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Critiques de Florence Aubry (279)
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Salle de classe

Ce petit roman qui se lit très rapidement parlé du harcèlement. Mais du harcèlement des professeurs par des élèves.

Stella Godin, jeune enseignante d'histoire-géo néotitulaire arrivé dans son nouveau collège. Mais voilà, elle a une classe de 3e alors qu' elle aurait préféré n'avoir que des "petits".

Et très vite, les heures de cours dans cette classe deviennent un calvaire.

Stella vit dans l'isolement le plus total car elle a honte. Honte d'avouer qu'elle ne s en sort pas avec cette classe, que les autres enseignants trouvent agréable.

Elle rejette l'aide de sa collègue, de l'équipe de direction et de vie scolaire, de tous les autres enseignants , de son compagnon, de ses parents...

Et c'est l'escalade, jusqu'au drame.

Je ne sais pas trop quel est le public visé. Ados, évidemment. Mais pour faire passer quel message? Qu'ensemble, on est quasi certains d'être impunis, quoiqu'il fasse? Parce que les élèves sont odieux et n'éprouvent aucune empathie pour leur prof alors que ce sont de "gentils élèves . Il y a bien un vague remords tardifs d'une élevé mais ça ne rattrape rien.

Ce qui est tragique c'est le manque de solidarité des adultes quand Stella essaie de dire que va ne va pas avec cette classe, au conseil du premier trimestre.

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La fille du monstre

En poursuivant ma découverte des ouvrages au rayon jeunesse, j'ai été attirée par celui-ci de par son titre et sa belle couverture.

Tess a 11 ans lorsque son père décide de se suicider, mais se rate. Ce livre raconte comment elle a vécu ce drame, la relation avec son père défiguré, ses rapports avec les enfants de son âge, cruels, tout comme les gens du village. Avec l'âge et l'œuvre du temps, Tess va remonter la pente et faire la paix avec elle-même.



Un récit émouvant sans tomber dans le pathos, une véritable histoire de résilience. Je me suis particulièrement attachée à Tess, la narratrice, dont les réflexions sont bien rendues. On vit avec elle cette espèce de deuil d'une vie qui ne sera plus comme avant. On comprend son ressentiment vis-à-vis de tous ces gens qui qualifient son père défiguré de monstre et on a envie de lui faire un câlin lorsqu'elle se demande pourquoi son père lui a fait ça. C'est vraiment terrible quand on y pense. J'ai trouvé toute l'évolution de la protagoniste bien rendue, crédible, avec un langage et des expressions d'adolescente (sans caricature). C'est une histoire dure de par son réalisme : la cruauté des enfants, des gens du village, comment les problèmes d'adultes impactent les enfants, la séparation, la honte d'avoir un père défiguré, etc.



C'est un roman très court et qui mériterait une plus ample exposition au delà du rayon jeunesse. Seul bémol, je trouve le tout premier chapitre inutile et un peu enfantin (où la narratrice discute avec son amie son envie d'écrire un livre sur sa vie). Le reste du livre est carrément d'un autre acabit, donc je vous invite à poursuivre.
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L'attentat domestique

Ce roman est l'histoire d'une bombe à retardement qui s'est nourrie de déceptions, de rancœurs, de non-dits.

Elle est née d'un substrat qui a connu une croissance sourde, délicate.



Florence Aubry dépeint avec la même discrétion les personnages, leurs pensées. Il n'y a pas d'explosion de mécontentement alors même que certains personnages auraient de quoi laisser leurs sentiments s'exprimer bruyamment.



J'ai beaucoup aimé la plume de Florence Aubry qui est fine dans le sens où elle use du sarcasme, du caustique pour que des propos très francs surviennent comme des piques dans une narration qui dévoile un quotidien ordinaire. J'ai souvent eu un rire en coin tant elle sait stigmatiser ce qui convient de l'être.

De plus, elle a une capacité à disséquer le physique, les attitudes des gens qui est impressionnante, et rend leurs descriptions parfaitement ajustées à la réalité (tout comme la justesse dans la description des vêtements).

