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4,15

sur 5735 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
L'assommoir, c'est le Zola que j'ai eu le plus de mal à lire. Ce livre m'a prit 2 ans ! Je pense que c'est surtout parce qu'il était en quelque sorte devenu ma lecture de train (et encore quand je n'en avait pas un autre sur le feu!) ce qui fait que je ne lisais que quelques pages à chaque fois. Cependant cette lecture fragmentée ne m'a pas empêcher de savourer, j'ai eu quelques moments magnifique, notamment la soufflante au lavoir, ou encore le grand dîner. Je me suis remuée au début du mois pour (enfin!) le finir. Zola réussit avec ses mots à m'emporter là où il veux, ses belles descriptions détaillés qui rebute de nombreuses personnes, moi je les adore, elle me permettent d'entrer dans le décors, mais aussi de mieux comprendre les personnages.



Parlons en des personnages; commençons par Gervaise cette pauvre Gervaise sur qui tout les malheurs du monde tombe. Je me suis sentie triste pour elle, mais ce n'est pas un personnage auquel je me suis vraiment attaché. En réalité j'ai même penser que parfois si elle se retrouve dans cette situation c'est de sa faute. Après tout c'est vrai qu'au bout d'un moment elle finit vraiment à vivre seulement sur le paraître, elle dépense plus qu'elle ne gagne, mais où est passer la Gervaise du début ? Certes on peut dire que Coupeau à changer mais elle aussi, je pense que tout ne doit pas retomber sur Coupeau. Surtout Pour moi elle loupe sa chance quant elle décide de ne pas prendre le risque de partir avec Goujet. Coupeaux maintenant, je commence à connaître Zola, et j'attendais le moment fatidique où Coupeaux changerait et commencerait la descente aux enfers du couple. Ce moment vous ne serez peut être pas tous d'accord avec moi, mais c'est lorsqu'il tombe du toit. Il commence alors à moins travailler et commence à boire. Dès que je l'ai "vu" se retourner pour regarde Nana je me suis dit, ça y est c'est parti c'est le début de la fin. Nana, on la voit grandir, Zola devais déjà savoir ce qu'elle deviendrais car il insiste beaucoup sur le fait qu'elle est vicieuse et ce dès le début. Je n'ai pas encire lu Nana, mais c'est prévu j'ai bien envie de lire ce qu'elle est devenue. Lantier ! OMG c'est LE personnage que je j'aime autant que je le déteste ! c'est celui qui j'ai le plus apprécier découvrir, en faite j'aime le détester. Pour moi c'est un mélange de fouine et de renard, il est tellement rusé, c'est certainement le plus vil personnage du romans à mon avis mais il est toujours blanc comme neige aux yeux des autres personnages. C'est aussi celui qui fini heureux, un des rare. Il est fourbe haaa j'avais qu'une envie c'étais entrer dans le livre et secouer les autres pour qu'ils se réveille ! Et finalement je finit par l'apprécier pour ça, les autres son trop bête, et finalement... il a raison d'en profiter. C'est le plus intelligent du lot, mais aussi le plus lettré, j'ai d'ailleurs apprécier découvrir les prémices de Germinal dans ses paroles. Ça m'a fait plaisir de comprendre d'où Etienne tenais ses idées politiques.



L'histoire: Je connaissais l'histoire avant de lire le livre, qui n'a jamais entendu parler de cette pauvre Gervaise sur qui le sort ne cesse de s'acharner. Ce livre est l'un des plus grand succès de Zola et je comprend pourquoi même si ce n'est pas mon préféré. Il nous décrit la vie dans le milieu populaire de Paris dans un naturalisme parfais. On sent dans ses écrits qu'il cherche à être le plus près possible de la vérité. Il nous montre les difficultés de la vie, comment il est simple de basculer du mauvais côté, un accident, de mauvaises relations, mais aussi et surtout l'alcool qui finit par pourrir toutes les relations, et les personnes elles-mêmes.



