Il existe plusieurs adaptations BD du "Journal d'Anne Frank", mais celle-ci est particulièrement réussie. Les illustrations sont originales, avec des couleurs vives, pleines de pep's, et des parti-pris audacieux qui restent néanmoins fidèles à l'esprit du "Journal". Une scène m'a particulièrement marquée : c'est celle où les habitants de l'Annexe sont représentés sous les traits d'animaux et l'on imagine tout à fait qu'Anne, avec son côté rebelle et espiègle aurait pu les dessiner ainsi. Même si l'histoire se déroule pendant la seconde guerre mondiale, il est très facile de s'identifier à Anne, qui nous décrit son premier amour, la relation tendue avec sa mère, ses rêves... Finalement c'est une adolescente comme les autres. Certes, elle est très mûre pour son âge, mais elle sait aussi se montrer têtue et drôle. On est vraiment plongé dans le quotidien de l'Annexe et des soucis très concrets de ses habitants (la nourriture par exemple). La guerre et l'extérieur passent un peu au second plan car tout est raconté du point de vue d'Anne. Maintenant que j'ai moi aussi vécu confinée dans un appartement avec les membres de ma famille 24h sur 24, je peux comprendre cela. Si on me demandait de raconter mon expérience, moi aussi je parlerais des inévitables tensions familiales, de petits détails du quotidien, de mes rêves, et pas forcément de la situation dans le monde ou dans les hôpitaux.
Pour conclure, lisez cette adaptation accessible du "journal d'Anne Frank". Pour ceux qui ne l'ont jamais lu, vous découvrirez qu'il ne s'agit pas du tout d'un livre historique ennuyeux, mais d'un journal intime qui n'a pas pris une ride, et si vous l'avez déjà lu vous le redécouvrirez sans doute sous un nouveau jour.
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Cette adaptation de qualité m'a donné envie de relire le journal d'Anne Frank... quelques années plus âgée. Le regard sur ses confidences a changé sans aucun doute. Cette adaptation lui rend honneur: entrée dans son journal par la bande dessinée, pourquoi pas? Il est à noter que le texte colle de près à l'original au risque de paraître long pour qui cherche dans la bande dessinée un texte épuré.
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Par Jérémi
Pendant la 2ème Guerre Mondiale, Anne Frank et sa famille sont forcés de déménager à Amsterdam pour échapper aux soldats allemands dirigés par Hitler et qui persécutent les juifs. La famille fait semblant de partir mais en fait, ils se cachent dans l’Annexe. Ils doivent cohabiter à huit sans se faire repérer : interdiction d’ouvrir les fenêtres et les rideaux, interdiction du faire du bruit en journée. Anne commence à écrire dans son journal intime, elle s’adresse à une amie imaginaire, Kitty. Dans ce journal, Anne parle de sa vie d’avant, de la vie dans l’Annexe et de ce qu’elle ressent.
J’ai aimé lire cette BD car c’est un témoignage historique qui fait passer un message contre le racisme religieux. Je me suis identifié à Anne Frank, j’ai ressenti de la tristesse et de la colère face à ce qu’elle a vécu. Le dessin de la première de couverture montre bien qu’Anne était isolée même si sa famille était présente. Son journal lui permettait d’oublier un peu ou elle était et de partir dans un monde imaginaire, ce qui est bien représenté dans la BD.
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Anne Franck est une jeune fille juive pendant la seconde guerre mondiale. Ce roman touchant est très réaliste car c'est le journal tenu par Anne elle même. Il raconte principalement son histoire dans l'annexe: un petit grenier au-dessus de l'usine de son père où ils ne doivent pas faire de bruit pour ne pas attirer les soupçons. Ils vivent dans la peur perpétuelle de se faire arrêter et au fil du temps, ils accueillent aussi d'autres familles juives.
J'ai beaucoup aimé ce livre car il raconte l'aventure des familles juives qui se cachaient des allemands. Il est très émouvant. L'adaptation en bande dessinée le rend plus facile à lire.
Charline
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Cet ouvrage est une sorte de suite du roman graphique « le journal d'Anne Frank » de Ari Folman. Cet album fait sortir du livre d'Anne, son amie imaginaire, Kitty, qui se retrouve propulser dans l'Amsterdam de notre époque.