Le seul bémol à ce roman est la fin que j'ai trouvée en-deça du reste de l'histoire : j'aurais aimé que l'épisode de l'attentat soit un peu plus violent, plus percutant. Il m'a semblé étouffé et aurait mérité quelques pages supplémentaires.

Ravie de cette découverte.



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Titan noir

Sur le thème de la question de la souffrance animale dans les parcs marins, Florence Aubry publie un roman époustouflant à destination du public jeunesse, mais bien au-delà en réalité.

Jouant sur l’alternance entre les voix d’Elfie, une toute jeune fille employée par le centre océanographique, et de Titan noir, l’orque vedette du lieu, le récit s’ouvre sur une rare densité qui ne cesse de grandir pour finir par enserrer totalement le lecteur.

Qui est l’humain, qui est la bête ? Victime ou bourreau ? Chacun à son tour ou simultanément ? L’approche narrative et la puissance littéraire de l’auteure arrive à transcender ces questionnements binaires pour nous amener sur des terrains plus complexes. Roman sombre mais marquant.

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Titan noir

Encore une fois, Florence Aubry réussit le pari de m’entraîner dans son monde. Cette fois, le lecteur est bien loin de la poésie de ma précédente lecture de l’auteure : Le royaume des cercueils suspendus. Pourtant le propos est toujours bien choisi et touchant.



Dans ce court roman, Florence Aubry choisit de s’attaquer à la condition animale, notamment à celles de animaux des parcs d’attraction. Quoique je sois un très bon public pour ce genre de roman puisque je n’apprécie guère ces lieux, ni même les zoos ou les cirques avec animaux, j’ai trouvé que le sujet était bien amené.



En effet, il n’est pas question pour l’auteure de frapper aveuglément sur les soigneurs de ces lieux, qui souvent impuissant, restent dans ce système dans l’espoir d’améliorer ne serait-ce qu’un peu les conditions de vie des animaux sous leur garde. Non, ici, Florence Aubry, appelle plutôt le lecteur a prendre conscience de son rôle dans ce système : sans public, pas de parcs.



En alternant deux propos, deux points de vue qui finalement se rejoignent, l’auteure permet au lecteur de s’approprier l’histoire et de réfléchir à son expérience du sujet.



Un très beau texte engagé en faveur du monde animal, à partager autant que possible, pour que le message devienne viral.
Lien : https://belykhalilcriticizes..
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Titan noir

Des pages noires et blanches qui se répondent en miroir pour dénoncer la violence et la cruauté des delphinariums envers les grands cétacés. Dans son absurdité et son insouciance l’homme nie la vie et l’intelligence animale.

Une lecture qui fait réfléchir sur le sort réservé aux animaux en captivité.
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Titan noir

Ce roman nous ouvre les yeux sur la souffrance des animaux enfermés dans les parcs aquatiques, sur la culpabilité que ressentent certains humains...
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Titan noir

Un roman bouleversant sur les conditions de (sur)vie des animaux dans les parcs aquatiques.

Les zoos, on les a tous fréquentés à un moment ou un autre. Les animaux y semblent, sinon heureux, du moins bien soignés. Or ce livre, inspiré d'une histoire vraie, ouvre les yeux sur la souffrance animale qui y règne : "Ils ne pensent qu'à se faire du fric sur le dos d'êtres vivants".



Tout commence avec l'enclos des manchots, officiellement fermé au public pour agrandissement. En réalité, plus qu'une "sérieuse remise en état", le lieu se révèle outrageusement "dégoûtant". Les animaux, que la promiscuité rend agressifs, se blessent entre eux. Certains, mal formés, ne peuvent se nourrir sans aide. N'étant pas rentables, ces handicapés finissent par être euthanasiés...



