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Critiques de Jonathan Dee (148)
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Ceux d'ici

Avec « Ceux d’ici », l’écrivain signe le premier roman significatif sur les Etats-Unis de Trump. Il l’a pourtant terminé quelques mois avant l’élection…
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Les privilèges

Mais qui sont les riches ?

Plusieurs artistes américains se sont posé cette question.

Tom Wolfe, dans « le bûcher des vanités » , à Brett Easton Ellis, ou plus récemment à Douglas Kennedy qui vient de publier « Combien ? » chez Belfond, décrivant l’univers d’avarice et d’ambition qu’on a pu trouver aussi dans le film « Wall Street » d’ Oliver Stone en 1988.

Avec « Les privilèges », Jonathan Dee réussit avec brio à portraiturer un couple symbole de cette Amérique qui réussit.



Adam, jeune financier de de vingt-deux ans, épouse Cynthia à Pittsburgh. Dès le premier chapitre J. Dee campe les deux personnages principaux du roman de manière fracassante : ils font un mariage de rêve, dans un lieu avec des accents exotiques puisqu’ils ont quitté leur New York pour rejoindre la ville de leur beau-père : ce sera la seule entorse à la règle de conduite qu’ils se seront fixés de ne jamais regarder en arrière, de ne pas considérer cette famille d’avant (leurs parents et grands-parents) mais de constituer à eux seuls une famille mythique autour de qui le monde tourne.

« Quand ils sont au contact l’un de l’autre, personne d’autre ne peut les toucher. Leur enfance, leurs familles, tout ce qui les a façonnés est maintenant derrière eux et le restera désormais».

Adam et Cynthia ont donc en commun un foi vibrante en leur avenir, et l’avenir va leur donner raison, « non pas comme donnée variable, mais comme but tout ce que New York leur faisait miroiter de la vie de ceux qui avaient vraiment réussi suscitait chez eux moins d’envie que d’impatience. ».

Leur confiance aveugle en l’avenir est ce qui les relie le plus profondément : « Entre autres, ce qui faisait qu’ils s’entendaient si bien ensemble, c’est qu’Adam avait toujours ressenti qu’ils étaient dotés de ce talent commun pour abandonner les choses derrière eux. A quoi bon revenir en arrière et aller les rechercher ? ».



Ce roman de trois cents pages va décrire leur évolution au fil du temps : à la trentaine, Cynthia élève leurs deux enfants, April et Jonas, pendant que Adam transforme tout ce qu’il touche en profit : engagé par un fonds spéculatif dont le directeur le considère comme son propre fils, il tire parti d’informations glanées dans les milieux d’affaires pour racheter et vendre des entreprises au gré des fluctuations du marché.

A la quarantaine, Adam et Cynthia sont multi millionnaires : Adam a quitté son fonds d’investissement pour monter le sien, et son charisme « à la Murdoch » fait que tout le milieu financier a envie de lui confier ses économies, puisque tout ce qu’il touche se transforme automatiquement en investissement gagnant. Mais Adam et Cynthia jouent aussi les Robin des Bois : en créant une fondation qui porte le prénom de Cynthia et ils deviennent la première organisation caritative de New York : le « charity business » se porte bien …



Alors, que deviennent les riches ? Ce qui est très fort dans ce roman c’est que Jonathan Dee ne juge pas. Il ne fait ni un essai sociologique ni un pamphlet politique : il les décrit de l’intérieur, et il y réussit parfaitement.



On s’attend à ce qu’ils chutent. Adam, avec sa réussite insolente, va tomber pour délit d’initiés. Il faut dire que tous ses placements ne sont pas complètement honnêtes, et qu’il maîtrise complètement le mécanisme des paradis fiscaux. Ou bien, avec sa forme éblouissante, il va tromper sa femme et ce sera la fin du couple. Ou bien encore Cynthia, qui consulte un psy « parce que tout le monde le fait » va vieillir et ne sera plus aussi séduisante qu’elle l’est encore à quarante ans.

Et bien non. Pas de morale dans ce roman, pas de rédemption par le malheur ou la peine, ils sont beaux riches puissants, et le demeurent jusqu’au bout.



Alors, heureux les riches ? Pas si sûr néanmoins. La faille provient des enfants : April devient une sorte de « Paris Hilton » enchaînant alcoolisme et drogue, à l’image de ses starlettes people ultra médiatisées décrites dans le dernier roman de Jean Rolin, « Le ravissement de Britney Spears », qui ne savent plus trouver un sens à leur vie. Jonas s’est tourné vers la vie de bohème, après avoir fondé un groupe de rock dans lequel il est un guitariste épris de country, groupe qu’il a baptisé « les privilèges » - clin d’œil au titre bien sûr. Il rejette son image de « fils de multimilliardaire pétri de haine de soi » mais pour combien de temps ? Quand on est dans un milieu où on s’achète un Picasso comme d’autres un poster, tout est faussé.



