Françoise Sagan

Il y a bien longtemps que je n’étais pas venue inscrire mes mots par ici. Ce compte avait pris la poussière comme toutes ces lectures qui m’attendent encore patiemment. Si les livres peuvent penser ( j’entends par là l’objet livre) , je me demande s’ils pensent que je les ai oubliés, délaissés. Que je les rassure, il n’en est rien.

Alors pour cette première chronique depuis bien longtemps, je vous présente un livre que l’on ne présente plus. Lui, cela fait 15 ans qu’il attendait d’être ouvert. Et avant que l’on se trouve tous les deux, il a patiente des années dans une vieille armoire de chez ma grand-mère. C’est une édition poche de 1954, il est venu au monde exactement 40 ans avant moi.

Je ne sais pas si les livres pensent mais ils nous appellent, ils se font comprendre. Ils sont capables de rester silencieux longtemps avant de se rappeler à nous au moment opportun. Un titre en tête qui fait écho à ce que nous vivons.C’est dans ces pages qui sentent le renfermé, ces pages jaunies par le temps et rugueuses contre mes doigts, par ces mots à l’encre parfois écaillée, que j’ai parcouru la lutte mentale de Cécile au cours de l’été de ses 18 ans. Élevée par un père veuf et frivole, tous les deux mènent une vie faite de légèreté et de mondanités. Jusqu’à ce que l’arrivée de la classique Anne vienne bouleverser leurs habitudes.

J’ai assisté à la mort de l’insouciance, à la douleur que peuvent susciter les remises en question, la confusion et le tumulte des pensées et des sentiments: entre amour, égoïsme, et les résistances à l’inconfort du changement. Et pour finir, la culpabilité refoulée qui ronge. Les regrets, les remords, la vraie souffrance… et la tristesse d’avoir claqué la porte à ce bonheur sans même lui avoir laissé une chance, ce bonheur qui a été, sans même qu’on ne le sache et qui ne sera jamais plus. Cette possibilité de bonheur à qui on a dit au revoir sans même lui avoir dit bonjour.

Hubert, un jeune français se met en tête d'épouser une jeune et riche anglaise, Priscilla Chesterfield. Poussant le bouchon encore plus loin, sa maîtresse française Coralie devra quant à elle séduire le jeune et riche fils Chesterfield, Bertram. L'affaire s'annonçait plutôt bien partie jusqu'à ce que les parents s'intéressent un peu plus à eux. Henry-James et Felicity auront des réactions bien différentes, pour des raisons très divergentes. Il n'en faut pas plus pour que tout cela parte en vaudeville, avec goguenardise et trait d'esprit. Quelques situations bien établies risquent de vaciller ! Mais qui va réellement sortir positivement de ce moment ?



Quel plaisir de lire Françoise Sagan ! Cette grande autrice manie brillamment les traits d'esprit et la joute verbale, bien au-delà de la recherche du bon mot. Je ne lui connaissais pas ce talent pour le théâtre mais c'est une découverte très agréable. La forme et le fond sont là. Ils prêtent à réfléchir sur le ton de la comédie. Un vrai bonheur ! Le rythme est là, soutenu et l'intrigue maintient tant l'intérêt que le sourire.



Je vous invite donc à prendre quelques instants pour faire cette découverte si ce n'est pas déjà fait. Qu'en dites-vous ?

En vrai j'ai bien aimé ce livre, c'était court mais intense

Les émotions de la narratrice était genre réalistes dans le sens où ça se contredisait beaucoup, et qu'elle culpabilisait pour son action

Mais c'est humain après tout, se laisser porter par ses émotions et juste regretter en constatant les conséquences, c'est aussi ça que ça apprend, on peut pas savoir ce qui va découler de nos actes, donc autant essayer d'assumer pleinement nos actes et d'être en accord avec afin de l'être avec leurs conséquences.

C'était très rapide et facile à lire et tout de même intéressant avec peu de personnages mais tous avec leur place, leur complexité et leurs particularités.

Lu lycéenne. Bien que reconnaissant du talent à Françoise Sagan, j'avais lu son premier roman sans grande émotion.

