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Critiques de Arthur Schnitzler (200)
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Mademoiselle Else

Dans ce court récit, Arthur Schnitzler dresse le portrait de la jeune et fascinante Else.



Pour l’été, Mademoiselle Else réside dans un luxueux hôtel du nord de l’Italie. Quand elle reçoit une lettre alarmante de sa mère évoquant la ruine de son père sous le poids des dettes, elle est dévastée. Sa mère la supplie de sauver l’honneur de son père en sollicitant auprès d’un ancien ami de la famille, Monsieur Dordsay, une somme d’argent conséquente.



Else est tiraillée entre son honneur et sa dévotion pour sa famille. Quand Monsieur Dordsay lui propose comme condition de son prêt, un scandaleux marché, Else perd complètement pied.



Arthur Schnitzler interroge la morale bourgeoise prête à tous les sacrifices pour conserver sa grandeur. Le monologue intérieur d’Else permet de mesurer l’ampleur des contradictions et des névroses qui la traversent. Un récit bref et déroutant qui m’a beaucoup surprise.



J’aurai aimé que l’analyse des personnages soit plus étoffés mais ce texte atypique ne peut pas laisser indifférent
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Le lieutenant Gustel

Inaugure chez Schnitzler la technique du flux de conscience que l'on retrouvera 25 ans plus tard dans "mademoiselle Else". N'a pas autant de charme et est moins accessible. Le héros de l'histoire est en effet un militaire borné dont le sens de l'honneur nous est incompréhensible, ce qui fait de ce récit un document intéressant mais qu'on ne peut lire qu'avec distance. Et puis les boulevards de Vienne la nuit n'ont pas le charme de St Martino.
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Gloire tardive

Rédigé en 1894, Gloire tardive faisait partie des archives de l’écrivain et médecin autrichien Arthur Schnitzler (1862-1931), et ne fut publié que très récemment. Il y est question d’un vieux fonctionnaire qui, un jour, est dérangé par un jeune homme venant lui faire part de son admiration pour un recueil de poèmes qu’il écrivit dans sa jeunesse… La gloire, un temps si espéré, serait-elle enfin au rendez-vous ?



Il y a plus de trente ans qu’Edouard Saxberger a écrit son unique ouvrage, Promenades. Il a d’ailleurs lui-même oublié le livre et toute cette époque où il souhaitait, à l’instar de ses compagnons d’alors, devenir célèbre grâce à l’écriture. Il savoure désormais le calme de sa maison, la position que lui confère son travail, et les soirées passées dans les cafés viennois.



Quand le jeune Wolfgang Meier lui rend visite pour lui faire part de l’admiration qu’ont provoqué les Promenades au cœur de leur groupe littéraire « La jeune Vienne », Saxberger est étonné, mais se prend assez rapidement au jeu de cette notoriété acquise sur le tard. Il en vient même à encourager le Meier, jeune poète en mal de reconnaissance, alors que les premiers écrits de ces derniers ennuient le vieil homme.



« Non, il n’est pas trop tard », s’écrit Saxberger, qui côtoie le groupe des jeunes écrivains qui prévoient d’organiser une soirée littéraire à Vienne pour véritablement lancer leur carrière. Le vieux fonctionnaire devient « le poète émérite Saxberger », on lui fait comprendre que lui aussi a été victime de « l’ingratitude de la foule ». Mais qui est ce cercle littéraire Exaltation et qui sont ses membres ?



L’ironie pointe sous la plume d’Arthur Schnitzler. Elle prend aussi la forme humoristique, quand le cercle littéraire nargue d’autres artistes assis aux tables voisines. Quoi qu’il en soit, Saxberger se prend au jeu. Traité comme un poète, il est sensible à l’image que lui renvoient les jeunes gens… mais pressé d’écrire de nouveaux vers, il se rend bien compte qu’à l’image des lieux qui lui donnèrent jadis l’inspiration, les années sont passées par là…

J’ai beaucoup aimé ce livre ! On est embarqué dans cette histoire en se demandant bien comment elle va se terminer. Elle offre un regard acéré sur la nature humaine, mais aussi sur le microcosme littéraire, qui ne ressort pas grandi de la fin de l’histoire. Mais ça, je vous le laisse découvrir !


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Gloire tardive

Le fonctionnaire Edouard Saxberger, 70 ans, est chef de bureau dans une quelconque administration. Il mène une vie paisible, un peu morne pourrait-on penser, mais qui lui convient. Un jour un jeune aspirant poète, Wolfgang Meier, vient lui dire son admiration pour Les promenades, un recueil de poèmes que Saxberger écrivit dans son jeune âge et qu'il avait presque oublié. Meier est membre d'un petit groupe d'artistes méconnus qui accueille Saxberger avec empressement au point que le vieux monsieur en vient à se demander s'il n'est pas effectivement lui-même un génie ignoré.