En bref j'aime ce livre, j'aime cet auteur, c'est un classique et je comprend pourquoi.
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Un livre bouleversant et émouvant que j'ai lu très jeune. Gervaise ou comment une femme essaie d'échapper à son destin sans parvenir à y arriver. le récit de sa mort m'a même fait verser quelques larmes . Un livre à lire impérativement.
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Un grand, très grand Zola. Qu'est-ce qu'il a de plus que les autres romans ?
On s'attache à Gervaise, brave fille travailleuse, jamais très loin de réussir et de s'en sortir , mais si fragile, toujours à faire le mauvais choix, et dont la vie n'est qu'une lente, longue et inéluctable descente aux enfers. Alors c'est noir, très noir, toute possibilité de s'en sortir est broyée par la fainéantise, l'alcoolisme, l'égoïsme et le gaspillage des hommes qui l'entourent, d'abord Lantier, puis Coupeau.
C'est parmi les romans de Zola que j'ai lu celui où le style m'a le plus marqué : une prose qui colle aux personnages, avec ce qu'il faut d'argot là où il faut, et à la violence et la médiocrité qui entourent Gervaise.
Il y a aussi l'alambic de L'Assommoir du père Colombe qui est un vrai personnage à part entière, démoniaque.
Et malgré tout, et même si on sait que c'est du Zola, on lit en se disant qu'avec un peu de chance, Gervaise va y arriver.
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À la Goutte-d'Or, quartier populaire du Paris du XIX ème siècle, Gervaise Macquart vient d'être abandonnée par son amant, Auguste Lantier, lui laissant deux enfants à charge. Par la suite, après bien des insistances, elle succombe aux avances de Coupeau, un zingueur (qui s'occupe des gouttières sur les toits) qui est l'un des rares ouvriers du coin à ne pas boire une goutte d'alcool.
Ils se marient mais le bonheur ne dure qu'un temps, à cause d'un événement tragique qui sera le point de départ d'une longue et lente dérive les emmenant jusqu'au dénuement le plus total.


On ne peut pas imputer à Coupeau toute la responsabilité de cette chute, car Gervaise, dans son commerce a été extrêmement négligente dès le début. Quand elle s'est installée à son compte comme blanchisseuse, elle aurait dû commencer par rembourser l'argent que lui avait prêté son ami Goujet. Puis une fois cela fait, essayer de faire quelques économies pour les coups durs au lieu de le dépenser à tout bout de champ en nourritures et en grands repas. Elle aurait alors peut-être pût retarder au maximum la déchéance dans laquelle elle est tombée.



C'est un roman vraiment très noir, réaliste, rien ne nous est vraiment épargné de la grande misère dans laquelle vivaient ces gens. Je pense en particulier à cette pauvre fille, Lalie, maltraitée jusqu'à la mort par son père alcoolique et, elle, ne se plaignant jamais, trouvant toujours des excuses à sa folie meurtrière.

L'argot utilisé par les personnages est très appréciable, autant que toute la recherche qu'a effectué Zola pour rendre compte de la condition sociale des ouvriers parisiens.

Le titre du livre prend un double sens : l'assommoir est le nom du troquet dans lequel viennent se saouler les ouvriers, le démon de l'alcool est représenté par un alambic placé au milieu de la pièce.
L'assommoir signifie aussi ce que provoque l'alcool sur les gens qui en abusent (surtout de cette eau-de-vie de mauvaise qualité que l'on sert dans ce troquet justement), ils restent dans cet état d'hébétude en passant la journée à boire.

Dans le livre, il n'est jamais question de l'éducation des enfants. On dirait qu'ils cherchent à s'en débarrasser par tous les moyens. Que ce soit par les mettre en pension ou en apprentissage d'un métier.
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J'ai adoré ce roman du début à la fin, mais j'aime tellement Zola qu'on peut se demander à quel point je reste objective.
Ce que je sais, c'est que je ne pourrai plus jamais visiter le Louvre sans y penser !
Quant à la scène centrale, elle est, je crois, inoubliable tant on est pris à la gorge. C'est du cinéma avant l'heure. Eh oui, Maître Zola ne réussit pas que les descriptions statiques...
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Septième Rougon-Macquart. Cette fois-ci c'est l'histoire de Gervaise, fille d'Antoine et Joséphine Macquart.

Elevée très vite sous les coups paternels et initiée à l'alcoolisme maternel dans l'enfance, elle va se retrouver enceinte à 14 ans du jeune Lantier. A la mort de sa mère, et avec son petit héritage, celui-ci l'emmène à Paris avec de grands projets mais il l'abandonne avec leurs deux garçons après quelques semaines seulement.
Rien ne semble sourire à Gervaise, ni lui simplifier la vie. Et pourtant! Ses ambitions modestes - travailler tranquille, manger toujours du pain, avoir un trou un peu propre pour dormir, élever ses enfants et ne pas être battue - la rendent terriblement attachante et elle réussira à obtenir tout cela pour un temps. Elle aura même sa propre blanchisserie et l'on pourra penser qu'elle n'est pas loin d'obtenir la même réussite sociale que sa soeur Lisa (Le ventre de Paris).
Mais Gervaise n'est pas destinée à s'en sortir… Victime de son milieu social? Victime des hommes qui la choisissent? Elle n'a jamais réellement choisi ses amants. Elle subit Lantier à 14ans. Elle cède à Coupeau après de longues semaines de tentatives de séduction assidues. Elle refusera jusqu'au bout le seul pour lequel elle semble avoir des sentiments sincères, alors même qu'il semble le seul capable de la sortir de son inextricable situation.

