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Critiques de Claude Simon (123)
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L'herbe

Louise la jeune femme, les deux vieilles Sabine et Marie (sa probité rigide) retiennent parce qu'elles sont dans ce livre, avec cette chronologie perturbée par le cheminement des idées et les longues phrases, le glissement d'un personnage à l'autre, les descriptions précises et sensuelles comme ce triangle dessiné par l'entrebaillement des volets de la chambre, et les heures passant sur le jardin.
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Le tramway

Le Tramway, écrit en 2001, est une oeuvre de Claude Simon (1913-2005), prix Nobel de Littérature 1985.



Le livre m'a déçue et ne correspondait pas à ce que j'attendais. Le Tramway est l'occasion de partager les souvenirs d'enfance de l'auteur. Cette partie est très bien écrite et agréable à lire (dans le style Claude Simon, càd de longues longues phrases sans ponctuations très joliment tournées). On y découvre le Tramway, le chemin vers l'école, la maman malade, le terminus du Tramway près de la plage, les journées de vacances à la plage, la description des dames de la famille et leurs petites habitudes. Tout ceci aurait suffit pour moi à faire le contenu d'un très bon livre.



Mais la narration est entrecoupée du séjour à l'hôpital du narrateur et ses réflexions sur le cabinet de toilette, sur son voisin de chambre, sur les infirmières et les médecins - un monde en total opposition au reste du livre, et qui change radicalement l'atmosphère de la narration. Cela m'a complètement gâché la lecture.



Il y a d'autres digressions, comme cette parenthèse sur un extrait de Proust que je n'ai pas comprise, suivie d'un commentaire sur l'homosexualité et même pédophilie d'un personnage connu de son entourage. Et son insistance répétée à parler du nez de ses personnage, celui du vieillard à l'hôpital, celui de sa maman mourante (un nez "en lame de couteau") ; comme si la première chose qu'il voyait chez les gens était le nez, alors que pour moi ce n'est qu'un détail qui n'apporte pas grand chose à la situation de la personne.







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La séparation

Double huis-clos dans l'intimité de salles de toilettes, deux couples jouent les faux semblants pendant l'agonie d'une vieille tante. Fidélité, mensonges à peine voilé, mépris, preuve d'amour, vol et alcoolisme... de bien sombres sujets abordés par gestes et non dits, monologue poignant et silence durant le passage du train au loin. Ce que l'on dit, ce que l'on transmet dans un mot, un soupir ou une boîte en fer blanc, une pièce autour des légendes et mythologies familiales au moment où le deuil frappe à la porte dans l'odeur de poires faisandées et de champs maltraités.

Les annexes entre notes de l'auteur sur la mise en scène, extraits de presse ou analyse critique pour une remise en contexte dans la carrière de l'auteur apportent une mise en lumière percutante.
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L'Acacia

Roman d'apprentissage d'une construction polyphonique vertigineuse, L'acacia interroge les rapports d'un écrivain au temps, à ses ancêtres, au monde, à L Histoire, autant de choses complexes que le texte s'efforce de rendre exhaustivement. Malheureusement, c'est un livre qui se mérite, mais il est très très très très très bon !



Extrait de ma chronique :



"Ayant des échos autant de Proust que de Joyce, que bien d'autres encore, L'acacia est aussi un magistral exercice de polyphonie, tant le texte se plaît à décrire sur des pages et des pages chaque image évoquée et le plus de points de vue possibles sur cette image (il y a bien une histoire, mais elle est diffuse et confuse, n'a ni début ni fin à proprement parler, « n'est pas un roman balzacien », comme Claude Simon lui-même pouvait souvent insister dans ses entretiens) avec sa foule de variantes ponctuées par des « ou », des « ou encore », « ou bien », etc., et étant donné que je l'ai lu comme un Proust, un Joyce ou encore un Pynchon, c'est-à-dire un peu en travers (mais pas distraitement), follement, ne pouvant m'arrêter sur chaque détail (j'y serais encore dans Dieu sait combien d'années tant le texte de L'acacia est complexe et riche, car non seulement il y a des tas de variantes pour chaque image décrite et racontée, mais il y a aussi quantité de détails, d'anecdotes, de micro-récits, presque à outrance), je ne peux ou n'estime pas être capable d'en donner un commentaire qui soit satisfaisant, aussi me plais-je à écrire, comme je l'ai fait pour ma critiquepastiche d'Ulysse, un pastiche de la phrase fleuve de Simon, sans atteindre évidemment sa virtuosité dans le domaine. Je ne fais que m'amuser. "
Lien : https://lemondedurevelecteur..
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L'Acacia

Livre lu pour l'agreg (d'ailleurs s'il y a des motivés pour la prochaine cession autour de la ville d'albi, 81000, contactez-moi ! Je veux le retenter, mais pas toute seule ! Trooooop duuuuur)



Bref, je n'ai pas aimé, et je croise les doigts pour que ce ne soit pas l'oeuvre au programme l'année prochaine !