Ce petit roman amusant, écrit en 1894 mais publié récemment, se déroule à Vienne. Arthur Schnitzler se moque de cette petite bande de génies autoproclamés qui se pensent au-dessus des autres et que le travail rebute. D'abord flatté par l'admiration qu'on lui témoigne et qui le sort de sa routine Edouard Saxberger prend conscience que ses nouveaux amis se soucient en fait peu de lui et de son oeuvre. Quant à moi cela me pousse à réfléchir à mon propre vieillissement et à me dire qu'il est encore temps de réaliser une partie de mes rêves de jeunesse.
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Traumnovelle

Ce soir, je ne vous présente pas un classique de la littérature française, mais je vous invite à un détour par l'Autriche, et plus précisément par Vienne.

Arthur Schnitzler est un romancier est un peu moins célèbre que Zweig. Pourtant, le découvrir m'avait donné envie de prendre l'avion pour Vienne et d'aller me promener sur le Ring. C'est resté à l'état de projet, mais au moins, la lecture de la Traumnovelle (la Nouvelle Rêvée) donne l'occasion de s'y projeter. Vienne dans les années folles, ville de Freud, observatoire des déviances, une capitale à la fois onirique et réaliste dans laquelle déambule Fridolin, un jeune médecin. Son épouse, Albertine, lui a confessé qu'elle aurait pu le quitter, et tout quitter, l'année précédente, si un mystérieux officier qu'elle connaissait à peine et avec lequel il ne s'est rien passé, le lui avait demandé...

Fridolin sort alors visiter un patient, rencontre plusieurs femmes, une vieille fille amoureuse de lui, une jeune prostituée, la fille du costumier et une mystérieuse femme masquée lors d'une orgie à laquelle il n'était pas invité, dont il est spectateur et non acteur. Rêve-t-il ou pas ? Jusqu'au bout, dans une atmosphère nimbée de mystère, le lecteur est amené à douter. "La vie est un songe..."

La novela de Schnitzler a inspiré le film de Kubrick, "Eyes Wide Shut", qui respecte à peu près l'histoire, mais déplacée dans le New York de la fin du vingtième siècle. Les deux visions se valent et se complètent.

Encore une fois, un texte à découvrir et vers lequel je reviens assez souvent.
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Vienne au crépuscule

Un très beau livre sur la Vienne d'avant-guerre, à découvrir si vous avez aimé Le monde d'hier de S Zweig.
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Mademoiselle Else

Arthur Schnitzler comme Stephan Zweig sont des illustres romanciers. Amis ou instruits de psychanalyse, leurs histoires développent presque toujours les tourments de l'âme humaine. Leurs talents : ils savent écrire !!!

Ce roman traite du regard de l'autre et de son approche angoissante quand on est une jeune fille vierge.
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Mademoiselle Else

Un classique que j'offrais régulièrement il y a un temps. Une jeune fille coincée dans une époque et un cadre bourgeois viennois doit choisir de sacrifier son intégrité pour épargner son père. L'ouvrage se présente sous la forme d'un long monologue, forme qui est assez moderne pour l'époque, et dans le fond du fait des propos qui sont rédigés par un homme.

A lire et relire!
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Romans et nouvelles, tome 1

Dans la nouvelle « Les morts se taisent » d’Arthur Schnitzler, le récit commence dans la frivolité de la fin du XIXème siècle : Franz retrouve Emma, sa maîtresse dans une calèche. Ils décident de s’éloigner vers les faubourgs de Vienne, de peur d’être reconnus. Un accident les renverse. Franz meurt sur le coup, tandis qu’Emma est indemne. Pendant que le cocher va chercher des secours, Emma s’éclipse pour échapper au scandale. Elle rentre à pied chez elle, où elle retrouve sans heurts sa famille pour l’heure du dîner. Pourtant, elle décide de tout avouer à son mari.
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Romans et nouvelles, tome 1

UN DE MES AUTEURS PRÉFÉRÉS
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Vienne au crépuscule

Nous sommes dans les salons viennois de la fin du XIXème siècle, les salons où l'on cause, où l'on brille. Toute cette superficialité pare "agréablement" l'écrasante victoire d'une caste arrogante (je m'y suis beaucoup perdue, dans les 150 premières pages, impossible de savoir qui est qui dans cet entrecroisement mondain d'Ehrenberg, de Nurnberger, d'Oberger).



