dans un curieux voyage qui ressemble à une fuite : une famille quitte Paris bloqué par la pandémie de Covid pour rejoindre leur maison familiale. Ils prennent l'A 13 en direction de Saint-Pair en Normandie.
On ne sait trop où va nous emmener cette autofiction mais, page 18, tombe l'explication de la romancière elle-même qui l'écrit dans un mail adressé à une amie :

« Je vais peut-être écrire un livre qui s'appellera La route des Estuaires, où se superposeront cinquante ans de souvenirs de ce trajet pour Saint-Pair, à tous les âges, dans toutes sortes de contextes, le dernier étant le plus fou. »

Dit ainsi, on pourrait penser que c'est un peu maigre et que ça risque vite de devenir barbant Sauf qu'au détour du chemin, ou plutôt de l'autoroute (Rappelez-vous, nous filons sur l'A13) d'autres confidences arrivent et, à travers la chronique familiale, voilà que les morts tragiques s'invitent.
La romancière s'attelle avec subtilité à dénouer les fils du non-dit, à tourner autour des silences de ses parents concernant ce petit frère mort à presque deux mois. Elle-même n'avait que dix-huit mois, elle n'a pas de souvenir réel mais comment expliquer cette souffrance silencieuse, ce déni qui l'entourent ?
Elle part à la recherche de la tragédie à travers les articles de son père journaliste et critique dramatique

« Je sais, depuis que j'écris moi-même, qu'on a tendance à confondre ce qu'on vit avec les mots qu'on emploie pour le restituer. »

Elle va faire ressurgir cette tragédie en convoquant les souvenirs de son enfance et en examinant les photos. Il y aura même une rencontre avec la nurse bretonne qui s'occupait d'elle enfant. Et beaucoup d'allers retours sur la route des Estuaires.

« Parce que j'écris sur la période la plus sombre de mon enfance, j'ai tendance, ces jours-ci, à n'en retenir que des souvenirs tristes. »

Cette autofiction, tout en nuances, est un long et précis travail de mémoire mais j'ai trouvé que tous ces fragments qui se mettent en place façon puzzle finissent par noyer le véritable sujet : la mort accidentelle d'un bébé. de cet enfant disparu trop tôt et dont la mort sera entourée de silences, je n'ai eu, à la fin de ma lecture, qu'une brève approche.


