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Citations de Fred Bernard (208)


- C'est horrible, Paul ! Tout le monde vient me voir comme une bête curieuse ! Ils disent que je suis un mangeur d'enfants. Je n'ai jamais voulu te manger, Paul ! Mon père m'avait prévenu : tous les hommes pensent ça, alors que les ogres passent leur temps à peindre.
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A présent, ces engins viennent gâcher nos petits déjeuners. C'est pas sympa...
Wow, les filles!!!Vous allez lâcher ces trucs là, oui?! Et ça tripote, ça tripote! J'ai l'impression de voir deux vieilles bigotes caresser leur chapelet avec un espoir morbifuge. Vous me suivez?!
_ Mais Victoire...Nous, c'est comme ça qu'on communique avec les absents. Hi,hi!
_ Vous êtes avec moi, ou j'envoie votre "Wi-fi" au diable.
_ D'accord, on arrête ça. "Oui", fit le diable en personne!
_Hi, hi!
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On me trouve belle mais nous ne sommes beaux que pour ce que nous donnons...de temps, d'argent, d'amour ou de tendresse. Je ne donnais pas grand chose en vérité et ma beauté je l'offrais bien involontairement.
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Tu domineras peut-être la guerre, ma petite Jeanne, mais tu n'auras jamais la paix. C'est la vie. Ta vie.
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- Je me souviens d'un passage très juste à propos de la misanthropie...
- Oui, il disait "les misanthropes se plaignent de la nature humaine et de la société, alors qu'ils se sont volontairement privés de tout le bien qu'elles renferment et ont fait tout leur possible pour détruire leur propre bonheur et celui de tous ceux qui les entourent. La misanthropie est quelquefois le fruit de la déception, mais elle est plus fréquemment le produit d'une vanité excessive et mortifiée, qui reproche au monde de ne pas être mieux traitée qu'elle ne le mérite."
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Ligne SNCF Dijon - Chalon-sur-Saône.
Quel dommage qu'on ne serve pas un verre à chacun de ces arrêts.
C'est ce que je me dis chaque fois que je rentre "au pays".
Geyvrey-Chambertin, Vougeot-Gilly-Lès-Cîteaux, Nuits-Saint-Georges, Beaune, Chagny, Meursault, et j'en passe...
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Les enfants ne disparaissent pas comme ça.
Aucune trace sur la neige,
Quelqu'un, ou quelque chose,
Avait dû les prendre,
Mais quoi !
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Mais Rex peut devenir mon copain ! Les grands, les petits, c'est pareil ! Moi aussi, je mange des plus petits que moi quand j'ai faim ! C'est la chaîne alimentaire, c'est mon père qui me l'a dit. C'est normal, c'est la nature !
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Acte I scène 2

« YAAAHOU ! » Le cri de joie de Vermeer fait vibrer toute la maison. Cézanne arrive, suivie de Goya.
« Alors ? Quel cadeau t’a apporté le loup cette fois ? demande la mère l’air de rien.
- Un enfant ! Exactement ce que je voulais ! Un p’tit gamin d’humain ! - Oh, qu’il est mignon, dit Cézanne en s’approchant de la cage. Ca fait une éternité que je n’en avais pas vu.
- Et moi, jamais ! crie Vermeer surexcité. Il est génial ! »
Goya chuchote à sa femme :
« Une chance qu’il lui plaise. Je n’ai pas vraiment choisi. Le gamin pêchait à la lisière de la forêt.
- Il faut lui trouver un nom, reprend la mère. Comment vas- tu l’appeler, Vermeer ?
- Je ne sais pas, moi.
- JE M’APPELLE PAUL ! » - Les ogres éberlués se penchent sur l’enfant vert de rage
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Ils me gardaient à l’abri des abordages et pendant les escales. Je ne m'en plaignais pas.
Ils me nourrissaient de mets délicats. Ils me couvraient des plus belles étoffes. Le vieux chinois m’effeuillait, m'ébourgeonnait, m'ébranchait, m'écimait, m'éclaircissait, m'écorçait, m'élaguait.
A mesure que l'arbre se tordait et se pliait, un bien être infini m'emplissait.
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Planté dans la coque d'un vieux vaisseau, enchâssé entre les mâts brisés et les cordages, se dressait un arbre superbe et fier. [...] Les racines de l'arbre plongeaient dans les entrailles du bateau et avaient depuis longtemps soulevé et vrillé planches et madriers. Les branches avaient arrachés les vergues, tranchés les haubans et s'élançaient vers le ciel, immenses.
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Nous pouvons parfois en voir un [un avion] de près quand ils sont abattus. Hélice tordue, ailes brisées, ils conservent la dignité d'un aigle massacré.
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Depuis combien de temps ?
Suis enfermé dans le noir
Je ne sais pas
Abandonné
Eparpillé
Un rayon de soleil.
De la lumière !
Et un petit minois de petit rat.
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Maman, voici ma vie en 33 dates qui claquent, craquent, sonnent ou grincent comme autant de vertèbres sans lesquelles je ne serais qu'une tête.
Un coup de poing dans un ciel d'orage, au-dessus de ce monde de brutes.
Je ne t'en veux pas, maman. Je dicte cette lettre pour toi parce qu'aujourd'hui je suis heureux et fier. Je me tiens droit comme un "i" et ma tête fait le point. (...)
Tu resteras la jardinière d'un arbre gynécologique épineux bien compliqué.
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Tes pas brûlants foulaient rapidement la neige. Malgré la fatigue.
Chaque jour après ton travail dans les hauteurs, tu éprouvais la terre de tes pieds avant de t'élancer vers Montmartre.
Direction les bras d'Alice.
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Entre les rafales salées, les déferlantes, le souffle de la tourmente, le brouillard liquide, entre le vacarme de l'océan et celui du ciel, un arbre gigantesque nous narguait.
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L'animal n'a que des besoins, Lily ! L'homme a des désirs illimités !
(p. 51)
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Maître Musashi m'enseigna donc la Voie de la tactique des samouraïs. L'art de l'union de l'esprit et du sabre. Et surtout, l'Art d'user de son esprit comme d'une arme.
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Les autres le savent bien, on ne mélange pas les "normaux" et les "monstres" dans ce cirque.
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- on te dira qu'il y a plein de filles comme toi, qui veulent chanter dans un groupe... mais c'est faux, Lily ! personne n'a ta voix ! personne ne chantera comme toi, jamais ! tu es unique, nous sommes tous uniques !
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