Outre une narration disloquée ce qui gêne vraiment ce sont les phrases à raaaaaaaaaaallllllloooooonnnnnnge ... Parfois plusieurs pages ! Alors oui, c'est le truc de Claude Simon et du nouveau roman en général, mais quoi ? Pour des raisons de style on en viendrait à subir de telles tortures littéraires ?

Non, désolée pour les puristes (et je sais qu'il y en a, de même que des fans inconditionnels) mais moi je n'ai pas pu le finir tellement c'était looooooong !



Allez j'arrête avec mes mots aux multiples lettres, mais contexte oblige :) J'essaierai de m'y remettre, un jour, mais pas tout de suite !
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Les corps conducteurs

Claude Simon: Les corps conducteurs (1971)

L'homme malade, l'avion, le parlement, les amants, Orion, les listes anatomiques ou zoologiques: chainage morcelé d'une collection d'images et de sensations, magma d'où le sentiment et la logique sont exclus. Seul lien dans cette dizaine de thèmes: nous sommes en Amérique du sud. Peut-être un autre lien ténu: ces mentions fugitives d'une masse grisâtre et envahissante. La narration est au présent, sans transition ni paragraphe, donnant une impression de hâte. Un grand soin est donné aux descriptions, en particulier celle des couleurs: "Seule une mince ligne droite, comme tirée au cordeau, s'étire à l'infini, un peu à l'intérieur des terres et à peu près parallèle à la direction générale du rivage, s'infléchissant parfois pour contourner une dune trop haute, puis filant de nouveau, absolument rectiligne, ne venant apparemment de nulle part, ne conduisant nulle part, à travers les roches calcinées, les sables, les terrifiants espaces nus couleur de soufre, de fer ou de rouille".



Les gens et les choses sont traités sans humanité, ni causalité ni message. Comme dans les affiches lacérées de Villeglé, on ne sait pas ce que l'auteur attend du lecteur/spectateur. Est-ce maîtrise ou mépris des formes et du plaisir de lire? Cette radicalité disparaîtra dans les Géorgiques (1981).

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Archipel et Nord

comme un long poème, que je vous engage à déguster
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L'herbe

L'Herbe est un roman de Claude Simon, prix Nobel de Littérature 1985.



Claude Simon possède un style d'écriture absolument unique, dynamique, faite de longues phrases qui donnent un effet un peu haletant au récit.



Il n'y a pas d'intrigue proprement dite dans ce roman qui se passe en huis-clos. Une vieille tante se meurt, la famille se réunit autour d'elle : son frère Pierre et sa femme Sabine, le neveu Georges et sa femme Louise. L'atmosphère est oppressante, tendue, hargneuse. Il y a pléthore de disputes, de rancoeurs, de jalousies, de sous-entendus.



C'est également l'observation du temps qui passe et qui nous conduit tous à la mort. Et les effets de ce vieillissement sur notre corps. L'auteur s'arrête longuement pour nous décrire le corps mourant de la tante et les deux vieillards que sont Pierre et sa femme Sabine. Louise est confrontée elle aussi à ce temps qui passe et se demande si elle ne devrait pas quitter son mari.



Ce n'est pas un roman réjouissant, mais on est subjugué par la force qui se dégage de l'écriture exceptionnelle de Claude Simon.

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L'Acacia

Difficile de résumer cette histoire ou plutôt ces histoires qui se passent dans des années différentes ayant pour seul fil rouge les deux guerres du vingtième siècle. On passe d'une année à l'autre au gré des chapitres. On suit d'abord trois femmes qui marchent en compagnie d'un enfant, en 1919 à la recherche de la tombe d'un soldat, puis on se retrouve dans le train avec de jeunes soldats du midi qui montent vers la Belgique, le 27 août 1914. On prend ensuite le point de vue d'un soldat dans le feu de l'action, au printemps de 1940, après un combat où hommes et chevaux sont tombés sur un champ et une nature dévastés. Retour avant 1914 où l'on assiste à la formation d'un jeune officier issu du milieu rural, ses soeurs attentives ont tout sacrifié pour cet homme, renonçant ou retardant leur propre mariage pour ce jeune officier appelé au champ d'honneur.

Avant, pendant et dans un chapitre où se mêlent les années (jusqu'en 1982), on perçoit encore les traces du temps et de ces guerres meurtrières. le point de vue des personnages bien que dans la tourmente a quelque chose de détaché. Ils marchent longtemps, désabusés, prennent les évènements comme ils viennent. Ils savent qu'ils montent vers la noirceur et l'horreur. le plus étrange d'entre eux est ce colonel devenu quasi-fou, sur son cheval qui veut dépasser les colonnes et les cratères creusés par les obus, imbu de son grade et de son rang (en 1914 les officiers étaient souvent issus de l'aristocratie). le soldat, protégé de "ses femmes" n'a alors que valeur d'exception.