Et peut-on vraiment parler de famille ? April et Jonas ne connaissent pas leurs grands-parents. Adolescents, ils déambulent ultra-indépendants dans le loft au-dessous de leurs parents dans un espace où on ne sait pas ce que font les uns et les autres.

Et quand Cynthia, apprenant que son père agonise dans une clinique, découvre à son chevet une belle-mère inconnue et encombrante, sa seule réponse est celle qu’elle a toujours eu, à savoir l’argent : moyennant la coquette somme de cent mille dollars, la pseudo belle-mère va débarrasser le plancher pour laisser Cynthia seule en tête-à-tête avec son père.



La morale, s’il y en avait une, serait donc bien que la richesse coupe totalement les privilégiés de la réalité du monde, à l’image de ce personnage secondaire de demi-sœur de Cynthia :« Tu n'as pas souffert un seul jour de ta vie, fulmine ainsi la demi-sœur de Cynthia, moins gâtée qu'elle par la vie. Tout ce que tu as voulu, tu l'as toujours obtenu. Et maintenant tes gosses grandissent de la même façon. Comme une petite classe régnante. C'est effrayant ».



Quoi qu’il en soit avec « Les Privilèges, » Jonathan réalise le portrait complet d’une réussite insolente : pari parfaitement réussi.


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Les privilèges

Roman vite lu, une écriture efficace mue par une belle mécanique narrative mais sans génie, plate et sans relief. Le seul véritable intérêt que je vois dans ce livre c'est qu'il réussit à nous faire détester cette famille. Une peinture d'une Amérique marginale (à l'autre bout du spectre par rapport à ce qu'on entend d'habitude par ce terme) qui fait peur. Une peinture de monstres en quelque sorte.
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Les privilèges

L'histoire commence par "Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants...". Nous suivons la progression sociale d'un jeune couple Adam et Cynthia dans la haute société New-yorkaise et le monde des finances. Un beau portrait du New-York d'aujourd'hui.
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Les privilèges

Je n'ai pas trouvé ce livre très palpitant. C'est l'histoire d'une famille vivant à New York et devenant de plus en plus riche grâce aux transactions fumeuses du mari. Mis à part quelques frasques des deux enfants et le relatif ennui de l'épouse, il ne se passe pas grand chose. Contrairement à ce qu'en dit la quatrième de couverture, il n'y a aucune comparaison possible avec l'admirable Bûcher des vanités, qui lui était truffé de rebondissements. De plus, ce n'est pas toujours bien écrit; par exemple, en p. 89: "La chambre n'était éclairée que de l'extérieur mais elle s'étendit, l'avant-bras posé sur ses yeux". Se laisse lire sans grand plaisir.
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Les privilèges

Nous suivons le quotidien de l'élite new-yorkaise, mais sans autre intérêt que de les voir dépenser leur argent.



Ni bon ni mauvais, ce roman social me laisse sur ma faim. L'ensemble du roman est plutôt bien écrit, nous suivons la vie de famille de ces privilégiés sans pour autant pénétrer vraiment leurs pensées. La fin semble avoir été bâclée, et gâche la première impression que l'on pourrait avoir eu sur cette histoire.



Ni bon ni mauvais, ce roman social me laisse sur ma faim. Cela ne me donne pas envie de découvrir les autres romans de l'auteur.

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Les privilèges

c'est très bien écrit, les personnages sont bien trouvés, les dialogues très justes... on se retrouve parfois dans les problèmes et les interrogations de ce couple hyper riche (les relations avec les enfants, les parents, le sens de la vie)... mais dans l'histoire en elle-même, rien de très original, même si les détails sont très chiadés. j'ai parfois refermé le livre avec le sentiment que c'était "trop", et je l'ai terminé en restant sur ma faim.
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Les privilèges

Lu il y a déjà quelques temps, c’est un bel exercice que de tenter de dire ce qu’il me reste de ces Privilèges dont toute la critique littéraire avait fait l’éloge à sa sortie.



De mémoire, il me reste le temps que je mis à lire ce roman. Il fut long car je me suis ennuyé. Jeune couple qui se marie et construit sa vie, lui dans la finance et les fonds de pension, elle à ses côtés. Ils s’aiment, se trouvent indestructibles et protégés d’une bonne étoile. Ils ont deux enfants. Les uns grandissent, les autres vieillissent. Ils sont beaux, riches, licencieux et finalement très conservateurs.



