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Critiques de Juan Manuel de Prada (51)
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Le septième voile

C’est le jour du décès de sa mère, à laquelle il était très attaché, que Julio apprend que son père n’était pas son géniteur. Sa mère, en effet a aimé un autre homme que celui qui l’a élevé. Julio part alors à la recherche de ses origines. Un prêtre, un psychiatre, puis la fille d’un ancien rival vont révéler à Julio différentes facettes de cet homme.

Arrivera-t-il à soulever le septième voile de la vérité, l’ultime ? Celui que nous gardons pour nous même, de peur de ce que l’on peut y découvrir. Car les trois intervenants ne semblent pas vraiment avoir connu le même homme. Héros de la résistance durant la Seconde guerre mondiale, l’homme est devenu amnésique suite à un accident, embauché dans un cirque, il y devient un prestidigitateur de talent, mais l’homme est hanté par son passé absent au point de devenir fou. Et de quitter la femme de sa vie.

Dans une langue précise et riche, Juan Manuel de Prada dévoile le parcours complexe et accidenté d’un homme bousculé par les soubresauts de l’histoire, toutes les ambiguïtés d’une époque chahutée. Comme dans ses autres ouvrages, l’auteur prend son temps et détaille avec luxe la complexité du monde et des hommes. Un roman qui demande de la concentration au fil de ses 800 pages, mais qui grâce finalement à ses nombreux rebondissements se lit avec grand plaisir.
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La tempête

une belle façon de découvrir le plus beau tableau du monde la Tempête ; le chef d'œuvre de Giorgione . Tout ce que l'on a pu dire de ce tableau comment il a été peint toutes ses plus extravagantes interprétations .

un livre pour les passionnés de la peinture du quatrochento et du musée de l'ACADEMIA de VENISE

Et une intrigue autour d'un faussaire . Génial je recommande
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Une imposture

Eh bien, finalement, Abracadabrantesque et assez déplaisant...

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La tempête

Alejandro Ballesteros, maître-assistant espagnol, jeune homme introverti et victime d’un patron un peu sadique, se rend à Venise pour y contempler (enfin !) La Tempête de Giorgione à laquelle il a consacré sa thèse et une grande partie de sa vie. Son arrivée dans Venise en hiver n’a pas lieu sous les meilleurs auspices : l’aqua alta lui abîme ses chaussures, la pension que lui a recommandée son patron est située dans un quartier sinistre et, à peine est-il installé dans sa chambre, qu’un crime est commis sous ses yeux. Le voilà, à son corps défendant, mêlé à une sombre histoire de vol d’œuvres d’art et de faux tableaux… Le conservateur du musée de l’Accademia ridiculise les fondements de sa thèse et, de plus, lui qui a fait une sorte de vœu de célibat, il tombe éperdument amoureux de Chiara la fille adoptive du maître, sorte de vestale préposée à la garde de Venise.

L’anecdote policière apparaît vite comme un prétexte, même si la solution finale crée un rebondissement inattendu. Ce qui domine ici, outre la peinture par lui-même d’un jeune homme parcouru de désirs mais trop velléitaire pour être autre chose qu’un spectateur de lui-même, c’est la description de Venise, ville en pleine décomposition, en train de sombrer dans les eaux de l’aqua alta tandis que, dans un combat sans cesse recommencé et d’autant plus pathétique qu’il est perdu d’avance, des hommes et des femmes tentent de la maintenir en vie et que d’autres, atteint du même mal, lancent leurs derniers feux. Le rythme du roman, extrêmement lent convient à la fois à cette ville fantôme et à la psychologie des personnages qui ne sont pas sans rappeler ceux de certains romans de P.J.Rémy. L’écriture très travaillée et un spleen certain rendent la lecture assez difficile, ce qui risque de décourager les lecteurs avides d’action.
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La divine bibliothèque

Une liberté de ton manifeste qui, associée à la découverte de certains auteurs méconnus, contribue à l’agrément d’ensemble suscité par ce florilège des grands acteurs de la littérature chrétienne.

Vingt-six au total, dont quelques-uns cités à deux reprises comme Léon Bloy et Gustave Thibon, avec cependant, de notre point de vue, quelques absents d’importance tels que Mauriac, Cesbron, Michel del Castillo et autres Julien Green qui avaient pourtant en commun la même trame d’une pâte humaine en quête de rédemption.

