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Citations de Józef Czapski (30)


Deuxième partie
6. Et les Allemands ?
En septembre 1939, l’offensive s’arrêta pendant quelques jours sur la ligne de la Vistule et du Narew qui, selon les dispositions du pacte Ribbentrop-Molotov, devait constituer la frontière germano-soviétique. La plus jeune de mes sœurs se trouvait dans la propriété de nos cousins à une cinquantaine de kilomètres à l’est de cette ligne. L’Armée rouge, qui entra en action le 17 septembre, venant de l’est avait déjà atteint le district où se situait cette propriété. La rumeur publique annonçait la déportation des habitants au fin fond de la Russie, et surtout l’exécution des propriétaires de domaines. Ma sœur décida d’aller se réfugier dans l’ouest du pays, aux environs de Cracovie. Pour y réussir, il fallait passer le Narew en empruntant le pont de Pultusk, qui était déjà occupé par l’armée allemande. Sur un chariot de paysan, avec ses trois jeunes enfants, elle atteignit la rivière et attendit, espérant que les Allemands la laisseraient passer.
Les soldats allemands, dans l’euphorie du succès, entourèrent le chariot. L’un d’eux, un joli garçon blond, s’appuya sur les ridelles et se mit à questionner ma sœur d0un ton jovial : « Votre mari est sûrement un général ? Tous les Polonais sont des généraux… Il n’est pas à l’armée ?… Malade du cœur ? Bien sûr, les Polonais sont malades, ils ont peur de se battre et nous, nous nous battons tous, voilà pourquoi nous sommes victorieux, »
Ma sœur était certaine que la vie de ses enfants et la sienne dépendaient de l’autorisation de passer le pont. Elle attendit le verdict. La réponse vint, catégorique. Personne ne passerait sur le pont en direction de l’ouest.
Il y avait dans la foule des soldats un jeune officier. Il demeurait silencieux et fixait obstinément la plus jeune des filles, Élisabeth qui avait sept ans et, très effrayée, se tenait sur les genoux de sa mère, les yeux pleins de larmes, en remuant légèrement les lèvres. Elle priait. Peut-être a-t-il aussi une petite fille, peut-être nous sauvera-t-il, peut-être sera-t-il ému, pensait ma sœur. L’Allemand s’approcha brusquement du chariot : « Je n’ai pas le droit de vous laisser passer, mais je le ferai tout de même si vous me jurez quelque chose. » (Wenn Sie etwas schwören. ») Ma sœur se pencha vite par-dessus les ridelles de son chariot : « Mais naturellement, je jurerai tout ce que vous voudrez. » Peut-être a-t-il quelqu’un de cher de l’autre côté, supputait-elle, il veut que je lui promette de m’en occuper, de l’aider.
« Vous devez me jurer, dit-il en continuant de fixer la fillette, d’élever vos enfants en bon citoyens de IIIème Reich, totalement fidèles et dévoués. »
Ma sœur recula instinctivement.
« Non, cela, je ne jurerai pas.
– Zurück ! » (Arrière !)
La mère avec ses enfants dut revenir vers l’endroit d’où elle avait essayé de fuir, avec le sentiment qu’elle venait d’être condamnée.
Les choses se passèrent autrement, en fin de compte. Les Allemands ne s’arrêtèrent pas sur le Narew, mais avancèrent tandis que les bolcheviks, après avoir passé vingt-quatre heures dans la maison que ma sœur avait quittée, se retirèrent au-delà du Boug. Mais le dialogue terminé par un verdict qui semblait condamner à mort la mère et les trois enfants symbolisait le heurt de deux mondes. (1)
Combien de fois n’ai-je pas rapporté cet incident à des Polonais, des Anglais, des Juifs, des Français, et tous jugeaient le comportement de cet officier allemand monstrueux et incompréhensible. Nul d’entre nous n’avait cherché à trouver le sens, la racine profonde de sa conduite. Cet officier avait voulu, n’est-ce pas, aider la mère et les enfants, même en outrepassant ses droits, et c’est justement lui qui les avait condamnés.
Mon interlocuteur du bateau, dont les réactions à mes récits et les commentaires étaient toujours si vifs, demeura silencieux cette fois. Le lendemain, pendant que tous les passagers fêtaient le passage de la ligne et que Neptune en perruque de lin blanc et coiffé d’une couronne de papier « baptisait » les passagers que l’on précipitait dans la piscine au milieu de grands éclats de rire, mon Allemand se reposait dans un transat, entouré de livres, sur le pont absolument désert. Je m’installais à côté de lui. Il prit la parole : « J’ai beaucoup pensé à ce que vous m’avez raconté hier, cette rencontre de votre sœur… Je ne pouvais pas répondre tout de suite. Voyez-vous, cet officier, ce jeune Allemand, je veux le défendre contre vous. C’était certainement un idéaliste. Il croyait à la supériorité de sa race, il était convaincu qu’il sauvait votre sœur et qu’il lui donnait en outre quelque chose qui, à ses yeux, était plus précieux que tout. »