Le livre reprends quelques scènes de la vie de Anne durant son enfermement dans l'annexe mais surtout, elle suit son amie Kitty qui va de découverte en découverte dans un monde qui tourne le dos aux préceptes exposés par Anne dans son journal. Kitty fait le parallèle avec le traitement des familles de migrants aujourd'hui et celles juives à l'époque de Anne.
C'est un ouvrage un peu étrange entre dénonciation de « l'adoration » du mythe « Anne Frank » par les autorités néerlandaises ; histoire poétique d'un amour entre Kitty et un migrant ; et une conclusion pleine d'émotion avec l'exil de Anne pour les camps nazis sans son amie Kitty.
« Étrange » n'est peut être pas le mot, c'est un livre surprenant qui traite de la discrimination en s'appuyant sur le Journal d'Anne Frank - une revisite de l'oeuvre étonnante et original qui fait écho au monde actuel. Une belle idée.
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Ce journal a été tenu par la jeune Anne Frank pendant ses années d’enfermement dans un local où elle se cachait avec ses parents à Amsterdam de 1942 à 1944. Ce journal est d’autant plus émouvant que l’on conserve à l’esprit le sort que fut le sien. D’origine allemande, elle a suivi ses parents aux Pays Bas en 1933, lorsqu’Hitler est arriva au pouvoir et que les premières lois antijuives furent promulguées. Le journal consistait en plusieurs carnets et feuilles volantes où Anne avait commencé à réécrire son journal en vue d’une publication après la guerre. Ces feuilles et carnets ont été récupérés par son père Otto Frank qui s’est attaché à reconstituer ce carnet aux fins qu’il soit publié.
Le journal débute le 12 juin 1942, Anne avait treize ans, c’était une jeune fille pleine de vie, une nature heureuse, drôle, spirituelle. Elle y indique que ce journal a été entamé sur sa constatation qu’elle n’avait pas d’amie, son idée était de faire de son journal, qu’elle appela Kitty sa véritable amie. Anne décrit de façon humoristique les conflits que déclenche la promiscuité des deux familles dans le local, elle confie à Kitty les problèmes qu’elle rencontre avec sa mère ou l’un ou l’autre des habitants du refuge. A ces descriptions de l’ambiance se mêlent ses réflexions sur l’occupation des Pays-Bas par les allemands et les méthodes employés par les Nazis, qu’ils soient allemands ou hollandais, alternant avec des évènements dont elle a eu connaissance durant cette période. Le journal d’Anne s’arrête le 1er août 1944. Le 4 août les SS viennent arrêter les juifs clandestins ayant trouvé refuge dans « l’Annexe ». Ils sont déportés vers le camp d’Auschwitz, puis pour Anne et sa sœur celui de Bergen-Belsen où se développa pendant l’hiver 44 - 45 une épidémie de typhus due aux conditions d’hygiène catastrophiques à laquelle elles succombèrent fin février début mars 1945.
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Vous avez réussi à gâcher la fête mercantile d'Halloween en éloignant les enfants quémandeurs à l'aide de pièges judicieusement placés dans votre jardin, mais vous ne devez pas relâcher votre effort, Noël arrive.
Pour être sûr de ne plus être invité à ces repas de famille, vous avez peut-être prévu d'évoquer la corrida, la chasse ou le pass sanitaire avant le dessert. C'est habile, mais classique.
Je vous conseille donc une alternative.
En offrant ce livre, vous allez immanquablement refroidir l'ambiance au pied du sapin quand la personne élue va ouvrir votre paquet (la Shoah le jour de la Nativité est le comble du mauvais goût !). Partant de là, votre mise en quarantaine familiale devrait suivre rapidement et vous éloigner ainsi des exclamations joyeuses qui accompagneront la découverte des consoles vidéos, du dernier Goncourt, des pompiers Playmobils, des cravates douteuses et autres chaussons rigolos à tête de caribou.
C'est tout bénéfice car vous pourrez alors, conscience apaisée, récupérer votre cadeau posé dans un coin et l'apprécier à sa juste valeur.
Pour ce qui me concerne, initialement acheté pour ma fille, je l'ai dévoré (le livre, pas ma fille). Ce roman graphique, nourri d'extraits du Journal illustre parfaitement ce qui fait l'intérêt de ce récit devenu un classique.