Peut-être était-ce dû à la difficulté de m'identifier au personnage, sans doute, à l'époque ou encore à une éducation différente... Bien que le mal être de l'adolescence soit un sujet intemporel et universel.

Les livvres de Francoise Sagan sot inclassables par nature et celui co, qui est une biographie de Sarah Bernard est un de ceux qui ont la structure la plus classique de la bibliographie de l'auteur.Bien documenté, agréable à lire nous avons ici une vraie reussite litteraire qui remet à l'honneur ce personnage legendaire pour lui donner le beau role dans ce livre.

Ca commence par un déjeuner sur l'herbe d'anciens amis quadras et quinquas qui dégénère...A l'initiative d'une riche bourgeoise, cet attelage veut renouer avec sa jeunesse perdue. Mais le temps est passé, les individus ne sont plus ce qu'ils furent et la rencontre dérape.

Une pièce à la limite du vaudeville, pas déplaisante mais pas transcendante.

Il aura fallu attendre d’avoir plus de 35 ans avant de découvrir la plume de Françoise Sagan avec son tout premier roman : Bonjour Tristesse.



Je ne savais pas trop à quoi m’attendre et j’ai pris le parti de ne pas lire le résumé. Je me suis laissée porter par cette histoire à travers les yeux de cette adolescente de 17 ans, Cécile, qui vit aux côtés de son père un été plein d’oisiveté, jusqu’à ce que …



On sent effectivement se profiler un événement, mais lequel ? Je ne m’attendais pas à cette fin et en suis restée assez admirative. Je pense qu’il est important pour apprécier cette lecture de se remettre dans le contexte historique, cette époque des années 50 où se roman met en lumière un culte juvénile du plaisir, parsemé de reproches que les protagonistes peuvent ressentir pour cet attrait et qui a fait scandale à l’époque. Aujourd’hui bien sûr, cela paraît bien moins subversif mais je demeure admirative de ce roman alors que l’autrice avait tout juste 19 ans.



Bonjour tristesse est une belle découverte m’incitant à lire davantage de romans de l’autrice qui nous a quitté en 2004 et dont Pocket réédite certains ouvrages.

L'été est chaud, Cécile -17ans- vit des vacances reposantes avec son père en bord de Méditerranée. Cette routine est nécessaire à son bien-être intérieur. Quand son père, habituel tombeur de dames, renoue avec une amie de sa défunte mère, le drame est proche. Cecile s'apprête à devenir une adulte et perdre son innocence.

150 pages en flux tendu sur une jeune fille à papa qui voit son beau rôle devenir secondaire dans l'esprit de son père. La jeune femme refuse de céder sa place, refuse de voir le cercle s'agrandir avec la nouvelle conquête. Elle ne veut pas s'entendre dire de réviser, de faire attention aux garçons & de se faire corriger. Elle souhaite vivre comme elle l'entend. Quitte à monter un plan machiavélique. Et évincer "sa rivale".

Une lecture fluide, un soleil brûlant, Bonjour tristesse s'adresse à un lecteur nostalgique de l'époque sans technologie, sans téléphone portable. Une époque où l'attente était teintée d'impatience & de je-m'en-moque. Ce récit propose la fin d'une adolescence. L'heure des choix a sonné & Cécile a clairement choisi le sien. Vivre de manière légère, sans se soucier du lendemain, sans se soucier des autres. Etre égoïste pour son bonheur personnel.

L'auteure délivre un roman devenu culte sur ce passage à la vie adulte. L'héroïne, sous ses airs de jeune fille parfaite, est calculatrice et fourmille d'idées retors. Sous ses airs de récit de vacances, Françoise Sagan inscrit son nom en gras dans la littérature française. Sombre & lumineux, profond & léger, court & culte.

C'est après avoir écouté un récit de Stéphane Bern sur Europe 1 que j'ai eu envie de découvrir Françoise Sagan et en particilier ce premier roman qui l'a rendue célèbre alors que je n'étais pas née. "Bonjour tristesse", plongée dans les affres de l'adolescence, explore les thèmes de l'amour, de la passion et de la manipulation. Sagan tisse avec habileté une toile complexe de relations interpersonnelles, mettant en lumière les conséquences dévastatrices de la jalousie et de la désillusion.