Douze tableaux pour parler de la confusion de la guerre où les héros n'en sont pas vraiment, où la tragédie est prégnante à toutes les pages. Le style de Claude Simon pour décrire ce marasme a quelque chose d'épique et très moderne, un peu comme une musique concrète aux sons éparpillés, un tableau aux couleurs explosées, la phrase est longue, très longue comme la marche des soldats de la débâcle. La lecture ne trouve pas de repos ou presque au seuil d'un paragraphe ou d'un chapitre, c'est rempli de phrases compactes et interminables, criblées d'incises comme les balles criblent les combattants, leurs casques, leur monture. C'est une Odyssée moderne mais aucun Ulysse n'en ressort. Entre Proust pour la phrase longue et Faulkner pour le bouleversement chronologique et les soldats marqués, blessés de ces guerres.

Alors pourquoi ce titre? Il faut lire la toute fin pour comprendre la symbolique de cet acacia qui se balance.

Une lecture qui demande de la concentration mais qui paradoxalement emporte son lecteur vers les chemins boueux de la vie.



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L'invitation

Je sais depuis longtemps que Claude Simon a été lauréat du prix Nobel et qu'il mérite une lecture. Prudent, j'ai commencé par un roman très court: "L'invitation". Eh bien... ce livre m'a semblé interminable, malgré sa brièveté. Pour faire court: je n'ai rien compris et je n'ai pas du tout aimé l'écriture. Je vois ce texte comme un exercice de style, pénible à lire (sinon à écrire) et bien plus fastidieux que les écrits de Queneau ou de Pérec, par exemple. Les phrases de Claude Simon sont interminables - et moins somptueuses que celles de Proust - et son texte est comme tronçonné en petits morceaux. Naturellement, l'intrigue (si intrigue il y a) m'a totalement échappé.

Je sais: c'est du "Nouveau Roman". L'auteur refuse le réalisme, il ne cherche pas à raconter une histoire qui, "tenant la route", aurait pour but de séduire le lecteur. Il veut plutôt traduire - d'une manière brute - les mécanismes de l'activité et de la pensée des personnages (quasiment anonymes) peuplant son roman. Cette intention est théoriquement louable, mais elle ne m'intéresse absolument pas. Ce n'est donc pas demain la veille que je reviendrai vers cet écrivain.
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Quatre conférences

Les réflexions de Claude Simon sur la modernité en art et en littérature, sur le rapport entre écriture et mémoire, et sur sa conception de la description littéraire comme productrice de sens. Réflexions appuyées sur l'exemple de grands maîtres, au premier rang desquels Marcel Proust.
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Le vent : Tentative de restitution d'un ret..

Pour ce qui est de Claude Simon, c'est un écrivain magnifique et je ne souhaite pas ici laisser une critique véritablement de fond : je n'ai pas follement apprécié ce roman qui me semble mêler l'artifice littéraire et la grandeur d'un style. J'ai eu trop de difficultés à me fixer sur Montès et son évolution, ballotée entre des moments qui ne nourrissaient pas mon plaisir de lire. Je reste sur mes préférences pour le "Tramway" et "La Route des Flandres". J'irai bientôt du côté du "Le Jardin des plantes"...
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L'herbe

Vraiment trop ardu pour moi..........
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L'herbe

Lire ce livre a été pour moi une expérience incroyable de persévérance pour ne pas lâcher, (tout en me rendant compte de la grande valeur du document ) ; je me suis largement laissé séduire par l’originalité de l’écriture, par la poésie de ce texte, entre autres …

Je conseille vivement de lire la partie fin du bouquin : Lire l’herbe par Alastair B. Duncan en amont ou juste après les premières pages du bouquin , personnellement cela m’a beaucoup aidé.

















































































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Le tramway

Montez dans un tramway nommé délire ! Étonnant ouvrage du Prix Nobel de littérature (1985) dont je n'avais rien lu jusqu'à ce jour. Je dis "délire", parce que, allongé sur un brancard, vous regardez sous un angle nouveau la ville qui vous était familière : de la rue vous ne voyez plus la chaussée ni les trottoirs, mais seulement les parties supérieures des deux façades qui partent à reculons au fur et à mesure que l'on vous enfourne dans l'ambulance qui vous conduit à l'hôpital où vous pourrez revivre à loisir vos trajets d'enfance avant de sombrer dans le délire qui vous attend probablement.



