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Critiques de André-Paul Duchâteau (173)
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Ric Hochet, tome 4 : L'Ombre de Caméléon

Ce quatrième tome intitulé L'ombre de Caméléon nous fait retrouver le personnage de méchant du premier tome de la série qui comprenait une histoire intitulée Signé Caméleon et en constitue une suite très réussie.



L'album commence par une scène incroyable puisque Ric Hochet est emmené menottes aux poignets par la police devant sa concierge qui n'en revient pas qu'un si gentil garçon, si poli et serviable, se fasse arrêter.

En fait, c'est pour les besoins d'un reportage et Ric se fait volontairement incarcérer incognito pour témoigner des conditions de vie des détenus.

Après ce début d'album très moderne, on profite tout au long de 64 pages bien remplies d'une enquête riche en fausses pistes et en rebondissements, avec des moments particulièrement dramatiques où l'on craint le pire pour Ric Hochet et le commissaire Bourdon.

Franchement, on ne peut être que nostalgique d'une telle qualité de BD!



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Ric Hochet, tome 8 : Face au serpent

Bon, j’ai confirmation que Ric Hochet a acheté sa veste en au moins deux exemplaires, le premier ayant trinqué dans une bagarre, le second a vite suivi.

Je me demande aussi comment un garçon aussi sympathique peut finalement avoir des gouts aussi exubérants comme en témoignent ses Porches ou Volvos jaunes ou rouges ?


Quand à cette nouvelle aventure face au redoutable Serpent, elle est quand même un peu au-dessous de l'originalité des deux précédentes. Elle mesure son suspense mais finalement file très vite ! Mais il est vrai que depuis « Rapt sur le France », les albums sont plus raisonnablement passés à une quarantaine de pages plutôt qu’à soixante.
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Ric Hochet, tome 32 : Tribunal noir

Un Ric Hochet tout en tension psychologique mais qui ne néglige aucunement l'action. Même s'il me semble reprendre un scénario déjà vu dans un des feuilletons « Les mystères de l'Ouest », cela se suit avec intérêt.

Dessins de Tibet, assisté de Desmit toujours aussi efficace et remarquable approche réaliste de tous les véhicules utilisés, du bon travail comme à l'habitude des créateurs de la série.

Paris tenus pour Duchâteau : assommer Ric, (le moins difficile) et détruire sa Porsche dans presque chaque album !
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Ringo - Intégrale

Le Ringo de cet album n'est pas parent avec celui qui chantait ♫ Laisse les gondoles à Venise ♪.



Non, lui, il aurait plutôt chanté : ♫ Laisse l'or de la Wells Fargo tranquille ♪ Ou t'y laissera ta chemise ♪



Notre Ringo évolue dans le far-west violent, où les bandits attaquent les fourgons transportant des coffres remplis d'or, magouillant pour faire tomber dans une embuscade le convoi d'or et Ringo, agent de la Wells Fargo est là pour les en empêcher.



Nous sommes dans un western datant des années de publication de l'hebdo Tintin (1965) et je ne le connaissais pas du tout (premièrement, pas mon époque et deuxièmement, je lisais des vieux hebdos Spirou, pas des Tintin).



Le western étant mon dada, je me suis laissée tenter par cette intégrale qui réunit les deux précédentes intégrales de Ringo (Tout Vance, tome 08 : L'intégrale Ringo, 1ère partie" et "Tout Vance, tome 09 : L'intégrale Ringo, 2ème partie").



William Vance, je le connais de Ramiro et surtout de mon chouchou XIII (qui à un moment donné s'est perdu, je sais). Les dessins sont donc comme je les aime, j'étais en terrain plus que connu. Ce sont des dessins réalistes, les chevaux sont bien faits, les visages aussi et on retrouve les mêmes traits que dans XIII.



Les scénarios sont assez conventionnels, dans le plus pur esprit des bédés western des années 60/70 : le gentil est gentil et les méchants sont méchants.



De plus, Ringo, gentil comme il est, n'assassine pas les voleurs, les bandits, mais leur laisse une chance. Bref, un boy-scout bien aimable, mais qui tire bien et vise juste. Un Lucky Luke en plus réaliste, mais pas au point d'un Blueberry ou d'un Durango.



Hormis la dernière aventure qui se déroule dans la neige et le blizzard (où personne ne tousse, n'est trempé, ne se perd) qui m'a moins emballée, je ne peux pas me plaindre de la qualité des autres : elles sont correctes, pour l'époque (il faut se replacer dans le contexte de l'époque).



