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Critiques de François Marchand (47)
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Un week-end en famille

Un juriste parisien, marié par dépit à Las Vegas part avec son épouse rencontrer ses beaux-parents en province, le temps d'un week-end.



Il méprise sa femme, les autres, la province et tout ce qui lui est étranger.

Du haut de sa suffisance il va humilier sa belle-famille avant de ruiner leur parc automobile - par inadvertance - en les quittant, en s'enfuyant en fait. C'est aussi par négligence qu'il égorgera son épouse.



Je m'arrête là, c'est consternant, on dirait un Wilt mais sans l'humour britannique, seulement de l'amertume, du dédain.



Je me suis forcé pour le terminer -heureusement le livre est très court- en espérant que la fin justifie et explique une telle médiocrité. Elle le fait effectivement mais ça ne fonctionne pas plus que le reste.
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Un week-end en famille

Je n’ai pas beaucoup aimé ce livre malgré son épilogue qui aide à comprendre le ton employé par l’auteur.

L’histoire de base est très simple. Un jeune marié fait la connaissance de sa belle famille et va très vite la trouver insupportable. A partir de là, s’enchaineront des évènements qui a mon sens frisent le délire. De l’humour qui au début m’a fait rire mais qui à cause de son acidité, m’a très vite lassée.

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Un week-end en famille

(...)



A l'arrivée.... et bien je ne sais toujours pas si j'ai aimé ou pas ce livre. Et oui, donc pas facile d'en faire une petite chronique. Alors ...



(...)

En conclusion

Une bonne idée au départ, des descriptions taillées à la serpe, mais une histoire qui aurait méritée plus de développement et de lien entre les différentes étapes.
Lien : http://www.leslecturesdemari..
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Un week-end en famille

Voilà un roman qui partait bien et qui finit dans le grand n’importe quoi!



J’adore l’humour noir et j’ai été servi. C’est un florilège de scènes où le narrateur manie l’humour et le cynisme. J’ai adoré la scène de début avec l’explication du trajet faite par le beau-père. Seulement plus on avance dans l’histoire, plus on frôle l’overdose d’humour noir. C’est de plus en plus caricaturale. Les gens de la province/campagne sont des arriérés et le narrateur prône un parisianisme à outrance. Et que dire de l’envolée mystique de la fin? J’ai trouvé ça de trop.



Alors bien évidemment il faut prendre ce livre au second degré pour l’apprécier. Mais j’ai vraiment trouvé un manque de finesse à l’ensemble. Et c’est vraiment dommage car en commençant le livre je me suis dis: voilà un livre pour moi!



Rendez-vous raté avec ce livre et l’auteur au final!
Lien : http://mondedemara.canalblog..
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L'imposteur

« Témoin d’un assassinat, le narrateur usurpe l’identité de la victime et s’octroie le poste qu’elle devait occuper : directeur des relations professionnelles au sein du ministère du Travail. Imposteur de génie, il devient vite escroc, en profitant de l’absurdité des rouages bureaucratiques. Il fait de la corruption l’un des beaux-arts ».



Selon la quatrième de couverture, l’auteur a passé une quinzaine d’années au sein d’une administration centrale, ce qui lui a permis d’observer de près le fonctionnement de l’Etat. J’ai souri à cette étonnante réduction : l’Etat est fort heureusement une entité beaucoup plus vaste, et on l’espère plus efficace et moins crédule que le seul ministère qui sert de théâtre à l’histoire narrée dans ce premier roman.

Ce qu’on ne nous dit pas, c’est quelle place occupait l’auteur dans cette « administration centrale » pour l’avoir ainsi « observée ». Quel était son grade et ses fonctions, pour utiliser le vocable spécifique aux fonctionnaires.

Je chipote…oui, c’est vrai, mais la réponse n’est pas sans conséquence. La piètre image que l’auteur livre des ministères et de ses personnels, tous ou à peu près incompétents et/ou corrompus n’est pas sans faire songer à une forme de règlement de comptes par roman interposé. Celui d’un subalterne frustré assoiffé de vengeance ? Ou celui d’un haut fonctionnaire qui, pour des raisons connues de lui seul, « cracherait dans la soupe où il aurait pu lui-même plonger sa cuillère » ? On ne le saura pas...



L’histoire est assez simple. Un individu lambda se substitue à un grand commis de l’Etat, Charles Legrandin, assassiné par sa femme. Ce dernier devait prendre ses fonctions de Directeur dans un ministère où personne ne le connaît puisqu’il a passé de nombreuses années en mission, détaché à l’étranger.

L’imposteur qui ne connaît rien au système dans lequel il est plongé s’adapte pourtant instantanément aux us et coutumes de l’administration et les détourne pour se remplir les poches. Chantages opérés sur les chefs de service, manipulation des employés, corruption des chefs d’entreprises, des syndicalistes,…tout fonctionne. Bien, très bien…Beaucoup trop bien, à mon avis.