Tout n’est pas clair mais rien n’est dit. Chacun sa névrose, ses non-dits, et un ménage à faire qu’on ne fait jamais vraiment, des comptes qu’on ne règle pas.



Quelques pages sympathiques sur l’art et la création mais que ce roman m’a semblé long, empreint de déjà-vu et sans grand intérêt.



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Les privilèges

Un roman sur des gens amoureux, jeunes, riches et beaux, et à qui il n'arrive même pas de malheur, le pari paraît un peu risqué à première vue. Pourtant, Jonathan Dee s'en sort à merveille, essentiellement parce qu'il parvient à éviter magistralement l'écueil de la caricature qui guettait ces personnages si parfaits et en apparence dénués de tout sens moral. Cynthia, par exemple, qui a tout au début de la fêtarde séductrice et écervelée, est en réalité une épouse fidèle, attentionnée, une mère modèle et une femme intelligente, sensible et sensée. Bien sûr, certains actes ou réflexions du couple sont dérangeants, voire glaçants, tant ils se réfèrent à ceux d'une classe sociale bien réelle dans notre société actuelle, mais ils interrogent aussi avec finesse nos propres codes moraux et notre propre rapport à l'argent, loin d'être aussi sain qu'on le penserait. On a beaucoup comparé Jonathan Dee, dont c'est le premier roman publié en France, à d'illustres auteurs comme Francis Scott Fitzgerald ou Jonathan Franzen, et cette comparaison n'était pas exagérée : Jonathan Dee a un véritable talent pour peindre notre société, grâce à un regard d'une acuité sans pareille et à un style élégant, jamais ronflant mais délicatement ciselé, sans paraître non plus artificiel... (la suite en cliquant sur le lien ci-dessous !)
Lien : http://ars-legendi.over-blog..
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Les privilèges

Un formidable roman américain. Le premier chapitre sur le mariage est tellement réaliste que l'on a tout de suite envie de continuer à le lire. Jonathan DEE a su décrire un monde contemporain avec une vision très juste de ce qui parfois nous échappe. Amour, argent, gloire...

Dommage que la suite de l'histoire soit ensuite un peu plus plate que ce que l'annoncait ce début prometteur....
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Les privilèges

Adam et Cynthia forment un couple que tout le monde envie. Dès le jour de leur mariage à Pittsburgh, le couple forme un îlot inaccessible. Ils vivent entièrement l’un pour l’autre, rien ne semble exister autour d’eux. La famille, les amis importent peu à ces deux êtres prometteurs : « Le bruit grandit dans la salle et, en son centre, Adam et Cynthia se regardent l’un l’autre, tournés de trois quart ainsi que le photographe les a placés en les malmenant quand il lui est devenu difficile d’expliquer ce qu’il voulait. Les bras d’Adam autour de la taille de Cynthia. Quelque chose leur a manqué toute la journée, et c’était ça. Quand ils sont au contact l’un de l’autre, personne d’autre ne peut les toucher. Leur enfance, leurs familles, tout ce qui les a façonnés est maintenant derrière eux et le restera désormais. »



Quelques années après leur mariage, Adam et Cynthia ont déjà bien établi leur situation : ils possèdent un appartement à New York, Adam travaille dans le milieu de la finance et ils ont deux enfants. Mais pour ces deux privilégiés, cela ne semble pas suffire. Leurs désirs sont immenses et la vie pas assez grande pour eux.



Jonathan Dee dresse le portrait d’une classe sociale, celle des ultra-riches, à travers « Les privilèges ». C’est avec un regard d’entomologiste qu’il dissèque la vie de Cynthia et d’Adam. Il ne les juge pas et ne tire aucune morale de ce qu’il décrit. En quatre grands chapitres et à coup d’ellipses, il trace le parcours de ce jeune couple ambitieux qui veut tout de la vie. Adam et Cynthia se construisent un monde, une bulle uniquement pour eux où l’argent coule à flot, où les désirs sont sans limite. Pour en arriver là, Adam jouera avec la légalité. La recherche du frisson est inévitable lorsque l’on a déjà beaucoup. L’argent, le confort peuvent créer l’ennui, le manque de désir. Adam et Cynthia résistent à cela en s’inventant de nouveaux buts. Il n’en va pas de même avec leurs enfants : April et Jonas. La première est l’enfant pourrie gâtée par excellence, elle finit alcoolique, droguée et totalement désœuvrée. Son frère fuit la richesse de ses parents, il cherche un sens à la vie et s’intéresse à l’art brut. Jonas est sans doute le personnage le plus sympathique car il semble comprendre que l’argent n’est pas un but en soi. Malheureusement une mésaventure le fera changer et la dernière phrase du livre est glaçante de cynisme.