Rien de transcendantal, bien entendu, rien d'exceptionnel, mais des aventures western agréables à lire, plaisantes, sans fioritures, dans l'air du temps, à la Jerry Spring, un peu.



Maintenant, si vous n'êtes pas fan de western, passez votre chemin, vous ne trouverez pas votre compte, sauf si vous aimez les preux chevaliers poursuivant les vilains pas beaux qui volent l'argent des banques ou des mines.



Les amateurs de bédés western y trouveront leur compte, excepté s'ils cherchent du réalisme... Non pas que ces histoires ne soient pas réalistes, loin de là, mais quand les bons gagnent toujours, on quitte le réalisme.



Malgré tout, je suis contente d'avoir découvert ce héros western dans cette intégrale.


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Les aventures de Chick Bill, Tome 1 : Le fi..

Une BD antropomorphique où l’on retrouve tous les éléments d’un western ;

Des visages pâles, des peaux rouges oui ils étaient encore dénommés ainsi au moment de la parution, des animaux sauvages, des duels et des personnages patibulaires qui vont et viennent dans un joyeux capharnaüm.

Des dessins assez primaires voire primitifs, drôles à retrouver en 2022.

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Rouletabille, tome 3 : le parfum de la dame..

Globalement une belle BD, les couleurs vives de la Côte d’Azur, des dessins très précis dans les décors intérieurs, mais pas toujours assez précis pour les visages. Il y a un point sur lequel je ne peux donner un avis : je n'ai aucune idée de ce que donne le scénario de la BD pour quelqu'un qui n'a pas déjà lu l'histoire de Gaston Leroux. Je ne me rends pas compte du suspens et de la progression de l'intrigue car celle-ci est légèrement modifiée, ce qui m'a déroutée. Certaines modifications de détail ne me paraissaient pas indispensables : elles ne semblent pas prendre moins de place (pour rentrer sur 48 pages). Enfin, on retrouve avec plaisir quelques phrases de dialogue du roman d'origine.

Le dessin est bon : j'apprécie les décors, tant intérieurs qu'extérieurs, et les couleurs gaies et équilibrées. Concernant les personnages, mon seul regret est que les visages soient trop souvent seulement ébauchés. Bien sûr, c'est de la BD, mais entre la précision des décors et la suggestion minimaliste des visages, je trouve qu'il y a trop de décalage. Quand par hasard il y a un seul visage de face et au premier plan, il est assez précis, mais dès qu'ils sont en plan moyen, ils sont souvent juste esquissés. Les costumes d'époque sont bien faits et les personnages sont compatibles avec la perception que je m'en faisais à partir du roman de Gaston Leroux.

En résumé : dessin et couleurs agréables, j'ai apprécié de voir enfin ce roman accompagné de belles images (contrairement aux adaptations ciné de B Podalydès qui m’ont beaucoup déçue). J'espère que cette BD donnera envie à quelques lecteurs de lire un jour le roman original… (et pas pour le lycée !!!) En dehors de la BD, la version audio (texte intégral) est pour moi plus agréable que le livre, il faut croire que je suis encore plus auditive que visuelle.
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Ric Hochet, tome 8 : Face au serpent

Gros coup de mou au niveau du scénario pour ce huitième tome de la série.

Je n'ai pas aimé cette histoire de chantage, j'ai trouvé que les enchaînements dans l'histoire ne se faisaient pas bien ou reposaient sur des ficelles un peu grosses, notamment quand Ric agit sous l'emprise de la drogue. Le méchant n’est pas non plus bien identifié entre le serpent et le docteur, c’était plus clair avec Caméléon dans les tomes précédents.

Le seul intérêt de cet album réside peut-être dans le fait que l'on découvre que Ric possède 2 exemplaires de son horrible veste en cas de besoin…..

Et puis il y a toujours ce charme suranné avec des expressions totalement datées (comme buisson creux par exemple) qui nous font replonger dans la France des Trente Glorieuses. Cette BD en retire presque une valeur de témoignage historique.
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Ric Hochet, tome 46 : Les Témoins de Satan

Une nouvelle histoire, une nouvelle énigme policière assez machiavéliquement orchestrée par le grand Duchâteau dont on ne dira jamais assez le talent. Il était égal à celui de bien des auteurs de romans policiers à énigme pourtant beaucoup plus connus que lui.