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Plan social

La société d’Emile Delcourt installée à Valenciennes va mal, très mal. L’entreprise familiale d’ancres de marine court à la liquidation judiciaire si rien n’est mis en œuvre. Un consultant parisien Walfard imposé par les actionnaires vient sur place avec ses belles théories. Mais, Emile Delcourt a une solution ! Pour relancer sa petite entreprise, rien de plus efficace que de faire une coupe large dans le personnel mais sans que ça se sache…



Humour noir, ironie, plume méchamment vitriolée font bon ménage dans ce livre ! Le personnage de Walfart est le consultant qui par définition gagne un très bon salaire sur le dos des entreprises qui sont au bord de la faillite. Pédant, arrogant, il s’exprime par des phrases où les mots anglais sont de bons tons. Il ne voit aucun intérêt à cette mission et n’a qu’une seule envie, la terminer au plus tôt. De plus, cette mission dans le nord de la France n’est guère valorisante pour son CV…

La suite sur : http://fibromaman.blogspot.com/2010/10/francois-marchand-plan-social.html
Lien : http://fibromaman.blogspot.c..
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Un week-end en famille

Navrant. C'est le mot que j'ai déjà employé, je le maintiens. Les gros yeux du loup de tex-avery, ça devait être moi arrivée à la page 15. Heureusement que le texte est très très court. De stupéfaction, j'en ai achevé la lecture. Bien sûr, la fin vient tempérer mon jugement. Une prise de risque manquée.



110 pages. Un livre de deux heures. Une narration quasi linéaire: la parole est au personnage masculin, qui déclare d'entrée qu'il a épousé une nana un soir de beuverie et doit à présent se taper le week-end dans sa belle famille, laquelle réside en Samouse, région inventée pour les besoins de la cause.



"Sarcastique". Il paraît qu'avec ce terme, je peux arriver à la conclusion qu'avec ce livre, on a bien rigolé, hahaha. Effectivement. J'ai bien ri. A moins de 20 pages du début, j'ai même été prise d'un authentique fou rire. Incontrôlable. A en pleurer. Tellement c'était stupide, ce récit. Inutilement injurieux.



(suite sur Tale Me More)
Lien : http://talememore.hautetfort..
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Cycle mortel



Roman d'anticipation sur le Paris Bobo, son peuple Homo Parisianus, utilisateur de Vélib' et la lassitude de la gauche plurielle après une décennie au pouvoir.



L'idée était bonne (d'où le 3* et non un simple 2*) mais le style aussi long et ardu qu'une traversée de Paris d'Ouest en Est sur un Vélib'...



La fin de l'énigme est en queue de poisson et manque de saveur à l'image de ces pseudo BoBo fades et sans couleur ! Dommage d'avoir de bonnes idées au démarrage et de s'essouffler avant même la moitié du roman qui ne compte que 123 pages...
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Un week-end en famille

Un parisien hautain qui débarque en Samouse, une belle famille paysanne à des kilomètres de son environnement, une épouse dont il n'a jamais été amoureux. Voilà comment démarre ce livre, le narrateur nous exprime son ressenti, son dédain envers cette famille et sa vision du monde. Le weekend passe, le caractère cynique du personnage augmente au fil du temps. On ne comprend pas bien qui est cet homme mais plus le livre avance plus une atmosphère angoissante et incompréhensible nous envahit . Qui est cet homme ? Que veut il ?

Un livre que j'ai adoré et que je recommande vivement. Une finesse d'écriture, des personnages horriblement attachant et des pensées qu'on n'oserait pas dire...
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Un week-end en famille

Mettre près d’une semaine pour venir à bout de seulement cent petites pages est rarement bon signe, en tout cas dans mon cas, preuve en est avec Un week-end en famille, que je n’ai pas aimé du tout et dont j’ai lu les dernières pages en diagonale, pressée d’en finir.

Présenté par l’éditeur comme un « Un roman désopilant, un jeu de massacre permanent où tous les mauvais sentiments sont mis à l’honneur. », ce court roman de François Marchand ne m’a non seulement pas fait rire du tout mais ne m’a même pas fait esquisser un sourire. Il faut dire que le narrateur, véritable caricature du parisien snob par excellence, est tellement antipathique qu’on a envie de lui mettre des baffes tout au long du récit, tant il est de mauvaise foi. De lui on ne connait ni le prénom, ni l’âge, seulement qu’il travaille dans le domaine juridique. Il vient tout juste d’épouser Aurélie, sa compagne, à Las Vegas, et il regrette déjà de s’être fait passé la bague au doigt ou la corde au cou, comme on veut. Il l’a trouve bête à pleurer et dès qu’il débarque chez les parents de son épouse, il se rend compte qu’il a fait une erreur. Erreur d’avoir épousé sa femme, erreur d’être venu passer le week-end en Province car rien ne va se passer comme prévu car bien entendu, notre parisien se trouve chez des ploucs, il ne pouvait en être autrement.

