J'ai recommencé à le lire 2 fois. J'ai fini par jeter l'éponge p.45. Le style est super intéressant, la prose est riche (trop riche!), mais je ne sais pas où nous conduit l'histoire. Un footballeur détruit par la mort de sa petite fille de 2 ans... Mais on passe sans arrêt d'un sujet à un autre : c'est fait avec grâce, au détour d'une étymologie, d'une référence historique, d'un lieu... mais c'est trop pour moi! trop de références justement, et de références que je ne connais pas. Impossible d'accrocher!
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Un homme se trouve aux États-Unis, avec son amoureuse comme il l’a nomme, sur les traces de son fils décédé et qui est né, à quelques jours près avec 100 ans d’écart, le même jour que Jack London. Ils les imagine se côtoyant. Pas toujours facile de savoir de qui parle le narrateur. C’est froid, sans émotion. Un Jack London aventurier, certes, mais aussi ses déboires amoureux et ses maladies. Après cette lecture, il me paraît moins sympathique que dans mon imaginaire. J’avais adoré Dernières nouvelles du martin-pêcheur qui, aussi, décrivait la disparition de son fils.
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Bernard Chambaz fréquente le jardin d’Eden pour composer des herbiers littéraires qui entretiennent, livre après livre, le souvenir de Martin, son fils disparu à l’âge de 16 ans dans un accident de voiture.
Martin Eden, c’est aussi le chef d’œuvre absolu de Jack London, le grand aventurier à l’âme révolutionnaire, auteur de Croc blanc, du Talon de Fer ou de l’Appel de la forêt, mort en 1916, à l’âge de 40 ans.
Deux homonymes poétiques, nés en janvier 76… à un siècle d’intervalle.
A défaut de pouvoir réunir ces destins séparés par plusieurs générations, Bernard Chambaz joue l’entremetteur de mémoires.
Dans « Un autre Eden », il retrace les milles vies de Jack London et glisse des intermèdes imaginaires qui permettent aux deux Martin de faire un peu de covoiturage entre les nuages.
Jack London a toujours eu la bougeotte et pour retrouver sa trace, l’écrivain, accompagné de celle qu’il appelle avec beaucoup de tendresse pendant tout le roman "son amoureuse", se lance dans un voyage en vélo entre les Etats-Unis et le Canada.
Bernard Chambaz nous raconte l’enfance de London et la floraison de ses passions : la lecture, la mer, les bateaux et les voyages.
Le jeune Jack doit très jeune aider sa famille à vivre et il découvre à 13 ans l'usine et les injustices sociales. Privé de paradis, il soufflera toute sa vie sur les braises de la révolte des damnés.
A l’adolescence, il embarque sur des bateaux de pêche et découvre le monde. A ses premiers écrits succèdent des reportages en zone de guerre ou dans les bas-fonds londoniens. Autant de paysages et de rencontres qui inspireront son œuvre.
La gloire littéraire ne tarde pas mais Jack London aura toujours des trous dans les poches. L’aventure est une maîtresse égoïste et il ne sera ni un bon mari, ni le meilleur des pères. Ses rêves de tour du monde en voilier ou de ranch engloutiront son argent et sa vie de famille.
« Un autre Eden » est un voyage romancé et assaisonné par le personnage lui-même, car l’écrivain sut enjoliver sa biographie. On y croise aussi d’autres personnages aux vies iconoclastes: Charmian, écrivain et seconde femme de Jack qui l’accompagna dans ses projets les plus fous, le boxeur Jack Johnson qui fut le premier champion du monde poids lourds noir, ou encore le marathonien de l’espoir contre le cancer, Terry Fox.
Si les chapitres sont aussi courts que l’existence de Jack et de Martin, deux émotions traversent le livre comme Jack London les océans : le deuil en longitude, la liberté en toute latitude.