L’intrigue est accrocheuse et se situe cette fois encore en plein coeur de Bruxelles. Il faut à ce propos signaler les fabuleuses vues de la ville que l’on doit à Didier Desmit qui collabore depuis plusieurs albums au duo Tibet/Duchâteau pour les décors.

Ric, cette fois, se fait assommer trois fois et tirer dessus mais il a le crâne dur et le cuir solide. Je crains toutefois qu’il ne finisse par déclencher une maladie d’alzheimer à l'égal de ces vieux boxeurs aux neurones trop ébranlés !
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Ray Ringo - Intégrale, tome 1

Le Ringo de cet album n'est pas parent avec celui qui chantait ♫ Laisse les gondoles à Venise ♪.



Non, lui, il aurait plutôt chanté : ♫ Laisse l'or de la Wells Fargo tranquille ♪ Ou t'y laissera ta chemise ♪



Notre Ringo évolue dans le far-west violent, où les bandits attaquent les fourgons transportant des coffres remplis d'or, magouillant pour faire tomber dans une embuscade le convoi d'or et Ringo, agent de la Wells Fargo est là pour les en empêcher.



Nous sommes dans un western datant des années de publication de l'hebdo Tintin (1965) et je ne le connaissais pas du tout (premièrement, pas mon époque et deuxièmement, je lisais des vieux hebdos Spirou, pas des Tintin).



Le western étant mon dada, je me suis laissée tenter par cette intégrale qui réunit deux albums de Ringo ("Piste pour Santa Fe" et "Trois salopards dans la neige").



William Vance, je le connais de Ramiro et surtout de mon chouchou XIII (qui à un moment donné s'est perdu, je sais). Les dessins sont donc comme je les aime, j'étais en terrain plus que connu. Ce sont des dessins réalistes, les chevaux sont bien faits, les visages aussi et on retrouve les mêmes traits que dans XIII.



Les scénarios sont assez conventionnels, dans le plus pur esprit des bédés western des années 60/70 : le gentil est gentil et les méchants sont méchants.



De plus, Ringo, gentil comme il est, n'assassine pas les voleurs, les bandits, mais leur laisse une chance. Bref, un boy-scout bien aimable, mais qui tire bien et vise juste. Un Lucky Luke en plus réaliste, mais pas au point d'un Blueberry ou d'un Durango.



J'ai moins bien aimé "Trois salopards dans la neige", qui se déroule dans le blizzard (où personne ne tousse, n'est trempé, ne se perd).



"Piste pour Santa Fe", quant à elle, ne manquait pas de suspense et d'action. Un scénario plus élaboré, je trouve.



Malgré tout, les deux histoires sont correctes, pour l'époque (il faut se replacer dans le contexte de l'époque).



Rien de transcendantal, bien entendu, rien d'exceptionnel, mais des aventures western agréables à lire, plaisantes, sans fioritures, dans l'air du temps, à la Jerry Spring, un peu.



Maintenant, si vous n'êtes pas fan de western, passez votre chemin, vous ne trouverez pas votre compte, sauf si vous aimez les preux chevaliers poursuivant les vilains pas beaux qui volent l'argent des banques ou des mines.



Les amateurs de bédés western y trouveront leur compte, excepté s'ils cherchent du réalisme... Non pas que ces histoires ne soient pas réalistes, loin de là, mais quand les bons gagnent toujours, on quitte le réalisme.



Malgré tout, je suis contente d'avoir découvert ce héros western dans cette intégrale.

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Ric Hochet, tome 44 : Ric Hochet contre She..

La série Ric Hochet est à côté d'autres grands héros de la bande dessinée, un symbole du 9ème art.



Ric Hochet contre Sherlock Holmes est à la fois un très bon cru de la série mais surtout une bande dessinée de grande qualité, un joyau de la bande dessinée franco belge, rien de moins. Comme si cela ne suffisait pas, cet album est également un très bon apocryphe des aventures du grand détective même si ce dernier n'est pas vraiment de la partie (cela tout le monde l'aura compris).



L'intrigue nous offre plusieurs mystères en chambres closes, appelés ici des meurtres impossibles, des fausses pistes, l'apparition de Moriarty (mais pas de Watson ni d'Irène Adler cela dit). Tout cela sur fond de séances de spiritisme. Le rythme est haletant et l'on ne sait pas vraiment qui va être la prochaine victime. Les personnages sont attachants.



Bon, il faut bien reconnaître que l'identité du grand méchant ne sera pas vraiment une grande surprise. Un je-ne-sais-quoi nous met sur la piste assez rapidement, sans pour autant en révéler trop ! Le scénario est assurément habilement mené. Sauf que Ric Hochet en fera les frais.