Pour François Marchand, provincial = plouc de la pire espèce, le récit n’est qu’une longue litanie de clichés en tous genres, sans aucune finesse dans ses propos, j’ai même trouvé un certain nombre de passages plutôt vulgaires avec abondance de gros mots, ce qui n’est pas ma tasse de thé je l’avoue.

Lire la suite...
Lien : http://deslivresdeslivres.wo..
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Un week-end en famille

Quand un parisien passe un weekend à la campagne dans sa belle-famille, les choses peuvent tourner au pire.

Le narrateur raconte son expérience en Samouse : le manque d'affinités avec la famille de son épouse, l'incompréhension mutuelle avec les gens du cru.

Ce weekend va virer rapidement au cauchemar.

L'auteur est sarcastique à souhait, la société de consommation, les "petits bourgeois" de la campagne en prennent vraiment pour leur grade.
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Un week-end en famille

Auteur de deux précédents romans (L’Imposteur et Plan social) Francois Marchand a gagné une réputation d’auteur sarcastique à l’humour noir. Son dernier titre ne déroge pas à la règle et confirme son étiquette.



D’entrée, l’auteur donne le ton et à aucun moment on n’échappe au sarcasme, à l’ironie et au cynisme. Le narrateur, qui vient de faire deux belles conneries (perdre au Poker et se marier avec Aurélie), est sur le point de passer un week-end en province, y rencontrer sa belle-famille. Plongée pittoresque et rocambolesque dans la contrée de Samouse, à travers la vision d’un parisien, Un week-end en famille est une accumulation de sketches qui tournent peu à peu au drame. La fin laisse le lecteur sur le cul et lui donne l’occasion de revoir toute sa lecture sous un angle différent......
Lien : http://stef93330plaisirdelir..
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Un week-end en famille

Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas lu un livre avec un style d’écriture aussi bon ! Je l’ai d’ailleurs dévoré (à tel point que je n’ai pas eu besoin de marque-page puisque je l’ai quasiment lu d’une traite).

Le personnage principal est un véritable anti-héros, je l’ai rapidement détesté mais aussi adoré pour son cynisme et son mauvais état d’esprit. J’ai énormément ri à toutes ces analyses (toutes plus clichées les unes que les autres). A titre d’exemple : il est parisien donc forcément plus intelligent que la moyenne et sa femme est une provinciale donc forcément idiote et un peu limitée et sa famille est constituée d’une bonne bande de ploucs. Bah oui ! Forcément ! (ah ? non ?)

L’histoire se déroule (comme l’indique si bien le titre) sur un week-end et la situation du narrateur (notre très cher anti-héros) se dégrade au fur et à mesure que les heures passent. Et ce qui est dingue, c’est que même lorsqu’on croit qu’il a touché le fond, il s’enfonce encore et c’est toujours la faute des autres qui sont trop bêtes !

Je me suis surprise plus d’une fois à exploser littéralement de rire toute seule devant mon livre (bien souvent je souris mais là, j’ai carrément ri tout fort sans m’en rendre compte).

Le style est donc très particulier et si vous ne le prenez pas au second degré, vous risquez de vraiment détester (enfin, je pense car c’est très très spécial).

La fin fut, pour moi, la cerise sur le gâteau ! Juste 3 ou 4 pages mais ce sont les pages qui font toute la différence entre un livre bien et un livre génial !

Bref, vous l’aurez compris, c’est une superbe découverte, un méga coup de coeur, et donc un 5/5, un 10/10 ou encore un 20/20, enfin bref, une bonne petite tuerie !!!!

J’ai donc bien envie de découvrir les autres romans de cet auteur (j’ai lu qu’il y en avait au moins un : « L’imposteur », édité en 2009, je ne sais pas s’il y en a eu d’autres).
Lien : http://voxpopuleek.fr/2012/1..
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Plan social

Émile Delcourt est dans la merde.

L'usine de fabrication d'ancres marines, située en banlieue de Valenciennes, dont il est le patron et que l'on se transmet de génération en génération dans la famille, est au bord de la faillite.

À un point tel que même un plan social n'est pas envisageable car trop coûteux.

Pourtant, il suffirait qu'un quart des employés quitte l'entreprise pour qu'elle soit viable.



Ça démarre fort, dès les premières pages.

Ce Delcourt est irrévérencieux, goujat, prêt à tout.

On savoure l'humour grinçant de l'auteur, ses nombreuses piques lancées contre les Parisiens, les consultants, le département du Nord, etc. Tout le monde en prend pour son grade.