Dans le bassin des orques, Titan, le mâle intégralement noir, se fait l'effet d'une "bête de foire". Nous avons son ressenti à travers le récit d'une mystérieuse personne qui le connaît bien, et s'exprime dans des pages sur fond noir de manière saisissante. Ce sont ces extraits qui, selon moi, sont les passages les plus intéressants. L'héroïne nous raconte des choses que l'on sait déjà et parfois même, s'étend sur des détails inutiles. L'autre narrateur nous montre l'envers du décor, adoptant le point de vue de l'animal qui évolue dans "une prison sinistre, où il passe sa vie seule à faire des singeries devant les hommes". Capture en pleine mer, bébés séparés de leur mère, solitude, enfermement, les femelles qui s'acharnent sur lui la nuit, sa semence récupérée pour être vendue : Titan a connu bien des épreuves au fil des années qui lui font ressentir un mélange de colère et de désespoir. Certaines orques vont jusqu'à se suicider en se cognant la tête contre la paroi du bassin... D'autres se vengent en tuant leur dresseur.



Heureusement Elfie rencontrera de vrais amoureux des animaux qui "œuvrent pour leur liberté", s'évertuant à les rendre à leur milieu naturel.

Un roman qui laisse un sentiment de malaise, mais un malaise positif, de ceux qui poussent à réagir !
Lien : https://www.takalirsa.fr/tit..
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Titan noir

Un livre très fort sur la maltraitance animale. La maquette est bien trouvée alternant les points de vue sur papier blanc / papier noir. Il est intéressant de ne pas savoir tout de suite qui s'exprime sur fond noir.

Le personnage principal d'Elfie, pas forcément sympathique, est bien campée dans sa transition, de l'ignorance vers la prise de conscience. Cependant, la fin est un peu happy end et justement pas très crédible, malheureusement.
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Titan noir

Elfie est jeune et motivée et trouve un job d'été au sein du Parc Océanographique. Qui ne serait pas excité à l'idée de passer ses journées entouré d'animaux si exceptionnels et de les côtoyer de si près ? Personne. C'est pourquoi Elfie ne comprend pas ces manifestants sur le rond point devant l'entrée du Parc et elle ne comprend pas qu'on puisse penser que les animaux du Parc sont maltraités... Le personnel met tout en œuvre pour leur apporter du confort et de l'amour au maximum... Ces gens ne savent pas qu'au Parc les animaux sont chouchoutés et aimés.



Au début Elfie s'occupe de la caisse, ravie de voir défiler tous ces bambins excités à l'entrée du Parc. Puis elle passe dans l'enclos des manchots. Elle qui n'a aucun diplôme en biologie animale, qui sort tout simplement du lycée à la recherche d'un premier job. Elle ne pensait pas évoluer si rapidement.

Enfin, on lui propose de devenir dresseuse d'orques ! De faire le show avec Titan, une orque toute noire.



Titan noir a tout pour me rappeler Sauvez willy, un de mes films préférés étant enfant !

Sauf que Florence Aubry est beaucoup moins tendre avec son lecteur! Ce qui n'est pas plus mal, on ne peut pas en ressortir indemne.

De plus, l'écriture est originale, l'auteur confronte 2 points de vue. Celui d'Elfie, en page blanche avec une police noire et celui de quelqu'un qui a suivit Titan depuis ses débuts, en page noire avec une police blanche.



Je ne peux que recommander ce livre pour tous ceux qui pensent comme Elfie ou pour tous ceux qui seraient curieux de découvrir les coulisses d'un Parc accueillant des mammifères marins...

L'histoire s'inspire de la vie de Tilikum, mort en 2017. Vous pouvez coupler le livre avec le documentaire Blackfish, qui a donné envie à l'auteur d'écrire Titan noir.
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Titan noir

Titan noir est un roman fort sur la captivité des orques dans les parcs aquatiques. Peut-on réellement les élever sans risques pour qu'elles nous obéissent au doigt et à l'oeil ?

Inspiré de l'histoire de Tilikum, ce roman est bien écrit, et ne s'adresse pas qu'à un lectorat jeunesse.