Et derrière cette terrible destinée, pèse la lourde présence de l'Alambic de l'Assommoir, présence terrible et omniprésente, tel l'oeil de Sauron sur la terre du milieu… ;-)

Zola a été très critiqué pour ce 7ème roman, jugé vulgaire par les conservateurs et méprisant par les républicains, il signe pourtant le début du réel succès de la saga.

Ce roman est toujours d'actualité en cela qu'il dénonce toute la difficulté de s'extraire d'une situation sociale peu enviable et les inégalités inhérentes au système de classes. Aujourd'hui, il existe bien heureusement des aides qui limitent ces situations d'engrenage terribles, mais il faut garder en tête que les oubliés du système sont toujours là. L'histoire de Gervaise n'est pas une fiction.
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Le titre est tout un programme. Dans la préface, ci-dessus, Zola s'explique. Il n'y aura pas de surprise, le dénouement est contenu dans ce mot l'« Assommoir« . le lecteur doit s'attendre à un Zola très noir : âmes sensibles s'abstenir, rien ne sera épargné dans la déchéance de Gervaise et de Coupeau.

Contrairement aux opus précédents datés très précisément et dont l'action se déroulait en une courte période, L'Assommoir s'étale sur une vingtaine d'années.

Au début, Gervaise, 22 ans, est la fille d‘Antoine Macquart et, la soeur de Lisa, la belle charcutière du Ventre de Paris. Elle a quitté Plassans avec Lantier et leurs deux enfants. le roman s'ouvre sur la désertion de Lantier et une terrible bataille au lavoir entre Gervaise et Virginie, la soeur de la nouvelle maîtresse de Lantier. Morceau d'anthologie entre ces deux lavandières qui se frappent avec le battoir. Gervaise est courageuse, blanchisseuse, excellente ouvrière, jolie ; elle refait sa vie avec un ouvrier zingueur, Coupeau. le ménage vit dans une relative opulence entouré de famille, d'amis et voisins très proches. L'un d'eux Gajet, un forgeron, avance le financement de la boutique de Gervaise.





L'Assommoir se déroule entre la Goutte d'Or et la Porte Saint Denis dans le milieu ouvrier. L'art de Zola est de faire vivre ces différents ouvriers en décrivant les ouvriers au travail : le lavoir et le repassage des blanchisseuses (tri du linge, repassage fin de chemises d'hommes, de bonnets…On voit Coupeau à l'ouvrage de zingueur sur le toit, et l'accident qui va changer la fortune du ménage. Frappante description de la fabrique de boulons, duel des forgerons au marteau pour fabriquer une pièce à la main alors que les machines commencent à remplacer le travail artisanal, et la paie des boulonniers diminue.

Cependant, ce roman est loin d'être un catalogue des métiers : chaque personnage a une personnalité complexe qui évolue avec le temps. Gervaise, même abandonnée avec deux enfants par Lantier est une battante qui ne se laisse pas décourager, elle a de l'énergie et du charme, un bon métier et toutes les chances de réussir un nouveau départ avec Coupeau. Autour de Coupeau gravitent sa famille, sa mère, ses soeurs et cousins. Tout ce monde se fréquente, se jalouse, se retrouve pour des ripailles réjouissantes.

Avant de boire, on mange, et on mange la boutique!

« Lorsqu'on a un homme qui boit tout, n'est-ce pas ? c'est pain bénit de ne pas laisser la maison s'en aller en
liquides et, de se garnir d'abord l'estomac. Puisque l'argent filait quand même, autant valait-il faire gagner au boucher qu'au marchand de vin. »

Autant les beuveries dans les estaminets, à l'Assommoir sont déprimantes, autant les grandes tablées à l'occasion de la fête de Gervaise ou de la communion de Nana sont réjouissantes. Zola nous décrit les emplettes, les préparatifs, les plats qui se succèdent. Toute la famille est conviée, les ouvrières, les voisins, et à la fin tout le quartier profite des réjouissances. Une visite au Louvre des convives est tout à fait comique.

C'est aussi le roman des amitiés, fraternités d'atelier, de bistro, la familiarité de Copeau et de Lantier s'explique par cette convivialité. Entre femmes aussi, on s'entraide, on s'amuse. Evidemment, jalousie, ragots sont aussi de mise quand la bonne fortune de Gervaise a tourné et quand la misère s'installe.

Nana, adolescente, voit ses parents sombrer:



« C'est que, dans le ménage des Coupeau, le vitriol de l'Assommoir commençait à faire aussi son ravage

[…]
quand un père se soûle comme le sien se soûlait, ce n'est pas un père, c'est une sale bête dont on voudrait bien
être débarrassé.