Ce qui rend ce roman si remarquable, c'est sa capacité à capturer l'essence même

de la jeunesse rebelle et insouciante et de la nature humaine et ses innombrables contradictions, surtout à une époque où la société était plus pudibonde. Avant-gardiste "Bonjour tristesse", respire une liberté et une audace rafraîchissantes. L'auteure a osé explorer des thèmes tabous comme la sexualité pour le simple plaisir, l'ennui existentiel et les relations complexes, défiant ainsi les normes sociales de son temps.

Son écriture franche et incisive s'affiche comme une nouvelle forme de littérature, plus moderne, plus authentique et plus en phase avec les réalités de la jeunesse de l'époque.



Ainsi, en brisant les tabous et en défiant les conventions, Françoise Sagan a ouvert la voie à une nouvelle ère de liberté et d'expression dans la littérature française.

En fin de compte, ce court roman est intemporel (excepté pour le vouvoiement entre les personnages !) et continue de résonner avec les lecteurs de toutes les générations, offrant une exploration perspicace de la fragilité des relations humaines et de la quête souvent futile de bonheur.

J'ai d'abord craint une histoire banale. Une femme de quarante ans, tiraillée entre un homme de son âge qui la délaisse, et un jeune homme de quinze ans son cadet, qui l'adore, la choie, mais....qui a quinze ans de moins qu'elle.

C'est le côté inéluctable de ce roman écrit en 1959 qui m'a fasciné. La même histoire écrite aujourd'hui ne serait sans doute pas la même. Cette boucle, qui, en dépit de tout , se renoue pour ramener Paule à son point de départ, sans qu'elle puisse faire autre chose que d'être la spectatrice de son propre destin. La fin est admirable, abrupte, désespérée. J'ai adoré ce roman divinement bien écrit.

Transportée dans les années 50 par l'incroyable voix de Sara Giraudeau, pure cristalline, un brin malicieuse, j'ai gouté au sable chaud, à la mer délicieusement transparente et au soleil brulant. Quel bien m'a apporté cet audio-book dans la grisaille actuelle. Entre pluie et éclaircie, le manque de motivation pour sortir m'est évidente, alors je me suis transportée dans le sud de la France le temps de cette écoute.



Cécile, jeune fille recallée au bac, se la coule douce dans la maison louée par son père en compagnie de sa maitresse actuelle. Sa mère n'est plus alors son père a pris toute la place. Loin des standards de l'époque, la vie de Cécile se résume en soirée, alcool et cigarettes, au côté d'un père aux airs de Don Juan, batifolant sans vergogne de jeunes femmes en jeunes femmes qui ont la moitié de son âge, subventionnant leur besoin, comme elles subventionnent son besoin de jeunesse éternelle et d'incarnation de la beauté sur Terre. Pour Cécile, rien de choquant, c'est son quotidien. Elle aime sa vie d'oisiveté et de luxe.



Mais les vacances farnientes ne vont pas se passer comme elle aurait imaginé. Anne, meilleure amie de sa mère pour qui Cécile voue une admiration pour sa maitrise professionnelle et son cercle d'amis érudits, va venir bouleverser le quotidien de cette pseudo famille recomposée et progressivement va refermer les portes de cette cage dorée et tel un coucou va mettre dehors l'indésirable et prendre l'ascendant sur le père admiré et admirable.



D'une écriture simple et délicate qui transpire d'émotions et de criante vérité, ce premier roman de Françoise Sagan casse les codes de la famille et des relations amoureuses. Indépendance et Liberté Sexuelle, pour des hommes et des femmes qui survolent le monde et se foute de tout ce qui les entoure. Cécile se transforme, grandit, assouvit ses plaisirs dans les bras de Cyril et manigance adroitement le départ de celle pourtant tant admirée pour son propre confort de vie. Les regrets viendront plus tard, la tristesse de la réalité la rattrapera.