Il ne me reste plus qu'à compléter cette lecture en allant visionner Blackfish, un documentaire dont j'ai beaucoup entendu parler mais que je n'ai toujours pas vu. (Mais j'ai vu Sauvez Willy plusieurs fois, ça compense non ?!).
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Le royaume des cercueils suspendus

Résumé: Ce roman nous parle de 4 amis d'enfance, devenus adolescents qui proviennent de la même tribu: les Bââs.

Il y a 2 jeunes filles Lëi et Lou-ki, 2 garçcons: Huang et Xiong. Devenus grands ils sont en âge de comprendre si il appartiennent véritablement à leur tribu.

Ce n'est pas un peuple comme les autres puisque les membres possèdent des ailes dans leur dos, ils le découvrent que lors de la fameuse cérémonie.

Leurs ailes sont utilisées que lorsqu'ils en sont autorisés, pour sauver des vies.

L'histoire raconte l'amour qui se crée entre les adolescents.

Le désespoir de Lëi qu'aime Huang condamné à mourir sur la falaise car il ne posséder pas d'ailes.

Malheureusement Xiong qui lui fait parti du peuple aime Lëi. Mais en plus de cela Lou-Ki aime Xiong.

La jalousie s'installe auprès des 4 adolescents...



Critique:

Je n'ai pas trop aimé ce livre, parce que j'ai eu du mal à me "mettre" dedans, le sujet ne m'a pas trop plu du coup j'ai eu du mal à comprendre...

J'ai trouvée ce livre ennuyeux, il manquait d'action à mon goût. Ce livre m'a paru long à terminer malgré le peu de page.





A.A
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Point décisif

Licencié après s’être investi dans son travail au point de négliger sa vie familiale, Edgar semble survivre plutôt que vivre. On a le sentiment qu’il a subi sa vie : il n’a pas choisi son orientation professionnelle, a épousé sa femme sans passion, et évite Raphaël, son fils lourdement handicapé. Seule sa fille, Lilly, trouve grâce à ses yeux. L’adolescente joue au tennis et Edgar remarque un jour son sourire et sa joie lorsqu’elle gagne. Dès lors Edgar est obsédé par une chose : voir gagner sa fille pour revoir ce bonheur.

Mais rapidement cette envie devient obsessionnelle et malsaine : régimes, entraînements intensifs, encouragements intempestifs au bord du court… Jusqu’au jour où Edgar va trop loin…

Le récit alterne les points de vue de Lilly et de son père, nous obligeant à nous demander quelle est la vérité. Edgar vit-il par procuration ou est-il vraiment soucieux de rendre sa fille heureuse ? Un roman troublant, à l’atmosphère parfois lourde, qui relate la dérive d’un homme jamais heureux, qui s’ennuie face à la vacuité de son existence.

Anne-Charlotte, Yakalire


Lien : http://mediatheque.villeneuv..
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Point décisif

Une plongée dans le monde du sport de compétition aux relations dures, sans aucun doute très réalistes.
Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..
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Le royaume des cercueils suspendus

Lors du rite initiatique permettant aux jeunes hommes du peuple Bââ de déployer leurs ailes, Huang découvre en même temps que (presque) tout le monde qu'il n'est pas celui que l'on croyait, qu'il ne possède pas le Don et ne fait donc pas partie de la tribu dans laquelle il a grandit. Il est alors suspendu sur une falaise, à priori condamné à une mort affreuse...

L'auteur parvient dans un court roman fantastique (c'est relativement rare dans le genre) à emporter le lecteur dans une société imaginaire, régie par des lois et traditions strictes. L'histoire en elle-même n'est pas forcément passionnante (il est essentiellement question d'amours adolescentes et de jalousie), mais l'univers décrit est assez envoûtant, le style fluide et poétique. Un beau conte fantastique que l'on peut proposer aux jeunes dès 13/14 ans.
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Le royaume des cercueils suspendus

C'est une histoire, ou plutôt un conte, celui de 4 adolescents d'un peuple ailé avec des coutumes bien ancrées, qui découvrent l'amour, la jalousie, la haine et la mort ou l'envie de mort.

Les symboles et les descriptions sont très forts dans ce roman très riche en détails.