(1) Effectivement, quelques mois plus tard, les Soviétiques déportèrent en Russie d’Asie un million et demi d’habitants des territoires polonais qu’ils avaient occupés. Beaucoup moururent en déportation de misère et de maladie (NdT)
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L’Adieu.
Perse 1942, hôpital américain de Meched. (1)
Dès que la fièvre commença à baisser, je fus invité à descendre dans le jardin du docteur pour y passer toute la journée sur une chaise longue.
Une herbe épaisse et abondante, doublée de trèfle menu. De grands arbres aux troncs dénudés, portant une couronne de feuilles semblables à celles de l’érable, mais plus petites, plus dentelées, au revers argenté.
A l’ombre des grands arbres qui ressemblent à d’énormes bouquets, on étend un grand tapis cerise et tout autour, sur des chaises longues, les plus misérables de nos petits Polonais. Ils passent là les heures qui précèdent le déjeuner. Les plus solides reviennent aussi après la sieste. Les filles du médecin et du pasteur, qui rappellent avec leurs visages et leurs robes bleues les portraits anglais du XVIIIème, leur apportent tous les jours de petits cadeaux : des images coloriées représentant des scènes de l’Evangile et de la Bible (doucereuses et banales mais qui enchantent les enfants), du jus de tomate, du cacao, des jouets amusants. Mais les enfants sont tous tristes. On les dirait prématurément vieillis. Ils ne sourient pas, font les difficiles, acceptent les friandises avec indifférence. Certains sont tellement épuisés physiquement qu’ils refusent de manger. Ils parlent à voix basse et échangent leurs images saintes. En face de moi, est couché Lopek. Il vient d’avoir la coqueluche et une pneumonie. Il a l’air grave et renfrogné, une grosse toux le fait souffrir. A côté de lui, un petit garçon a des jambes comme des allumettes, des taches rouges sur tout le corps et la tête couverte de pommade. Je n’en ai jamais vu sourire aucun et les plus jeunes n’ont pourtant que trois ou quatre ans ! On a installé sur la chaise longue à côté de la mienne une petite fille que j’avais remarquée à ma première visite, Basia D… Le docteur en chef a de moins en moins d’espoir de la sauver. Quand il parle d’elle, il hoche la tête avec tristesse et se tait rapidement. Basia s’éteint tout doucement, refuse de manger et demande tout le temps où sont sa mère et son père dont elle n’a pas de nouvelle. Elle n’a pas plus de huit ou dix ans. Son petit visage est très maigre, très grave, sans l’ombre d’un sourire.
Je lui explique qu’il faut manger, guérir, être forte mais elle se contente de répondre : « Si maman arrivait… », sans finir la phrase, mais à son accent, je devine qu’elle dirait : « Alors je guérirais sûrement ».
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L’Adieu.
Perse 1942, hôpital américain de Meched. (2)
Je lui pose quelques questions. Basia me fait le récit de ses aventures, sans gestes et d’une manière étrangement précise, comme une grande personne, avec une sorte de détachement.
« Nous sommes de Brzeszcz. Mon père était directeur de la poste, c’est près de Cracovie. Nous avions des tournesols tout autour du jardin, des quatre côtés et, de deux côtés, il y avait aussi des framboisiers. C’était très joli et nous avions deux forêts, la forêt humide et la forêt sèche. Maman et moi allions y cueillir des champignons. Quels beaux cèpes on trouvait là.
« Quand il y a eu la guerre, mes parents nous ont emmenés à Lwow et de là on nous a déportés à Posiolek Vasilievo, dans le territoire d’Arkhangelsk. Papa coupait du bois – à 15 kopecks le mètre. Il n’arrivait pas gagner un rouble entier par jour. Nous serions morts de faim sans maman qui travaillait comme serveuse dans une cantine. Ensuite elle devint cuisinière principale. Quand nous avons appris que l’on formait l’armée polonaise, nous avons tous décidé d’y aller. On nous a demandé de rester, on promettait à maman qu’elle deviendrait directrice de la crèche et on lui a dit : « Vous le regretterez quand vos enfants mourront de faim. » (Basia dit cela en excellent russe. On voit qu’elle s’est bien souvenue de cette phrase.) Mais nous avons refusé. Tout le monde partait, comment serions-nous restés ? Nous avons été à Krasnoborsk sur un radeau, ça faisait 100 kilomètres. Puis en bateau jusqu’à Kotlas et puis en chemin de fer jusqu’à Kassan, dans le pays de Boukhara.
« Dans cette ville, nous n’avons pas été trop malheureux. Papa travaillait et maman aussi, et nous avions du pain. Papa creusait un canal ; ensuite il a travaillé chez un menuisier, soi-disant comme aide, mais il n’avait jamais été menuisier. Maman travaillait à l’hôpital. C’est là qu’elle a attrapé le typhus et a été longtemps malade.
« Le pire, c’est quand nous sommes arrivés à Kermine. Pas d’eau, pas d’arbres et quelle chaleur ! Moi, je n’ai été mal nulle part. On m’avait mise dans le centre polonais mais maman habitait près de la gare, sous la tente. Comme elle a souffert ma pauvre maman ! Et maintenant, elle a disparu. Où est ma maman ? »
Une des filles du pasteur, en robe bleue, avec de longues boucles blondes dans le dos, apporte à Basia un verre de jus de tomate et l’invite à le boire d’un sourire charmant. Basias ne lève même pas les yeux et refuse d’un mouvement décidé de la tête, avec une indifférence absolue. Petite fille étrange et sans vie. L’herbe drue, les arbres, les fleurs, elle ne semble même pas les voir. Elle ne s’anime un tout petit peu que lorsqu’elle parle des forêts, des tournesols et des champignons de chez elle.
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Ce qui étonne, c’est que Bergotte, comme proche ami de Swann, se met à en dire du mal en voiture, avec beau­coup de finesse, de déta­che­ment, de faci­lité, au jeune garçon qui le voit pour la première fois. Bergotte donne l’occasion à Proust d’étudier avec cet esprit lucide et juste toutes les faiblesses, toutes les petites et grandes lâche­tés, tous les mensonges si souvent rencon­trés chez les artistes. Nous voyons dans les volumes suivants Bergotte vieilli, à l’époque de sa plus grande renom­mée, avec sa force créa­trice en extinc­tion. Main­te­nant, quand il écrit des livres de plus en plus rares, de moindre qualité, écrits avec infi­ni­ment plus d’efforts et avec ces senti­ments de joie et néces­sité inté­rieure bien affai­blis, il aime à répé­ter la phrase suivante : « Je pense qu’en écri­vant ces livres j’ai été utile à mon pays » , phrase qu’il ne disait jamais du temps de ses chefs-d’oeuvre.
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e vois encore mes cama­rades entas­sés sous les portraits de Marx, Engels et Lénine, haras­sés après un travail dans un froid qui montait jusqu’à quarante cinq degrés, qui écou­taient nos confé­rences sur des thèmes telle­ment éloi­gnés de notre réalité d’alors.
Je pensais alors avec émotion à Proust, dans sa chambre de liège, qui serait bien étonné et touché peut-​être de savoir que vingt ans après sa mort des prison­niers polo­nais, après une jour­née entière passée dans la neige et le froid qui arri­vait à quarante degrés, écou­taient avec un inté­rêt intense l’histoire de la duchesse de Guer­mantes, la mort de Bergotte et tout ce dont je pouvais me souve­nir de ce monde de décou­vertes psycho­lo­giques précieuses et de beauté litté­raire.
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Je constate qu’en parlant de Proust je remplis ma conférence de détails concernant son œuvre et sa vie personnelle, mais je n’arrive pas à exprimer, moins encore à élucider en moi-même en quoi consiste la nouveauté, la découverte, l’essence de son œuvre. Ne possédant aucun livre, et ce qui est le principal ne possédant aucune éducation philosophique, je ne suis en état que d’effleurer à peine ce problème essentiel. Il est impossible de parler de Proust profondément en le détachant des courants philosophiques qui lui étaient contemporains, en taisant la philosophie de Bergson, son contemporain, qui avait joué un grand rôle dans son développement intellectuel. Proust fréquentait les cours de Bergson, qui jouissait entre les années 1890-1900 d’une énorme vogue et, à ce dont je me souviens, Proust connaissait Bergson personnellement. Le titre même de l’œuvre de Proust nous indique qu’il était hanté par le problème du temps. C’est le temps qu’étudiait Bergson du point de vue philosophique.
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Préface de Gustave Herling-Grudzinski.