Au delà de l'histoire triste de cette jeune recluse et de sa famille, vivant pendant des années dans la crainte du moindre bruit et échouant à survivre si près du but, il y a l'incroyable maturité d'esprit de cette gamine et son don d'observation peu commun.
Il faut se plonger dans ce journal, non seulement pour y voir un témoignage sur cette période (à côté de tellement d'autres), mais surtout pour découvrir cette farouche lucidité d'une enfant qui s'interroge sur son rapport de haine parfois, d'indifférence toujours, avec sa mère, de sa jalousie par rapport à sa soeur, de son rapport aux autres, et notamment ceux qui partagent sa cachette de l' "Annexe".
Cette enfant que certains voudraient sanctifier est bien plus plus intéressante que sa réduction à un statut iconique. Intelligente, vive, elle a la dent dure, rêve de sexe et de cinéma, se cherche, s'analyse en permanence, déprime, exulte à la vue d'un coin de ciel et quelques étoiles. Elle imagine pour son futur, une destinée hors du commun. Sans une dénonciation de dernière minute, nul doute qu'elle aurait connu cette vie brillante.
Le père d'Anne Frank, seul survivant de la famille, a toujours affirmé avoir été abasourdi en découvrant et lisant ce journal, tant il témoignait de sa méconnaissance profonde de sa fille.
A la lecture de cet ouvrage, on comprend mieux ce qu'il voulait dire. Pour ce qui nous concerne en revanche, on a l'impression de mieux connaitre ce magnifique symbole et l'enfant qui l'habitait.
Un mot sur le dessin et la composition : remarquables. Les auteurs ont évité l'écueil du trait noir et lourd, du gris plombant, et réussi à distiller des pointes d'humour et de vie. Bravo !
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Ce livre était émouvant. On rentre vraiment dans l'histoire et les personnages sont attachants. De plus quand on sait que cette histoire est vraie, on ne peut que être émus...
Les illustrations était magnifiques !!!
Un très beau livre que je recommande fortement !!!
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S'attaquer au terrible livre/témoignage d'Anne Frank, lui donner une autre forme, il fallait oser et surtout c'était une excellente idée.
J'ai été très touchée par ce roman graphique, plein de couleurs, à la fois respectueux du texte de l'auteur, le si jeune écrivain et magistralement audacieux. Les auteurs de ce roman graphique ont su mettre en forme ce que le roman ne pouvait pas toujours vous faire comprendre : les images du vécu de l'adolescente, un humour grinçant, l'émotion d'un amour qui naît, la cruauté du moment et du lieu. Ce livre est comme une nouvelle lecture du roman d'Anne Frank, une mise en lumière de ce que je n'avais fait que percevoir quand je l'ai lu à l'adolescence. Anne Frank revit et porte toujours sa petite lumière contre l'intolérance et la bêtise des humains. Et nous avons besoin de beaucoup de petites lumières en ce moment ...
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Le journal d'Anne Frank en roman graphique permet de découvrir ce récit sans lire le roman complet.
Anne, sa famille et une autre famille juive cohabitent ensemble dans "l'Annexe" en attendant que la guerre se termine. Les conditions sont difficiles et Anne en profite pour y inscrire ses soucis d'adolescentes : relations conflictuelles avec ses parents, premiers amours, le tout dans un contexte de peur immense.
L'épilogue apporte bien évidemment beaucoup de tristesse vis-à-vis de cette période très sombre de l'Histoire
Bref, une belle adaptation.
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J'ai lu "le journal d'Anne Frank" au collège, j'avais très envie de lire ce roman graphique adapté de son journal, demandé par le fonds Anne Frank à Ari Folman et David Polonsky.
Comme les auteurs l'expliquent, il n'est pas évident de condenser le journal de l'adolescente en une bande dessinée, mais ils ont réussi parfaitement le défi. Ils ont fait le choix de retranscrire, mot pour mot, certaines lettres d'Anne à Kitty, pour garder l'essence même de son journal.
J'ai redécouvert ses écrits au travers des dessins. La personnalité et les états d'âme de la jeune fille y sont mis en avant. On y retrouve son humour, sa maturité. Une très jolie adaptation qui image parfaitement la dure réalité de l'Histoire. Cette BD m'a donné envie de relire le journal lui-même.
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C'est le premier roman graphique que je lis du Journal D'Anne Franck. Cela fait quelques années que j'ai lu son livre et ce roman graphique m'a permis de mettre des visages sur les noms des proches d'Anne.
