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Critiques de Françoise Sagan (1227)
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Des bleus à l'âme

Un roman hybride entre fiction et confession de cette célèbre autrice intemporelle, qualifiée de "charmant petit monstre" par François Mauriac !



A découvrir en version audio chez @Audiolib grâce à l'interprétation très juste de Lola Naymark. Elle glisse avec aisance d’un ton à l’autre, du commentaire autobiographique au roman, du mordant de Sagan au persiflage de Sébastien ou Éléonore.



Ce texte admirable permet de découvrir plusieurs facettes de cette écrivaine culte que Lola Naymark fait revivre grâce à une lecture intimiste très réussie : sa voix détachée, son débit saccadé, son ton cynique m'a d'ailleurs rappelé quelque peu la diction heurtée de Françoise Sagan.



"Sébastien et Éléonore, frère et sœur, complices inséparables, la quarantaine proche, se retrouvent à Paris. Également beaux et blonds, les voici nonchalamment installés dans un meublé de hasard, parfaitement désargentés et parfaitement disponibles.



Presque aussitôt, se pressent autour d’eux Nora, une Américaine aussi riche que mûre, Bruno, jeune premier du cinéma français, Robert, un célèbre imprésario..."



Dans "les bleus à l'âme", Françoise Sagan intervient directement dans le récit en s'adressant à son lecteur, créant ainsi avec lui une certaine complicité. Elle prend parti pour l’un ou l’autre de ses personnages qui font partie de sa personnalité ; elle nous livre ses sentiments en parlant de sa vie, de ses doutes de femme et d’écrivaine ; elle se met en scène comme rarement. Elle utilise le « je » pour justifier ses choix et lui redonne, dans une pirouette finale, son statut romanesque.



Je remercie @Audiolib et @NetGalleyFrance de m'avoir permis de découvrir ce roman dont j'ai beaucoup apprécié la version audio. Dès le début, je me suis laissée emportée par les confessions nostalgiques douces-amères de l'autrice non dépourvues d'auto-dérision.
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Les faux-fuyants

Au dela du mythe il y a l'ecrivaine,douee qui plus est.En plus de sa vie romanesque Sagan nous a laisse une peuvre considerable qui a marque son epoque et même si bonjour tristesse est plus connu que lui,ce livre merite d'etre (re)decouvert.La prose de Sagan est superbe et se lit tres bien.Un petit plaisir a decouvrir.
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La chamade

Fait il lire Francoise Sagan ? Oui,oui,et trois fois oui ! Il faut devouvrir son style,sa sensibilite et aller audela du mythe pour juger sa prose et ses textes.Ici elle nous offre un roman superbe,plein de charme sur un theme tres connu celui du sentiment amoureux qu'elle sublime avec ses mots,un regal !
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Aimez-vous Brahms...



Paule est quadragénaire. Elle vit une relation avec Roger. Roger est un séducteur terriblement infidèle. Paule se voile la face. Jusqu’au moment où le jeune Simon rentre dans sa vie et va tout bouleverser…



Un livre qui appartient à ma moitié et qui dormait dans notre bibliothèque.

Un moment fort de lecture… un moment où la passion surpasse la raison. Un moment où les cœurs s’enflamment. Un moment au chaud, à conserver dans son âme de lecteur.
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Bonjour tristesse

Des épicuriens effrayés par le stoïcisme, ça pourrait donner ce livre je crois.

C'est très bien, les personnages sont merveilleusement écris et décrits. Chacun a ses ambiguïtés, sa complexité et éveille notre curiosité.

Nous sommes dans la tête de la jeune Cecile qui découvre ses premiers amours, qui apprécie cette vie frivole que son père et elle mènent depuis quelques années.

C'est assez passionnant, de voir évoluer ce petit cerveau avec ses machinations et manipulations.

Je ne saurais quoi dire de plus donc je vais me taire et vous conseiller chaudement cette lecture.
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Des bleus à l'âme

Essai ou roman ? Fiction ou réalité ? Travail d'écrivain ou dictée et frappe quasi-automatique ? Les critiques ici ou là disent tout de tout cela. Pour moi, Des Bleus à l'âme sonnent comme un combat avec soi-même, avec son mythe - une sorte de double quand on est célèbre comme Sagan - et ses héros, ces personnages devenus immortels et qui rendent et transcendent la vie de tant d'inconnus. Double vie, double ration de vie, double parce que quasi-jumeaux bien que homme et femme, double parce que si différents, Sagan convoque les mythes et les réalités de sa propre vie, de l'éditeur marieur et pédéraste à la vieille dame indigne et tendre. Peu de personnages mais ô combien bien campés juste en les faisant agir les uns avec les autres. Jusqu'au moment où l'auteur-narrateur les a, pour les deux héros, devant lui. C'est simple et beau, complexe et poignant comme la vie. Celle des héros et celle de l'écrivain aussi.
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Bonjour tristesse

"Bonjour tristesse" fait parti de ces livres qui jouissent d'une renommée énorme et qu'on sait qu'il faudra lire un jour pour ne pas rester idiot.