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Ah, « La Route des Estuaires »… joli titre qui donne à rêver de grand large et de vent marin… On la prendrait bien, tiens, cette route en ce mois d'août pour aller où va Julie Wolkenstein : à Saint-Pair-sur-Mer dans la Manche (avec mes enfants - petits encore pour qu'ils acceptent de se livrer aux jeux puérils de leur mère -, nous avions arpenté la plage de Saint-Pair avec à la main la photo de la maison, meilleure façon de la trouver!) le lecteur s'attendant donc à un peu d'évasion sera certainement surpris par l'impression d'étouffement et de claustrophobie qui émane des premières pages de ce texte autobiographique.
« La Route des Estuaires » est donc celle qui mène à cette maison, omniprésente dans l'oeuvre de l'autrice. le livre s'ouvre sur une fuite de Paris lors du confinement de mars 2020 : ils sont quatre ultra-serrés dans une Fiat 500 noire et le plus jeune fils est assis « à la place du mort ».
La route que Julie Wolkenstein nous invite à suivre semble être celle du passé : la jeunesse, les copains, les week-ends chez les uns, les autres. L'autrice restitue parfaitement les caractéristiques d'une époque : les objets, les vêtements, les moeurs, les mentalités… Je me régale à la lecture de l'évocation de ces années. Mais je m'interroge : où veut-elle me conduire ? N'est-on pas en train de faire fausse route ? La narratrice parle de « prolepse-préparatoire » au sujet de ce premier chapitre, ce qui signifierait que celui-ci raconte à l'avance quelque chose qui va se passer plus tard. Ah très bien, il s'agit donc d'un énième journal de confinement. A vrai dire, ça m'est bien égal, je suis une inconditionnelle de Julie Wolkenstein dont je bois la prose comme du petit-lait… Mais en fait, me dit-on, cette prolepse est « pseudo-préparatoire ». Ah, flûte alors, fausse piste. Est-ce que la narratrice s'amuse avec son lecteur ? J'avais adoré son « escape-game » dans « Et toujours en été » qui avait lieu précisément dans la maison de Saint-Pair… Peut-être s'agit-il encore d'un jeu ou bien…
Non, l'autrice semble avoir du mal à entrer dans le vif du sujet tout simplement parce qu'il est douloureux… Alors, elle progresse lentement, donne des coups de volant à droite, puis à gauche, s'arrête longuement...
Voilà maintenant qu'elle nous raconte le pré-générique de The Walking Dead ! Elle n'y va pas par quatre chemins ! Moi qui ne suis pas une adepte des séries... (mais comme elle rend tout passionnant, je cherche secrètement à visionner quelques extraits sur mon ordi...) Nous sommes au chapitre 2, deux ans après le début du confinement, donc en hiver 2022, l'autrice jongle avec les dates : 85, 90, 96, retour dans le passé (analepse ou pseudo-analepse?), elle raconte des fêtes à Marolles près de Houdan… Ok, Houdan, ça ne vous dit rien mais pour moi ça veut dire beaucoup parce que la ligne Paris/Granville c'est MA ligne - je descends à Argentan quand le train ne s'arrête pas (et ce n'est pas rare - litote ou pseudo-litote?) à Briouze. Donc Houdan c'est une heure de passée, presque la moitié du chemin parcourue, bref…
Revenons à Marolles : certains amis de cette époque (96) sont morts. Les fêtes à Marolles, c'est loin. Ciao la jeunesse, fin d'une époque. Alors là, je m' interroge : ce 2e chapitre est-il lui aussi une « prolepse pseudo-préparatoire » ? Tout à coup, une révélation : ces deux premiers chapitres ne sont en rien des « pseudo prolepses » : ce sont des prolepses tout court ! Ils sont pleins de morts, de gens qui n'existent plus, de revenants, de fantômes. La narratrice suit les routes de sa mémoire, les méandres du passé qui la conduisent petit à petit vers une temporalité de plus en plus ancienne. le cheminement se fait, progressivement, difficilement. On y arrive, laissons-lui le temps. Chapitre 3 : autre pause encore, la pause-cigarette à Caen près d'un cimetière…
C'est le quatrième chapitre qui abordera la mort du petit frère de Julie Wolkenstein : Eric. En effet, l'enfant est mort d'un traumatisme crânien dans des conditions qui sont restées assez mystérieuses. le début du chapitre est assez direct : la narratrice se jette à l'eau. Elle va mener l'enquête sur ce qui a pu se passer ce soir-là, alors que l'enfant était confié à une nurse. Elle passe tout au crible : l'album de photos de famille, les lettres, les articles de son père, l'académicien Bertrand Poirot-Delpech chroniqueur au journal le Monde. Elle confronte les dates, observe les photos, s'interroge, interroge, jusqu'au jour où elle reçoit un mail qui va donner lieu à une rencontre inattendue...
« La Route des Estuaires » est un texte magnifique sur le temps qui passe, les gens aimés que l'on perd, le frère qui a très peu vécu. Il m'a touchée par sa pudeur qui va ici, étonnamment peut-être, de pair avec une volonté de tout dire, d'être précis, exact comme si cette précision et cette exactitude allaient inévitablement permettre d'accéder à l'élucidation du mystère. Dans le fond, c'est une quête de la vérité qui s'accompagne de l'intime conviction qu'il est impossible d'y accéder et que c'est certainement mieux comme cela.
Encore une fois, un grand texte !
Lien : http://lireaulit.blogspot.fr/
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Un risque avec des romans autobiographiques est que que dans l'échange auteur-lecteur la balance penche trop du côté qui n'est pas le sien.

La route des Estuaires, grossièrement un résumé de la vie de Julie Wolkenstein, est donc constitué d'étapes marquantes du parcours wolksteinien.

Premier chapitre, 30 p quand même, première étape, en plein confinement Covid, outrepassant les règles, dans une fiat 500, à l'arrière Julie et son conjoint dénommé fiancé, on rêve et deux de ses rejetons donc à l'avant, s'en vont prendre l'air frais et non vicié laissant celui vicié, aux autres.
Chapitre intitulé flashforward. Idem, une citation où on parle du prolepse préparatoire. Bref, ce chapitre est un prolepse de je ne sais quoi. Malgré les explications tarabiscotées de l'auteur, je ne comprends rien de ce flashtruc n'ayant pas cherché plus que cela à comprendre, l'intérêt n'y étant pas pas malgré The Walking Dead mais qu'est ce que cela vient faire là.

