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3,87

sur 900 notes
L'un des seuls de la serie que je n'avais pas encore lu. le thème ne me plaît mas forcément mais je l'ai lu en moins d'une semaine. donc c'est un tome très interessant auquel on prend plaisir à retrouver Aristide Saccard. Jai vraiment bien aimé voir ce que prévoyait Zola pour ce personnage
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La plongee de Zola dans le monde boursier à quelques details pres cette histoire aurait pu se derouler actuellemet l'ambiance de la bourse et ses enjeux n'ont finalement que tres peu changés et le talent de l'auteur fait le reste : un excellent roman ici encore !
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Un roman toujours très symétrique dans sa conception mais efficace et d'une grande puissance.
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L'argent n'est pas, et loin s'en faut, le plus aimable des Rougon-Macquart.

Le sujet en est aride et le traitement fouillé à l'extrême, comme toujours chez Zola. Ce qui fait que le lecteur profane que je suis, qui ni ne lit "Les Échos", ni ne fait partie du fan-club de Jean-Pierre Gaillard, s'y est perdu souvent en conjectures.

L'argent, splendeur et misère(s) des boursicoteurs, c'est le retour sur le devant de la scène d'Aristide Saccart : après avoir tout perdu (cf. La curée), son appétit de revanche est immense. Il va donc refaire fortune et devenir l'un des maîtres de la Bourse.

Il crée la Banque universelle, utilise la presse, triche un peu, beaucoup puis passionnément, monte au firmament de la gloire et de la puissance avant de chuter et d'entraîner avec lui dans le caniveau une foule de braves gens trop crédules.

Saccart est charismatique, certes, mais Zola ne lui donne jamais vraiment la parole : c'est plus un "type" qu'un personnage. Cependant, le romancier a créé autour de son héros une foule de comparses, dont certains sont inoubliables.

On se souviendra avec émotion de la déchéance d'une fin de race, la Comtesse de Beauvilliers et du viol salace de sa fille Alice, du suicide de Mazaud, l'agent de change, trop honnête pour survivre au déshonneur ou des délires de Sigismond Busch, utopiste phtisique.

Mais Zola, comme souvent, excelle dans l'ignoble et ses deux plus sombres créatures sont l'infâme Busch l'aîné, usurier et trafiquant de valeurs dépréciées (je n'ai pu m'empêcher de penser au Jéricho de Pierre Renoir) et sa complice la Méchain, affreuse crapaude, marchande de sommeil et charognarde.

Enfin il y a d'abord et surtout, Caroline Hamelin, belle étude de femme forte et pleine de vigueur : son optimisme raisonné transcende tout le roman et empêche celui-ci de trop verser dans la noirceur.

Toujours d'actualité (les affaires Tapie-Crédit Lyonnais ou Kerviel-Société Générale le prouvent), L'argent, s'il n'a pas fait mon bonheur, y a contribué...
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une seule faute technique, toujours d'actualité
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lisez ce livre, et vous comprendrez que l histoire se repete et que les problemes d hier si bien connus si bien documentes, comme la crise du canal de Panama ou les emprunts russes n ont toujours pas servis d exemple
l histoire ne fait que de se repeter,
la preuve ?
la crise des subprimes aujourd hui.
La cupidite et la magouille ne cesseront jamais d exister.
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Que d'émotions comme à chaque fois à la lecture de Zola......
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J'étais sur ma lancée Zola, et j'ai lu que L'argent était la suite de la Curée, mon tout premier Zola dont je garde un bon souvenir. Je me suis donc jetée dessus et j'ai commencé à le lire au boulot (oui oui, moi j'ai le droit de lire, hahahaha). Mais malheur, je m'endors à chaque page et donc je ne me souviens même plus de qui parle ou du lieu où se trouve Saccard. Je pensais pouvoir avaler tout l'aspect économique du livre, vu que l'histoire ressemble beaucoup à ce qui s'est passé dernièrement. Mais il semble que ce ne soit pas le cas.

Je réserve donc mon jugement pour plus tard, quand je le reprendrai. J'ai lu 4 chapitres mais je me suis ennuyée. Soit je ne peux vraiment faire qu'un Zola par an, soit je choisis mal mes lectures chez lui.
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Non, trop c'est trop. Illisible, mortel d'ennui, ça tombe des mains, on n'en ferait pas cadeau à son pire ennemi. du blabla financier, mondanités, magouilles de boursicoteurs, escroqueries et copinages, vagues commentaires politiques.. Money, money, money
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Un roman sur l'argent ou plus précisément sur la bourse. Zola nous montre qu'il reste très moderne à lire, puisque tellement d'actualité !! Ce roman est très documenté et technique et il nous montre vraiment le fonctionnement de la bourse et ses dérives.
Pour autant, je trouve ce roman un peu moins attrayant que d'autres des Rougon-Macquart, car je n'ai pas vraiment accroché aux personnages et par ailleurs la fin était bien sûr prévisible.

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