Les dessins de David Polonsky sont magnifiques et dégagent un je ne sais quoi qui permet au lecteur de s'attarder dans cette lecture.
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Énorme énorme coup de coeur pour cette adaptation. Les planches de la BD sont sublimes, extrêmement variées dans leur composition : doubles pages, page représentant tous les étages du logement à Amsterdam, détails d'objets de la vie quotidienne, parodie d'éléments existants (tableaux, merveilles du monde, acteurs célèbres...). C'est une BD qui est à la fois instructive, touchante, drôle, sublime et bien pensée. Je vous la recommande chaudement !
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Une très belle adaptation graphique du "Journal d'Anne Frank". On y redécouvre l'histoire de cette jeune juive, obligée de fuir l'Allemagne pour survivre. Mais même en Hollande, les conditions de vie des juifs se durcissent en 42, jusqu'aux rafles et aux envois dans les camps d'extermination. Anne est obligée de vivre dans l'annexe du magasin de son père avec sa famille, une autre famille mais également un dentiste. On y voit bien la question de l'enfermement, le problème de la promiscuité. Mais Anne est aussi une adolescente, qui se questionne, qui a des sentiments. Le graphisme de cet ouvrage dépeint bien toutes ces situations. J'ai bien apprécié également les allusions à quelques oeuvres d'art comme "le cri" de Munch.
Cette oeuvre est exceptionnelle ! elle donnera du sens à l'histoire de cette jeune fille qui a marqué des décennies. (C. Soubic)
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Résumé : Anne Frank, treize ans le douze juin 1942, reçoit un journal intime qui deviendra son meilleur ami appelé « Kitty », à qui elle confiera les longs jours de sa petite vie. En effet, la famille Frank est juive et avait quitté l'Allemagne pour Amsterdam en 1933, afin de fuir le régime d'Hitler. Mais Amsterdam devenait de plus en plus dangereuse pour eux avec l'occupation allemande. Alors, avec son père Otto, sa mère Edith, sa grande soeur Margot, la famille van Daan se composant d'Augusta, Hermann et leur fils Peter et enfin Albert Dussel qui les rejoindra peu de temps après, ils décident d'emménager secrètement en juillet 1942, dans l'annexe de l'entreprise Opekta d'Otto Frank. Grâce à leurs protecteurs, ils pourront être ravitaillés pendant un peu plus de deux ans, jusqu'à la fin de leur histoire pour laquelle on devine l'explication.
Critique : Nous connaissons tous le journal d'Anne Frank comme principal témoignage de la vie des juifs lors de l'Allemagne hitlérienne. Ce roman graphique m'a plu, car il reprend les grandes pages du livre original avec intelligence et humour. Je n'ai pas lu ce dernier mais le roman graphique nous communique très bien les tourments d'Anne Frank, ses sentiments et la difficulté de partager avec une autre famille, une vie cachée pourtant à l'abri du chaos. Je trouve le style d'écriture d'Anne Frank très élaboré pour son âge, le travail du dessinateur est réussi, les cases traduisent bien le caractère humoristique, sensible et colérique d'Anne et elles condensent bien les écrits de cette dernière. Anne Frank est attachante, amusante et intéressante. de plus, elle nous apprend les caractères plus ou moins loufoques de tous les personnages. A la fin du livre, on peut apprendre la suite de la vie des personnages qui, pour la plupart (dont Anne), sont morts suite à la déportation. Néanmoins, Otto Frank, son père, a survécu et fonda l'Anne Frank Fonds sans laquelle ce livre n'aurait jamais vu le jour. Son objectif est de promouvoir les oeuvres de bienfaisance et de jouer un rôle social et culturel dans l'esprit d'Anne Frank.
Ce livre a donc un intérêt documentaire car il nous fait comprendre la vie que pouvaient avoir les juifs, lors de la seconde guerre mondiale. Cela à travers l'humour d'Anne Frank, son innocence ainsi que son caractère, puis plus tard, sa sagesse.
Alexis Wack
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Description : Le Journal d’Anna Frank est un roman graphique, autrement dit une bande-dessinée, qui a été rédigée par Ari Folman.