Reste que, telle quelle, tant par son éclectisme comme par sa diversité historique, cette anthologie n’en reste pas moins attrayante. À commencer par le premier des référencés, l’auteur de Don Quichotte, dont le titre du chapitre est corrélé à une question : “Cervantès était-il catholique ?”
Lien : https://marenostrum.pm/la-di..
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Une imposture

Une imposture raconte une trajectoire hors du commun celle de Antonio Exposito, madrilène, petite frappe qui pour échapper aux geôles franquistes en tant que prisonnier de droit commun préfère s'enrôler dans la Division Azul pour combattre aux côtés de l'Allemagne nazie le communisme. A défaut de connaître les prisons espagnols, Exposito finit par connaître le goulag soviétique. Il s'en sort et par un jeu de dupes il usurpe l'identité d'un de ses compagnons et devient le Senor Mendoza qui rentre au pays. Sauf que Franco ne veut plus entendre parler de la Division Azul, le compagnon dont Exposito a usurpé l'identité vient d'une famille pas si blanche colombe que cela et l'Espagne des années 50 n'a rien d'enviable sauf si on est bien né et du bon côté politique. Exposito qui part petite frappe à la mentalité de petite frappe revient très cynique, totalement désabusé d'URSS et ce qu'il découvre à son retour au pays va certes lui donner la position sociale et financière mais ne va le remettre d'aplomb sur le plan psychologique.



Une imposture est un roman très documenté où se mêlent les faits historiques avérés et l'analyse qu'en fait l'auteur. Car bien que très à droite Juan Prada est un esprit cultivé et complètement politiquement incorrect d'où une réflexion assez noire, cynique et dérangeante de certains pans de l'histoire espagnole.



Je ne mettrai pas ni 5 ou 4 étoiles car certains éléments sont un peu poussifs. On peut sourire et se poser des questions sur l'aspect très abracadabrantesque de la vie d'Exposito. Ensuite, la Division Azul est montrée sous un jour peut-être un poil favorable donc avec un peu moins de recul que par exemple la grande hypocrisie morale et religieuse du régime franquiste vue à travers des histoires peu connues comme celle d'Ava Gardner venant à Madrid se repaître d'alcools et de mignons. Sur la trame narrative, les débuts d'explications de la vie d'Exposito m'ont semblé un peu expéditive alors que la description de sa captivité au goulag par moment un peu longuette. Il y aurait d'autres points comme cela a développé mais ce serait un peu long.



Néanmoins cela reste un livre brillant et qui par pas mal d'aspects bousculent le clan idéologique de l'auteur.
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La tempête

Le narrateur arrive à Venise sous le mauvais temps et la neige avec pour unique but voir un tableau la tempête de Giorgone. il s'installe à l'hotel, entend un coup de feu et se précipite: un homme meurt dans ses bras: Fabio Valenzin un faussaire. Le voici projeté dans une aventure qu'il n'avait pas prévu mais surtout dans un Venise qui refuse de se dévoiler où les intentions de ceux qui l'entourent ne sont jamais ce qu'elles semblent laisser deviner. Les masques protègent les apparences.



C'est un très bon roman policier! les pages se tournent très rapidement encouragées par une très belle écriture même s'il y a parfois des effets stylistiques qui ne fonctionne pas en français mais on s'en moque car l'on veut connaître la fin de l'histoire. On peut après revenir sur de belles descriptions de la ville de Venise.



Mon seul regret est que l'auteur ou est ce le narrateur, ne peut rencontrer une femme sans que son langage se modifie et pas pour le mieux. Le corps d'une femme peut être décrit avec temps de beauté pourquoi utiliser ce langage. Je n'en voit pas l'utilité.
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Une imposture

Très beau livre d'abord la vie d'un soldat de la division azul pendant la campagne de Russie, il est fait prisonnier par les Russes et se retrouve interné dans les camps. Il raconte ses conditions de détention et surtout l'usurpation d'identité que les russes lui propose il prend la place d'un lieutenant à qui il ressemble beaucoup. Au bout de quelques années il finit par être libéré et retourne en Espagne où il doit endosser sa nouvelle personnalité de riche héritier d'une entreprise de transport. Mais cette vie n'est pas la sienne et très vite cela tourne mal d'abord avec sa fiancée ensuite avec sa nièce. IL fait tout pour retrouver son amour de jeunesse avant de partir sur le front russe. Là plus d'imposture il redevient lui même mais c'est trop tard il doit payer

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Le septième voile

Vers la fin de la deuxième guerre mondiale Jules est trouvé à demi mort dans un cimetière. Une opération réalisée dans des conditions précaires le ramène à la vie mais il lui est alors difficile de recomposer son parcours. Hébergé dans un cirque, il entreprend de se reconstruire aidé par la fille du patron. Cette reconstruction aura raison de leur relation qui les a menés en Espagne après avoir abandonné le cirque. Mais que devient-il ? Ce sera la difficile tâche de Julio son fils.