Les juifs, sourire crispé ou rictus effrayé, aveugles ou clairvoyants, mais humiliés toujours, croient encore (pour certains) pouvoir échapper à leur sort par l'assimilation ou le sionisme. Les femmes papillonnent, les jeunes filles attendent le mari, les jeunes hommes, libérés des soucis matériels, écrivent ou composent, voyagent (ah ! Le voyage en Italie !), prennent les femmes comme d'aimables êtres jetables : les utilisent, les échanges, les négligent, les abandonnent…



Bien des façons de se livrer à ce petit jeu : avec la distinction forcenée du jeune Georges von Wergenthin , Monsieur le Baron, avec l'ironie mordante et désespérée de Nurnberger, avec le désespoir défaitiste et égocentré de Bermann. Tous se cachent derrière leur bons mots, leur haute opinion d'eux-mêmes, leurs hautes aspirations. Quel égoïsme, quelle autosatisfaction (mon dieu, que la vie leur est compliquée!). Ce sont d'infâmes mâles imbus d'eux-mêmes, persuadés de leur bon droit et de leur raffinement.



C'est assez bavard et souvent ennuyeux, et ma lecture fut laborieuse, mais il y aussi de bons moments, et peu à peu s'est dévoilée une réflexion sur la destinée au sein de cette société infatuée qu'on voudrait agonisante. Le décorticage méticuleux de la nature humaine et notamment masculine finit par déclencher un certain dégoût. Ces homme sont des porcs croisés de paons : parés, artistes et intellectuels, c'est à dire soi-disant pensants et pleins de sensibilité, ils se délectent dans une perpétuelle introspection déculpabilisante, qu'ils croient raffinée, mais qui est en fait bornée, condescendante et auto-satisfaite.
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Mourir

Livre assez court mais que j'ai eu du mal à lire. Il est loin d'être passionnant dans le traitement de son sujet, l'écriture n'est pas extraordinaire par rapport à un autre livre et j'ai mis 40 pages à réaliser pourquoi les personnages parlaient si bizarrement de mon point de vue (l'auteur est du XIXe et du XXe siècle et l'histoire se passe en 1890). Cependant, il aborde de façon très intéressante le thème de la mort.
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Mademoiselle Else

J'ai lu ce livre du 13/04/2016 au 15/04/2016.

J'ai lu le livre parce que j'étais curieuse et emballée par le titre et la 4ème page de couverture. Je me suis dis chouette, on va découvrir la littérature viennoise.

Bon la nouvelle était sympa mais il y a un gros problème, c'est Else, l'héroïne principale !!!

En effet, j'ai adoré l'intrigue et tout mais à travers la nouvelle qui est un monologue intérieur de mademoiselle Else.

Tantôt elle dit oui pour le deal puis non etc... Alors que c'est se mettre nue pour le gars qui va sauver son père de la prison, du déshonneur et qui l'aime et ne fera pas plus qu'admirer. Elle est outrée alors qu'elle ne cesse de se la brosser en disant qu'elle a de jolies seins etc... Je la trouve très prétentieuse et folle de se suicider pour ça surtout qu'elle décide de se mettre nue devant tous et pas en privé. Donc je ne l'ai pas du tout aimé ce personnage. Par contre j'ai adoré Paul et Monsieur von Dorsday . Oui je sais que c'est étonnant mais voilà. Sinon une belle écriture et une intrigue cohérente dommage que je déteste Else.



Ma note : 6/10
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Mademoiselle Else

J'ai vraiment beaucoup apprécié cette nouvelle. Elle m'a d'abord surprise par le genre qui est le monologue intérieur, pour ensuite ne plus réussir à sortir de l'histoire. Nous sommes littéralement dans la tête d'Else. Elle nous exprime ses pensées, ses désirs, ses dégoûts. Tout ce qui passe dans cette petite tête nous est retranscrit et le style est très entraînant grâce à des phrases courtes, qui nous plonge entièrement dans le récit. À certains moments, elle saute du coq à l'âne, mais le lecteur ne perd jamais le fil pour autant.



Else se montre assez sympathique pour le lecteur par son côté ironique et humoristique dans la manière dont elle se voit et surtout dont elle voit les autres personnages qui ont l'air tous un peu pathétiques face à elle (surtout les hommes).



Seule chose qui m'a dérangé : j'ai eu l'impression à un moment donné qu'Else tournait un peu trop en rond et que ça alourdissait le récit, mais la fin rattrape ces moments de répétitions. J'ai adoré e style de l'auteur, et je me laisserais bien tenté une nouvelle fois pour l'une de ses oeuvres.
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Mademoiselle Else

J'ai pourtant adoré belle du seigneur mais je dois avouer que les monologues d'Else m'ont un peu ennuyé...