Alors voilà : c'est fait !

Il est difficile d'imaginer l'aspect transgressif de ce roman au moment de sa sortie pour le lecteur de 2023.

J'avoue ne pas avoir été séduit d'entrée.

Les premières pages m'ont fait penser à quelques films de la même époque se déroulant dans le monde feutré de privilégiés , sur la Côte d'Azur, au bord de piscine. Un peu vain et futile.

Et au fil de pages le charme a opéré jusqu'à l'épilogue qui m'a séduit.

Finalement, s'il est difficile d'imaginer presque 60 ans après sa sortie, l'ampleur de la nouveauté , ce livre reste hautement recommandable.

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Avec mon meilleur souvenir

Choisi à la médiathèque un peu vite, c'est le premier que le lis d'elle. Je découvre un style sirupeux qui ne me correspond pas, beaucoup d'autocomplaisance mais peut on en vouloir à quelqu'un qui a déjà réussi et a eu la chance de rencontrer des gens exceptionnels. J'essaierai sans doute bonjour tristesse plus tard mais d'abord il faudra que l'écoeurement causé par tant d'autocomplaisance se dissipe (la description du casino sérieux, les joueurs seraient les meilleures personnes au monde, et mon postérieur sur la commode?).
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Aimez-vous Brahms...

Sagan est une auteur clivante: on aime ou on deteste, difficile de rester entre deux tellement son style est aprticulier: de mon coté j'adore cette auteure, sa plume, son imagination et son sens du recit.Meme si Bonjour tristesse me semble superieur, ce livre reste un tres bon opus que je vous conseille de decouvrir pour vou faire votre avis sur ce style inimitable.
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Un certain sourire

Peut-être est-ce dû au contexte international et ses nouvelles atroces, sûrement aussi parce que je sortais de la lecture de « Ceux de 14 », mais j'ai pris un peu plus de plaisir à parcourir ce court roman que « Bonjour tristesse » de la même Françoise Sagan. Un roman léger, quelque part le témoignage d'une époque insouciante. Que cela fait du bien ! Et puis c'est tellement bien écrit, par une personne aussi jeune! Une histoire d'amour au fond assez simple, les questionnements d'une très jeune femme, dans un roman dont la sortie ferait probablement bien plus scandal aujourd'hui qu'à son époque, vu le retour des ligues de vertu et des pères Lamorale.
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Le lit défait

Un livre de Sagan oublié dans ma bibliothèque et que je n’avais jamais lu, ni parcouru. Une histoire d'amour et de passion entre Edouard, un auteur dramatique et Béatrice, une comédienne à succès. Ils s’étaient rencontrés cinq ans auparavant. Elle l’avait laissé là où il se trouvait, lui ne l’avait jamais oubliée. Tourments de l’amour, fascination pour l’autre, difficultés d’être en couple… Des personnages complexes à souhait comme sait si bien les dépeindre Françoise Sagan. On a même parfois l’impression qu’elle y laisse un peu de sa vie passée…
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Bonjour tristesse

Lu bien évidemment par obligation à l’école, cette relecture s’est avérée plus positive que je ne l’avais pensé. Il faut dire qu’une excellente conférence sur l’auteur m’a ouvert l’esprit et permis une meilleure compréhension de l’époque, la situation et la linguistique. Je crois qu’il faut lire ce ‘classique’ en mettant de côté ses aprioris appris dans les médias voulant promouvoir une certaine littérature...