Françoise Sagan ne décrit pas la méchanceté de Cécile mais simplement l'égoïsme de la jeunesse, le besoin de sécurité et la peur du changement, l'inconscience de ses actes et l'oubli des sentiments des autres. Cécile y voit son propre intérêt et cela lui suffit.



Je termine ce livre nostalgique de l'insouciance de la jeunesse, de la simplicité de voir la vie. La plume de Françoise Sagan propulse au delà des mots et des images vers une adoration à la vie et au jour présent. Une autrice aux prémices de sa carrière qui donne la voix à ces jeunes filles qui rêvent d'indépendance et de légèreté mais où la réalité de la vie frappe sans prendre garde. A découvrir incontestablement
Lien : https://exulire.blogspot.com..

Quand vous lirez 'Un orage immobile', peut-être comme moi vous penserez involontairement aux Illusions perdues, à Mme de Bargeton, Lucien de Rubempré et toute cette ambiance d'une ville de province endormie, car dans ce roman de Sagan nous retrouvons aussi une préfète d'Angoulême, un poète pauvre et passionné, et la vie d'Angoulême à l'ère romantique.



Mais ce n'est pas un monde balzacien qu'on retrouve, même si Sagan nous plonge dans la vie au début des années 1830. Car ses personnages, leurs actions et leurs pensées relèvent plus d'un monde saganesque que d'un quelconque monde balzacien.



« Je fais vite, je vais trop vite, mais je ne peux plus supporter de me rappeler certains souvenirs, certaines heures que j'ai passées alors, dans cet automne terrifiant, orageux et désespéré, où le vent, la terre ne faisaient plus qu'un avec la folie des hommes. »



Ainsi Nicolas Lomont, notaire d'Angoulême, finit son récit qu'il avait entamé à contrecœur, préférant s'en tenir aux faits secs des actes notariaux. Mais quelque chose de terrible s'était produite en cet été chaud et imprévisible de 1835, l'anticlimax de ce qui avait commencé comme une idylle poétique entre deux personnes d'un milieu social opposé : Flora de Margelasse, riche héritière et Gildas Caussinade, fils de métayer.



La cause : une mystérieuse servante au service de Flora aux pouvoirs séducteurs énormes. Partout où elle apparaît, le malheur ne tarde pas d'arriver à sa suite.

Orage immobile pour Nicolas Lomont, car c'est lui le seul rescapé de cet été désastreux de 1835, été qui s'est immobilisé et transformé en cauchemar jusqu'à ses vieux jours.



Magnifique petite perle peu connue de Françoise Sagan.

Quand j'ai besoin de faire une pause entre deux polars, entre deux pavés, l'écriture légère et pétillante de Françoise Sagan est toujours un plaisir.



On suit ici Lucille une jeune fille de 25 ans qui n'aime rien tant que ne rien faire : dormir jusqu'à midi, passer l'après midi à lire, s'acheter des vêtements de grands couturiers et sortir le soir.



Elle vit avec Charles, le double de son âge, fou amoureux d'elle et qui finance son train de vie ne demandant que sa présence à ses côtés, même pas son amour ... 



Lors d'une soirée, elle rencontre Antoine, un garçon de son âge et c'est le coup de foudre. Tous deux plaquent leurs protecteurs pour vivre le parfait amour dans la petite chambre d'Antoine.



Mais il veut qu'elle travaille, cela l'ennuie et elle démissionne sans le lui dire ...



Elle retrouvera Charles, qui la reprendra avec plaisir et amour



Antoine poursuivra une belle carrière.



Un roman des années 60 désuet à souhaits et qui, comme à chaque fois, me fait me demander s'il existe encore aujourd'hui des jeunes femmes comme Lucille et de tendres barbons comme Charles ... 
Lien : http://les-lectures-de-bill-..

"Bonjour Tristesse" de Françoise Sagan est un roman qui m'a profondément marqué.



L'histoire de Cécile et de son père, vivant dans une villa méditerranéenne et naviguant entre liaisons passagères et plaisirs estivaux, m'a captivé dès les premières lignes.