On lui demande de se montrer nue en échange de 50 000 florins et la jeune Else perd la tête. Autant les monologues de belle du seigneur était pour moi de la grande folie, belle, torturée, triste, amoureuse, acharnée... La folie d'Else est plus longue, répétitive, adolescente...

L'aspect dramatique croissant du livre nous laisse tout de même dans un état fébrile mais j'ai trouvé les monologues un peu longs...
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Mademoiselle Else

Une ombre sale dévore son corps, des pensées terribles la torturent, sa tête devient trop lourde d'obligations malsaines... Manuele Fior nous révèle une Mademoiselle Else aussi belle que meurtrie et angoissée. Dans cette plongée en enfer diffuse et grave, le lecteur découvre des doutes et des impasses magistralement illustrées. Le style est en effet précis, vibrant... Il cerne de très près sans dissimuler l'essentiel : ces zones d'abandon et d'ombre qui demeurent au de-là des actes, et qui continuent de blesser chaque être abandonné.
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Mademoiselle Else

Else est une jeune femme de 20 ans. Issue d’une famille de notables, elle se contraint bon gré mal gré à respecter certaines obligations dues à son rang social.



Cet été-là, elle passe ses vacances dans une pension de famille huppée en compagnie de sa tante. La lecture d’un courrier de sa mère la sort d’une insouciance doucereuse. Elle quitte brusquement ses rêves frivoles pour demander une aide financière à Dorsday, un ami de la famille. Ce dernier accepte, à condition qu’Else se dénude. Les apparences hautaines et dédaigneuses d’Else cachent son désarroi mais, derrière le masque, l’héroïne est en proie à ses fantasmes et à ses angoisses.
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Double rêve

"Double Rêve" est une nouvelle signée de l'autrichien Arthur Schnitzler. Parue en 1925, elle a largement inspiré Stanley Kubrick pour son fameux film "Eyes Wide Shut".

A Vienne, Fridolin, médecin, et Albertine, mère au foyer, forment un couple bourgeois sans histoires. Le lendemain d'un bal masqué, Albertine revient sur les événements de la soirée.

Tandis que son mari s'affichait en compagnie de deux créatures plantureuses, Albertine se voyait courtisée par un riche notable.

Tous deux grossissent volontairement les faits afin d'attiser la jalousie de l'autre. Commence alors pour l'un comme pour l'autre une véritable quête qui bouleversera leurs acquits de couple.



J'ai éprouvé d'étranges sensations en lisant cette nouvelle. Comme son nom l'indique, il est question de l'univers onirique d'un homme et d'une femme mais également de la confusion constante qui semble s'opérer entre rêve et réalité.

Suite aux révélations de son épouse, Fridolin éprouve une jalousie qu'il feint de pouvoir contenir mais qui le mènera dans les rues de Vienne, à la recherche de plaisirs auxquels il ne cèdera cependant jamais.

"Double Rêve" apparaît comme un voyage initiatique au coeur de toutes les tentations. Le lecteur suit Fridolin au gré de ses pérégrinations nocturnes, de ses fantasmes et de ses rencontres avec des femmes énigmatiques, exprimés sous la forme de monologues intérieurs.

Il pose en toile de fond la question de l'importance de la communication au sein du couple - faut-il absolument tout se dire, abolir toute forme de jardin secret au risque de blesser l'autre et de mettre en danger son couple? - comme celle de la faculté de deux êtres à pouvoir exister librement en dehors de la sphère conjugale.



Mystère, sensualité, érotisme latent, chaque ligne joue volontairement sur une ambiguïté qui tend à balader le lecteur entre réalité et fiction. Si la langue se veut classique, le sujet lui demeure d'actualité et je ne peux que saluer la finesse de l'analyse du couple dont l'auteur a su faire preuve en regard de son époque. Son amitié avec Stefan Zweig y serait-elle pour quelque chose? :)
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Double rêve

Albertine et Fridolin forment un couple des plus respectables dans la Vienne du début du 20ème siècle. Il est médecin, ils ont une petite fille. Un soir, ils assistent à un bal et ils réalisent qu’ils peuvent plaire et désirer d’autres personnes. Se confiant l’un à l’autre, ils se révèlent d’autres moments de leur existence où la tentation a été là, sans se concrétiser. (Heu… chacun un seul moment, rien de bien folichon ! Je vous rappelle que nous sommes au tout début du 20ème siècle.) Ils découvrent alors la jalousie et leur désir s’en retrouve exacerbé.
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Mademoiselle Else

Très bel album adapté par Manuel Fior d'une nouvelle de Schnitzler. Un récit et un style très 1900 aux courbes arts nouveau, entre rêveries et cauchemar sur fond de dilemme voluptueux. Très beau et une atmosphère particulièrement bien rendue.
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