Une écriture pudique bouleversante accompagne chaque apparition de Martin dans ce roman ainsi que les retrouvailles post-mortem de Jack avec ses deux filles, pour solde de tout compte.
J’ai pris enfin beaucoup de plaisir à parcourir les passerelles construites par l’auteur entre la vie de Jack London et ses romans. Un guide des sources de son inspiration.
Il ne me reste plus qu'à relire pour la cinquième fois Martin Eden.
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Je ne connaissais pas les ouvrages de Bernard Chambaz. Je viens de le découvrir avec la lecture de son dernier roman, “un autre Eden”, reçu à l'occasion de ma participation en tant que jurée du Prix FNAC 2019 : eh bien, en voilà une petite merveille !
Martin (l'autre Eden ?…) Chambaz, le fils de l'auteur est mort en 1993. Il est venu au monde en janvier 1976, un siècle exactement après la naissance de Jack London …
Dans ce beau récit - mi-roman, mi-biographie - Bernard Chambaz alterne les chapitres entre fiction et réalité, imaginant des conversations ou des rencontres amicales entre son jeune fils Martin et le grand Jack London puis nous confiant des anecdotes sur la vie de l'illustre écrivain.
L'écriture est superbe, la construction originale. Les passages réservés à son enfant prématurément disparu sont emplis de pudeur, sans pathos. Ceux consacrés aux aventures de Jack London le “baroudeur” sont tout simplement passionnants.
J'ai dévoré ce formidable roman d'une traite, sans une seule minute de lassitude ! Un livre que je recommande fortement !
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En exergue cette citation de Joseph Delteil : « Aux morts, pour qu’ils vivent. Aux vivants, pour qu’ils aiment. » Hommage rendus à tous les anonymes morts pour la France en 14-18.
Cette citation, comme une seconde peau à tous ceux qui ont vécu l’innommable : la perte d’un enfant.
Janvier 1976, à un siècle d’intervalle naissait Martin Chambaz, fils de l’auteur.
Etoile filante, décédé accidentellement à l’âge de 16 ans.
Comment vivre avec ?
Partir sur les traces du grand Jack, parce que Martin aurait eu 40 ans, âge auquel est décédé Jack London.
« Je sais que nous allons suivre le chemin que Jack London avait suivi à l’âge de dix-huit ans, en sens inverse. »
Nous, l’auteur et son amoureuse, lui à vélo, elle en auto.
En chapitres portant les noms du lieu, découpés en textes courts, l’auteur s’adresse à Jack et Martin, il entremêle les liens, nous découvrons un Jack London par des anecdotes, des portraits finement tracés, un Martin jeune vie fugace. L’auteur adopte le ton de la familiarité qui donne aux lecteurs la sensation de faire partie de la famille et d’écouter les différentes histoires d’une épopée.
La musique de cette histoire serait l’appétit insatiable de London pour la littérature, une manière pour Bernard Chambaz d’une revisite et d’une incitation à nourrir notre vie de littérature, les références sont toujours judicieuses et ponctuent agréablement ce livre.
D’une belle écriture, pudique mais aussi facétieuse l’auteur tisse sa toile pour notre plaisir.
Un match entre le grand Jack et Bernard pour affronter leurs démons ?
On sent le combat de tous les instants, on sait combien les livres, les mots sont là pour apaiser les maux.
Il y a des fantômes plus lumineux que d’autres, surtout ceux qui sont éclairés par une écriture magnifique pour ne pas dire somptueuse.
Parce que pour Bernard Chambaz et ceux qui ont lu ce livre, ici et pour toujours : « Martin est là, tout près, du moins ai-je la faiblesse de le croire. La faiblesse ou la force, je ne vois pas la différence. Ce n’est pas une question de volonté, pas davantage que le mouvement des planètes, ce n’est pas non plus un pari où je n’aurais rien à perdre, c’est comme s’il était là, comme les nuages et le vent dans l’herbe… »
©Chantal Lafon-Litteratum Amor 11 février 2020.