Résumé : Anne Frank est née dans une famille de Juifs le 12 juin 1929 à Francfort. Sa famille a émigré aux Pays-Bas en 1933. À Amsterdam, elle connaît une enfance heureuse jusqu’en 1942, malgré la guerre. Fin 1942, les Frank s’installent clandestinement dans «l’Annexe» de l’immeuble 263, à Prinsengracht car la Gestapo est à sa recherche. En 1944, ils sont arrêtés sur dénonciation. Déportée à Auschwitz, Anne meurt du typhus début 1945, peu après sa sœur Margot. Anne Frank, considérée comme LA référence de tous les Juifs de la seconde Guerre Mondiale, a tout de même tenu un journal intime grâce auquel elle est devenue célèbre et connue de tous. Dans cette histoire, la solidarité qu’ont les proches d’Anne Frank est très présente. Surtout pour falsifier l’identité et l’origine de la famille Frank. Mais, d’un autre côté, Anne Frank raconte aussi l’inégalité et l’horreur qu’on fait subir les nazis aux Juifs.
Mon avis : C’est assez touchant de savoir ce qu’Anne Frank pouvait penser de cette situation insoutenable, qu’elle devait vivre chaque jour avec sa famille : « A quoi bon, oh à quoi bon cette guerre, pourquoi les gens ne peuvent-ils vivre en paix, pourquoi faut-il tout anéantir ? ».
Ce journal intime, maintenant exposé aux yeux du monde, est aussi une preuve que la persécution des Juifs fut un véritable fléau causé par la folie d’un seul homme, Adolf Hitler.
Nathan
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Résumé personnel
Sous forme de journal, Anne Frank fait le récit de sa vie, au sein de sa famille juive, sous la seconde guerre mondiale. A la prise du pouvoir par Hitler, elle et sa famille émigrent aux Pays-Bas, à Amsterdam, en 1933, pour fuir le régime antisémite et les persécutions. Là-bas, elle vit heureuse avec sa famille, malgré la guerre. Le 6 juillet 1942, ils s'installent clandestinement dans "l'Annexe", l'immeuble du 263 où se trouve la société de son père Otto Frank et ses salariés, qui pourront les approvisionner et les cacher. C'est dans cette cachette qu'Anne commence la rédaction de son journal (le 12 juin 1942... jusqu'au 1er août 1944). Seulement, leur voisin, le magasinier M. VAN MAAREN, se doute de la présence d'une famille cachée dans l'Annexe...
Anne et sa famille se feront-ils dénoncer ? Réussiront-ils à survivre malgré les bombardements et la violence des nazis ?
Avis argumenté sur le livre
Ayant lu le journal d'Anne Frank sous forme de roman, je ne suis pas déçue de cette version graphique de l'original. Je pense que cette version est dédiée à un public plus jeune : le journal est beaucoup plus court que le roman d'origine et les dessins donnent une touche d'humour qu'on ne retrouve pas dans le roman. J'ai également trouvé l'histoire plus facile à lire : les auteurs ont retracé les principaux passages du roman, et cette forme dessinée permet de mieux visualiser et comprendre l'histoire. On ne perd pas le côté subjectif et omniscient qu'offre le format du "journal intime", et les évènements provoquent toujours de l'émotion. Le personnage d'Anne reste touchant, et cette adaptation rend à nouveau hommage à son courage et aux juifs qui ont subi d'atroces souffrances sous Hitler et durant la seconde guerre mondiale. Les détails de la guerre sont d'ailleurs bien illustrés : il y a moins de chiffres mais les dessins permettent de rendre compte des horreurs commises et subies. Ce journal reste un témoignage bouleversant sur la vie des juifs durant l'occupation nazie. Rien à redire, très bonne adaptation.
KAMALI Sarah
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J'ai acheté ce roman graphique après avoir assisté à la pièce de théâtre du "Journal d'Anne Frank"jouée par le Théâtre des Osses. Il a été intéressant de découvrir comment Ari Folman et David Polonsky ont imaginé les décors qu'Anne décrit dans son journal. Au niveau du graphisme, de l'adaptation et de l'écriture c'est une réussite. Les auteurs ont utilisé plusieurs façons de retranscrire les lettres à Kitty : story board, pleines pages dessinées, longs extraits intégraux du journal. Cette façon de faire rythme la lecture et permet d'apprécier le style d'écriture, l'humour et les états d'âmes d'Anne Frank.
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