Une interview de Julie Wolkentsein. Elle évoque des images qui telles un puzzle peuvent aboutir à une cohérence d'ensemble. Ainsi Marolles, où vers la trentaine Julie passa quelques vacances avec des potes de l'époque. Studieux, j'ai noté 4 séjours de 89 à 96.
Découvrant une vidéo, je note, p 34 la plupart des autres ( séquences ), montre une tripotée d'enfants qui n'intéressent que leurs parents, nous ne les regardons donc pas.
En ce qui nous concerne, nous regardons-lisons les tripotées de souvenirs wolkensteiniens.

Je vous laisse découvrir les autres images et vers le milieu du livre et abandonnant alors ce schéma narratif, bifurcation vers la mort du petit frère Eric d'un traumatisme crânien à l'âge de 5 mois.
Et c'est une autre histoire. Julie la grande soeur est encore un bébé de 1,5 à 2 ans. Quels souvenirs a t elle de tout cela et comment a t elle vécu ce drame. Cela devient l'objet d'une quête d'autant plus ardue que les acteurs de l'époque, son père, sa mère en particulier se sont réfugiés dans le silence et le non dit.

Que dire ?

Ecriture, de qualité mais je suis réfractaire à ces parenthèses multiples comme autant d'apartés, qui coupent l'enchaînement d'une phrase vous faisant souvent perdre le fil du travail en cour.

Un livre covid avec du temps et un retour aux sources du pourquoi d'une vie aux portes d'un supposé point final prématuré ?

Une quête qui m'apparaît insuffisante. Plus important me paraît la réaction des parents face au deuil d'un enfant perdu. J'ai toujours en tête cette patiente, une fratrie de 4, mort du petit dernier et une mère qui devient SDF à la maison. Pauvre patiente, plus de mère.

La route des Estuaires. Petit livre de 150 pages dont on aurait pu attendre plus. Ceux qui connaissent cette route seront probablement charmés sauf s'ils habitent Caen. Pour les autres, chacun sa route et ses centres d'intérêt. Je sais la phrase ne mène à rien main ce n'est pas grave.

La phrase de la fin comme j'aime bien à les citer.

