Honoré de Balzac

Cette histoire nous raconte l'histoire de Pierre grassou un jeune peintre qui évolue peu à peu dans l'histoire en progressant dans son travail.

N'étant pas le style de livre que j'ai l'habitude de lire, Pierre Grassou m'a beaucoup étonné car je pensais ne pas apprécier cette œuvre, mais elle m’a tout de même plu. Une phrase qui m'a "marqué" est celle-ci : “Inventer en toute chose, c'est vouloir mourir à petit feu ; copier, c'est vivre.” Cette citation de Pierre Grassou me fait penser à un état d'esprit très présent de nos jours. Aujourd'hui être différent fait souvent sujet à des critiques, car la société n'aime pas ce qui est différent, cela reprend pour moi "inventer en toute chose, c'est vouloir mourir à petit feu". Puis, "copier, c'est vivre", la société ayant peur de la différence, de la nouveauté, fait donc comme tout le monde, ce qui entraine une population entièrement identique. Je pense que cette phrase est ma préféré car pour moi, elle représente notre société d'aujourd'hui.

Ce livre ma beaucoup plu , grâce à Balzac qui malgré les attentes de son publics bourgeois a refuser tout compromis en dévoilant ses idées dans se livre à travers les personnages illustrer et aussi au contexte littéraire qui est le romantisme . Il dit tout au long du livre que Pierre Grassou de Fougères est un artiste et peintre médiocre mais à la fin du livre il le représente comme un bon citoyen , bon père qui a réussie sa vie avec son épouse tout en gagnant de l'argent grâce a son talent en tant que portraitiste des bourgeois parisiens . Mais au cour de son livre Balzac nous fait sentir néanmoins que cette idée d'une perte des valeurs traditionnelles depuis la révolution de 1830 qui dégraderait le pouvoir , mais aussi le goût du publics bourgeois .

Dans ce récit Balzac nous propose une dissertation et une véritable réflexion sur l'art, il nous le montre à l’aide de citation d’auteur, d’artiste et de description laborieuse qui sont parfois difficile à lire et à comprendre.



« Mais quelques reflets égarés allumaient dans cette ombre rousse une paillette argentée au ventre d’une cuirasse de reître suspendue à la muraille, rayaient d’un brusque sillon de lumière la corniche sculptée et cirée d’un antique dressoir chargé de vaisselles curieuses, ou piquaient de points éclatants la trame grenue de quelques vieux rideaux de brocart d’or aux grands plis cassés »



Frenhofer est un très mystérieux artiste, il sait exprimer l’art et l’enseigner.

« La mission de l’art n’est pas de copier la nature, mais de l’exprimer ! Tu n’es pas un vil copiste, mais un poète »



Il prête attention au moindre détail d’un tableau et

cherche la perfection mais à force de retouches et de doutes, il finit par détériorer son œuvre.

Après la description des personnages, surtout Frenhofer, on se rend compte qu’on ne dénote pas vraiment de la réalité, après tout la recherche de la perfection est quelque chose qui est normal pour un artiste et lui-même ne sera jamais pleinement satisfait de son œuvre.



La chute de ce récit est réellement surprenante, elle laisse les lecteurs sur une fin mystérieuse qui les invite à se poser plusieurs questions.

Les fruits de l'amour passent vite, ceux de l'art sont immortels

Par cette citation Balzac, nous explique les les sentiments que nous procure l'amour sont éphémères contrairement à ce que certains pensent, et que l'ai fruit de l'art reste immortel étant donné qu'eux resteront exposé et seront vue un nombre incalculable de foi.

Frenhofer est un personnage assez énigmatique, il est absorbé d'une passion aveuglante ; en effet il est en admiration devant son oeuvre Catherine, il veut la rendre parfaite pourtant il ne souhaite pas la montrer il la considère comme un être a par entière mais lui étant exclusivement réservé. Cela le pousse dans une telle folie qu'il perd pied quand il dévoile son oeuvre a Porbus et Poussin qui ne voient qu'un pied d'une beauté irréel entourer de couche innombrable de couleurs ruinant la toile ; ce qui est assez étrange car on peut voir a plusieurs reprise que Frenhofer est une grand artiste. Son suicide nous ce que le fanatisme peut nous faire faire.

Le livre de Balzac intitulé Pierre grassou et un livre que j'ai du lire en raison d'un devoir pour le lycée . La critique que je peux faire est sur le personnage de Pierre puisque se dernier ne travail que limitation, c'est oeuvre ne sont pas de lui mais des copies de celles de grands peintres avec bien entendu des détails rajoute sur les peintures.

" On connaît des médiocrités plus taquines et plus méchante que celle de Pierre Grassou qui, d'ailleurs, est d'une bienfaisance anonyme et d' une obligeance parfaite. "



Pierre Grassou a réussi malgré sa banalité et son insignifiance à se faire une place confortable dans la société, dût a ses qualités dont sa persévérance. Balzac nous informe que n'importe qui peut arriver a son but comme Pierre Grassou mais que tout le monde n'a pas de bonne intention comme peut nous le montrer le personnage d'Elias Magus qui lui arrive a ses fin sans aucune honnêteté.