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Ce livre m’a été offert par un ami cycliste. Nous sommes le 20 juillet 2016. L’auteur, à vélo, et son amoureuse, en voiture, poursuivent la route de Jack London aux USA et au Canada avec une excursion en voilier vers Hawaï et les îles Marquises. Ils sont accompagnés en sourdine, en brèves résurgences, par Martin, fils de l’auteur, né 100 ans après London, enterré 24 ans avant ce pèlerinage. Nous traversons une succession pressée d’anecdotes qui désoriente par l’emploi continu du présent. Chambaz est un connaisseur érudit de l’œuvre de London et un conteur prolixe de sa vie, tracée sans ordre apparent dans une foison d’anecdotes, mais de ce pointillisme n’émerge guère de figure ou de message mémorable.
Pourquoi le titre « Un autre Eden » ? Peut-on conclure avec l’auteur : « Évidemment, écrire n’est pas un problème. Mais encore faut-il savoir quoi » (p 290) ? C’est probablement injuste, j’en veux pour preuve l’excellente critique de ChtiBaboun (30/08/2019). Alors c’est un livre pour les passionnés de London, ou de Chambaz, mais il ne suffit pas au cycliste de base.
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Bernard Chambaz nous propose un bon roman d’aventure avec pour compagnons de route deux Martin, tous deux nés en janvier à quelques jours près et à cent ans d’intervalle. L’un son fils Martin qui aurait 40 ans et l’autre Jack London qui est mort à 40 ans.
L’auteur vous fait une place sur son porte bagage, car c’est en vélo qu’il nous emporte sur la vie de Jack London. Attention la route peut être longue car au fil de la lecture, l’envie de se replonger dans les écrits de London est présente, mais j’ai résisté car la vie de Jack London a elle seule est un roman d’aventure.
J’ai passé un très bon moment malgré quelques longueurs, c’est un très bon livre pour découvrir la vie et l’œuvre de Jack London et l’écriture, le goût de l’aventure de Bernard Chambaz.
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**acquis à sa publication, en septembre 2019- Lu par étapes jusqu ‘à ce 21 juin 2020 ! J'ai fait, sans le vouloir, le bon choix du temps et de la lenteur, pour savourer toute la qualité de ce très beau
texte. Livre dense et prodigue en informations et en émotions !
« Aux morts pour qu'ils vivent. Aux vivants pour qu'ils aiment « …
Un récit doublement émotionnant car Bernard Chambaz, tout en exprimant tout son attachement admiratif, inconditionnel pour l'écrivain-voyageur, casse-cou rebelle, Jack London , associe son
jeune fils perdu prématurément à 19 ans, qu'il n'a évidemment pas nommé par hasard , Martin [cf. Martin Eden ]
Il n'y a plus d'absents ni de morts, il n'existe que les gens aimés, adorés, « vénérés »… tel ce couple insolite qui va de pair, côte à côte,formé par Jack London et le fils cadet de Bernard Chambaz, Martin…
"Après cette traversée, je me suis senti encore plus proche de Jack London grâce au patronage de Martin, qui aura été notre go-between.
Ils m'auront démontré l'amplitude du monde. J'ai marché à leur côté, légèrement en retrait, j'ai tenté d'accorder mon pas au leur, avec
l'illusion d'être à l'unisson de Jack, un peu au large, comme si je flottais dans sa robe de feuilles de cocotier. Je les ai suivis avec passion.