Les raisons du silence de ma mère…. de ces mères qui n'ont pas envie de montrer leur souffrance à leurs enfants, même lorsque ces enfants sont devenus assez vieux pour porter sur les drames que leurs parents ont vécus à 30 ans, un regard maternel. Evident, mais cela se discute, épargner un enfant petit soit, mais lorsque celui ci a 40 ou 50 ans il n'est pas interdit de l'avoir vu grandir.
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Le titre est joli. Cette route est le prétexte à des allées et venues dans la mémoire de l'auteur, et à une enquête sur un petit frère disparu dont elle n'a pas de souvenirs. Ou plutôt sur la façon dont elle a pu ressentir, à deux ans, l'effacement dans sa vie à elle, de ce bébé de deux mois.
L'aboutissement de l'enquête tenant dans l'avant-dernier chapitre, « Maryvonne », et dans le dernier paragraphe du « Post-scriptum », le reste du livre cherche sa justification et, pour moi, ne la trouve pas. Il y a une démarche sans doute, dans l'évocation désordonnée des souvenirs de l'auteur, mais sa logique m'échappe, et son utilité ne m'apparaît pas.
Je n'en retiendrai que l'anecdote suivante : Julie Wolkenstein était à deux ans, à Tignes, alors que j'y séjournais adolescente, lors des avalanches mortelles de 1969. Mais il n'y a bien que moi que cela peut intéresser.
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Roman autobiographique de Julie Wolfenstein. Cela commence au moment du confinement, l'auteure et sa famille partent vivre le confinement dans la maison familiale de Saint-Pair sur mer. C'est l'occasion pour l'auteure de se remémorer ses souvenirs et notamment la mort de son petit frère, qu'on lui a cachée. On se sent un peu voyeur en lisant ce récit qui ne concerne qu'elle et sa famille. Pas très intéressant.
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critiques presse (7)
LaCroix
15 mai 2023
Dans un émouvant récit, Julie Wolkenstein reconstitue dans « La Route des Estuaires » le souvenir oublié de son petit frère, décédé subitement lorsqu’elle était encore un bébé.
Lire la critique sur le site : LaCroix
LeMonde
17 avril 2023
Un très beau livre sur le temps et les âges qui, en nous, se superposent, sur les places que l’on occupe successivement, dans les familles.
Lire la critique sur le site : LeMonde
LePoint
17 avril 2023
Dans « La Route des Estuaires », la romancière remonte le temps jusqu’au cœur de la douleur : la disparition d’un frère dans sa toute petite enfance.
Lire la critique sur le site : LePoint
LeFigaro
14 avril 2023
La romancière plonge dans son enfance marquée par les fêtes et un drame familial.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
LeMonde
14 avril 2023
Un très beau livre sur le temps et les âges qui, en nous, se superposent, sur les places que l’on occupe successivement, dans les familles ou dans les Fiat 500.
Lire la critique sur le site : LeMonde
OuestFrance
31 mars 2023
Le voyage intime auquel nous invite l’autrice convoque fantômes et souvenirs. Empruntant tours et détours, il se révèle poignant et imprévisible.
Lire la critique sur le site : OuestFrance
SudOuestPresse
02 mars 2023
L’auteure raconte comment la mort tragique de son frère a surligné en silence, pendant plus de cinquante ans, la chronique familiale
Lire la critique sur le site : SudOuestPresse
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Je n’ai pas aimé être une enfant. J’avais hâte de pouvoir vivre ce que les grandes personnes, dans les livres que je lisais, dans les films que je voyais, avaient le droit de faire. Je ne voyais pas l’intérêt de cette trop longue attente. Mon conte préféré était celui de la comtesse de Ségur dont l’héroïne dort de sept à quatorze ans et se réveille en possession de tous les apprentissages qu’elle a acquis pendant son sommeil, et sans être passée non plus par la case de l’âge ingrat. Peut-être mon impatience était-elle aussi motivée par la conscience vague qu’être enfant vous faisait courir un danger de mort.
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Je n'ai pas aimé être une enfant. J'avais hâte de pouvoir vivre ce que les grandes personnes, dans les livres que je lisais, dans les films que je voyais, avaient le droit de faire. Je ne voyais pas l'intérêt de cette trop longue attente. Mon conte préféré était celuí de la comtesse de Ségur dont l'héroïne dort de sept à quatorze ans et se réveille en possession de tous les apprentissages qu'elle a acquis pendant son sommeil, et sans être passée non plus par la case de l'âge ingrat. Peut-être mon impatience de grandir était-elle aussi motivée par la conscience vague qu'être enfant vous faisait courir un danger de mort.
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e n'ai pas aimé être une enfant. J'avais hâte de pouvoir vivre ce que les grandes personnes, dans les livres que je lisais, dans les films que je voyais, avaient le droit de faire. Je ne voyais pas l'intérêt de cette trop longue attente. Mon conte préféré était celui de la comtesse de Ségur dont l'héroïne dort de sept à quatorze ans et se réveille en possession de tous les apprentissages qu'elle a acquis pendant son sommeil, et sans être passée non plus par la case de l'âge ingrat. Peut-être mon impatience de grandir était-elle aussi motivée par la conscience vague qu'être enfant vous faisait courir un danger de mort.
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Son père n'avait sans doute pas un tempérament spécialement nostalgique. Mais c'était un marin. Ce qui, en mer, oblige à se détourner de la ligne théorique, tracée d'un port à l'autre (les courants, les vents) n'ayant pas cours sur terre, il voyait peut-être dans cette belle droite horizontale reliant Paris à Granville une croisière idéale.
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Dans le jardin, ils ne sont plus que quelques-uns à être restés dans le froid, parfois même sous la pluie, recroquevillés sous des sacs de couchage ou des couvertures, buvant de l'Hépar et soupirant : « Ce soir, on va se retrouver avec les mômes... » Sentions-nous déjà, ce 7 juillet, que la fête était finie ?
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