Ce livre est très bien écrit, c'est du Balzac. Très simple à lire mais la compréhension est tout de fois difficile.

Un livre facile à lire mais la compréhension est complexe.

J'ai bien aimé ce livre pour c'est cause.

Un court récit écrit comme une nouvelle où l'on découvre le talent de Balzac à travers trois personnages aimant de peinture. Art majeur, la peinture a aussi ses codes, difficile a comprendre certaine fois mais une très belle histoire et écriture de Balzac; il contient beaucoup de références dans le livre qui nous enrichit .En voulant décrire la peinture le plus justement possible a su rendre son livre vivant.mais la critique que je pourrais faire c'est la folie de Frenhofer qui n'est pas assez expliquée dans le sens où l'on ne sait rien de lui.

C'est une nouvelle assez compliqué a comprendre à la première lecture , loin d'être la meilleure de Balzac. j'ai d'abord trouvé très intéressante l'idée de démontrer que le talent ne pouvait etre de la gloire, c'est la vie personnelle, humble, fidèle, politiquement correcte de Grassou qui va amener au public de bourgeois

Changera-t-il ? Balzac tient trop à garder la sympathie du lecteur à ce pauvre Grassou, qui souffrira de savoir mauvaise peintre notoire, mais souffrira dans l'aisance matérielle.



On retrouve des personnages-types récurrents, comme l'affairiste qui exploite les artistes, sans chercher à les faire profiter des escroqueries qu'il monte grâce à eux et Balzac transpose au milieu de la peinture des choses qu'il a déjà dites sur le milieu littéraire, par exemple dans Splendeur et Misère des courtisanes.

Dans ce roman de Balzac, nous découvrons l'univers des peintres à son époque, plus particulièrement celui de Pierre Grassou, jeune peintre méprisé par ses maîtres et collègues. En effet, il ne réussit pas immédiatement dans le domaine de la peinture, mais grâce au Salon (qui est d'ailleurs hautement critiqué par Balzac au cours de ce livre, cité comme un endroit désordonnée, où les tableaux s'empilent et dont les gens se lassent), il réussit à vendre ces toiles, notamment avec l'aide d'un marchand : Magnus. Il fait alors la connaissance des Vervelle, dont il doit peindre le portrait, et il finira par épousé leur fille, Virginie.

On suit tout au long du livre le parcours de Grassou, et on voit qu'il réussit sa carrière dans l'art même si son talent n'est pas incroyable, en restant honnête et simple (à l'inverse de son marchand, Magnus, qui revends les toiles de Grassou en les faisant passer pour des Rembrant !). C'est un livre très intéressant car on découvre le quotidien de la vie des artistes, et comment le Salon s'est transformé en un concours presque public. Si vous êtes intéressés par l'histoire des arts, je vous conseille fortement ce livre, où Balzac a su raconté le quotidien de peintres avec humour.

Il n'y a que les gens médiocres pour penser à tout.

La mission de l'art n'est pas de copier la nature mais de l'exprimer.

Deux jeunes filles fraichement sorties du couvent se marient. L'une à un jeune noble de province sans le sou et qui deviendra finalement pair de France ; elle devient une mère de famille exemplaire. L'autre se marie à un grand d'Espagne en exil, fou d'elle. Mais ce dernier meurt dans le tourment qu'elle lui inflige. Elle se remarie plus tard à un jeune poète dont c'est elle cette fois qui devient folle. Après quelques années de bonheur sans partage, une méprise la plonge dans le chagrin et elle se laisse mourir d'une pneumonie.

Une jeune demoiselle, fille de riches négociant est remarquée par un jeune peintre qui la prend pour modèle. Malgré les réticences de la famille elle l'épouse mais son éducation ne l'a pas préparée et au bout de quelques temps le peintre retrouve sa vie et son épouse malheureuse n'a plus qu'à se laisser mourir. Une première plongée dans la Comédie Humaine, dans l'oeuvre fleuve de Balzac et la décision de poursuivre jusqu'au bout.

Lien : http://editionssurlefil.fr

Le Père Goriot est un très bon roman réaliste que j'ai beaucoup apprécie malgré certaines tournures de phrases compliquées à comprendre .

Le roman raconte l'histoire de la "pension Vauquer" principalement des personnes qui y habitent comme "Madame Vauquer " la maîtresse des lieux , "Vautrin" , "Eugène de Rastignac" et "Le Père Goriot" .

Ces personnes ont une histoire plus ou moins tragique ,secrète et un but dans leur vie.



Charles Roblain

J'y ai passé un an dessus à le disséquer en long en large et en travers parce que ma prof de français de seconde ne connaissait que ce bouquin depuis l'antiquité qui l'avait vu obtenir son agreg! c'est triste pour les agregs!