J'avais toujours la conviction, sans y mettre la moindre présomption nationale, que les Polonais intelligents seraient capables plus que les autres d'informer l'Europe sur la Russie. Car ce n'est pas une question de savoir, mais d'une somme énorme d'expérience, non pas d'études, mais de clairvoyante vigilance. Il est plus difficile et en même temps plus facile de comprendre la politique russe que toute autre politique. C'est pourquoi, si nous avons quelques experts en politique britannique, nous avons des millions d'experts en politique russe. Le regard du Polonais sur la Russie est perçant et sévère, car il touche au principe même de l'existence biologique. Au XIXème siècle, n'importe quel hobereau, pouvant à peine lire et écrire, comprenait ce que renferme le mythe russe du panslavisme.
( . . . )
Notre " retour de l'URSS " est un phénomène aussi vieux que le voisinage polono-russe. Il est marqué comme d'habitude par des milliers de tombes de déportés et une poignée de ces heureux qui ont miraculeusement réussi à retourner à ce monde, ce monde toujours surpris et méfiant.
C'est pourquoi j'aurais fait mieux peut-être de ne pas dire que les " Souvenirs de Starobielsk " ont été écrits par Czapski. Ils ont étés écrits par quelques milliers d'hommes que nous ne reverrons jamais. Czapski les a seulement portés sur notre rive plus abritée.
Ces hommes, ne se lassant jamais de penser à la Pologne, remarquables par leur intégrité et l'ardeur de leurs sentiments, si nobles dans la misère, ne pouvaient choisir un meilleur messager.
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« La joie de pouvoir participer à un effort intellectuel qui nous donnait une preuve que nous sommes encore capables de penser et de réagir à des choses de l’esprit n’ayant rien de commun avec notre réalité d’alors, nous colorait en rose ces heures passées dans la grande salle à manger de l’ex-couvent, cette étrange école buissonnière où nous revivions un monde qui nous semblait alors perdu pour nous pour toujours. » (p. 9)