Le titre renvoie à un tramway reliant une petite ville à la plage voisine mais renvoie aussi à l'auteur des souvenirs immergés que sa condition de malade et sa position allongée font ressurgir.



Ne vous attendez pas à ce que Claude Simon vous raconte une histoire. Il peint un tableau et réalise un film ou plutôt vous projette des diapositives en fondu parfois enchaîné, mais aussi parfois sans enchaînement évident. Tout le plaisir de la lecture et du visionnage est ici dans la contemplation. Ce plaisir, toutefois, ne vous sera offert qu’en contrepartie d'un important effort de lecture (ce fut du moins le cas pour moi). En effet, le style de Claude Simon explore de nouvelles façons d'écrire et rejette toute forme traditionnelle. Pas d'histoire, mais toute une enfilade d'impressions, de souvenirs, de sentiments éprouvés, d'images accolées les unes aux autres, superposées dans une sorte de collage à la manière surréaliste, tout un méli-mélo de membres de phrases imbriqués entre parenthèses, incises et apartés. Entrez dans son jeu, et ne soyez pas étonnés si le travail de marqueterie réalisé dans la phrase est repris à l'échelle des paragraphes qui, eux aussi, arrêtent parfois leur cours pour le reprendre un ou deux alinéas plus loin, comme la résurgence d'une pensée temporairement détournée de son objet.



Si vous vous procurez ce petit livre, je vous mets au défi d'en lire d'emblée à voix haute plusieurs pages consécutives sans avoir à vous reprendre. C'est que, habitués que nous sommes à la phrase classique dominante, il nous faut d'abord accepter d'en abandonner le rythme convenu, pour embarquer dans cet étonnant tramway dont je renonce à vous donner une description, me réjouissant d'avance des surprises qu'il vous procurera
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L'Acacia

Est-ce le meilleur Roman de Claude Simon ? Je le pense.

Claude Simon est-il le plus grand styliste français du siècle passé au coude à coude avec Jean Carrière et Margueritte Yourcenar ?

Claude Simon: un des grands oublis du Goncourt avec Céline, Simenon, Mauriac, Colette et... justement Margueritte Yourcenar.

Les livres de cet auteur sont difficiles à résumer car il écrit comme on pense: par rebond, amalgame et assonances.

Réservé aux amateurs de lecture soutenue. Ce livre, hanté par la mort et la guerre, est dénué de chronologie lisible.
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Le tramway

La vie n'une longue séries de voyages quotidiens sur le même circuit du service municipal de tramway. Quand on devient vieux et malade, on quitte les transports publique et rentre dans l'hôpital où après des souffrances atroces et de multiplies indignités on s'éteint. On se rend pas l'âme parce que dans ce monde sans sens, Dieu n'existe pas. Voilà la thèse du "Tramway" le dernier roman de Claude Simon.

Simon annonce ses couleurs avec une épigraphe de Marcel Proust avant le commencement du texte du roman:

"l'image étant le seul élément essential, la simplification qui consisterait à supprimer purement et simplement les personnages réels serait un perfectionnement décisif". (p. 9)

En d'autres termes, Simon nous donne sa version d'"À la recherche du temps perdus" sans personnages traditionnels; on y trouve seulement des images des êtres fictifs. Il n'y aucun souvenir des moments d'amour out d'amitié. À la place le narrateur évoquent des gestes équivoques au mieux et parfois macabres. Le passage le plus fort du roman décrit le meurtre des chatons par une bonne.

Le lecteur a l'impression que Simon est obsédé par sa propre imminente mais cette obsession fournit un axe au roman. Mon problème est que le narrateur ne voit pas de beauté dans la vie seulement la banalité et l'horreur.

Parce que "Le tramway" est très bref on le met au programme dans les universités anglophones pour représenter le nouveau roman. Je ne vois pas d'autre vocation pour ce livre désolant.

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La Route des Flandres

Je viens de prendre connaissance de ce livre! Comment? En écoutant un podcast de Andrée Putman qui a fait le panégyrique de ce livre . Je la cite: " à la 100ème page j'étais heureuse et impatiente de lire la 101ème!

J'ai hâte de le lire et je ne suis point découragé par quelques avis disons pas très encourageants mais j'ai une admiration telle pour Andrée Putman que je suis prêt à relever ce défi!
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Les Géorgiques

Les Georgiques, voilà une œuvre originale et ardue de par son absence de transitions narratives portant les lecteurs à se confronter à une écriture corrosive dont on n'échappe pas au fil des pages, dont on supporte le poids des mots et des images de guerre lourdes de conséquences ; le constat de cet auteur est d'un pessimisme foudroyant à l'égard d'une humanité constamment en proie aux guerres sales et inutiles
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La Route des Flandres

Le texte est peut-être beau, mais c'est ennuyeux à mourir !
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