C'est une lecture jouissive et il y a des passages très drôles qui décapent sec !



Très vite, Delcourt trouve la solution à son problème, un moyen très étonnant et pas très catholique de faire disparaître ce quart de salariés en trop, aidé par un syndicaliste CGT de la boîte, avec qui il s'est trouvé des intérêts communs.



suite sur mon blog, merci
Lien : http://linecesurinternet.blo..
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Un week-end en famille

sorti en août 2012 aux Éditions Le chercheur de midi, Un week-end en famille de François Marchand révèle toute l'hilarité dans ce court roman qui fait une centaine de pages. L'auteur nous livre son humour noir en évoquant et critiquant différents sujets sur la société, la belle-famille, sa femme en s'exprimant comme le narrateur sous l'emprise de médicaments.

Le passage où il endosse le rôle d'un prêtre et clame dans l'église : " Je déclare renoncer à Satan et aux cuisines Schimdt" est assez drôle.

Un week-end en famille dont le narrateur se place dès le départ dans le cynisme, la mauvaise foi à rencontrer sa belle-famille, il se veut détestable, balance ses quatres vérités mais les autres personnages qui passent pour des crétins ou débiles rend finalement ce roman un exutoire à la franche rigolade.

Comme le dit si bien l'auteur : Allez passer un week-end en Samousse et vous verrez bien"





Si vous aimez cette humour décalé et l'envie de partager les sarcasmes avec l'auteur, c'est le bon. Il est très court, une centaine de pages donc si vous avez une heure ou deux pour vous détendre...
Lien : http://lesromansdechris.blog..
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L'imposteur

Irrésistiblement politiquement incorrect !
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Un week-end en famille

Un roman très noir, très lugubre et drôle à la fois. Un homme se rend pour la première fois en Samouse, chez sa belle-famille. Là, catastrophe, il ne la supporte pas. Les évènements s'enchainent sans que rien ne puissent les endiguer
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Un week-end en famille

C’est l’histoire d’un homme qui se retrouve coincé le temps d’un week-end avec sa belle-famille. Qu’il exècre, bien entendu, pour tout un tas de raisons qu’il va se faire un plaisir de nous exposer. Malheureusement, cela ne va pas en rester là et le séjour va prendre un tournant assez tragique.



Le récit est raconté du point de vue de cet homme, comme une sorte de journal intime. Ce narrateur est quelqu’un de très désagréable. Il se qualifie lui-même d’intellectuel et de personne lucide. Cependant, il est juste exécrable et méprisant envers sa belle-famille et sa femme, sur qui il pose un regard plus que condescendant. Il nous explique en effet que ce ne sont que des péquenauds arriérés, des bouseux complètement débiles qui n’ont que des sujets de conversation et des centres d’intérêt tout à fait inintéressants et limités.



Il faut bien avouer qu’au début, son comportement et ses réflexions étant tellement ridicules, cela prête à sourire. Toutefois, cela devient vite déplaisant voir agaçant. On tombe dans la dualité Parisiens contre Provinciaux, avec toute une pelle de clichés, de sarcasmes et beaucoup trop de cynisme. On est clairement dans l’exagération, il n’y a aucune ambigüité là-dessus. Mais il y en a tellement, que cela n’est même plus drôle.



Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que tout ça est fait exprès. C’est voulu par l’auteur, cela fait partie de son personnage, de son narrateur… qu’il cherche à tourner en ridicule. Cependant, j’ai trouvé que cela faisait « trop ». Tout ce qu’il reste une fois la dernière page tournée, c’est un sentiment de lassitude et la désagréable sensation d’avoir perdu mon temps. Même l’épilogue – qui est génial en soi – ne rehausse que faiblement le niveau, car malheureusement on le voit venir des kilomètres à l’avance.



En conclusion, une vraie déception. J’ai très bien compris l’intention de l’auteur – l’épilogue ne laisse aucun doute là-dessus – mais je n’ai pas du tout accroché. Le personnage est fait pour être détesté, l’histoire est totalement folle à dessein, l’exagération est le maître-mot… mais à aucun moment je n’ai eu l’impression de lire « un roman désopilant ».
Lien : http://antredeslivres.blogsp..
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Un week-end en famille

Trop de cynisme, trop de sarcasmes, trop caricatural... et pas d'histoire. Les dernières pages lues en diagonale juste pour pas me dire que je n'ai pas eu le courage d'aller jusqu'à la fin.

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Un week-end en famille

Attirée en ce moment par les critiques de société je me suis laissée tenter par une critique . Je suis déçue , vite lu , très très vite oublié, lecture inutile trop caricaturale sans queue ni tête , pourtant au début j'étais assez embarquée mais .... vite débarquée !
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