L'atmosphère estivale, la jeunesse insouciante de Cécile et la complexité des relations familiales ont été décrites avec une justesse saisissante par Sagan.



Ce qui m'a particulièrement touchée, c'est la manière dont l'autrice explore les tourments intérieurs de ses personnages, en particulier ceux de Cécile, partagée entre le remords et le culte du plaisir.

La tension qui se développe au fur et à mesure que l'été avance, avec l'arrivée d'une femme plus mature dans leur vie, est palpable et bouleversante.



Le style incisif et percutant de Sagan, ainsi que sa capacité à dépeindre des émotions complexes en quelques mots, ont fait de "Bonjour Tristesse" bien plus qu'un simple roman pour moi.



C'est une œuvre littéraire qui résonne aujourd'hui, interrogeant les notions d'amour, de responsabilité et de liberté avec une profondeur inoubliable.



Je recommande vivement à tous les amateurs de littérature intemporelle.

En 1957, Françoise Sagan a un accident de voiture. Soignée avec un dérivé de morphine, elle devient accro et doit partir en cure de désintoxication. Elle tient alors un journal.

Je continue d'explorer la bibliographie de Françoise Sagan et j'avoue y prendre toujours autant de plaisir. Ici, on partage avec elle les semaines qu'elle passe en cure. Ses lectures, ses impressions, les ampoules qui l'aident à décrocher, les visites, les rencontres. Le livre ne raconte pas à proprement parler ce qu'elle vit, mais donne des instantanés de son séjour.

Le livre est illustré par Bernard Buffet qui offre des croquis qui collent parfaitement au texte. Un plus qui nous plonge dans un quotidien introspectif et appuie l'ennui, la solitude de ce séjour.

Un petit livre porté par l'écriture ciselé de Françoise Sagan et le talent graphique de Bernard Buffet.

Pas le meilleur livre de l'auteur même si j'ai trouve de bons passages.Le style Sagan est toujours aussi incisif et reussi et surtout ce livre est sans longueurs.Les personnages attachants font le reste.Un bon moyen de decouvrir l'oeuvre de l'auteure.

Ce roman décrit les impitoyables paradoxes de l'amour: l'étonnement d'une rencontre et la difficulté d'aimer. Amour et solitude sont le lot de chacun."Aimez-vous Brahms ?": Paule, pouvait-elle aimer "autre chose qu'elle-même et sa propre existence ?" Roger, peut-il aimer autre chose que le confort d'une vie distraite et égoïste ?

Eternelles questions que pose Françoise Sagan : chacun, préoccupé de soi peut-il aimer ? Celui qui aime, n'est-il pas condamné à souffrir ? Et celui qui refuse de souffrir ne se protège-t-il pas simplement de l'amour ? Style simple, captivant qui nous plonge dans la vie parisienne et le vide de vies centrées sur elle-mêmes. Un roman plein de vérité.


Lien : https://www.babelio.com/ajou..

Bonjour tristesse est un livre dont j'ai beaucoup entendu parlé pourtant je n'ai pas été séduite par l'histoire, ce qui explique ma petite note. Pour dire j'ai même abandonné ce livre à moitié, pourtant je n'abandonne pas facilement.

Je n'ai pas accroché non plus avec les personnages, notamment Cécile qui m'a plutôt agacé.

Les thèmes abordés dans ce roman sont universels, comme l'amour, la jeunesse, les liens familiaux mais aussi le mensonge et la manipulation.

Je reste néanmoins contente d'avoir ouvert ce livre pour m'en faire mon propre avis et d'avoir pu découvrir la plume de Sagan.

Françoise Sagan, toujours son écriture fluide et faussement désinvolte, toujours le même émoi de lecture, depuis la découverte de "Bonjour tristesse" puis de "Aimez vous Brahms ?", à l'adolescence, dans la bibliothèque de mes parents, et de quelques autres depuis.

Francoise Sagan est un auteur mythique de la litterature francaise et même si ce livre n'edt pas son meilleur il reste un excellent ouvrage qui se lit avec un reel plaisir.Le style est excellent,le sujet interressant et bien traité,le tout forme un recit homogène et agreable a decouvrir.