Même si ce n’est pas du Flaubert ou du Ernaux, pour ne nommer que ces 2 extrêmes, on y trouve une présence et du caractère. La construction est aussi très bien menée, avec une fin plausible.
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Bonjour tristesse

Peut-être que cette œuvre était subversive lors de son contexte d'écriture. Longtemps après, je n'ai pas respiré d'odeur sulfureuse, plutôt de l'ennui. Je ne dois en tout cas pas être la cible de ces ouvrages traitant de problèmes de cœur parmi la grande bourgeoisie ; j'ai ressenti le même manque d'intérêt que lors de ma lecture de Gasby le magnifique. Je sais bien que ce n'est pas la même époque, pas le même contexte, mais j'ai trouvé des points communs aux deux œuvres : de riches désœuvrés qui s'ennuient et tentent d'oublier leur ennui et l'arrivée progressive d'une déchéance physique liée à la vieillesse en buvant beaucoup, en fumant encore plus, et en couchant les uns avec les autres. La Narratrice ne m'a pas séduite, plus qu'une manipulatrice perverse, je l'ai vue comme une gamine capricieuse qui ne veut pas apprendre ses leçons, qui ne mange que ce qu'elle aime, qui voit les autres comme des jouets au service de ses désirs, y compris physiques.

L'aspect que j'ai trouvé le plus intéressant, c'est l'approche genrée de la vieillesse, différente pour Anne et pour le père de la Narratrice. Ils ne sont pas vieux, ils ont à peine la quarantaine – surtout avec notre regard actuel, mais ils sont plus proches de la vieillesse que de la jeunesse. Le père ne pense qu'à son physique, qu'il veut garder avantageux : il veut plaire, être admiré, c'est le centre de son existence. Il veut donc être sûr que sa jeune maîtresse le désire toujours physiquement. Anne, elle, cherche à construire une vie stable, ordonnée et organisée. Le mariage est pour elle le moyen de s'assurer une position stable, respectacle. Elle aurait tout pour vivre seule – intelligence, charme, fortune..., mais elle ne peut être considérée comme une femme accomplie, une « vraie » femme sans époux. C'est elle le personnage le plus intéressant du roman, parce que c'est elle qui est la plus complexe.
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Un sang d'aquarelle

1942 dans Paris occupée, la guerre est partout, visible, inévitable, sauf pour Constantin Von Meck le protagoniste principal du roman, metteur en scène extravagant aussi critiqué qu'admiré. Constantin, géant excentrique, tonitruant et fragile ne voit la guerre qu'au travers de ses inconvénients (on lui embarque ses techniciens) ou avantages (les passes- droits dont il bénéficie), Un sang d'aquarelle est l'histoire de sa prise de conscience.

Si le personnage de Constantin prend beaucoup de place dans le roman c'est pour mieux le détailler et en explorer la psyché, les personnages qui l'entourent sont habilement dessinés, tous intéressants et nécessaires.

J'ai trouvé un équilibre agréable entre l'histoire, l'action d'une part et les explorations intérieures des personnages, les deux aspects s'alimentant l'un et l'autre. Le style est riche et la lecture fluide, n'ayant jamais lu Françoise Sagan (mieux vaut tard... ) je ne saurais dire si "Un sang d'aquarelle, ressemble au reste de son œuvre mais j'ai déjà ajouté deux autres livres de l'autrice a ma liste de lecture.
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Bonjour tristesse

Ouvrage légèrement surévalué à mon goût. Certes il est plutôt bien écrit, mais manque un peu de vérité à mon sens. Je lui préfère, dans le même style, la Cloche de détresse de Sylvia Plath ou encore Mademoiselle Else de Arthur Schnitzler, qui paraissent plus sincères et sont beaucoup plus puissants que Bonjour Tristesse. Le personnage du père rappelle un peu le sinistre Pierre Costals des Jeunes Filles de Montherlant, un personnage plein d'une effroyable faiblesse envers lui-même. Malgré tout, cela reste une lecture agréable.
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Bonjour tristesse

J’ai eu envie de lire « Bonjour Tristesse » suite à la lecture de « Sagan 54 » d’Anne Berest, je me suis rendu compte que j’étais passée à côté de ce classique et que surtout je n’avais jamais lu du Sagan, ainsi il fallut vite y remédier!



En lisant l’histoire de Cécile, de son père, d’Anne, Elsa et Cyril je me suis rapidement demandé, pourquoi j’eus envie de m’offrir un moment aussi insipide, l’ennui de tourner ces pages m’a très vite accompagnée pour ne pas me quitter jusqu’à la dernière page!



Évidemment, il faut remettre cette histoire dans son contexte, dans son époque et l’âge de Françoise Sagan quand elle a écrit ce classique.



Mais, je suis assez déçue d’avoir ouvert une porte sur une perpective complètement inintéressante et d’une vide absolu… J’aurais dû lire ce livre il y a fort longtemps ou ne jamais le lire et cultiver le mystère Sagan!



Bien évidemment, je ne critique nullement la plume et la dynamique de l’écriture mais plutôt la profondeur de ce récit.
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Bonjour tristesse

Contente de l'avoir lu pour ne pas mourir bête, mais je ne le relirai pas. Malgré les cigales, les pins et la Méditerrannée, ces histoires d'amour croisées n'ont pas suscité mon intérêt.