Voilà, ce livre de Florence Aubry est mon coup de coeur du moment !

Je le trouve d'une force et d'une délicatesse, d'une douceur et d'une cruauté, d'une poésie parfaitement maîtrisée.

C'est pour moi un des textes les plus réussis de l'auteure.
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Nola





Tout est dit, c'est bien d' un enlèvement dont il s'agit. L' enlèvement de Nola, jeune fille de 17 ans, qui vit dans un pays où la liberté de disposer de son corps entant que femme n'est pas admise, pas possible; pays où cette liberté vous mène sur les chemins de la clandestinité.



Nola est une jeune fille ordinaire, jeune adolescente, amoureuse qui se retrouve confrontée, un jour, à un terrible choix à faire. Elle a pris sa décision... Mais sur sa route, elle va croiser un groupe de personnes dont les convictions sont totalement opposées aux siennes. Ils sont dangereux et choisissent l'enlèvement pour se faire entendre. C'est Nola qu' ils choisissent ainsi que le médecin qu' elle était venue consulter.



Elle se retrouve alors enfermée, perdue, face à elle même, à son choix, à des convictions qui ne sont pas les siennes, à ses kidnappeurs....



Ces longs moments de captivité vont amener Nola à nous raconter son histoire, pourquoi elle en est là.... Ils vont insinuer en elle des moments de doutes, d'incompréhension, de peur et d'instinct de survie...







C'est ici un roman fort avec un thème abordé très difficile, qui n'est autre que l' interruption de grossesse. Très rapidement le roman prend la forme d'un échange de point de vue entre Nola , le kidnappée, et Ed le kidnappeur et ce par chapitres interposés; chapitres où chacun d' eux exprime son ressenti, ses convictions, ses croyances, ses peurs, ses doutes.....



La force de ce roman tient au fait que jamais aucun parti n' est pris, la parole est donnée aux deux protagonistes de l'histoire, aucun jugement n'est porté.... Il raconte, il témoigne....



Beaucoup de sentiments forts, contrastés nourrissent ce roman. Roman dont l'écriture nous plonge dans des scènes quelques fois si richement détaillées qu' elles font monter en nous l'angoisse et la peur pour Nola pour ce qu'elle va devenir...



Un roman fort. Un très bon moment de lecture.


Lien : http://biblioado.canalblog.c..
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Daddy road killer

Le livre a été très intéressant mais un peu triste. j'ai aimé je voulais savoir la fin dès le premier chapitre la fin du livre est très révélatrice et bouleversante.

E.C
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Nola

Un sujet sensible, brillamment traité. Une jeune fille, enceinte, va dans une clinique pour se faire avorter. Pas de chance, entre elle et la porte d'entrée, une manifestation contre l'avortement. La jeune fille, remuée et choquée, entre quand même dans l'hôpital. Elle se fait ensuite kidnapper. Plein d'humour, sérieux, ce petit livre sans prétention nous amène à réfléchir sur les rapports sexuels et surtout l'avortement en tant que choix librement fait. Mais là où le sujet aurait pu être sérieux et rébarbatif, on a un discours emprunt d'humour et de fraicheur.
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Le garçon talisman

3 personnages que l'auteur nous fait suivre alternativement.



Heinrich, 16 ans, en fuite, il vit sur le port dans un container, il a un problème physique, lequel ? Mystère.



Val, 17 ans, prêt à tout pour sauver sa sœur de 15 ans qui est dans le coma.



Joseph, un vieil homme qui attend sa fille et ses petites filles.



Ce n'est qu'à la moitié du livre que j'ai entrevu le lien qui allait se tisser entre les personnages.



Ces trois personnages sont terriblement attachants, j'ai émis des hypothèses sur la particularité physique de Heinrich, l'une d'elles était la bonne mais il ne faut surtout pas lire la dernière page du livre avant la fin.



Cette histoire est en même temps très belle et très cruelle. Une magnifique découverte.
Lien : http://pages.de.lecture.de.s..
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