« Les privilèges » est un livre remarquablement bien construit et maîtrisé. Le premier chapitre vaut à lui seul le détour. C’est un véritable tour de force qui nous fait passer d’un personnage à l’autre durant le mariage de Adam et Cynthia. « Les privilèges » est un livre intelligent, prenant qui nous montre un des plus beaux visages de la littérature américaine contemporaine.
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Les privilèges

Une écriture simple et efficace qui donne l'impression de regarder un film. La description de cette famille est une réussite, à la fois réaliste et distante. L''auteur se garde judicieusement de tout jugement moral, laissant entière liberté au lecteur de réagir comme il le souhaite. J'ai beaucoup apprécié ce parti pris et ai lu avec plaisir ce bon roman.
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Les privilèges

Malgré un texte prenant, des personnages intéressants et une histoire bien ficelée, Jonathan Dee ne parvient pas à ajouter ce qui fait d'un bon livre un livre excellent. Cette plongée au coeur de la vie new-yorkaise d'un couple béni des dieux nous laisse presque de marbre tant les clichés sont éculés et accumulés. Seul rafraîchissement dans une histoire étouffante: la certitude que l'argent ne fait (décidément) pas le bonheur.

Au final: une bonne lecture qui évite d'avoir trop à réfléchir au bord de la piscine mais pas un roman extraordinaire.

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Les privilèges

Ce roman traite en apparence d'un sujet pas forcément orginal dans la littérature américaine: l'ascension d'une famille wasp traditionnelle. Mais la réalité est moins évidente : que peut on encore désirer une fois que l'on possède tout ce qu'on désire?

En 4 parties, du mariage des parents à la vie des enfants devenus adulte, Dee dresse un portrait sans concessions aucune d'une amérique déconnectée de la réalité.

les personnage du roman ont tout, sauf le bonheur.

Moins fort que Franzen, car moins abouti, "les privilèges "reste un constat implacable sur l'amérique d'aujourd'hui
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Les privilèges

Adam et Cynthia, riches américains, se marient à 22 ans. L’histoire les suit, eux et leur famille, tous les sept/huit ans environ, à partir de leur fête de mariage jusqu’au 23ème anniversaire de celui-ci. C’est l’histoire d’une réussite sociale éclatante et d’un mode de vie à part, celui de riches new-yorkais.

Quatrième roman de Jonathan Dee, mais premier traduit en France, cet ouvrage m’a fait penser aux livres de James Salter ou à l’univers dans lequel évoluent les héros de la série Gossip Girl. Il est porteur d’une critique sévère de la société américaine, et plus précisément d’une classe sociale, celle des riches voire ultra-riches dont deviennent membres à part entière les personnages principaux de l’histoire. Il démonte avec finesse la montée de la richesse de cette famille, son fonctionnement, comment elle se détache peu à peu des autres réalités. Pour autant, aucun des personnages ne devient pour autant une caricature. L’auteur parvient à leur conserver un côté humain, et son écriture soignée fait merveille, notamment dans le premier chapitre. Son roman m’a agréablement surprise, et vraiment intéressée dans un contexte difficile. À lire, indiscutablement.

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Les privilèges

Excellent dans la lignée de Tom Wolfe. Le premier chapitre dans lequel on passe dans la tête d'un personnage à un autre est absolument magistral.
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Les privilèges

Quelques moments intéressants de vie d'une famille américaine. C'est fluide, c'est sûr mais je suis resté sur ma faim. On s'ennuie finalement et on devient spectateur d'une histoire qui s'effrite et on a du mal à s'imprégner du monde si particulier de cette famille.
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Sugar Street

Dans cette forme de vie à l'os, son empreinte sur le monde - une de ses préoccupations - diminue.
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Sugar Street

D’un roman à l’autre, l’écrivain parcourt une Amérique changeante et dérangeante. Dans « Sugar Street », il prend acte de la tension qui monte dans le pays depuis la présidence de Donald Trump. Points cardinaux d’une œuvre.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..
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Sugar Street

Un matin d’avril 2022, dans un chalet au parfum de sel et de pierre, un homme se lève. Il embrasse sa maîtresse, enfile son maillot et s’en va faire quelques brasses dans le lac, en face. Combien de temps s’écoule? La femme se réveille, prépare le petit déjeuner, du café, du fromage, du pain, puis lève les yeux vers la nappe d’eau noire.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..
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