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Essayé de reprendre un certain travail intellectuel qui devait nous aider à surmonter notre abattement, notre angoisse, et défendre nos cerveaux de la rouille de l'inactivité.
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Józef Czapski
Mon cher Czeslaw !

Tu termines ta lettre par une phrase qui atteint l'essence- de quoi ? De ce qui tourmente l'homme et s'impose à sa pensée: La Providence. Tout ce que l'on pense et dit d'elle est enveloppé de paroles de consolation qui ne font que voiler la vérité, laquelle ne peut être acceptée que transcendentalement, sur un autre plan. Désolé mais je ne peux pas croire que Dieu va sauver la Pologne parce que l'on fête les six cents ans d'existence de la Vierge de Czetochowa.

Quand je suis rentré de Russie, Marynia disait que Dieu, ou la Providence, m'avait protégé parce que j'avais quelque chose à dire, à accomplir. J'ai senti alors que la Vérité était physiquement blessée. Combien de centaines de gens ai-je connus, combien de millions de gens je devine qui en ce temps-là mouraient de faim et de froid, et qui avaient tous "quelque chose à dire", qui avaient tous des mères, des femmes, des amantes torturées par la nostalgie et l'attente. Tu demandes si la Providence s’étend à toute l'histoire ! La vérité la plus difficile à admettre (Simone Weil) est que le monde est régi seulement par le hasard, que Dieu n'a pas de pouvoir sur lui, c'est-à-dire que son pouvoir, son aide, est d'une autre dimension.
L'automatisme du retour des crimes, des catastrophes et des débâcles de la Pologne, de sa petitesse et de sa grandeur et de cette jeune vague vraiment généreuse maintenant piétinée, faut-il appeler tout cela la Providence ? La Providence parce que pour le moment nous ne massacrons pas mais sommes massacrés !

Après la conquête de Rome par les barbares, des foules de Romains se sont enfuis en Afrique où vivait encore saint Augustin. Avec chagrin, avec amertume, ils demandaient pourquoi Dieu envoyait des fléaux sur Rome qui précisément était déjà chrétienne.
Saint Augustin fit venir un jeune moine nommé Orisius: " Je suis déjà vieux et je n'ai plus de forces, mais toi, tu dois écrire l'histoire du monde de façon telle que les gens sachent que les fléaux, les catastrophes ont existé depuis toujours. "
Le salut de la Providence ?
Cette lumière, nous pouvons la trouver au fond de l'abandon et du malheur. Quelle providence peut sauver notre monde qui va sombrer et probablement renaître de nouveau ailleurs, avec de nouveaux espoirs ?

Je ne voulais pas t'écrire de façon pathétique, mais c'est seulement en regardant "les yeux ouverts sur la terre inhumaine" que l'on peut encore respirer avec le sentiment de ne pas mentir et alors parfois, parfois survient une seconde de secours.

P.S Ne t'étonne pas que dans une lettre écrite pour toi et sur toi, je te gave de citations. Je trouve en elles une réponse que je ne pourrais pas fournir moi-même; c'est ainsi que maintenant je vis de citations et ce sont elles qui me sauvent. "Lorsqu'on ne s'efforce pas d'exprimer l'inexprimable, alors rien ne se perd et l'inexprimable est contenu inexprimablement dans ce qui est exprimé." - Wittgenstein

Nous ne savons pas; peut-être le faut-il, nous ne savons rien sur la valeur de ce que nous essayons de donner- c'est inexprimablement contenu dans ce qui est exprimé.
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