Nous voici plongés dans la période trouble de la seconde guerre mondiale avec les collabos, les miliciens, les résistants. Et bien entendu s’en suivent des alliances, des trahisons, des mensonges.

Bien sûr cela peut sembler bien classique mais l’écriture est telle que l’on est plongé au cœur de l’action et l’on est tout aussi impatient que Julio de connaître les tenants et les aboutissants.

A titre tout à fait personnel j’ai été un peu déçue de la fin qui n’a pas été celle que j’attendais mais cela ne m’a pas empêché d’apprécier pleinement la lecture de ce livre.

Un bon moment de lecture

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La tempête

Encore Venise. Toujours Venise. Venise la décadente. Venise l'endogame. Venise est le véritable personnage central de ce roman, faussement présenté par certains comme un roman policier. Oui, il y a bien un meurtre dès les premières pages mais il n'est là que pour permettre la rencontre des différents protagonistes et tisser ainsi l'intrigue. De plus, le tableau du peintre italien Giorgione (un véritable chef-d'oeuvre de la Renaissance) qui donne son titre à ce roman, n'apparaît que très tardivement et seulement pour quelques pages. J'avoue avoir été dérouté et par la construction de l'histoire, et par le style très métaphorique de Juan Manuel de Prada (les seins comparés à des animaux furtifs). Ou alors ce roman est comme le tableau de Giorgione, un roman pour initiés, un roman à clefs, et que c'est pour cette raison qu'il m'a semblé bien hermétique à certains moments.
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Le septième voile

Une écriture âpre, sans formule choc, racle, telle un soc, les paradoxes de nos vies, de nos morts.

Après de 2 heures de lecture, nous voilà à présent de retour dans ce passé si présent qu’il a tué le futur.

Ce roc s’attaque au piolet et celui qui en terminera l’ascension se souviendra longtemps de ces personnages blessés par les petites haines.

Si je n’ai pas su terminer l’ouvrage, c’est que la langue de de Prada est trop rocailleuse. Mais soyez comme ma libraire Lucille, l’Heure des Mamans à Versailles, et ne resterez pas insensible à cette métaphysique des blessés.



Il me faudra relire cet ouvrage. J’ai loupé quelque chose… Grrrrr !


Lien : http://quidhodieagisti.kazeo..
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La tempête

Plongé dans Venise de jour comme de nuit, le jeune assistant va découvrir des choses mystérieuses et, comme tout jeune héros en devenir, il va s'attirer quelques ennuis...

Un bon roman plus qu'un bon polar? Peut-être. Néanmoins, j'ai beaucoup apprécié l'immersion dans les eaux de Venise et de la peinture et en garde un agréable souvenir. Ce roman a également plu aux personnes à qui je l'ai prêté.

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Les masques du héros

Le début du roman peut sembler âpre et poussif, mais il commence dans une Espagne à la grandeur moribonde de la fin du XIX siècle. Toutes les grandes figures des premières décennies du XX siècle Espagnol accompagnent la lutte sans merci que se livrent Navales et Galvez dans un pays qui s'enfonce dans la cruauté et la décadence. Le propos est souvent cru voire ordurier. Çà sent la merde, la mauvaise vinasse et la vieille pisse ... mais dans ce fumier, des esprits hallucinés font pétiller un monde sur lequel une Espagne confite de traditions et de bigoteries refuse obstinément d'ouvrir ses fenêtres. Ces hommes sont ceux qui perturbent le monde ou bien le sauvent; ceux qui provoquent des révolutions ou les étouffent dans le sang; ceux qui produisent des œuvres d'art ou les détruisent. S'ils sont capables de mourir pour ce qui jaillit de leur âme, ils deviennent des martyrs ... si pour cela ils sont capables de tuer, ils seront terroristes, conquérants ou dictateurs.

Dali, Bunuel, Alberti, ... s'exileront. Lorca et Galvez tomberont sous les balles fascistes. Après que Franco eut refermé le bal, quelle balle atteindra Navales ...?

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La vie invisible

La vie invisible a reçu en 2003 le Prix Primavera, un roman avec deux histoires imbriquées.

L'écrivain Alejandro Losada nous raconte l'histoire de Fanny Rippel, une starlette nord-américaine des années 50 qui deviendra folle après avoir été manipulée. En même temps nous avons en parallèle l'histoire d'un écrivain qui fera la connaissance lors d'un voyage à Chicago, d'une jeune fille qui deviendra folle par amour. Les deux histoires se croiseront pour former un tout.
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La tempête

La tempête valut à de Prada le Prix Planeta 2007 et un succès tel, qu'il fut porté au cinéma en 2005 par l'anglais Paul Tickell.