Il est temps de leur adresser un ultime salut. Et je voudrais leur dire à mon tour que j'aime beaucoup "la tendresse timide de [leur ] coeur forcené." (p. 338)
Un roman intimiste, impression renforcée par le choix narratif de
Bernard Chambaz qui narre les doubles parcours de London et de son
fils, en s'adressant à eux en les tutoyant…
« Faute de mieux, elle se tourne vers le spiritisme. Flora [la mère ] est persuadée qu'elle a le don de communiquer avec les morts et elle aura l'intuition que, somme toute, Jack ne fait pas autre chose avec les histoires qu'il écrit. « (p. 26)
Premier texte lu de cet auteur, écrit précieux à plus d'un titre, nous offrant , en noyau central, une Re-visite personnelle et détaillée de
l'oeuvre et du parcours humain, social, intellectuel de Jack London ;
écrivain engagé, jusqu'au-boutiste, me laissant chaque fois , tout aussi captivée et « époustouflée »…En lignes parallèles, de vibrants souvenirs
et évocations du fils cadet de Bernard Chambaz, Martin, décédé dans sa 19e année… Cela aurait pu être larmoyant, mais l'ensemble possède une grâce, une lumière, une sorte d'harmonie…
Je ne rentrerai pas dans les détails, tant l'existence de J. London déborde de partout !!!
J'ai toutefois appris qu'Emma Goldman, féministe libertaire, fera connaître à son ami, Jack London, l'oeuvre de la poétesse d'Emily Dickinson….
Le récit de B. Chambaz nous rappelle à quel point London était visionnaire en tout, et ne supportait pas la misère et les iniquités criantes induites par le système capitaliste…
« Comme d'habitude Jack apprend vite. Il participe aux débats, il n'a pas peur des mots, il écoute, il intervient, il prend la plume, c'est son truc, il pourfend un système qui génère des gagnants et des perdants. Tant qu'à faire, il prône des mesures évidentes : diminuer la durée de la semaine de travail, dégager des moyens pour l'éducation, interdire le travail des enfants et, voyant son père affaibli, les poumons ratatinés, instaurer une retraite pour les vieux. (p. 99)”
***Cela ravive mon envie de revoir, admirer un autre talent indéniable de
l'écrivain- reporter: ses photographies....
Merci à Bernard Chambaz pour ce texte plein de sensibilité, de richesses humaines et littéraires !!
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°°° Rentrée littéraire 2019 #29 °°°
Le point de départ de ce récit est puissant.
Janvier 2016. Martin, le fils de l'auteur, disparu dans un accident de voiture à 16 ans, aurait eu 40 ans … âge auquel Jack London est décédé. Tous deux sont nés en janvier 76, à un siècle de distance. Avec son amoureuse, Bernard Chambaz trace la route à vélo dans les pas du grand Jack, 5000 km de périple entre Etats-Unis et Canada. Mais ils ne sont pas seuls, Martin et Jack, tels deux anges tutélaires, les accompagnent.
Les admirateurs de Jack London ( j'en suis, Martin Eden est mon roman préféré de tous les temps ) plussoieront cette proposition qui s'affranchit des codes poussiéreux de la biographie avec une liberté jouissive tout en offrant mille anecdotes pertinentes pour comprendre ce grand humaniste, ce grand révolté, ce grand aventurier qu'a été Jack London. Quel plaisir de plonger dans les coulisses de la rédaction de Radieuse Aurore, du Talon de fer, de Martin Eden and co !
Les autres seront emportés dans le tourbillon des mille vies de Jack London en plus que celle d'écrivain : balayeur de jardins publics, menuisier, agriculteur, éleveur de poulets, chasseur de, pilleur d'huîtres, patrouilleur maritimes, blanchisseur, chercheur d'or au Klondike !
Et puis, il y a ces passages où Martin et Jack cheminent ensemble en potes complices : cette amitié imaginaire est solaire, empreinte de poésie, bourrée de tendresse. Qu'elle est belle cette littérature lorsqu'elle devient un autre Eden. Qu'elle est belle cette littérature lorsqu'elle pousse des personnages vers l'assomption. Plus forte que le paradis ! avec elle le deuil s'efface devant la pulsion de vie, même si elle se teinte d'une douce mélancolie. Plus de conditionnel, plus de « si », la littérature comme une aventure où tout est réel, où le fils de l'auteur campe avec Jack et s'amuse à faire des ricochets avec lui.
