L'Adoption - Cycle 1, tome 2 : La Garùa

Le jugement a pris en compte...« le profond désarroi d'une femme n'ayant pu donner la vie » .
Comme si un homme ne pouvait pas, lui aussi, ressentir cruellement le manque d'un enfant.

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Parce que je suis un vieil imbécile qui croit encore aux contes de fées, alors que la vie se comporte plus souvent qu'à son tour comme une méchante sorcière.

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Vous savez, Gabriel, pour mieux distinguer les choses ... il faut parfois prendre de la distance !

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- Quand tu fais des enfants, t'hérites de leurs conneries.
- De leurs conneries, de leurs chagrins d'amour, de leurs joies ... T'hérites de tout !

(page 54)

Une religion qui a pour symbole l'image de la souffrance ? Très peu pour moi.

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Il la voulait tellement, sa part de bonheur, qu'il en aura sacrifié le cochon pour une tranche de jambon.

(page 45)

- Et vous, Gabriel ? Pourquoi le Pérou ?
- Pourquoi ? Parce que je suis un vieil imbécile qui croit encore aux contes de fées, alors que la vie se comporte plus souvent qu'à son tour comme une méchante sorcière.

(page 42)

- Vous parlez l'indien Aymara ?
- Non ... Deux mots seulement : "Qinaya" et "Achachi".
Deux mots, parfois, ça suffit pour raconter une histoire.


(page 40)

Vous savez, Gabriel, pour mieux distinguer les choses, il faut parfois prendre de la distance.

"Je suis comme les églises ; je ne suis heureux que si mon clocher est bien planté au milieu du village"
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