J'ai apprécié le style d'écriture de ce classique. Droit au but et poétique à la fois, mais sans attrait particulier pour l'histoire. Je comprends le vent de révolte et de révolution que ce roman a porté lors de sa parution en 1954 dans une société française encore conservatrice et en demande d'autorité et d'ordre après la guerre.



Enfin, je reconnais volontier qu'écrire ce roman à peine sortie de l'adolescence est une prouesse de talent et de sensibilité, pourtant, mais j'ai peiné à venir à bout de ce tout petit roman.



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Un profil perdu

Affligeant, caricatural, poncifs et lieux communs se font la courte échelle, cette longue, lente et ennuyeuse pochade alimentaire est écrite à la truelle. Du sous-Harlequin qui se mâtine d'un pseudo vernis germanopratin. Personnages jamais crédibles : Alan et Julius hystériques, Josée gourde stupide. D'une légèreté de kouglof. À fuir en regrettant le temps perdu à cette indigeste lecture.
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Bonjour tristesse

Bonjour tristesse,

Roman que ma grand-mère m’a, un jour, glissé en secret entre les mains lorsque j’avais treize ans : « cesse de lire la bibliothèque rouge et or ou tu ne comprendras jamais rien au plaisir de lire, tu ne feras que tuer le temps avec ce que tes parents t’achètent ».

Elle avait raison, complètement raison : lire, certes, c’est se cultiver, mais un livre de géo ou d’histoire de troisième vous procure le même degrés zéro du plaisir que Cosette et ses Thénardier (désolée cher Victor, je ne suis pas une grande fan de certains de vos romans).

En revanche, Sagan, même snobée par une partie des « intellectuels et bien-pensants » de l’époque, quel talent ! Quel génie, quelle faculté à vous retourner la tête et les sens ! Elle n’a pas drainé que ceux qui avaient le gout de l’interdit, que les jeunettes qui comme moi ouvraient un œil ébaudi sur le monde des adultes ! Elle nous a, à l’époque, fait découvrir une écriture rapide, jouissive, bien loin de mes lectures habituelles un brin amphigouriques.

Je me suis replongée avec délice dans les affres de ce triangle qui pour le coup est un véritable triangle de la mort. Le roman a un peu vieilli, comme moi. Je ne suis plus un perdreau de l’année, à l’inverse de la jeune héroïne de dix-sept ans, les angoisses et tourments des premières amours m’ont moins fait vibrer qu’à la première lecture, mais je ne regrette pas cette relecture plus mature : il est des livres qui vieillissent mal, d’autres comme « bonjour tristesse » qui vieillissent avec élégance.

Résumé: La villa est magnifique, l'été brûlant, la Méditerranée toute proche. Cécile a dix-sept ans. Elle ne connaît de l'amour que des baisers, des rendez-vous, des lassitudes. Pas pour longtemps. Son père, veuf, est un adepte joyeux des liaisons passagères et sans importance. Ils s'amusent, ils n'ont besoin de personne, ils sont heureux. La visite d'une femme de cœur, intelligente et calme, vient troubler ce délicieux désordre. Comment écarter la menace ? Dans la pinède embrasée, un jeu cruel se prépare.



C'était l'été 1954. On entendait pour la première fois la voix sèche et rapide d'un " charmant petit monstre " qui allait faire scandale. La deuxième moitié du XXe siècle commençait. Elle serait à l'image de cette adolescente déchirée entre le remords et le culte du plaisir.
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La chamade

Quand la chamade fait sa parade... amoureuse.





Lucile, jeune femme, vit avec Charles, un homme riche, plus âgé et posé.

Le jeune Antoine, rencontré dans le cercle intellectuel de Charles, va faire battre la chamade au coeur de Lucile.

Antoine pose un ultimatum : lui ou Charles, elle doit choisir.

Cruel dilemme : la sécurité financière et le sérieux de Charles VS la fougue et la passion d'Antoine.



Ce triangle amoureux m'a d'abord ennuyée. J'ai dû recommencer la lecture des premiers chapitres pour rentrer dans le récit.

Puis petit à petit j'ai eu envie de connaître le dénouement de l'histoire, pour savoir qui va choisir Lucile : la raison ou la passion, la sécurité ou l'incertitude, l'argent ou la modestie financière.

Je n'ai pas trop apprécié le personnage de Lucile, je lui ai trouvé un manque d'empathie et de l'égoïsme.
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