« Aux morts pour qu'ils vivent. Aux vivants pour qu'ils aiment » nous dit la citation en exergue de Joseph Delteil. Bernard Chambaz ne pouvait pas mieux choisir tant ce récit surprenant, entre introspection et biographie, est perfusé à l'amour et à la vie.
Lu dans le cadre de la Masse critique Babelio de septembre 2019 ( merci ! )
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Un autre Éden est le premier livre de Bernard Chambaz que je lis.
Quel coup de coeur !
Tout au long de ce roman tenant de l'introspection, de la biographie et de la fiction, il règne une empathie, une douce mélancolie , un chaloupement des émotions qui nous emmènent sur les chemins de la planète avec Jack London.Mais le tour de force de Bernard Chambaz est de faire plus qu'une biographie. Il va convoquer à cette biographie son fils Martin , son amoureuse et lui même.
Et la biographie ( le voyage ?) va se dérouler à trois voix :
La voix de Bernard Chambaz et de son amoureuse. Lui en vélo, elle en voiture se lancent dans la traversée du Canada d'Ouest en Est dans certains pas de Jack London.
La voix de Martin , le fils décédé accidentellement en 1976
La voix de Jack London nous racontant ses voyages , ses amours, ses combats, sa littérature .
La disparition de son fils Martin hante l'oeuvre de Bernard Chambaz.
Le verbe hanter n'est pas le bon . La disparition de Martin accompagne les livres de Bernard Chambaz. Qu'aurait était Martin aujourd'hui alors qu'il aurait 40 ans.
Ce fils , ce garçon disparu à 16 ans et qu'il appelle plus qu'affectueusement "Martin pêcheur Ce fils , Martin né en janvier 1976, cent ans mois pour mois après Jack London... et Jack London qui écrit l'un de ses plus beaux livre de voyage :Martin Éden
Le lien, le fil qui relie Bernard Chambaz, Martin, Jack London est là.
Ce fil qui va unir tous les chapitres du livre.
A premier abord le roman est destructuré. On passe volontiers de la ballade à vélo au Canada, à un discours imaginaire entre Jack London et Martin,pour terminer en 1910 à Klondike avec les chercheurs d'or.
J'ai eu la tentation au début de la lecture , d'aller sur Internet pour en apprendre plus sur Jack London.
Puis j'ai abandonné et je me suis laissé bercer par le rythme du roman de Bernard Chambaz.
Je suis rentré dans ce labyrinthe des 3 voix qui a donné vie à un puzzle entre réalité et imaginaire.
C'est dans ces interstices entre la réalité et l'imaginaire qu'Un autre Éden apparaît.
Et comme le dit Bernard Chambaz en parlant de Jack et Martin :Je voudrais leur dire à mon tour que j'aime beaucoup la tendresse timide de leur coeur forcené .
C'est cette même tendresse timide qui irrigue ce roman et nous dit l'amour que porte Bernard Chambaz à son petit martin- pêcheur qui s'est envolé.
Et avant de refermer ce roman, revenons à son exergue : Aux morts pour qu'ils vivent. Aux vivants pour qu'ils aiment.
Définitivement sous le charme!
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J'ai apprécié la lecture de ce livre car c'est une histoire de rugby, d'esprit d'équipe, d'amitié.C'est un roman très agréable parce qu'ils sont très solidaires entre eux.
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Fausto a déménagé à Bagnol . Il fait du Rugby, bien sûr. Avec son équipe ils vont partir en Angleterre pour faire un tournoi. Mais Boubacar le leader de l’équipe ne pourra pas faire partie du voyage ,à moins que la solidarité de ces amis change tout...
J’ai aimé ce livre parce que le thème m’a beaucoup plu. J’adore le Rugby et justement ça parle de Rugby.Ca se passe au Sud-Ouest . Il y avait une grande solidarité dans l’équipe.
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