[…]
des heures et sortant de là avec les yeux hors de la tête. Lorsque Nana, en passant devant l'Assommoir,
apercevait sa mère au fond, le nez dans la goutte, avachie au milieu des engueulades des hommes, elle était prise d'une colère bleue, parce que la jeunesse, qui a le bec tourné à une autre friandise, ne comprend pas la boisson. »

Viendra finalement la déchéance. Conséquences ultimes de l'alcoolisme, la folie et la clochardisation.

Je croyais lire un roman très sombre. La fin, certes, est noire, mais avant quelle vie!





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Mais quel roman !
Je n'avais jamais lu l'Assommoir et pas lu un roman de Zola depuis l'adolescence et j'en avais de bons souvenirs quoique très vagues...
Quelle écriture, d'une telle précision avec des scènes incroyables, d'une telle vérité, d'une crudité, d'un réalisme, d'une violence aussi : que ce soit celle du mariage avec la visite au musée, celle du repas de fête ou de la visite à la forge, de la description de la boutique, de l'enterrement de Mme Coupeau...
J'ai VU toutes les scènes, tous les lieux, sans jamais m'ennuyer aux descriptions, elles sont vivantes, cinématographiques - oups, anachronisme ! -
Les dialogues sont aussi d'une précision incroyable. La langue est belle, celle des ouvriers du Paris du XIXe, de l'argot, des expressions populaires, une langue savoureuse mais cruelle qui dit la violence de cette vie de misère.
E. Zola décrit un monde ouvrier en pleine transformation, à l'image du quartier en pleine mutation de la Goutte d'or, démolition des masures pour ouvrir les boulevards, élever les immeubles sculptés. Un Paris qui s'embourgeoise et la grande misère qui persiste autour... cela reste hélas vrai.
Dans ce roman, le grand thème est l'alcoolisme, celui des ouvriers et des petits artisans, des pauvres gens. Associer ouvriers et alcoolisme a été reproché à Zola, c'était donner une image dégradante de la classe ouvrière ...
Il n'y avait pas qu'eux pour s'arsouiller ! mais ce n'était pas son sujet. L'alcoolisme a été un vrai fléau en France, jusqu'à peu, les enfants buvaient du vin à table - je l'ai connu !
Cette pauvre Gervaise.... trop bonne, trop c...e, voulant faire le bien, incapable de résister, entre autre aux avances de Lantier, cette vermine. Dépressive ? née d'une mère alcoolique et d'un père violent. Une femme aussi du 19e, sous l'emprise des hommes, misérables parmi les plus pauvre.
On voit d'où l'on vient ... la femme Bijard assassinée par son mari ivrogne qui ne sera pas inquiété, il tuera sa fille ensuite ... le père Bru et la mère Coupeau, vieux et inutiles, ne peuvent plus travailler et dépendent de la charité des autres.
Les femmes et les filles, pincées par les hommes, chahutées soit trop prudes soit trop faciles ... Les enfants placés à travailler dès leurs 8 ans, loin de leurs parents, frappés, rabroués, ramenant quelques sous. Les journées de travail qui n'en finissent pas, l'attente d'en trouver pour la journée, la peur de le perdre... Les accidents du travail sans aucun secours, ni aide.
Ce roman est d'une telle richesse ! Les odeurs, des mauvaises, celles corporelles, celles du linge - quelle tâche de laver au lavoir ! -, des rues ... les lumières, les couleurs... La description des grains de peau, la rondeur des corps ou leur maigreur maladive, la description de la faim qui rend Gervaise folle, de la folie de Coupeau au stade final du délirium tremens.
La méchanceté des gens, les ragots qui tuent, l'aigreur, la jalousie; quelques rares solidarités, quelques bonnes âmes - celle de Goujet et celle de Gervaise bien sûr, qui se débat, se démène mais malgré elle, chute, est engloutie.
Et en quelques lignes, la mort de Gervaise... Fin, terminée, emportée ... Elle dont le rêve était de mourir dans son lit.
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Un pur chef-d'oeuvre. Zola nous émeut aux larmes. le lecteur est happé par la destinée tragique de cette pauvre Gervaise. Zola réussit à transcrire avec un tel brio la déchéance humaine liée à l'alcoolisme et décrit si puissamment le milieu ouvrier parisien de la deuxième moitié du XIXème siècle. Un de ses romans les plus incisifs et percutants. A lire et à relire absolument !
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Un tout grand roman que celui-ci. Où l'on découvre l'enfer des ouvriers dans le Paris du XIX ième siècle et le courage extraordinaire d'une femme, Gervaise Coupeau, afin de pouvoir entretenir sa famille. L'on découvre également la déchéance de cette même femme qui a plongé dans l'univers destructeur de l'alcool ! Beaucoup de personnages, tous plus attachants les uns que les autres. Des scènes cocasses parfois mais aussi des scènes très émouvantes.
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