"Buson nous aide et presque nous contraint à "voir". Il peint en somme, son poème, d’un pinceau vif et sûr... Et "voyant" ainsi, il s’élève à l’essence, nous perd en elle, dans une épreuve sans mesure où le regard physique devient une vue seconde, immobile et poignante – un instant ds’abîme dans l’extase légère qui est le fond sans fond du haïku" (Roger Munier).
Né en 1716 à Kema, près de l’actuelle Osaka, mort en 1783, Buson, trés tôt initié à la calligraphi... >Voir plus