Le style est ici clairement maîtrisé. les dessins arrivent à transcrire des ambiances des lieux (ah le passage par la brasserie de la Gueuse...), les sentiments des personnages. Une belle surprise nous attendra sur la dernière planche.



Bref : voici un grand classique, à remettre entre toutes les mains, notamment à celles et ceux qui vénèrent le grand Sherlock Holmes !
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Ric Hochet, tome 21 : Alerte ! Extra-terres..

Les couvertures des Ric Hochet sont toujours remarquables et celle-là n’échappe pas à la règle.

L’album parait dans les années 70 après des cas retentissants d’observations d’OVNI en France dont ceux de Valensole et de Trans-en-Provence. Mais ici l’action va se situer dans un village imaginaire de Bretagne où de mystérieuses entités sèment la terreur.

Scénario et dessins sont excellents et ménagent un suspens croissant.

Tibet s’est amusé à croquer Gabin dans le rôle d’un directeur de carrières acerbe et Giscard d’Estaing tout comme Poniastowski font même une petite apparition, ennuyés par ces rumeurs de méchants extra-terrestres.
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Ric Hochet, tome 12 : Les Compagnons du dia..

Cette fois, Ric Hochet a affaire au Diable en personne, ou presque, ni plus ni moins ! 
Il va d'ailleurs y laisser sa Porsche jaune !


L'album sort en 1970, deux ans après le grand succès de la série télévisée "Les Compagnons de Baal" dont il rappelle un peu l'idée. On retrouve avec plaisir R16, Simca 1000 et 4L dans les paysages de Cannes ou de paris.

Et Ric, accompagné de Bourdon, ne va pas chômer ! Cependant, si la trame diabolique est un peu faible et vite éventée, le plaisir reste intact à la lecture de ce plaisant album.
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Sherlock Holmes revient

André-Paul Duchâteau est le scénariste de Ric Hochet, une bande dessinée que j’adore, du moins, dans les 19 premiers titres.



Ce scénariste s’est aussi attaqué à Sherlock Holmes et je n’ai pas vraiment apprécié la saga qu’il avait publiée dans les années nonante (80+10) aux éditions Lefranq, dans leur collection Bdétectives.



Ce petit roman regroupant 4 nouvelles écrites par Duchâteau, je l’avais acheté en 1996, lors de sa sortie et après 22 ans, je n’avais plus aucun souvenir de ce que j’avais éprouvé comme sentiments de lecture à l’époque.



Le Mois Anglais de 2018 était donc une bonne occasion pour ressortir de mes étagères ces nouvelles de mon détective préféré, me permettant ainsi d’augmenter les chroniques apocryphes sur Sherlock Holmes.



Vu mes précédentes déconvenues, c’est avec beaucoup de circonspection que j’ai entamé ma lecture.



Verdict docteur ? Faudra pas le piquer ! Il est tout ce qu’il y a de plus correct et Holmes s’épanouit toujours mieux dans le format des nouvelles que dans celui des romans de longues haleine.



Je soulèverai tout de même un point qui me hérisse les poils (avant épilation) : le docteur Watson qui appelle Holmes par son prénom ! Crémildiou, quelle hérésie !


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Ric Hochet, tome 6 : Rapt sur le France

Un de mes Ric Hochet favoris!

Je l'ai lu, semaine après semaine (suspens intolérable entre deux numéros) dans l'hebdomadaire Tintin de 1966/1967.

La traversée sur le France, et cette bande de truands acharnés à enlever le savant, fascinait et captivait le jeune lecteur que j'étais (et que je suis toujours).

Le méchant de l'histoire, vieille connaissance de Ric Hochet, ne se démasque qu'à la fin du récit.

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Sherlock Holmes - B.Détectives, tome 2 : Le c..

Cette adaptation en BD du célébrissime roman a juste rempli l'office que je lui ai demandé, en l'empruntant à la bibliothèque locale: me remémorer l'intrigue oubliée, lue il y a trop longtemps.

Dans ce cadre, cela tient bien la route. Autrement, un condensé de roman en 44 planches ne peut forcément pas atteindre le niveau du roman original.



Même si je n'ai pas adhéré au style graphique du dessinateur, je trouve que l'ambiance mystérieuse de la lande est très bien rendue (bon choix de colorisation surtout).
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Hans, tome 2: le prisonnier de l'eternite

"Hans" est né, au début des années 80, de la la collaboration de Duchateau, écrivain, scénariste, et de Rosinsky, dessinateur. Elle a paru, à l'époque, dans les pages de "Tintin" avant de paraître au "Lombard" sous forme d'albums.