C'est un thriller où un universitaire espagnol arrive à Venise afin d'étudier le tableau homonyme de Giorgione. Il va découvrir autour de l'Art tout un monde interlope et corrompu, pas mal de dépravation en même temps qu'il vivra une histoire d'amour intense qui va le marquer à jamais.
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Le septième voile

Vaste roman assez verborrhéïque avec un vocabulaire trop recherché (en version VO), ce qui rend le livre assez lourd et par moments très maniéré.Ouvrage primé par le Prix Bibliothèque Brève 2007 plus un prix régional en Castille et Aragon.

Le titre déjà est très métaphorique, faisant allusion à la danse des sept voiles de Salomé pour le grand roi Hérode; le septième voile étant le dernier, et lorsqu'il tombe, il laisse voir la vérité.

Nous avons un roman d'aventures avec deux personnages principaux et deux niveaux temporels : la Seconde Guerre Mondiale et aujourd'hui.

Les deux personnages sont Jules Tillon alias Houdini, un militant important de la Résistance française, un homme spécialisé dans le camouflage et qui va jouer un rôle dans la guerrilla . L'autre est Julio Ballesteros qui apprendra sur le tard sa filiation avec Jules Tillon et qui partira à sa recherche comme une sorte d'expiation et par là, une sorte de rédemption de ses propres erreurs. Les deux hommes sont poursuivis par les secrets et les mensonges.



Un épais bouquin assez redondant, non dénué d'un certain maniérisme dont la lecture m'a quelque peu fatiguée et saturée. Pourtant c'est un auteur que je connaissais et que j'avais beaucoup apprécié par la richesse de son lexique (lectures avec un dictionnaire à portée de main...)
Lien : https://pasiondelalectura.wo..
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Le septième voile

L’auteur tisse son intrigue comme l’araignée capture sa proie. En un mot : époustouflant ! De plus, l’auteur s’est bien documenté pour en faire une histoire crédible et de longue haleine.
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Le septième voile

Julio part au chevet de sa mère agonisante mais arrive trop tard pour entendre sa confession. C'est l'homme qui la élevé qui va lui révéler qu'il n'est pas son vrai père. Bouleversé par ce secret de famille, Julio part sur les traces de Jules Tillon, son père biologique pour lever le septième voile sur son histoire.

A travers sa rencontre avec le Père Lucas puis avec Portabella médecin spécialiste de la mémoire et de l'hypnose, nous allons découvrir le parcours hors du commun de cet homme, héros de la résistance française.



Passionnant roman d'aventures où un fils cherche sa filiation, "le septième voile" nous replonge dans la guerre d'Espagne et surtout dans la France occupée par les allemands. L'auteur n'épargne pas les nazis, comme les communistes. Le récit est très documenté et le lecteur ne pourra qu'apprécier le réalisme et l'émotion de cette époque tourmentée.

Il s'agit aussi d'une quête d'identité. Le père, comme le fils, sont à la recherche du passé, nécessaire pour pouvoir se reconstruire après des chocs émotionnels.

Les personnages sont extrêmement bien développés, complexes et loin de tout manichéisme.

Jules Tillon, engagé de la première heure dans la résistance cache aussi une part d'ombre. Sa folie passagère, son amnésie, sa trahison font de lui un héros ambigu qui oscille entre le bien et le mal.

On y retrouvera quelques figures ayant réellement existé : Jean Moulin, Henri Laffont,...

L'intrigue, pleine de rebondissements, ménage le suspens à travers les récits successifs des interlocuteurs de Julio.

Enfin, il me faut souligner la très belle histoire d'amour entre Jules et Lucia, les parents de Julio, qui au delà des souffrances ne cesseront jamais de penser l'un à l'autre.



Bref une grande fresque historique qui nous emporte par son ampleur et sa force : un très, très grand livre !

N'ayez pas peur des 700 pages ! Le livre ne se lâche plus quand on l'a commencé !


Lien : http://legrenierdechoco.over..
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La tempête

J'ai commencé ce livre sur recommandation de la presse spécialisée. Parce qu'il portait un regard sur l'art parait-il. Avec une énigme policière de surcroît. Je ne sais pas si c'est parce que les temps ont changé mais je ne supporte plus la lecture de propos macho. Pas moyen d'avoir un portrait féminin sans description des fesses, du slip qui rentre dans les fesses. Ça tourne à l'obsession.

Auteur rayé de mes listes de lecture
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La divine bibliothèque

Don Quichotte, Callista, La Foi des démons, Journal d’un curé de campagne... 26 œuvres majeures de la littérature mondiale sont explorées.




Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..
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