Les Rougon-Macquart, tome 11 : Au bonheur des dames

Nous retrouvons Zola, fidèle à lui même dans son écriture, mettant en évidence la vanité des femmes à l'aide de grande description comme il aime (moi un peu moins). Encore le genre de roman qui passe a travers les âges sans prendre une ride !

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le Second Empire vise à faire de Paris la capitale de la mode et du luxe.
J ' ai tout simplement aimé, trop de description sur les rayonnages.
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Au bonheur des dames est un de mes livres préférés, tout style et époque confondus, j'aime ce qu'il raconte, comment les petites boutiques vont se faire "bouffer" par un grand magasin, qui vend de tout et qui mise sur les quantités vendues à faibles bénéfices plutôt que grosses marges mais petites quantités, tout est bien détaillé et c'est très intéressant,

j'y retrouve avec plaisir Octave Mouret qui roule sa bosse et continu les courbettes devant ces dames depuis Pot-Bouille, (que j'ai adoré également), il y a de la romance, de la vrai romance et c'est bien rare chez Zola, bref livre prenant, intéressant, comme toujours chez Zola je remonte 150 ans en arrière et plonge dans une autre époque, c'est si bien décrit, les personnages sont si bien campés, qu'on s'y "sent" physiquement,
j'ai aimé suivre en parallèle l'histoire de la jeune fille qui venant d'une boutique en faillite doit entrer comme vendeuse au "bonheur des dames"...

Bref je recommande.

Visionnaire et très bien constuit.

Ce n'est donc pas un coup de coeur mais une belle lecture, enrichissante et surprenante, que je suis contente d'avoir faite, les classiques et moi, on faisait un break depuis la fin de mon Master et il se peut qu'on se soit réconciliés sur l'oreiller !

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Paris est en ébullition ; de nouveaux colosses naissent de part et d'autre de la Seine , présageant la fin des petits commerces .
Le boulevard des grands magasins ne pouvait pas laisser de glace notre biologiste de l'âme humaine .
Désirs , séduction , rivalités féminines ; de tous ces ingrédients , Zola tisse l'histoire de Denise Baudu , simple vendeuse qui s'attire par sa grâce candide l'amour du directeur Octave Mouret . Dans un de ses rares romans qui finissent bien , Zola réalise une épreuve de force : faire d'une histoire de calicot et de prix de l'étoffe au mètre un " page turner " universel .

Ce n'est pas forcément un roman qui m'a plu, il est sympa mais la mode, ce n'est pas quelque chose qui m'attire et l'histoire d'amour n'est pas vraiment intense. C'est plutôt tous les dessous de la grande distribution qui sont sympas à découvrir.
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Un roman distrayant et foisonnant de détail sur le Paris de l'époque.

j avoue , j ai pris beaucoup de plaisir a lire ce roman, tres simple, tres feminin, tres frivole pour moi qui aime les livres avec de tres gros enjeux et un brin de suspense.

J ai beaucoup aime apprendre que deja a l epoque de Zola, on pensait a changer les emplacements des rayons pour que les clients se perdent dans le magasin, en fassent le tour, et au final achetent bien plus que ce qu is voulaient acheter au depart
il y aura aussi les promotions pour attirer les menageres qui acheterent tel article a tres bas prix, mais qui reviendront dans la foulee acheter d autres articles a un prix qui permette au marchand de se recperer un peu plus tard.
un bon petit cours de marketing
et une belle histoire d amour.