C'est une excellente série de science-fiction, injustement un peu méconnue.

Elle a été, à mon avis, poussée dans l'ombre par le succès de "Thorgal" dessiné dans les mêmes temps par Rosinsky.

Mais elle mérite largement d'être redécouverte.

Les habitants de la terre, toutes races confondues, après le grand désastre, sont venus habiter une seule cité, contrôlée par un gouvernement mondial. L'organisation de cette nouvelle humanité est confiée à "Moloch" un ordinateur central surpuissant.

Mais, dehors, vivent des humains qui retournent à de "vieilles habitudes sales et rétrogrades". Ils sont pourchassés sans pitié car ils organisent au sein, même de la cité un trafic d'objets "d'avant" qui sont frappés d'interdiction.

Dans ce deuxième album, qui peut se lire indépendamment, nous retrouvons Hans, allongé dans l'herbe, goûtant un repos bien mérité.

Les souvenirs de sa dernière mission ont été effacés de sa mémoire. Mais soudain le décor s'efface, Hans, allongé dans une cabine futuriste reçoit un appel immédiat, de Valsary, qui le charge d'infiltrer "les extérieurs" et de les détruire.

Et Hans se souvient. Lors de sa précédente mission. Les vigilants ont tué la belle Orchidée, la femme qu'il aime. Il décide donc de voler un translateur et de retourner vers elle dans le passé...
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Ric Hochet, tome 56 : Un Million sans impôts

Suite des enquêtes franco-belges de Ric Hochet sur le thème éprouvé de l’entourage douteux d’un ascendant à héritage.

Un album moins « physique » pour notre enquêteur et où il est toujours assez surprenant de constater la violence de la représentation de deux meurtres et une allusion directe à une scène de sexe interrompu.

Ric Hochet visait donc un public plus adulte tout en continuant de paraître dans Tintin qui, il est vrai, se lisait de 7 à 77 ans.

A noter qu’il s'agit d’une aventure à suivre dans « L’heure du Kidnapping ».
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Ric Hochet, tome 44 : Ric Hochet contre She..

Je retiendrai de ce tome les quelques cases consacrées à la Brasserie Cantillon, qui abrite également le musée bruxellois de la Gueuze. Si vous ne connaissez pas la Gueuze... vous ratez quelque chose. Mais inutile de lire ce tome en guise de punition...



Ric Hochet et Bourdon se retrouvent mêlés à des meurtres commis dans le cadre d'un club de spirites. Quelques célébrités en mal de sensations fortes font tourner les tables... Esprit es-tu là et tutti quanti. Cela vaut quelques saillies de Bourdon très en verve au début du tome. Hélas, dès que les morts s'accumulent, Bourdon redevient bougon et son humour s'étiole.



Mais Ric va avoir la partie difficile. Au cours d'une partie de spiritisme, l'esprit de Moriarty se manifeste et c'est un Sherlock Holmes réincarné qui affronte le journaliste.



Le tome se sauve légèrement par une dernière planche très bien amenée et qui rebat un peu les cartes. On découvre un Ric Hochet différent, sans spoiler, qui prend quelques libertés avec la vérité et met son ego dans sa poche avec son mouchoir par-dessus.
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Ric Hochet, tome 51 : La Bête de l'apocalypse

Un ric Hochet de facture classique mais non mois agréable à suivre.

En tout cas, un opus où les femmes sont très présentes y compris les admiratrices du beau détective.

Mais il a un rival ici, le commissaire Mariel, qui a toute l’apparence de… Gérard Depardieu !

Cette idée donne une autre dimension à cette « Bête de l’Apocalypse ».
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Ric Hochet, tome 41 : La Maison de la venge..

Ric Hochet ne croit pas aux phénomènes paranormaux, il l’a affirmé haut et fort à plusieurs reprises. Aussi, les pièges de cette maison hantée n’impressionnent ni le journaliste ni le commissaire Bourdon invités à donner leur opinion sur des événements déroutants.

Le scénario a un air de déjà vu, il nous donne quand même la sympathique occasion de rencontrer quelques célébrités du monde des polars des années 80 et de retrouver l’inénarrable professeur Hermelin qui n’a jamais brillé par son courage mais c’est bien loin d’être suffisant pour nous passionner.
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